Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 9 – Chapitre 250

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Chapitre 250 : Ce n’est pas comme si n’importe qui était comme il faut.

« Attaquez ! »

Pendant que trois soldats s’apprêtaient à attaquer, j’avais dégainé silencieusement Éléanore.

Je coupai la tête du premier, en coupa un autre en diagonale, et je coupais le dernier à sa taille.

J’avais immédiatement tué les trois soldats. 

Après cela, j’avais fait face à l’homme qui ressemblait à leur capitaine tout en le regardant fixement.

J’avais attendu un moment. J’attendais pour atteindre le but pour lequel j’étais venu ici.

« S’il vous plaît, attendez, vous êtes le Marquis Yuuki, n’est-ce pas ? Nous sommes... »

« Je le sais. »

Leur groupe m’avait appelé par mon nom, connaissant mon identité, et je leur avais répondu.

Avec ceci la condition était remplie, donc j’avais tranché l’homme de haut en bas.

La moitié de son corps s’était immédiatement effondrée et la moitié s’était tenue pendant un moment, avant de s’effondrer sur le sol.

Peu après, les soldats s’étaient enfuis.

{Papa, est-ce que c’est bon de ne pas les poursuivre ?}

« C’est bon. Après tout, avec ceci mon objectif est atteint. »

{Vraiment ?}

{Oui. Une personne favorisée par Sélène est intervenue en connaissant la situation. Nous avons besoin que les soldats qui se sont échappés deviennent des messagers pour diffuser ce fait.}

{Cela semble compliqué ~.}

{Hikari, c’est bon. Tu as seulement besoin de penser à comment grandir comme une Épée Démoniaque d’abord. Les autres choses suivront juste plus tard.}

{D’accord !}

{Au fait, la dernière attaque. La raison pour laquelle il a été coupé de haut en bas...}

Hikari qui avait répondu innocemment et Éléanore qui enseignait à sa fille la voie de l’Épée Démoniaque.

Elles étaient si différentes d’une mère et d’une fille ordinaires, mais c’était le bon côté de la chose.

J’avais fait sortir les domestiques du Duc Melina hors des cages. Certains d’entre eux semblaient malades, alors je les avais guéris en utilisant des boules magiques blanches.

Après cela, en tant que personnes qui les avaient sauvés, presque tous avaient commencé à me regarder sous un jour favorable.

« Nous vous remercions. »

Après un certain temps, la personne la plus âgée parmi les domestiques, un homme avec beaucoup dignité, m’avait dit cela.

Les personnes qui avaient vécu dans un certain standing avaient leur comportement figé dans leur vie quotidienne.

Ceux travaillant pour des familles royales ressembleraient toujours à une personne de la famille royale même s’ils portaient des vêtements de roturier.

Cet homme, je pourrais dire facilement qu’il avait le comportement d’un « majordome » au premier regard.

« Nous avons tous été sauvés grâce à vous. »

« Ça ne me dérange pas. Je n’ai fait que ce qu’on m’a demandé de faire. »

Tout comme les soldats d’autrefois, j’avais besoin de ces gens pour diffuser ce fait aussi, alors je le leur avais dit.

« ... D’accord. »

C’était vraiment un majordome, il avait immédiatement compris ce que je voulais dire, mais ne l’avait pas dit à haute voix. Il avait ce genre de visage.

Je remis à l’homme un sac plein de pièces d’argent.

Le papier-monnaie n’était utilisé que dans Mercury, donc l’argent pesait lourd.

« C’est ? »

« Pour vos frais de voyage. Utilisez cela pour retourner vers votre maître. »

« ... »

« Quel est le problème ? »

J’avais demandé cela à l’homme qui avait fait un visage perplexe.

Non, ce n’était pas seulement cet homme. En regardant de plus près, même les autres serviteurs, la plupart d’entre eux avaient un visage perplexe.

« Est-ce que c’est bon pour nous de revenir auprès de Son Excellence le duc ? »

« Tu comprends pourquoi je suis venu intervenir comme ça, n’est-ce pas ? »

« Oui. »

L’homme avait répondu rapidement. Le voyant répondre instantanément, je ne pensais pas qu’il ne comprenait pas la situation de manière erronée.

Alors pourquoi ?

« Son Excellence le duc est celui qui est vaincu, y a-t-il un avenir qui nous attend si nous suivons le duc ? »

« ... »

{Kukuku.}

Éléanore avait ri. On aurait dit, par son ton, qu’elle avait trouvé la situation très drôle.

« Marquis Yuuki, Votre Altesse, ne pouvez-vous pas nous sauver ? »

Quand le majordome avait dit cela, tout le monde m’avait regardé en même temps.

En d’autres termes, était-ce cela ?

Ils voulaient changer de Melina vers moi, hein ?

J’avais utilisé ma plume de téléportation pour retourner dans ma maison. J’étais apparu dans le salon et j’avais rencontré Miyu.

« B, Bienvenue, Maître »

« Je suis de retour, Miyu... qu’est-ce qui se passe ? »

Miyu qui me regardait timidement regarda autour de moi.

Elle agissait comme si elle cherchait quelque chose.

« Maître... êtes-vous seul ? »

En levant les yeux vers moi, Miyu... elle avait demandé avec timidité pendant qu’elle vérifiait mon expression.

« Oui, je suis seul »

« Hum, euh... »

Miyu gigotait inhabituellement et semblait vouloir en demander plus. Elle avait aussi l’air de vouloir demander, mais ne pouvait pas le dire à haute voix. Voyant comment agissait Miyu, j’avais dit,

« Miyu, tu seras la femme de chambre de ce manoir. »

« ... Oui ! »

Quand je lui avais dit ce qu’elle voulait le plus entendre, elle avait souri comme une fleur qui s’épanouissait.

Avant d’aller au secours de ces personnes, j’étais retourné au manoir pour prendre Hikari. À ce moment-là, j’avais dit à Miyu ce que j’allais faire.

Et à cause de cela, elle était probablement curieuse si j’allais apporter une nouvelle femme de chambre.

« Miyu. »

« Oui. »

« Je veux MofuMofu. »

« Compris. Je reviens immédiatement. »

Avait dit Miyu tout en quittant le salon. Je parlais à une marionnette Miyu et on dirait que l’originale prendrait sa place dans l’intérêt du MofuMofu.

Je m’étais assis sur le canapé et j’avais attendu Miyu.

{Ne~, Papa}

« Oui ? »

{Pourquoi n’as-tu pas amené ces gens ?}

Hikari avait posé une question naturelle.

C’est vrai, je n’avais ramené personne.

Je leur avais seulement donné de l’argent pour les frais de voyage et je m’étais retourné.

La raison pour laquelle je n’avais ramené personne... la raison pour laquelle je n’en avais pas fait mes domestiques. C’était parce que je n’avais pas besoin de quelqu’un qui voulait trahir leur maître pendant les périodes troublées.

Ils avaient l’air dans l’expectative parce que j’avais guéri la malade, mais je n’étais pas ce genre de personne.

Ahh, eh bien, c’était donc si simple.

« C’est parce qu’il n’y avait pas une bonne femme parmi eux. »

{Je vois !}

Hikari était convaincue.

C’est vrai. Il n’y avait pas de bonne femme parmi eux.

Parmi ces gens qui trahiraient leur maître, il n’y avait aucun moyen qu’il y ait une bonne femme.

{Kukuku, cela te ressemble vraiment.}

« Est-il mauvais ? »

{Nan ?}

Éléanore l’avait dit joyeusement.

{Voilà ce que tu es.}

Elle avait dit ça d’une manière qui semblait vraiment amusante.

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4 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre

  4. Merci pour le chapitre !

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