Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 4 – Chapitre 96

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Chapitre 96 : La plus mémorable

{Que vas-tu faire spécifiquement ?}

« Je vais faire ce qu’elle désire le plus. »

{Hmm, vas-tu faire qu’elle me tienne ?}

Immédiatement, j’avais effectué un léger coup avec mon doigt à Éléanore, qui disait une idiotie.

« Ne sois pas stupide, n’est-ce pas assez clair qu’elle ne fait que ça parce qu’elle pense qu’elle ne sert à rien. Pourquoi devrais-je la laisser faire ça ? »

{N’est-ce pas aussi ce qu’elle veut ?}

« De toute façon, je ne la laisserai pas faire ça. »

{Alors, que ferais-tu alors ?}

« ... »

Dans des moments comme celui-ci, je ne lui demanderai plus aucun conseil.

Je m’étais directement téléporté de la chambre de la maisonnette jusqu’à ma chambre dans le manoir.

Après être arrivé dans ma chambre, j’avais marché vers le salon.

Althea buvait le thé que lui servait Miyu.

« Bienvenue, Maître ! »

« Qu’est-il arrivé pour être de retour si soudainement ? »

Comme c’était la voix rauque d’une vieille femme, je lui avais tenu la main sans rien dire et lui avais donné ma vigueur.

Sa main ridée redevint progressivement lisse et soyeuse, et Althea redevint cette beauté incomparable.

« Je veux que tu m’apprennes quelque chose. »

« Parle-moi de ce que tu veux. »

Le ton d’Althea devint celui d’une enseignante en un instant. Au fait, Miyu avait lu l’atmosphère et était partie.

Comme je ne voulais pas tourner autour du plat, je lui avais raconté toute la situation, y compris la conversation de Fiona et Maria que j’avais entendue.

« Que devrais-je faire ? »

« Qu’en est-il de lui demander ce qu’elle veut directement, ou de le demander à la petite sœur ? »

« À ton avis, qu’est-ce qui rendrait ce souvenir mémorable, avec surprise ou sans ? »

Il n’y avait pas de problème à lui poser des questions, je n’avais aucune idée à ce sujet.

Le fait était que j’avais comme objectif de lui laisser un beau souvenir.

« Si oui, fais-lui la surprise »

« Dans ce cas, je ne peux pas le lui demander. »

Althea acquiesça silencieusement et continua avec un visage sérieux.

« Fiona est la fille de l’affiche du restaurant Purosu-Tei. Une roturière qui ne connaissait même pas ses origines il y a peu de temps. »

« C’est bien ça. »

« Si elle est ce que l’on appelle une fille ordinaire, il y en a à peu près trois choses qu’elle voudrait. »

« Quelle est la première ? »

« Un homme qui a de bonnes techniques pour la diriger. »

« C’est trop ordinaire. Je ne suis pas venu pour demander quelque chose comme ça. Quelle est la seconde ? »

« Une journée spéciale pour son anniversaire. »

« La date ne correspond pas. De plus, je ne la connaissais pas. Je veux quelque chose qui pourrait être immédiatement fait, ce soir si possible. Quelle est la dernière ? »

« Une cérémonie de mariage. »

« Une cérémonie de mariage ? »

« Donner la virginité qu’elle a protégée jusqu’à leur mariage pour l’homme qu’elles aiment, il s’agit de quelque chose que souhaitent la plupart des filles, et c’est d’autant plus vrai pour une fille ordinaire »

« Une telle chose ? »

Je le lui avais demandé, afin d’en être sûr.

« C’est l’usage. Le mariage est un outil politique pour les familles royales et les nobles, mais ce n’est qu’un rêve pour les filles ordinaires. »

« J’ai compris. Merci »

J’avais dit au revoir à Althea, et je m’étais rendu à ma prochaine destination.

« Une cérémonie de mariage ? »

Je me trouvais dans la société marchande de Delphina. Elle avait les yeux écarquillés en entendant ce que je lui disais.

« C’est la réalité. Si je veux en faire une, combien de temps cela prendra-t-il pour la préparer ? Serait-ce possible dès ce soir ? »

« La cérémonie elle-même pourrait être préparée en une demi-journée. Kakeru, vas-tu te marier ? »

« Non, je veux juste la cérémonie. »

J’avais tout raconté à Delphina à propos de Fiona, y compris les conseils donnés par Althea.

« C’était donc ça. »

« La cérémonie de mariage est-elle vraiment quelque chose qui fait rêver ? »

Pour être sûr, je l’avais aussi demandé ici.

« Je ne sais pas vraiment. »

Delphina avait beaucoup insisté sur le mot « je ».

Rien que d’entendre cela était suffisant pour moi.

« Je vais te laisser tous les préparatifs »

« Pour être sûr, est-ce que ça va ? »

« Hmm ? »

« Si tu vas te marier, je crois qu’il y a beaucoup de gens qui ne resteraient pas silencieux. »

« Je le ferai aussi avec elles si elles le souhaitent. »

J’avais tenu la Plume de Téléportation.

« Que je le fasse ou non, ma femme sera toujours ma femme. »

Laissant Delphina qui souriait silencieusement, je me téléportais une fois de plus.

« Ah ! Monsieur Kakeru, êtes-vous allé quelque part ? »

J’étais retourné dans ma chambre dans la Maisonnette Magique.

Fiona qui m’avait vu avait eu un visage soulagé et était venue devant moi.

« Je devais faire quelque chose avant ça. »

« C’était donc la raison. »

Fiona hocha la tête, on dirait que cela ne la dérangeait pas que je disparaisse.

Et elle en était la raison

{Elle me regardait si intensément. Kukuku, comme un prédateur regardant sa proie.}

Éléanore l’avait dit joyeusement.

C’est vrai, Fiona s’approcha d’Éléanore sans bouger.

Elle affichait une si grande résolution que je n’ai jamais vu chez elle auparavant.

{Cela fait des centaines d’années que je n’ai plus perçu un tel regard fébrile. En voyant cela, je commence à vouloir la laisser me prendre.}

Éléanore disait cela d’un air malicieux.

Je ne te laisserai pas faire ça d’accord.

« Fiona. »

« Oui ! »

Fiona, que j’avais appelée, leva la tête avec surprise et me regarda.

« As-tu du temps libre ce soir ? »

« Ce soir ? ... J’ai... »

« Accorde-moi cette soirée. »

« C’est d’accord, mais qu’est-ce qu’on va faire, Monsieur Kakeru. »

« Une cérémonie de mariage. »

« Hein ? »

« Faisons notre cérémonie de mariage. »

« ... hein !? »

Fiona était abasourdie.

Éléanore avait éclaté de rire à l’intérieur de ma tête.

« C’est tellement soudain, Kakeru. »

Io m’avait parlé dans la salle d’attente du marié.

Elle n’était pas dans sa tenue habituelle de magicienne, mais dans une tenue de soirée.

En tant qu’invitée d’une cérémonie de mariage, elle portait la robe préparée par Delphina.

Sa coiffure était également très bien mise et, contrairement à son habitude, elle avait un style très mature.

Au fait, je porte un smoking blanc et, bien sûr, j’avais Éléanore à ma taille.

« Est-ce vrai ? »

« C’est vrai. Ce n’est pas normal d’avoir une cérémonie de mariage aussi précipitamment. »

« Au fait, Io, rêverais-tu d’avoir ta propre cérémonie de mariage ? »

« C’est à dire, et bien... je la veux »

« Tu veux aussi avoir ta propre cérémonie ? »

« Hmm. »

Io réfléchit un moment, puis secoua la tête.

« Je pense que je vais m’en passer »

« N’étais-tu pas en train de me dire que c’était votre rêve ? »

« Eh bien, oui ! Mais avec toi, j’ai l’impression que c’est un peu différent. Tu vois, ne suis-je pas venu uniquement parce que je voulais entrer dans ton groupe d’aventuriers. Donc, si on me demande si je veux t’épouser... je pense que c’est un peu différent. »

« Je vois. »

« Ah ! Mais, je pense que je veux vivre des aventures avec toi pour toujours. »

« Pour toujours, hein »

« Oui, pour toujours ! C’est pourquoi, Kakeru, si tu vas quelque part, prends-moi toujours avec toi, s’il te plaît »

« J’ai compris. »

Quand j’avais répondu comme ça, Io hocha la tête avec un large sourire.

Io avait quitté la salle d’attente, et à la place, Maria était entrée.

Maria était aussi en robe. L’air enfantin qu’elle avait tout à l’heure avait disparu et avait laissé apparaître un air de séduction.

« Monsieur Kakeru. »

Mais, elle avait un peu le visage triste.

« Qu’est-il arrivé ? »

« Hmm... Onee-chan est... e~, troublée, non, hésitante... ce n’est pas ça non plus... »

Maria parlait de manière inarticulée.

{On dirait qu’elle est assez embrouillée.}

« Que s’est-il passé avec Fiona ? »

« Hmm... pourquoi faites-vous soudainement une cérémonie de mariage ? »

« Laisse-moi t’expliquer. »

J’avais réfléchi pendant un moment et j’avais répondu.

« Plus tôt aujourd’hui, j’ai entendu ta conversation avec Fiona »

« Quoi ? »

« Tu as parlé à Fiona de la nuit dernière, et j’ai entendu que Fiona se faufilerait dans ma chambre et toucherait Éléanore. »

« Ah... ! »

Maria avait un visage rouge, mélangé avec d’autres significations.

« C’est vrai que si elle touchait Éléanore, je la sauverais, et elle pourrait l’utiliser comme raison après que je l’aurais sauvée. »

Cela avait été aussi le cas de Delphina, mais je ne l’avais pas mentionné.

« Désolé, mais je n’accepterais pas ça. Il n’y a pas besoin de souffrir juste pour m’embrasser. »

« Mais ! »

Maria avait haussé sa voix.

Mais ce n’était que pour un instant, elle avait immédiatement baissé la voix.

« Si c’est le cas, alors si tout cela est inutile pour Onee-chan, qu’elle est la raison qui vous a poussé à faire ça pour elle. »

Et, elle avait perdu courage.

Comme si, elle se parlait pour elle-même.

{Elle a de la compassion.}

...

« Maria. »

« Quoi ? »

« Il n’y a pas besoin d’une raison. »

« Eh ? »

« Il n’y a pas besoin d’une raison pour devenir ma femme. La seule condition est : je l’aime beaucoup et c’est quelqu’un avec qui je veux être. »

« Mais, si c’est le cas, je... »

« Dois-je le répéter ? »

J’avais coupé la parole à Maria.

« La seule condition est : je l’aime beaucoup, et c’est quelqu’un avec qui je veux être. »

« Ah... ! »

Perdant ses mots, elle baissa les yeux avec un visage rouge.

On dirait qu’elle avait compris le sens de mes mots.

« Même moi ? »

« Je le pensais déjà depuis longtemps. Mais même si je le pensais, je n’ai rien fait, car tu as peur de l’épée alors je voulais attendre un moment que tu ailles mieux. »

Dis-je en plaisantant, et je donnais un léger coup avec le doigt sur Éléanore.

« Vraiment, moi aussi... ? »

Même ainsi, elle avait toujours fait un visage inquiet.

« Je fais seulement les choses que je veux faire. »

En disant ça, j’avais embrassé Maria.

« Je vais faire de vous deux des reines, et je ferais de toi ma femme. Je fais seulement les choses que je veux faire. »

J’avais répété les mêmes mots.

« Je voudrais seulement faire en sorte que mes femmes passent des moments agréables. Je l’ai fait avec toi hier. Et aujourd’hui, je vais avoir une cérémonie de mariage avec Fiona, et lui donner un souvenir qu’elle n’oubliera pas tant qu’elle vivra. »

« C’était donc comme ça. »

« Mais c’est vrai, je ne lui ai pas expliqué tout cela. Fiona ne peut pas être blâmée si elle se sent inquiète. Je vais aller l’expliquer maintenant. »

Je m’étais levé et j’étais allé vers la porte.

« Ah ! »

Maria laissa échapper sa voix. « Qu’est-ce que c’est », pensai-je, tandis que j’ouvrais la porte.

Et, Fiona était là.

La belle Fiona portant sa robe de mariée.

« Fiona ?! Quoi, je n’ai pas senti ta présence ici »

« D-Désolé ! Mademoiselle Delphina m’a donné ça... euh, elle m’a dit que c’est un outil qui efface complètement les sons et les présences. »

« Cette femme... »

{Kukuku ! Tel est pris qui croyait prendre.}

Éléanore disait cela en riant.

« D-Désolé ! Hmm... »

« C’est d’accord. »

Je posai un doigt sur les lèvres de Fiona et arrêtai ses mots.

« Si tu l’as entendu, alors dans ce cas... »

Je l’avais dit, mais j’avais encore pensé à cela.

Je ne lui avais pas donné beaucoup d’explications... Je venais de penser à régler cela.

Une fois de plus, j’avais regardé droit devant Fiona et j’avais dit.

« Je te veux. Je veux te donner un souvenir mémorable. Voudrais-tu une cérémonie de mariage avec moi ? »

« ... Oui »

Avec un visage plein de sourires... avec des larmes dans le coin de ses yeux, Fiona hocha la tête.

La cérémonie de mariage préparée en une demi-journée était excellente.

Une belle église, des invités en commençant par Nana et les autres.

Mélissa qui est la Sainte de l’Église de Solon était la pasteur.

Hikari et le Dragon Chibi avaient présenté le bouquet de fleurs.

Et plein d’autres choses.

La cérémonie était excellente.

Fiona avait presque pleuré de bonheur plusieurs fois, et je l’avais regardée assez souvent pour vérifier que c’était seulement des larmes au coin de ses yeux.

Dans le même temps avec la fin de la cérémonie, un billet de loterie de couleur dorée que je n’avais jamais vu auparavant était apparu.

Mais peu importait tout cela, j’avais emmené Fiona dans mes bras, et comme je l’avais déclaré, je lui avais donné la plus belle nuit de noces à laquelle je pouvais penser.

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8 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre! Qui p@rie combien de relance à la loterie ? Je dirais dix voir cent.

  3. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.

  4. Merci en parlent de mariage et de famille. il y a pas une certaine princesse qui attend un enfant ?

  5. Oui il y a la princesse Hélèna qui attend un enfant ou plus exactement qui veut et pense porter l’enfant de Kakeru ce qui n’est pas le cas

  6. Merci pour le chapitre

  7. amateur_d_aeroplanes

    Il aurait fallu une cérémonie géante avec toute ses concubines car il y aura des jalouses (quoi qu’avec des souveraines régnant sur des nations différentes, cela aurait été extrêmement compliqué)

  8. Merci pour le chapitre

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