Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 2 – Chapitre 48

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Chapitre 48 : La Gratitude du Sage

Nous nous trouvions à la Loterie. Il y avait Éléanore, Hikari et moi-même.

Au fait, j’avais pensé à prendre Dragon Chibi avec nous, mais elle ne pouvait pas venir. Ceux qui peuvent entrer ici étaient pour une raison inconnue, seulement Éléanore, Hikari et moi.

« Papa, je vais alors aller jouer, » Hikari qui se tenait devant la machine à loterie avait dit ça.

Pour une raison inconnue, il y avait maintenant une petite échelle qui permettait à Hikari de l’atteindre, mais je ne savais pas pourquoi elle était là.

« Attends, Hikari, » dis-je.

« Quoi ? » demanda-t-elle.

Comme elle allait jouer à la loterie, j’avais décidé de lui prêter ma chance tout comme je l’avais fait la dernière fois.

« Donne de la chance à Hikari, » dis-je.

[La chance est prêtée à Hikari Yuuki. Temps restant : ー ー secondes]

« Hein !? » m’écriai-je.

J’avais entendu une voix inattendue.

J’avais pensé à utiliser le pouvoir qui permettait de donner les compétences que j’avais acquises de la loterie limitée à Hikari, mais je ne pouvais pas.

Il semblait comme si elle avait déjà été prêtée. De plus, l’affichage du temps restant avait produit un bruit étrange et je ne pouvais pas entendre combien de temps il restait.

« Qu’est-ce que ça veut dire ? ... À Hikari, je veux prêter ma force, prêter ma vitesse, et prêter mon Pouvoir Magique. »

[La force est prêtée à Hikari Yuuki. Temps restant : ー ー secondes] [La vitesse est prêtée à Hikari Yuuki. Temps restant : ー ー secondes] [La force est prêtée à Hikari Yuuki. Temps restant : ー ー secondes] [La Puissance Magique est prêtée à Hikari Yuuki. Temps restant : ー ー secondes]

Tous les prêts avaient donné les mêmes résultats.

Je ne me souvenais pas que la première fois quand j’avais prêté ça à Hikari, que le temps restant est ainsi problématique.

« Donne de la chance à Éléanore, » dis-je.

[La chance est prêtée à l’Épée Démon Éléanore. Temps restant : 29 secondes]

Cette fois, cela avait correctement fonctionné.

La compétence de la loterie limitée fonctionnait donc correctement.

Alors si c’est ainsi... qu’est-ce que ça veut dire ? pensai-je.

« Pourquoi... ça ne marche pas avec Hikari ? » demandai-je.

« N’est-ce pas parce qu’elle est ta fille ? » répondit Éléanore

Elle était un peu consternée, mais si je regardais attentivement, elle avait des yeux heureux.

« Parce qu’elle est ma fille... ah !! » m’écriai-je.

J’avais réfléchi un instant et avais compris ce qu’Éléanore essayait de dire.

Parce qu’elle était ma fille, parce qu’elle était née de moi.

Parce qu’elle avait déjà reçu mes gènes, je ne pouvais pas l’utiliser deux fois sur elle.

C’était ce qu’Éléanore disait.

Je ne savais pas si c’était vrai, mais j’étais convaincu.

« Papa... que se passe-t-il ? » demanda Hikari.

« Hein !? » dis-je.

« Y a-t-il quelque chose qui ne va pas chez Hikari ? » demanda Hikari d’une manière très timide.

Ses yeux qui me regardaient depuis en bas étaient proches des pleurs.

On dirait que je l’avais rendue anxieuse.

Bien sûr, il n’y avait rien de mal avec Hikari, c’était plutôt le contraire.

Si la raison qu’Éléanore avait dite était vraie, je préférerais être heureux, et j’adorerais Hikari de plus en plus.

J’avais alors plié les genoux et avant de tapoter sur la tête de Hikari.

« Il n’y a rien de mal avec Hikari, » dis-je.

« Vraiment ? » demanda-t-elle.

« Tout à fait, » dis-je. « Je viens juste de trouver une preuve que Hikari est bien ma fille, alors Papa vient de se réjouir de ça. »

« Hikari est la fille de Papa, tu sais ? » demanda-t-elle alors que son visage semblait demander. « Mais qu’est-ce qu’il est en train de dire là ? »

« Tout à fait. Hikari est la fille de Papa ! » répétai-je.

Je lui avais tapoté la tête de plus en plus.

Hikari arrêta de faire un visage triste et avait souri avec joie.

Et quand je lui tapotais de plus en plus... j’avais vu qu’Éléanore boudait

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demandai-je.

« À propos de quoi ? » répondit Éléanore.

« Non ! Mais pour que tu fasses ce visage, que s’est-il passé ? » Demandai-je.

« Ce n’est rien, » dit-elle alors que son visage redevenait normal.

Non, c’était clairement visible sur son visage qu’il y avait quelque chose.

Puis, tout comme je l’avais fait avec Hikari, j’avais tapoté la tête d’Éléanore.

Sa taille et son apparence étaient presque les mêmes avec Hikari, donc elle était facile à caresser.

« He ! Ne me traite pas comme une enfant ! » s’écria Éléanore.

« Tu ne voulais pas que je te tapote la tête ? » demandai-je.

« Aucune chance ! Il n’y a aucune chance que je sois heureuse d’être tapotée devant ma fille par son père ! » répliqua-t-elle.

« Alors, Hikari, tapote la tête de ta mère, » dis-je.

« D’accord ! Maman ! ... *TapTap* » répondit Hikari.

« Mais !! » S’écria Éléanore.

Le corps d’Éléanore tremblait, faisant comme si elle se plaignait, mais puisque c’était Hikari qui lui tapotait la tête, elle ne pouvait pas lui crier dessus comme elle l’avait fait avec moi.

Ne pouvant rien faire, elle laissa Hikari lui caresser la tête.

Elle faisait un visage complexe, mais en vérité, elle était heureuse.

Après tout, il était facile à comprendre ses sentiments.

« Hum... Je l’ai déjà dit auparavant, » la femme du personnel de la loterie qui était là tout le temps, avait déclaré ça en nous regardant avec de grands yeux ouverts. « Pouvez-vous arrêter avec votre étrange comédie familiale ? »

« N’était-ce pas comme le cercle familial heureux de la dernière fois ? » demandai-je.

« Vous savez, la dernière fois, c’était déjà à peu près un acte de comédie familiale, » répondit-elle.

Il était étrangement difficile de le nier.

Parce que le regard du personnel était trop mauvais, nous avions dès maintenant décidé de jouer à loterie.

Je ne pouvais pas lui prêter ma chance, mais malgré tout, j’avais laissé jouer Hikari.

Le résultat fut que nous avions gagné un « bloc d’extension » dans la loterie gratuite, et beaucoup de balles magiques dans la loterie qui utilisait des billets.

☆☆☆

J’avais posé la Maisonnette Magique dans la cour du manoir, et j’étais entré à l’intérieur de la pièce avec Hikari.

C’était vraiment large à l’intérieur, mais il n’y avait vraiment rien dedans.

« Hikari, où veux-tu faire une chambre ? » demandai-je.

« Hum... ici, » répondit-elle.

Elle avait pointé du doigt un mur. J’avais pris l’objet que nous avions gagné à la loterie et je l’avais utilisé.

Le simple mur qui était là avait brillé, et une porte avait été créée.

J’avais alors ouvert la porte, et à l’intérieur, il y avait une petite pièce. Et après tout, c’était encore une pièce où rien n’était présent à l’intérieur.

« Att, une nouvelle pièce, » dit-elle.

« Hikari, allons dehors pour voir un truc. Je vais la rendre petite et la rendre grosse, » dis-je.

« D’accord ! » répondit-elle.

J’étais donc sorti avec Hikari.

J’avais rendu petite la Maisonnette Magique, et j’avais soudain eu une idée.

« Hikari, nous allons nous déplacer, » dis-je

« Où ça ? » demanda-t-elle.

« Attends une petite minute, » dis-je.

J’avais ramassé la Maisonnette Magique qui était devenue petite, et je m’étais téléporté avec Hikari.

Nous étions arrivés dans la prairie où habitaient les vaches des montagnes.

J’avais agrandi la Maisonnette Magique, et j’étais allé à l’intérieur avec Hikari.

L’extérieur de la Maisonnette Magique n’avait pas changé, mais la pièce qui avait été placée plus tôt était toujours là.

« Et bien, malgré que ce qu’on avait mis dedans avait disparu avant ça, la pièce est quant à elle restée, » dis-je.

« Oui, elle est restée, » dit-elle.

{C’est un objet bien intéressant.} Éléanore qui pendait à ma taille avait dit ça.

J’étais entré dans la pièce, j’avais ouvert la fenêtre et j’avais regardé dehors.

C’était des prairies qui se trouvaient à l’extérieur. Une prairie paisible où les vaches des montagnes n’étaient toujours pas apparues.

« Hikari, sortons une fois de plus, » dis-je.

« D’accord ! » dit-elle.

Elle avait probablement déjà compris, Hikari hocha la tête avec empressement et sortit avec moi.

J’avais rendu petite la Maisonnette Magique, avant de me téléporter vers les montagnes. Là-bas, je l’avais rendue une fois de plus grande et nous étions entré dans la maison après ça.

J’avais ouvert la fenêtre, j’avais alors vu le dos d’Orycuto qui s’enfuyait.

« Fantastique !!!! La maison se déplace ! » cria Hikari, toute excitée par cela.

Une fois de plus, nous avions rendu petite la Maisonnette avant de nous téléporter au manoir avant de refaire les mêmes actions.

Et comme c’était prévu, le fait de voir le manoir depuis la fenêtre de la Maisonnette Magique avait rendu Hikari vraiment excitée.

Pendant ce temps, je m’étais détendu en regardant Hikari jouer.

« Kakeru, » on m’avait appelé depuis l’extérieur.

Il s’agissait d’Althea qui portait son capuchon.

Alors que je pensais à ça, quand Althea n’avait pas rajeuni, elle portait toujours un capuchon. Alors je n’avais jamais vu son visage normal.

Tout en pensant à ça, j’étais sorti de la Maisonnette Magique.

« Que se passe-t-il ? » demandai-je.

« J’ai pris un baron pour Kakeru, »

« Baron ? Une pomme de terre, hein, » dis-je.

« C’est un rang de noblesse, » dit-elle.

« Hein !? » dis-je.

« Baron. Le Royaume de Mercury viendrait bientôt de ce côté, alors je l’ai pris du Royaume de Siracuza, » dit-elle.

« ... est-ce que c’est si léger comme collation dans l’après-midi ? Un Rang de Noblesse ? » dis-je.

{S’il s’agit de cette femme, alors elle peut le faire. Si elle le fait sérieusement.}

Sérieusement, hein ? pensai-je. Pourquoi fait-elle ça si sérieusement ?

Alors que je pensais à ça, elle avait répondu par elle-même. « Vous êtes quelqu’un qui a une vigueur qui correspond à celle de mille hommes, il s’agit donc de ma gratitude d’avoir pu recevoir ça. »

Comme prévu du Grand Sage, elle connaissait déjà mes questions.

Et j’étais convaincu de ça.

« D’accord, je vais l’accepter, » dis-je.

Et ainsi, j’étais devenu un Baron ou quelque chose comme ça.

***

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14 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. j’ai pas trop compris la fin avec althea =/

  3. Djibril Kourouma

    Merci pour le chapitre.
    P.S :
    « J’avais ouvert la fenêtre, j’avais alors vu le dos d’Orycuto qui s’enfuyait. »
    – Traumatisé à vie. Il n’a même plus besoin de le voir pour comprendre.
    « Vous êtes quelqu’un qui a une vigueur qui correspond à celle de mille hommes… »
    Donc 1000/777 = mouais…

  4. Il pense que Althea rit de lui avec son Baron. Lui, il prend le mot différemment en se disant qu’elle veut lui donner des pommes de terres. Mais avec la traduction française, c’est sûr que cela passe moins bien (idem en anglais du coup, c’est du jeux de mot japonais dans le cas présent) et je n’ai pas vraiment réussi à la tourner d’une manière qui soit assez bonne.

  5. Djibril Kourouma

    En gros elle a obtenu le titre de baron pour Kakeru dans un autre royaume que celui où il vit actuellement. Si j’ai bien compris.

  6. Oui, car pour lui, c’est pas vraiment nécessaire d’en avoir un dans le royaume où il est actuellement en raison de sa situation.

  7. Ok merci pour les réponses, en plus c’est plus crédible s’il se mari avec la princesse XD

    @ Dkouro : de base il a une vigueur de environ 30% en plus par rapport à la moyenne donc c’est pas si abusé.

  8. Merci pour le chapitre

  9. Merci pour le chapitre.

  10. Merci pour le chapitre

  11. comment devenir noble grace au se.. pardon vigueur^^

  12. @ Otakanura
    Vu qu’il vit presque principalement pour ça j’aurai misée plus que 130%.

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