Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 2 – Chapitre 35

Bannière de Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken ***

Chapitre 35 : Le portrait de Kakeru

Dans l’après-midi, dans le jardin de mon manoir.

J’avais fait aligner l’homme-bête, Miyu, et la fantôme, Tania, afin de tester ma capacité.

« Premièrement, donnons de la chance à Miyu. » (Kakeru)

[Prêt de la capacité augmentée en Chance à Miyu Miyumi, le temps restant est de 29 secondes]

« Ensuite, je vais prêter ma chance à Tania. » (Kakeru)

[Prêt de la capacité augmentée en Chance à Miyu Miyumi, le temps restant est de 23 secondes]

Un événement tel une erreur semblait être apparu. Ceci signifiait probablement que je ne pouvais pas prêter la même chose à une autre personne et cela en même temps.

J’avais également essayé de prêter de la chance à Éléanore, mais ceci n’avait pas marché.

« Après ça, de la puissance en magie de glace à Tania. Et après ça, la puissance en magie de feu. » (Kakeru)

[Prêt de la Puissance Augmentée en Magie de Glace à Tania Chichiakis, le temps restant est de 23 secondes] [Prêt de la Puissance Augmentée en Magie de Feu à Tania Chichiakis, le temps restant est de 23 secondes]

Cette fois, c’était efficace. Cela signifiait que je pouvais prêter plusieurs capacités à la même personne.

Après avoir fait ça, les 30 secondes de Miyu avaient pris fin.

« Ensuite, une fois de plus, je vais donner de la chance à Miyu pour les 30 prochaines secondes. » (Kakeru)

[Prêt de la capacité augmentée en Chance à Miyu Miyumi, le temps restant est de 29 secondes]

J’ai pu le faire. Donc cela veut dire qu’il n’y a pas de délai entre deux utilisations.

Et alors, les 30 secondes de Tania avaient pris fin.

« Attendez ici un petit moment. » (Kakeru)

Je m’étais alors déplacé plus loin vers les plaines où se trouvaient les vaches des montagnes à l’aide de ma Plume de Téléportation.

« Bon, je vais maintenant prêter de la puissance en magie de glace à Tania » (Kakeru)

Je tentais de le faire, mais rien ne se produisit.

En utilisant ma téléportation, j’étais alors retourné auprès d’elles et j’avais alors emmené Tania jusqu’à la prairie aux vaches.

« Bon, je vais maintenant prêter de la puissance en magie de glace et de feu à Tania » (Kakeru)

[Prêt de la Puissance Augmentée en Magie de Glace à Tania Chichiakis, le temps restant est de 23 secondes] [Prêt de la Puissance Augmentée en Magie de Feu à Tania Chichiakis, le temps restant est de 23 secondes]

Cette fois-ci, je pouvais correctement lui prêter mes capacités.

Probablement que je ne pouvais prêter que quand la cible était proche.

Pour résumé, je pouvais prêter mes capacités aussi longtemps que la cible était à proximité, et cela sans avoir de délais entre deux utilisations. Mais lorsque je devais me séparer d’elles, je devais alors utiliser mon pouvoir ayant une plus longue durée.

Après avoir pensé à ça. « C’est vraiment génial que j’aie pu avoir le premier prix. »

{Tu devrais me remercier.}

« Oui, je te remercie pour ça. » (Kakeru)

Quoi qu’il en soit, avec ces essais, j’avais pu mieux comprendre ma capacité que j’avais pu acquérir avec cette loterie spéciale.

Les hypothèses que j’avais faites avaient toutes été bonnes et je pouvais donc facilement l’utiliser. J’étais donc très content.

J’étais donc retourné avec Tania jusqu’à l’extérieur du manoir en ayant pris Miyu en passant, et j’avais remercié les deux filles pour avoir coopéré avec moi.

« Bon travail ! » (Kakeru)

« C’est fini ? Alors j’aimerais rester dans le manoir. » (Tania)

« Dans le manoir ? Mais pourquoi ? » (Kakeru)

« Car après tout, c’est plus confortable. » Avait déclaré Tania avant de rentrer dans le manoir.

C’était probablement en raison du temps passé en tant que fantôme hantant les lieux qu’elle se sentait si à l’aise dans le manoir.

Et ainsi, Miyu, Éléanore et moi avions été laissés dehors.

Et c’est alors que je m’étais assis sur le sol avant d’appeler Miyu et de lui demander de venir plus près de moi. « Vient ici Miyu. »

« Uhm... allons-nous faire des choses perverses ? » Demanda Miyu, sur la défensive.

« Nullement, c’est pour *MofuMofu* » (Kakeru)

C’était aussi très bien, mais je voulais * MofuMofu * dès qu’on était tous les deux.

Et si c’était seulement avec Miyu, même si j’aimais lui faire l’amour, je pensais que je risquerais de trop le faire et le risque était que Miyu ne durerait pas.

« D’accord. » (Miyu)

Miyu s’était alors assise sur mes genoux avec un large sourire, et j’avais * MofuMofu *.

Ses douces oreilles et sa queue, * MofuMofu *.

C’était relaxant. * MofuMofu *.

Hier avait été une journée très difficile avec la loterie spéciale et la rébellion, alors j’avais pensé passer une journée tranquille aujourd’hui.

« Maître, le *MofuMofu* est tellement gentil, alors j’aime vraiment être *MofuMofu* par le Maître. » (Miyu)

« Je suis d’accord. Moi aussi j’aime te *MofuMofu*. » (Kakeru)

« J’aime moins quand le Maître fait des choses perverses. » (Miyu)

« Je suis désolé pour ça. As-tu peur ? » (Kakeru)

« Non, je n’ai pas peur, mais... j’ai l’impression que je pourrais en mourir, alors j’aime moins. » (Miyu)

Je vois. Désormais, j’essayerais de faire de mon mieux pour être plus gentil avec elle.

... essayer, c’était le mieux que je puisse faire.

Après le *MofuMofu * avec Miyu et après que cela devienne un *RonRon*, j’avais entendu des pas.

J’avais alors regardé dans la direction du son, et je vis la Princesse Iris.

La princesse Iris était venue d’elle-même ici, me regarda avec un visage surpris.

Je me demandais bien pourquoi.

« Cela faisait longtemps. » (Kakeru)

Après que je lui ai parlé, la Princesse Iris entra et vint jusqu’à moi.

« Je suis surprise. » (Iris)

« De quoi ? » (Kakeru)

« C’est bien trop différent de l’aspect indiqué par les rumeurs que j’ai récemment entendues. » (Iris)

« Rumeurs ? » (Kakeru)

« Elles parlent d’un diable. L’incarnation du mal. Le serviteur de l’épée du démon. Voilà le genre de chose dont elle parle... oui, des choses comme ça. » (Iris)

« J’ai quelques idées sur la question. Mais j’ai quelques objections vis-à-vis de ça. » (Kakeru)

« C’est ce qui a été dit... mais de penser que vous passeriez un moment si paisible comme maintenant. » (Iris)

C’était correct, car j’étais en train de * MofuMofu *

Si elle m’avait rencontré hier, je pense que son impression vis-à-vis de moi aurait probablement été très différente.

« Honnêtement, j’étais inquiète pour ma grande sœur. Je me demandais si ma sœur était heureuse avec un homme tel que décrit dans les rumeurs. » (Iris)

« Hélèna est ma femme. Je prends toujours très bien soin de ma femme. » (Kakeru)

« Je comprends. » (Iris)

Après avoir jeté un coup d’œil à Miyu qui dormit après le * MofuMofu *, la princesse Iris hocha la tête.

« Et quelle est la raison de votre venue ici ? » (Kakeru)

Il était peu probable qu’elle soit venue ici sans raison.

« Je suis venu pour vous montrer ça. » (Iris)

Je pris l’objet que Iris avait sorti de l’une de ses poches. Il s’agissait de cinq morceaux de papier rectangulaire. Chacun d’eux avait le même dessin.

« Il s’agit... ha, mais c’est le nouvel argent. » (Kakeru)

« Tout à fait. Il s’agit de l’argent dont vous m’avez donné l’idée. » (Iris)

Je l’avais regardée fixement.

Cet argent papier était très proche du Yen japonais, avec à l’arrière quelques choses qui ressemblaient au palais, et à l’avant, des chiffres et un texte empli d’une grande dignité.

« C’est... » (Kakeru)

« Père... c’est le Roi de Mercury. » (Iris)

« Je vois... en le regardant ainsi, il semblerait que les couleurs aient été copiées, mais il n’y a pas l’impression de quelques choses en trois dimensions. » (Kakeru)

Vis-à-vis de toutes les techniques empêchant la contrefaçon, je n’en voyais aucune présente là.

« Cela signifie qu’ils sont désormais imprimés en grandes quantités. » (Kakeru)

« Une impression reste une impression, mais elle a été correctement conçue. Et cela a été possible, car vous nous l’avez enseigné. » (Iris)

« Hein !? Ha, la maison royale. » (Kakeru)

Je me rappelais alors de ça. Je demandai alors à Miyu. « Miyu, peux-tu lancer la magie spécifique sur les biens de la maison royale ? »

« D’accord. Je le fais. » (Miyu)

Miyu lança le sort comme je le lui demandais. Après ça, sur le billet de papier, un symbole de la famille royale put être vu.

« Je vois, cela fonctionne donc ainsi. Mais cela n’est correct que si seuls les membres de la famille royale peuvent le faire. » (Kakeru)

« En ce moment, ils sont en cours de production. Mais comme cela prend du temps d’en avoir assez pour tout le pays, leur apparition ne sera que plus tard. » (Iris)

« Je comprends. » Dis-je en rendant les billets à la princesse.

En sachant que les conseils que je lui avais donnés avaient été utilisés et étaient efficaces, cela me rendit heureux.

« Et maintenant une chose en plus. C’est ceci. » (Iris)

Cette fois-ci, elle sortit une pièce de monnaie. Après l’avoir regardée, elle me donna l’impression qu’elle était très proche des pièces de cuivre.

« Et c’est ? » (Kakeru)

« Ils sortiront en même temps que les billets. Ils remplaceront les anciennes pièces de cuivre. Nous allons récupérer les vieilles, les refondre, changer le ratio des métaux et les ressortir. Ainsi, il sera impossible de faire de gros profit avec le cuivre... Non, en y réfléchissant, ils ne pourront même pas faire le moindre profit avec ce nouveau ratio. » (Iris)

« Je vois. Vous l’avez quand même fait, mais n’aviez vous pas parlé que cela pourrait affecter le prestige du royaume, ou quelque chose comme ça. » (Kakeru)

« Je pense que les billets en papier sont largement assez pour ça. » (Iris)

« Et bien, je le pense aussi. » (Kakeru)

J’en étais convaincu. Puis, pour une raison inconnue, je tournai la pièce de monnaie, voyant ainsi l’autre face. Je fus surpris de découvrir mon visage dessus.

« Voici la vraie raison de ma venue aujourd’hui. J’aimerais vous demander de nous laisser utiliser votre visage. » (Iris)

« Pourquoi mon visage ? » (Kakeru)

« Aussi bien pour les pièces que pour les billets, tout cela n’est possible que grâce à vous. Vous ne semblez pas l’avoir remarqué, mais je... non, nous avions déjà un concept qui existait, mais qui ne marchait pas, et nous avions essayé en vain de faire quelque chose de mieux. Après vos idées, j’ai demandé à beaucoup de monde et tout le monde m’a répondu que le commerce sera ainsi facilité. Les nobles ne pensent qu’à des choses comme les traditions, et l’étiquette... Alors en tant que récompense pour le fait que vous nous avez aidés... » (Iris)

« ... » (Kakeru)

« Mais... est-ce que cela vous dérange ? » (Iris)

« Non, pas du tout. C’est juste que je suis un peu surpris. » (Kakeru)

J’étais vraiment très surpris. Car après tout, les personnes qui avaient la possibilité d’avoir leur visage sur l’argent étaient toutes de grand nom dans l’histoire du pays.

Shotoku Taishi, Fukuzawa Yukichi, Noguchi Hideyo, Natsume Soseki... Voilà le nom de personne qui figurait parmi celles-ci.

Et si on en prenait de plus vieux, alors Yamato Takeru no Mikoto serait possible, mais lui était de classe divine.

Est-ce que cela signifiait la même chose ?

Mais d’une certaine façon, cela me rendait très heureux. Mais avec ce qui se passait en ce moment en moi, je n’arrivais pas encore à savoir jusqu’à où allait ce bonheur.

« Donc est-ce correct que nous utilisions votre visage ? » (Iris)

« Oui, vous pouvez l’utiliser. » (Kakeru)

Après tout, je n’avais aucune raison de refuser.

Après qu’Iris soit partie, je vis que Miyu me regardait avec un visage très admiratif.

Jusqu’à maintenant, on m’avait souvent décrit comme « Incroyable », ou on m’avait regardé avec des yeux admiratifs, mais, franchement cette fois-ci, c’était quelque chose sur laquelle j’étais moi aussi entièrement convaincu.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

5 commentaires :

  1. Merci pour les chapitres

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour les chapitres

Laisser un commentaire