Chapitre 32 : La Chute de la Princesse Nana
À cause du fait que nous nous étions téléportés soudainement dans ma chambre, Nana était extrêmement choquée.
« Où sommes-nous ? » (Nana)
« Nous sommes dans mon Manoir. Il est localisé dans la ville de Roizen. » (Kakeru)
« Roizen, vous dites ? Arrêtez de me débiter des imbécillités ! Il n’y a aucune chance que nous ayons pu voyager jusqu’à la ville de Roizen en un clignement d’œil ! » (Nana)
« Il y a beaucoup de choses que je dois vous dire. Cependant, maintenant que nous nous trouvons dans un endroit plus lumineux, je vois que vous êtes beaucoup plus belle que prévu. Bien qu’il soit tout à fait différent du type de beauté qu’Hélèna possède. » (Kakeru)
« Vous dites Hélèna ? » Nana leva l’un de ses sourcils. « Vous n’êtes qu’un bâtard ! Appelez-vous votre maître sans utiliser d’honorifique ? »
« Je vois. Voilà donc comment vous voyez la situation ! » (Kakeru)
« Que voulez-vous dire par là ? » (Nana)
« Hélèna n’est nullement mon maître. Pour être exacte, c’est tout à fait l’inverse. Je suis le maître d’Hélèna. » (Kakeru)
« Son maître ? » (Nana)
« Ou plutôt, vous pourriez voir cela comme étant le maître d’un harem dont elle fait partie. » (Kakeru)
« Quoi... ? » Le visage de Nana devint complètement rouge comme une betterave. On dirait qu’elle réagissait au mot harem. Par hasard, n’est-ce pas le genre de personne qui n’a aucune résistance face à ce genre de chose ?
Ce qui fit me rappeler d’une chose. Lorsque nous avions parlé un peu plus tôt, j’avais remarqué que sa façon de parler était très rigide. Si je devais la décrire, alors elle serait très proche de la manière de parler de la Princesse Iris, mais Nana était encore plus raffinée qu’Iris.
Elle se faisait appeler la princesse de la tribu sauvage. Mais si je devais choisir un surnom, alors elle serait plus, tel un shogun ou quelque chose comme un général d’armée. C’était ainsi que je la voyais.
Le corps de Nana tremblait alors qu’elle éclata de rage.
« Ne me sortez pas des âneries pareilles ! Pour que Hélèna s’incline devant un homme tel que vous... ! » (Nana)
« Bien ! Vous comprendrez plus tard. Au moment où Hélèna viendra, vous verrez... » (Kakeru)
Nana fut totalement déconcertée par la façon dont je lui parlais.
« Cette Hélèna est... » (Nana)
« À la place de discuter de ça, j’ai une affaire bien plus importante à discuter avec vous. » (Kakeru)
« Hein !? » (Nana)
« Il s’agit de la raison du pourquoi je vous ai capturée. » (Kakeru)
« Alors, permettez-moi de vous dire cela. Même si vous m’avez faite prisonnière, mon armée ne verra jamais son moral brisé. Et ce sera encore plus le cas si vous me tuez. Ma mort ne fera que renforcer encore plus leur moral. » (Nana)
« Ah, ce n’est pas pour ça. Ce n’est nullement la raison pour laquelle je vous ai capturée, alors vous pouvez vous mettre à l’aise. » (Kakeru)
« Ce n’est pas pour cette raison ? » (Nana)
« Tout à fait. La raison pour laquelle je vais ais capturé est... car je vous veux dans mon harem ! » (Kakeru)
« Quoi... ? » (Nana)
Nana était sans voix alors que tout son corps tremblait.
« Qu’en pensez-vous ? » (Kakeru)
« Je refuse ! » (Nana)
« Peu importe les conséquences ? » (Kakeru)
« Oui. » (Nana)
« ... Que puis-je faire afin que vous acceptiez d’être dans mon harem ? » Je la regardai avec tendresse alors que je lui posais la question.
Nana fut surprise par mon attitude, mais elle me répondit avec un ton provocateur. « Si vous gagnez contre moi, alors je changerais d’avis. »
« N’ai-je pas gagné face à vous un peu plus tôt ? » (Kakeru)
« Ce n’était que parce que j’avais baissé la garde. » (Nana)
« Vous étiez donc non préparée. Et bien, c’est correct pour moi dans ce cas. » (Kakeru)
Je pris l’épée de Nana avant de la lui remettre par la poignée. Encore une fois, il semblerait que mes actions la surprennent beaucoup.
« Êtes-vous sains d’esprit ? » (Nana)
« Oui. » (Kakeru)
« Vous allez regretter cela. » Nana accepta l’épée avant de se mettre en garde.
Je pouvais ressentir la pression qui se dégageait de son corps. Une pression bien plus forte que la dernière fois.
« Avant ça, vous m’avez humiliée en me battant, mais maintenant... je ne perdrais pas. » (Nana)
« Et si vous perdez une fois de plus, que ferez-vous ? » (Kakeru)
« Alors dans ce cas, je ferais tout ce que vous me dites de faire. » (Nana)
« Dans ce cas, si vous perdez, vous vous joindrez à mon harem sans causer de problème. » (Kakeru)
« Je suis d’accord avec ça. Avant, nous étions entourés par mes soldats alors je ne pouvais pas utiliser toute ma force, mais maintenant, nous sommes seulement l’un en face de l’autre, sans personne d’autre, donc... » (Nana)
Nana avait alors commencé à m’attaquer. Attaque après attaque, je continuais à les parer en utilisant Éléanore. L’onde de choc qui s’était produite en raison du choc des deux épées ébranla même le lit. Je pouvais à coup sûr voir qu’elle était bien plus forte qu’elle l’était avant.
Aussi bien sa vitesse que la force de ses attaques avaient augmenté d’au moins un cran. On ne pouvait pas y faire grand-chose si cela lui donnait assez de confiance pour lui faire penser qu’elle allait gagner.
« Que se passe-t-il dans la chambre ? » (Miyu)
Depuis l’extérieur de la chambre, la voix de Miyu put être entendue.
« Est-ce toi, Miyu ? C’est juste moi. » (Kakeru)
« Maître ? Maître, vous êtes revenu à la maison ? » (Miyu)
« Oui, je suis bien là. Miyu, tu peux retourner travailler. » (Kakeru)
« D’accord, j’ai compris. » (Miyu)
Au départ, elle semblait assez agitée, mais après avoir appris que j’étais à l’intérieur de la chambre, elle s’était rapidement calmée. Puis, elle était partie ailleurs.
« Ne vous laissez pas distraire ! » (Nana)
« Oups ! Cette fois-ci, ce n’est pas passé loin ! » (Kakeru)
« Kuhh! » (Nana)
En devenant un peu plus sérieux, j’avais exercé un peu plus de force en faisant pivoter Éléanore et je fis avancer ma lame le long de l’épée longue de Nana avant de la lui arracher des mains. C’était différent d’avant, mais j’avais une nouvelle fois réussi à rendre Nana impuissante. Elle regarda sa main, puis son regard se tourna sur l’épée qui était tombée sur le sol.
Elle avait la bouche largement ouverte, et son visage affichait clairement son étonnement.
« Même si j’ai utilisé la totalité de ma force... Ne me dis pas que... » C’était le genre d’expression que Nana avait sur le visage.
« Comment êtes-ce ? » (Kakeru)
« Kuu.. Tuez-moi ! » (Nana)
« Comme je l’ai dit avant, je ne vous tuerais pas. » Dis-je en remettant Éléanore dans son fourreau.
« De toute façon, j’ai gagné. » (Kakeru)
Après lui avoir indiqué qu’elle devait tenir compte de ses paroles, Nana regarda de l’autre côté et me répondit presque comme si elle crachait.
« Faites comme vous voulez. » (Nana)
« ... Est-ce vraiment d’accord ? » (Kakeru)
« Une défaite est une défaite ! Ne me faites pas me répéter. » (Nana)
« Vous dites parfois des choses intéressantes. » (Kakeru)
« Permettez-moi de vous dire cela. Vous pouvez faire ce que vous voulez faire avec mon corps. Mais ne pensez pas que vous pourrez faire quelques choses afin de me faire changer mon cœur. » Nana cria cette phrase.
Comment dois-je dire ça... ? N’est-ce pas un certain type d’attitude qu’elle prenait là ?
Eh bien, puisqu’elle avait accepté tout-venant de moi, alors je ferai tout comme ce qu’elle voulait que je fasse.
Je pris l’épaule de Nana qui était maintenant sans résistance et la poussa vers le lit.
***
Après avoir été forcée par ma libido à le faire presque sans fin, Nana était couchée sur le lit, elle était complètement épuisée.
« Allez-vous bien ? » (Kakeru)
Même si je pensais qu’elle allait bien, je lui posai la question. Lorsque Delphina avait été ma seule partenaire, elle n’avait pas eu de problème et là, cela devrait être aussi le cas pour Nana. Mais comme j’étais assez curieux, je lui avais quand même demandé.
Peu de temps après, la lumière revint dans les yeux de Nana.
Tout en étant étendue sur le lit, elle me regardait avec un regard obstiné.
« Avec seulement ça c'est trois fois rien... vous vous attendez à ce que je me soumette entièrement à vous !? » (Nana)
« Ha, vous semblez bien aller. Merci mon dieu. » (Kakeru)
« Avec seulement ce petit truc... peu importe combien de fois vous me le faites, je ne céderai jamais. » (Nana)
« Ha... cependant, je suis loin d’avoir atteint ma limite... » (Kakeru)
« ... Quoi ??? » Nana sembla choquée.
*Toc* *Toc* *Toc*
Le son de la porte qui venait d’être frappé put être entendu.
« Est-ce toi, Miyu ? » (Kakeru)
« Oui. Maître, est-ce que c’est correct pour moi d’entrer maintenant ? Serai-je attaquée ? » (Miyu)
Eh bien, elle devait avoir entendu le bruit de ma lutte entre Nana et moi.
« Oui, c’est correct maintenant. » (Kakeru)
« D’accord, alors excusez-moi. » (Miyu)
Miyu entra avec un plateau dans ses mains, et sur le plateau il y avait deux verres remplis d’eau.
« Je vous ai apporté un peu d’eau. » (Miyu)
« Merci pour l’attention. » (Kakeru)
« Je pense qu’il était temps que le Maître ait son deuxième round, alors je me suis dit qu’il serait mieux que vous ayez un peu d’eau avant ça. » (Miyu)
« Comme prévu d’une Miyu si expérimentée, tu sais à coup sûr comment bien faire les choses. » (Kakeru)
« Deuxième... round ? » (Nana)
Nana était presque choquée à mort par cette phrase.
« Oui, bien sûr. Un deuxième round. » (Kakeru)
« Attendez. Alors vous dites que nous allons le faire encore beaucoup de fois ? » (Nana)
« Bien sûr. » (Kakeru)
« ... Vous me faites une blague !? » (Nana)
« Et bien Maître. Je reviendrais vous ramener de l’eau avant les troisième et quatrième rounds. À plus tard. » (Miyu)
« D’accord. Je te laisse te charger de ça ! » (Kakeru)
« Vous parlez d’un troisième et même d’un quatrième round ? » (Nana)
Miyu sortit rapidement de la chambre.
Au moment où je la voyais ainsi courir vers la sortie, j’avais l’impression qu’il y avait encore un effet persistant depuis le moment où je l’ai poussée sur le lit l’autre jour. Après ça, je voulais faire des *mofu* *mofu* avec elle. Mais maintenant...
Je me détournai pour faire face à Nana.
« Devrions-nous continuer... ? » (Kakeru)
« Attendez. Combien de fois avez-vous prévu de le faire avec moi ? » (Nana)
« Hmm !? » (Kakeru)
Je me mis à réfléchir avant de dire. « Comparativement à un homme normal, environ 700 fois plus. »
« Quoi... !? » (Nana)
Je lui avais répondu comme s’il s’agissait d’une évidence. Nana en avait perdu la parole. Bien sûr, elle essaya de ramper hors du lit, mais je ne lui donnerai aucune chance de le faire. Après l’avoir attrapée, je lui déclarai.
« Je suis fin prêt pour le faire ! » (Kakeru)
« Mai... Pensez bien à une chose. Quoi que vous me fassiez, je ne céderai jamais. » Nana déclara cela avec force. Mais plus elle le disait, et plus je l’aimais.
Je fis l’amour avec Nana autant de fois que je l’avais souhaité. Du devant, de l’arrière, d’en haut, depuis le bas. Chaque partie de son corps devint à moi. Cependant, Nana n’avait jamais cessé de résister. Même si son corps était complètement épuisé, elle résistait avec des « Je ne perdrais jamais. » et des « Je ne vous céderai jamais mon cœur. »
En fin de compte, nous nous étions arrêtés après l’aube. Après la fin du huitième round, Miyu avait vraiment sommeil quand elle vint m’apporter de l’eau.
En parlant du nombre de fois que nous l’avions fait, alors j’avais dépassé les cent fois avant que l’aube n’arrive.
Mais dans tous les cas, Nana était devenue ma femme.
Merci pour le chapitre
Mefci pour le chapitre.
P.S : belle nuit de noce, pas vrai les gars . (Lol)
Merci pour le chapitre.
merci
Merci pour le chapitre.
PS:Haha, on dirai qu’il en à au moins trouvé une de résistante.^^