Kimi kara Uketsugu Brave Chronicle – Chapitre 1 – Partie 5

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Yukihime Yukigane : La fille la plus forte du monde

Partie 5

J’attendais Towa à l’avant de la porte de l’école. Après un petit moment, elle vint en trottant vers moi.

« Désolée, est-ce que je t’ai fait attendre longtemps ? » demanda-t-elle.

« Non, je viens tout juste d’arriver, » répondis-je.

« C’est vrai que je t’ai vu arriver, » déclara-t-elle.

Je venais vraiment d’arriver. Mais j’avais juste envie de dire quelque chose comme dans les rendez-vous.

Nous avions commencé à marcher côte à côte.

« Alors, qu’est-ce que tu veux garder secret d’Yukihime ? » demandai-je.

« Eh bien ! Noël arrive bientôt, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle.

Oh... c’est vrai. Nous étions le 19 décembre et Noël était donc à portée de mains.

« Towa, ne t’inquiète pas. Comme tu as été une gentille fille pendant toute l’année, tu auras donc des cadeaux, » déclarai-je.

« Grand frère, chaque année, tu mets toujours des choses bizarres sous mon oreiller, » déclara Towa.

« Des choses bizarres ? » Comment ose-t-elle appeler « bizarre » les cadeaux du père Noël !?

« Pourquoi voudrais-tu mettre des chaussettes au genou là-bas ? Et tu les avais cachées à l’intérieur d’une autre chaussette, » déclara Towa.

« Eh bien, le fait de cacher des cadeaux dans des chaussettes est une tradition de Noël..., » dis-je.

« Je pensais que les personnes les accrochaient simplement en tant que décorations, » dit-elle.

« Es-tu en train de dire que tu ne veux pas de cadeaux cette année ? » demandai-je.

« Eh bien ! En lui-même, j’ai aimé le cadeau..., » un sourire malicieux apparut sur le visage de Towa, et elle me montra l’une des chaussettes de genou qu’elle portait. Je les lui avais données il y a un petit moment, et elle savait parfaitement comment rembourser la gentillesse de son grand frère.

« De toute façon, grand frère, ce n’est pas pour ça que je suis là. Noël devrait te rappeler quelque chose d’autre, tu t’en souviens ? » demanda-t-elle.

« Que pourrais-je avoir à retenir en plus de tes cadeaux de Noël ? » demandai-je.

« Bzzt! Tu viens de perdre deux points d’amour. Je vais maintenant m’éloigner de 20 cm de toi, » déclara-t-elle.

Towa avait effectué un petit recul vis-à-vis de moi.

« Quoi ? Impossible ! Deux points juste pour ça ? » demandai-je.

« ... grand frère, est-ce que tu joues à l’idiot ? As-tu réellement oublié ? » demanda-t-elle.

« Bien sûr que non. C’est également l’anniversaire d’Yukihime, n’est-ce pas ? » dis-je.

« C’est bien ça. Tu viens de gagner deux points d’amour ! » Towa avait alors fait un pas vers moi alors qu’elle disait ça.

« ... Mademoiselle Towa. Si j’arrivai à obtenir plus de points, marcherais-tu bras dessus bras dessous avec moi ? » demandai-je.

« Hmm, je ne sais pas... Car après tout, je suis encore en train de tester ce nouveau système, » répondit-elle.

« Je vois... Donc, nous allons acheter le cadeau d’anniversaire d’Yukihime aujourd’hui ? » demandai-je.

« Tout à fait. Je sais que nous faisons cela chaque année, mais faisons en sorte que celui-ci soit spécial ! » Towa avait attrapé mes mains et avait pris une pose figée.

« Qu’est-ce que tu veux lui donner cette année ? » demandai-je.

« Hmm... Je n’ai pas encore décidé. C’est pourquoi je veux que tu viennes m’aider à choisir quelque chose, » dit-elle.

« Laisse-moi me charger de ça. Je sais tout en ce qui concerne Yukihime. Quelle chaussette elle met en première, et même ses mensurations..., » déclarai-je.

« Tu n’es pas censé connaître ses mensurations, » répondit-elle.

Nous avions continué à parler jusqu’à ce que nous atteignions l’arrêt de bus. De là, nous avions pris un bus et nous nous étions dirigés vers le quartier commercial. La Cité de l’Autre-Monde était divisée en différentes zones qui étaient axées sur des objectifs bien spécifiques, et vous pouviez acheter à peu près n’importe quoi dans le quartier commercial.

Alors que le bus avançait, nous avions regardé le paysage qui changeait au fur et à mesure de sa progression. Bientôt, nous avions tourné sur une rue éblouissante bordée de publicités projetées dans les airs, créant de magnifiques illuminations. Les arbres le long de la rue étaient également décorés, et j’avais repéré une idole dans une tenue du père Noël et qui portait des produits liés à Noël. Ceci semblait être une autre publicité projetée dans cette rue. Tous ceux que je voyais marcher dans la rue avaient l’air si heureux.

En d’autres termes, j’étais entouré d’une tonne de personnes avec de véritables vies. C’était l’un des rendez-vous les plus célèbres de la Cité de l’Autre-Monde, alors j’imagine que j’aurais dû m’attendre à voir de telles choses. Je ne serais jamais venu ici si cela n’était pas une demande de Towa, et sa présence avec moi en ce moment avait rendu tout cela différent. J’avais l’impression de vraiment être au cours d’un rendez-vous avec elle, et cela m’avait donné l’impression d’être au paradis.

« Oh ! Regarde, c’est Rabino ! » déclara Towa en regardant une publicité.

Pour une raison inconnue, l’idole portant une tenue de père Noël portait également des oreilles de lapin. Je ne comprenais pas vraiment ce que cela faisait ici, mais c’était mignon. Les oreilles de lapin étaient vraiment belles. Franchement, si seulement elle était une fille avec des oreilles et une queue de lapin... J’aimais vraiment les filles-lapins. Même si ça n’avait aucune importance dans le cas présent. Malgré le fait que l’idole était mignonne, elle ne faisait nullement le poids face à Towa.

« Qui ? » demandai-je.

« Grand frère, tu es toujours aussi déconnecté de la réalité. Rabino est une idole qui a gagné récemment beaucoup en popularité. N’as-tu jamais entendu sa phrase d’accroche ? “Rabino-pyon veut se faire dévorer par un carnivore tel que vous-pyon !” » Towa imita des oreilles avec ses mains, pencha un peu la tête avant de déclarer cette phrase d’une fausse voix mignonne. Je pensais que c’était simplement une phrase que l’idole disait souvent.

« Hé, c’était plutôt mignon. Refais-le, » lui demandai-je.

« N-Non. C’est trop embarrassant..., » Towa était mignonne même quand elle avait l’air embarrassée.

« Tu es largement plus mignonne que cette fille Rabino, » dis-je.

« ... Ar-Arrête avec ça... Tu ferais mieux de ne pas le dire devant ses fans, sinon ils vont se fâcher contre toi, » déclara Towa.

« Non, c’est moi qui vais me fâcher contre eux, parce que je suis ton fan ! » répondis-je.

« Grand frère, tu es tellement bizarre..., » dit-elle.

Le bus continua son trajet un peu plus longtemps jusqu’à arriver à l’arrêt de bus du quartier commercial. Après être descendus du bus, nous avions commencé à flâner dans les rues et à regarder les différents magasins. Après ça, Towa s’était arrêtée devant l’un d’eux et avait dit qu’elle voulait aller aller à l’intérieur. Je pouvais voir divers costumes se trouvant présenter dans la vitrine de ce magasin.

« Un magasin de cosplay ? » demandai-je.

« Exact, » répondit-elle. « Tu sais bien qu’il y a la coutume où les collégiens organisent une fête costumée à la même époque de l’année pour Noël, n’est-ce pas ? Comme cela sera ma dernière année au collège, je voudrais faire quelque chose de spécial avec mes amies. »

« Vraiment ? Puis-je venir aussi et regarder ? » demandai-je.

« Tu devrais plutôt aller à la fête du lycée, » répondit-elle.

« Mais je voudrais tellement être un collégien..., » dis-je.

« Tu l’étais avant, et cela jusqu’à l’année dernière, » répliqua Towa tout en regardant un peu au hasard les différents costumes se trouvant dans le magasin.

« Je vais en essayer quelques un. Alors tu devrais me dire à quoi ils ressemblent, » demanda-t-elle.

« D’accord. Laisse-moi me charger de ça. Celui-ci, ça va ? » demandai-je tout en lui tendant un costume qui se trouvait à côté de moi.

« Je vais l’essayer. Je vais également essayer celui-ci, » répondit Towa en prenant les deux costumes et en allant dans la chambre d’essayage.

Après un court instant, elle fit sortir sa tête de derrière le rideau avant de dire. « Grand frère... Il y a cette fermeture éclair à l’arrière qui me pose problème. »

« ... Hein !? Est-ce correct que je rentre également ? » demandai-je.

« Oui. Mais je ne veux pas que tu me regardes fixement, » répondis-je.

« Je ne le ferais pas, je ne le ferais pas, » répondis-je.

Mais bien sûr, je voulais le faire.

Towa portait la même tenue avec la minijupe que l’idole qui était dans la publicité qu’on avait vue juste avant. Maintenant, ça commençait vraiment à ressembler à Noël selon mes goûts.

Towa s’était mise à rougir alors qu’elle se retournait pour me montrer son dos. La fermeture éclair était coincée au niveau de ses hanches. Je devais bien l’admettre que c’était vraiment sexy quant à la façon dont je pourrais la voir de dos avec les bretelles roses de son soutien-gorge qui était juste devant moi.

« J’ai l’impression qu’il est un peu serré au niveau de ma poitrine, » déclara-t-elle.

Je parie qu’elle avait dit cela à propos de tous les vêtements qu’elle portait.

Si Yukihime entendait cette phrase, elle deviendrait une folle furieuse. J’avais fait de mon mieux afin de tirer la fermeture éclair jusqu’au bout.

« Mm, merci... Maintenant, plus que la touche finale, » déclara Towa en plaçant son chapeau du père Noël. « Q-Qu’est-ce que tu en penses ? »

« Sois mon cadeau de Noël, » répondis-je tout simplement.

« Je parlais à propos de mes vêtements, » Towa fronça les sourcils alors qu’elle répondit ça.

« Cela me semble très bien, » dis-je. « C’est vraiment approprié pour Noël et c’est mignon tout plein. Oh ! Et si jamais tu as besoin une fois de plus d’aide, appelle ton grand frère ! »

« Je demanderais plutôt à une amie, » répondit-elle.

« Hm, je vois..., » dis-je.

« D’accord, il est temps pour le prochain ! Sors d’ici maintenant, » déclara Towa.

« Bien reçu, » dis-je avant de sortir de la cabine d’essayage.

Après un peu moment, Towa fit encore une fois sortir sa tête hors de la cabine.

« Je-Je me suis changée..., » murmura-t-elle.

Pour une raison inconnue, elle rougissait encore plus qu’elle ne l’avait fait auparavant. Quoi de plus embarrassant que d’avoir votre grand frère qui ferme la fermeture éclair de votre robe ?

« Grand frère, pourquoi m’as-tu donné ce costume pour l’essayer ? » demanda-t-elle.

Oh. Elle porte le costume que je lui ai donné. Tout à coup, tout avait du sens.

« Je pensais simplement que tu pourrais surprendre tout le monde avec lui. Tu sais... Personne ne s’attendrait à ce que tu participes à une fête hivernale dans cette tenue, » dis-je.

« C’est étrange..., » murmura-t-elle.

« J’aime ça, » dis-je.

« C’est pervers, » murmura-t-elle.

« Pourtant, tu l’as quand même enfilé pour pouvoir me le montrer, » dis-je.

« Je suppose que l’atmosphère du magasin m’a rendu un peu tête en l’air... Surtout en considérant le précédent costume que je portais, il ne semblait pas si différent au premier abord... Mais quand je l’ai mis, j’ai réalisé à quel point c’était bizarre, » déclara Towa.

« C’est désormais trop tard, » j’avais alors ouvert le rideau de la cabine.

« Non, grand frère ! Stop ! » Au moment où elle avait dit cela, mes yeux se régalaient déjà de la vue de son corps.

Un maillot de bain scolaire. C’était vrai. J’avais donné à Towa un maillot de bain scolaire. Et maintenant, le maillot de bain bleu marine enveloppé, son corps parfait. Ses bras et ses cuisses dodues étaient en ce moment complètement exposés. Et pour dire la vérité, ce maillot était vraiment quelque chose de parfait sur elle. C’était tellement magnifique. J’aurais bien aimé pouvoir écrire son nom sur le badge se trouvant au niveau de sa poitrine. Je parie que cela aurait vraiment été déformé à cause de ce qui se trouvait dessous. Bien entendu, je parlais de ses seins. C’était ce que vous pourriez appeler faire quelque chose lié à l’art.

« Mais je vais trembler ainsi ! » dit-elle.

« Crois-moi, ils vont l’adorer, » déclarai-je.

« Je veux dire physiquement ! Je vais vraiment avoir froid, » répondit-elle.

« Il faut juste être plein d’enthousiasme et cela te réchauffera ! » répliquai-je.

« Et si j’attrapais un rhume à cause de lui ? » demanda-t-elle.

« Towa, dépêche-toi et va te changer. Puis réchauffe-toi un petit peu, » dis-je.

« Tu es incroyable... T-Tu es quand même celui qui m’a fait porter cette tenue, » déclara-t-elle.

« Oh, attends une seconde. Est-il acceptable pour les clients d’essayer des maillots de bain dans ce magasin ? » demandai-je.

« Ne t’inquiète pas. J’ai toujours mes sous-vêtements en dessous. Regarde ! Les vois-tu ? » demanda Towa.

Towa avait fait glisser sur le côté la sangle d’épaule ainsi que la zone de l’entrejambe de son maillot de bain, me montrant ainsi ses sous-vêtements roses qu’elle avait en dessous. Elle avait fait toutes ces choses si innocemment... C’est ce qui faisait d’elle une force avec laquelle il fallait compter.

Tellement sexy. Towa venait de gagner un billion de points d’amour en provenance de son grand frère.

« ... Qu’est-ce qui ne va pas, grand frère ? » demanda-t-elle.

« Oh, ce n’est rien, » dis-je. « Je suppose que nous devrons juste mettre de côté ce maillot de bain d’école pour l’été, hein ? Après tout, Towa ! Ta santé à la priorité sur tout le reste. »

« Pfff... grand frère, tu es fou la plupart du temps, mais je suis quand même contente que tu arrives à être sérieux de temps en temps, » répondit-elle.

Ma propre sœur pensait que j’étais fou.

« Je vais maintenant mettre le prochain, alors ferme le rideau, d’accord ? » demanda Towa.

« Dois-je vraiment le faire ? » demandai-je.

« Je t’appellerais si j’ai besoin d’aide, » dit-elle.

« Je ferme maintenant le rideau, » dis-je.

J’avais fermé le rideau et j’avais attendu que Towa se change pour mettre la prochaine tenue. Je pouvais à peine attendre de voir ce qui allait arriver devant moi sous peu. La tenue du père Noël et le maillot de bain de l’école avaient l’air si merveilleux... Mais Towa avait l’air fantastique, peu importe ce qu’elle portait. J’étais sûr que sa prochaine tenue serait également super mignonne. J’étais là, attendant avec impatience ce qu’elle allait me montrer.

Soudain, le rideau s’était à nouveau ouvert.

« Whoa, c’était vraiment... Whoaaaaaooowww ! » J’avais soudainement crié devant ce spectacle.

Towa portait... un costume de fille-lapin.

« Towa veut qu’un carnivore tel que toi la mange tout cru, grand frère-pyon ! » déclara-t-elle d’une manière très mignonne.

Le choc m’avait presque rendu inconscient.

J’étais émerveillé devant ce spectacle. Les mignonnes petites oreilles de lapin blanc se déplaçaient chaque fois qu’elle bougeait la tête. Un justaucorps rouge qui révélait les courbes de ses épaules, de son dos et de ses cuisses à un degré assez inapproprié. La zone de la poitrine avait également été coupée par la présence d’une grande ouverte, permettant une vue complète du clivage profond et imposant de Towa.

Je me sentais comme si j’étais immanquablement aspiré directement au centre de ce vallon. Et n’oublions pas sa petite queue toute ronde. Oh ! Et que serait ce costume sans les manchettes, le col et le nœud papillon et tout le reste du costume qui étaient magnifiquement agencés malgré la très grande quantité de peau qui était exposée ?

C’était aussi charmant que de voir une femme nue portant seulement des gants, des chaussettes, ou une cravate. « Peu important comment vous pouvez être exposé, mais cachez donc ce seul endroit. » Ou « Vous avez beau être entièrement exposé à la vue de tous, mais vous êtes correct si vous portez pendant ce temps cet accessoire afin de masquer cet endroit ». Le sentiment d’incompatibilité et de déséquilibre de toute cette tenue rendait tout cela tout simplement magnifique.

Il s’agissait de l’antithèse de la beauté fonctionnelle, et ces accessoires totalement inutiles ne faisaient que renforcer son érotisme. Mais maintenant, retour à la fille-lapin.

Les cuisses dodues de Towa étaient enveloppées de bas noirs. Même si cela avait légèrement diminué le taux d’exposition globale de son corps, cela l’avait rendu encore plus sexy. Je sais que nous nous éloignions du sujet des filles-lapin ici, mais les chaussettes étaient en soi quelques choses de si fantastiques qu’il était inacceptable de les oublier. Les bas noirs étaient célèbres pour le fait qu’ils rendaient les jambes plus belles en raison de leur couleur amincissante, mais il y avait beaucoup plus de choses ici. Quand quelque chose est « enveloppé » dans un tel objet, il acquérait une essence sacrée.

Les jambes, l’une des parties les plus fétichisées du corps, étaient ainsi enveloppées de noir. Ses jambes étaient désormais inviolables, et dès le moment où ils étaient devenus enveloppés de noir, ils régnaient sur tout le reste. Oh, j’aimerais tellement pouvoir me frotter contre elles. Non ! Je regrettais que je ne puisse pas mendier pour la douce clémence d’un frottement contre elles. Elles s’étaient envolées pour ainsi atteindre les plus grandes hauteurs en tant qu’objet de mes désirs. Ses jambes étaient désormais devenues emplies de noblesse. De là, une personne normale qui les avait tout simplement vus serait frappée par un désir très commun : elles voudraient être piétinées par ces jambes. Elles voudraient que ces jambes enveloppées de noir les écrasent. Un plaisir plus doux avait-il déjà existé ? Peut-être que ces jambes devraient attraper une certaine partie du corps masculin pour que cela soit le summum ? Mais je suppose qu’Yukihime serait mieux adaptée pour quelque chose comme ça.

Permettez-moi de revenir sur le sujet : Towa. Towa portant une tenue de fille-lapin. Pour commencer, pourquoi les filles-lapins étaient-elles si sexy ? Leurs oreilles de lapin ? Leurs queues ? L’important degré d’exposition de la peau ? Oh, tout cela était si merveilleux. Mais réfléchissons à cela à un niveau plus fondamental.

Quelle était l’origine de la fille-lapin ? Les lapins peuvent se reproduire toute l’année, et il était dit que leur saison de reproduction durait éternellement. Peut-être que c’était le véritable concept derrière ce costume — afin d’envoyer un message que la porteuse de ce costume était prête à être prise par un homme à tout moment. En d’autres termes, les lapins étaient des pervers. Et les filles qui portaient des tenues de fille-lapin devenaient immanquablement elles aussi des perverses. C’était très probablement le cas. Bien que je doute que Towa soit au courant de ces détails concernant l’origine de la tenue. Et peut-être que j’étais le plus grand pervers parce que j’avais mémorisé tout cela. C’était comme si Towa n’était même pas consciente de ce qu’elle portait vraiment.

Le costume était assez sexy en soi, mais il en devenait encore plus extravagant quand vous aviez appris ses origines. Regardez ce que j’ai fait là ? Et dans tous les cas, les filles-lapins étaient les êtres les plus sexy qui existaient dans le monde, ce qui les rendait également les meilleurs des choses possibles ! Les filles-lapins étaient la meilleure des choses de l’univers !!

« Grand frère... Tu dois faire quelques commentaires, sinon je me sentirais vraiment très gênée..., » murmura Towa.

« C’est parfait ainsi ! Towa, je vais l’acheter pour toi ! » dis-je en levant le pouce.

« Aimes-tu vraiment ça ? » demanda Towa.

« Bien sûr que oui ! » répondis-je en criant.

« Hein !? Oh non ! Grand frère, ton nez saigne ! Et pourquoi cris-tu en ce moment ? » demanda Towa.

Mon amour pour les filles-lapins était tellement important que je commençais à effrayer ma petite sœur.

« Nous sommes restés ici plus longtemps que je le pensais, » répondis-je comme excuse.

« Tu es bien trop gentil pour crier pour ça, grand frère. Et je te cause toujours..., » déclara Towa.

« Towa, ta gentillesse est ton péché..., » dis-je.

« Arrête d’essayer de changer de sujet, » déclara Towa.

Après avoir passé trop de temps dans la boutique de cosplay, nous nous étions précipités jusqu’à la boutique suivante et avions commencé à chercher les cadeaux d’Yukihime.

« Que devrais-je lui prendre pour cette année ? J’ai pris des gants l’année dernière, non ? » demandai-je.

« Exact. Elle les aimait tellement qu’elle a fini par les porter tous les jours, » répondit Towa.

« Vraiment ? » demandai-je.

« Oui. Vous êtes tous deux si proches l’un de l’autre, » déclara Towa.

« Proche ? Yukihime et moi ? » demandai-je, surpris.

« N’agis pas comme si tu ne comprenais pas ce que je te disais, » répliqua Towa.

« Mais je ne sais vraiment pas de quoi tu parles, » répondis-je.

« La vie doit être difficile comme vous êtes tous les deux des Tsunderes..., » déclara Towa.

« Elle est une Tsundere, mais moi, je suis une deredere ! Envers toi, Towa ! » dis-je.

« Ouais ouais ! Je suppose qu’il serait stupide d’appeler Tsundere une Tsundere et de s’attendre à ce qu’ils disent : “Vous avez bien trouvé qui je suis !” » Elle semblait vraiment sûre quant à mon étiquetage en tant que Tsundere.

« ... Oh ! » déclara Towa.

« Qu’est-ce qui ne va pas ? » demandai-je.

Figée sur place, Towa regardait un mannequin se trouvant dans une vitrine.

« Je pensais juste que ça irait bien sur Yukihime, » déclara-t-elle.

« Tu parles de quoi ? » demandai-je.

« Cette écharpe, » déclara-t-elle. Le mannequin portait une écharpe blanche avec un motif de flocon de neige.

« Une écharpe, Hmm ? Heh heh. Hé bien, pourquoi pas ? » demandai-je.

« Pourquoi as-tu ri ? » demanda Towa.

« Je n’ai pas ri ! Je pense que c’est un bon choix ! Allons l’acheter ! » Tout à coup, je paniquais et je poussais pour effectuer l’achat de l’écharpe. Mais qu’est-ce que j’essayais de dissimuler exactement ?

Comme j’avais décidé d’acheter une écharpe à Yukihime, j’avais réalisé ce qui s’était passé alors produit. J’avais tout simplement imaginé Yukihime qui la portait. Et je pensais que cela serait vraiment super sur elle. Son visage était la seule bonne bien qu’elle avait, alors la plupart des objets permettaient de rehausser cela.

Towa avait également trouvé dans le même magasin son cadeau : une épingle en forme de flocon de neige.

Avec nos cadeaux dans les bras, nous étions rentrés à la maison. J’espère qu’elle aimera également ses cadeaux de cette année.

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3 commentaires :

  1. Merci pour cette partie.
    Oublions Issei, avec cet exposé sur les filles-lapins il est train d’atteindre Long YI niveau vision de pervers.

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