J’ai été réincarné en une Académie de Magie ! – Tome 4 – Chapitre 58 – Partie 1

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Chapitre 58 : Le donjon caché

Partie 1

[Point de vue de Shanteya]

Après notre séparation avec le Maître, nous avions été guidés vers la zone d’attente pour les combattants. Là, nous avions attendu patiemment notre tour pour entrer sur le ring et nous avions tenu parole sur la façon dont nous devions gagner ou perdre.

Ayuseya avait été la première à y aller et avait perdu contre son troisième adversaire. De notre point de vue, ce n’était pas une bataille équitable. La draconienne était assez forte, et ses adversaires avaient à peine la puissance d’un aventurier de rang Maître. Elle était en fait troublée après sa première victoire parce qu’elle n’avait pas l’intention de gagner si vite, mais l’homme lui avait murmuré quelque chose de sale. La gifle n’était même pas à 5 % de sa pleine puissance, mais c’était plus que suffisant pour l’envoyer dans le mur. Lors de sa victoire suivante, c’était arrivé encore une fois, mais cette fois-ci, c’était juste qu’elle était incapable de contrôler pleinement ses capacités.

Quand il avait été temps de perdre, elle avait fait de son mieux pour ne pas résister à l’attaque de l’ennemi, mais elle se défendait inconsciemment, la rendant pratiquement immunisée contre ses coups. Quant à sa vitesse, cet homme était lent, vraiment très lent.

Puis vint mon tour. Après avoir pratiqué comment contrôler ma puissance sur les monstres ainsi que dans mes routines quotidiennes en tant que femme de chambre dans l’Académie Fellyore, j’étais plutôt habituée à contrôler l’énorme coup de pouce que j’avais reçu du Maître. Je savais comment perdre une bataille sans éveiller les soupçons. Quand j’y avais vu l’opportunité, je m’étais laissée frapper et envoyée hors du ring.

Nanya n’avait aucune intention de perdre. Elle était un peu ennuyée par le marchand, mais la raison principale était probablement sa fierté. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre devant un faible comme Groatak. Elle jouait simplement avec lui comme un adulte le ferait avec un enfant. Au milieu de la bataille, l’ancien aventurier savait déjà qu’il n’affrontait pas quelqu’un qu’il pouvait vaincre. Lorsque le Maître donna le signal, la démone ne montra aucune pitié envers lui, mais elle s’abstint de lui arracher les bras et de le frapper avec eux sans raison.

Le pari avait été gagné, et nous avions quitté le Colisée. Le maître accepta d’aller chercher les esclaves un autre jour, mais pour l’instant, il ne voulait que son argent. Deroak avait vidé tous ses coffres pour lui remettre 458 goldiettes, mais il lui en manquait beaucoup. Il avait avoué avoir fait le pari sans avoir la capacité de payer. Il y avait aussi la question de savoir quoi faire de son stock actuel d’enfants.

En ce qui concerne cette dernière partie, le Maître proposa le marché suivant : il ne lui prendrait que 200 goldiettes, mais dans un document écrit, le marchand promettrait de libérer tous les enfants et de les prendre sous sa garde jusqu’à ce qu’ils soient assez grands pour se débrouiller seuls. Cela pouvait se faire soit à l’âge de 18 ou 20 ans. Il promettait également d’utiliser les 420 goldiettes restants qu’il possédait pour leur offrir tout ce dont ils avaient besoin : vêtements, nourriture, abri et même de l’aide pour leurs futurs emplois. La promesse avait été écrite en deux exemplaires, dont l’un avait été tenu par le Maître lui-même, l’autre était resté avec Deroak.

Ensuite, nous avions quitté le magasin et étions sortis manger, car nous étions dans la dernière heure pendant laquelle Tannaor servait encore de la nourriture. Notre journée s’était terminée par une promenade dans la ville à la recherche de la bibliothèque. Nous l’avions trouvée, mais elle était fermée à cette heure, donc nous n’avions pas d’autre choix que de retourner à notre auberge et de revenir le lendemain.

Cette nuit-là, nous avions dormi tous ensemble dans les bras du Maître. Ses baisers étaient tendres et doux, mais il n’était pas allé plus loin avec Nanya ou Ayuseya. La draconienne était plus affirmée qu’avant, et elle fut la première à sauter dans les bras du Maître.

Pendant que nous dormions, j’avais senti un mouvement soudain et je m’étais réveillée pour voir le Maître se lever du lit. Il faisait encore nuit dehors, et je ne sentais pas la présence d’un ennemi.

« Maître ? Il y a un problème ? » demandai-je en me frottant les yeux.

Ayuseya lâcha un bâillement et se réveilla aussi. Les seules qui dormaient encore étaient Nanya et Tamara, la première utilisant cette dernière comme oreiller corporel.

« Il n’y a rien, je sors juste faire une petite promenade. Vous pouvez retourner vous coucher, » répondit-il d’une voix calme.

Quelque chose ne tournait pas rond chez lui, alors j’avais regardé la draconienne pour voir si elle ressentait la même chose, mais elle avait haussé les épaules et était retournée au lit.

C’est peut-être mon imagination..., avais-je pensé, puis je m’étais allongée.

Le maître quitta la pièce et referma la porte avec son sort de Télékinésie. Il y a longtemps qu’il ne l’avait pas utilisé. En fait, il n’avait presque pas utilisé de sort après être devenu humanoïde.

Pendant les minutes qui avaient suivi, mon esprit n’arrêtait pas d’essayer de trouver quelque chose qui n’allait pas chez lui, mais je n’avais rien trouvé.

Peut-être qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez moi ? pensai-je en me recroquevillant sur le côté du lit.

 

☆☆☆

[Point de vue d’Illsyore]

Je m’étais réveillé sur un sol froid en regardant un plafond de marbre gris.

Que se passe-t-il ? C’était la première chose à laquelle j’avais pensé après avoir ouvert les yeux.

Je me souvenais clairement de m’être endormi avec Ayuseya et Nanya et de m’être presque fait étrangler par leur affection. Alors la chose que j’étais censé ressentir en ce moment, c’était les seins réconfortants de mes femmes et non un sol froid, dur et de pierres. Il se passait quelque chose de vraiment étrange par ici, et j’avais l’impression de ne pas rêver.

En levant les mains en l’air, j’avais regardé mes doigts et je les avais fléchis plusieurs fois. Il n’y avait rien qui sortait de l’ordinaire pour autant que je sache, alors je m’étais levé et j’avais commencé à regarder autour de moi. Il s’agissait d’un long couloir sans aucune sorte de lumière du soleil ou de décoration. Cela semblait terriblement familier, tel un donjon, mais cela ne pouvait pas être vrai... Il n’y avait pas de donjons dans la zone proche d’Elora, pour autant que je le sache.

Heureusement, mes yeux étaient bien meilleurs que ceux des humains normaux et les cristaux de mon corps permettaient une lueur verdâtre si je concentrais du mana en eux. Dans n’importe quelle autre situation, la lueur ne serait pas remarquée, car elle n’était pas nécessaire, mais je devais l’utiliser pour voir dans l’obscurité totale. D’une certaine façon, j’étais ma propre lampe de poche.

Au début, j’avais pensé à agrandir mon Territoire de Donjon, mais si j’étais dans un donjon, et qu’il était plus fort que moi, alors je finirais par être immobilisé à la suite du choc d’avoir vu mon territoire brisé. Une situation inverse signifierait que je ne serais pas en mesure d’obtenir des informations sur la façon dont je m’étais retrouvé ici et où exactement se trouvait « ici ».

L’endroit était plutôt propre, il n’y avait pas de poussière là, donc cela avait été construit récemment ou une armée de bonnes avait nettoyé cet endroit régulièrement. Cela pourrait aussi être enchanté.

En pensant à cette dernière option, je m’étais approché du mur et j’avais posé ma main sur sa surface pour voir s’il y avait un flux de magie dedans. Dès que je l’avais fait, j’avais sursauté en état de choc.

Je n’arrivais pas à y croire... cet endroit... ce couloir... ce couloir...

« C’est moi qui l’ai construit ? Mon mana est dans cet endroit ? COMMENT !? » avais-je dit en ressentant de la surprise.

Une chose était certaine, je n’avais pas bu QUE deux chopes d’hydromel. Cette boisson contenait de l’alcool, mais pas au point de me faire oublier que j’avais construit un couloir au milieu de nulle part.

En secouant la tête, j’avais essayé de ressentir à nouveau l’énergie, mais il n’y avait pas eu de changement. Le flux de mana des enchantements placés sur ce mur résonnait parfaitement avec celui à l’intérieur de mon corps. Ceci avait été construit par moi ou avec mon mana.

Peut-être que je devrais étendre un peu mon Territoire de Donjon..., avais-je pensé et avec une déglutition, je l’avais libéré.

Il n’y avait pas d’autre donjon autour de moi, alors j’avais continué à l’étirer petit à petit, lentement, jusqu’à ce qu’il touche soudainement un autre territoire. Je m’étais arrêté et je l’avais retiré par réflexe.

« Il y a un autre Donjon ici ? » avais-je dit. Puis j’avais regardé sur ma gauche, d’où j’avais senti la présence étrangère.

Je n’avais fait qu’effleurer son territoire, donc il n’y avait pas eu de bataille entre nous, mais c’était suffisant pour que je puisse dire qu’il était beaucoup plus faible que moi.

Souhaitant voir jusqu’où ce donjon s’étendait et à quelle profondeur j’étais sous terre, j’avais fermé les yeux et je m’étais envolé hors de mon corps sous ma forme fantomatique. Mon premier objectif était de voir s’il y avait des dangers autour de moi, comme des monstres ou des pièges, dont je devais me débarrasser. Je volais aux deux extrémités du couloir, mais je n’avais rien trouvé, pas même un caillou, et encore moins un dédale ou un monstre, seulement une paire d’escaliers menant à l’étage suivant. Cet endroit était probablement en cours de construction.

De là, j’avais volé en ligne droite, passant directement à travers les étages afin d’atteindre la surface aussi vite que je le pouvais. Le voyage avait pris environ une minute, mais quand j’étais sorti, je m’étais retrouvé au milieu de la forêt autour d’Elora, mais j’étais à une vingtaine de minutes environ en course à vitesse maximum pour en sortir. Pour être franc, la capitale ressemblait à un point à l’horizon. J’étais surpris de l’avoir vu de si loin.

J’étais retourné au donjon et j’avais regardé autour de moi pendant un moment. L’endroit n’avait aucun de mes pièges habituels avec les lasers, les aimants, les décharges électriques, ou d’autres trucs comme ça. Il restait avec des versions à pointes et à ressorts typiques, mais les étages du donjon étaient plutôt complexes et abritaient un grand nombre de monstres puissants. La différence entre les étages que j’avais construits à l’Académie Fellyore et celui-ci était la quantité de monstres puissants. Au 30e étage, j’avais déjà rencontré des monstres au-dessus du niveau 100, portant des armures et des armes enchantées. Dans l’ensemble, c’était un donjon destiné à un groupe de Divins. S’ils avaient ici les pièges que j’avais placés dans mon donjon à Shoraya, alors ce serait automatiquement un donjon destiné aux Suprêmes.

En poursuivant, j’avais remarqué qu’il était assez décent et décoré de toutes sortes de petites statues, de piédestaux, de sculptures murales et d’autres choses du genre. Les monstres se déplaçaient aussi en groupes organisés, mais ils étaient tous convoqués, et il n’y avait pas de nids pour eux. Cela signifiait qu’une fois tuer ou leurs cercles détruits, ils disparaissaient pour de bon.

Ce que j’avais été surprit en le découvrant, c’était qu’à tous les 10 étages, il y avait une pièce spéciale où il n’y avait pas de monstres ou de pièges, et les murs étaient enchantés d’un sort repoussant qui les protégeait des dangers sur cet étage. De tous les points de vue, c’était l’endroit idéal pour les aventuriers, quelque chose que je n’aurais jamais construit en un milliard d’années.

Pourquoi devrais-je le faire ?

Si le but d’un donjon était de pousser les aventuriers à leurs limites et de les consommer, il était normal et naturel de les tuer aussi vite que possible.

Mais s’ils avaient trop peur d’avancer, ils n’atteindraient pas les points où je pourrais les piéger et les vider de leur mana. De temps en temps, les chambres sécurisées étaient donc une bonne chose.

Je n’étais pas resté trop longtemps à regarder la salle sûre. Elle était pratiquement vide, alors j’étais retourné à mon corps et avec mon Territoire de Donjon s’étendant à quelques mètres autour de moi, j’avais commencé à faire mon chemin vers le noyau installé dans cet endroit.

Tout, des pièges aux monstres, n’avait servi à rien contre moi. J’avais bien trop dominé cet endroit, mais je me sentais réticent à le détruire, alors j’avais avancé prudemment, essayant d’éviter de déclencher quoi que ce soit de dangereux sur mon chemin. Il m’avait fallu environ une demi-heure pour que nos territoires se touchent. J’avais immédiatement retiré le mien parce que je ne voulais pas le détruire.

« Eh bien, voyons voir maintenant..., » avais-je dit en regardant autour de moi.

Il me restait encore un peu de temps avant d’atteindre le donjon, alors j’avais procédé avec prudence, surtout parce que je ne voulais pas détruire les pièges et les monstres ici. C’était étrange de marcher comme ça, seul, dans un donjon rempli de mon mana, mais en même temps j’avais l’impression que rien ici n’était assez puissant pour m’égratigner.

Bien sûr, je m’inquiétais du fait que j’avais construit ce donjon d’une façon ou d’une autre, mais il était hors de question de rester là et d’attendre que mes femmes viennent à mon secours. Celui qui pouvait répondre à mes questions n’était autre que le Noyau du Donjon.

Ce qui est certain, c’est que les Ténèbres sont derrière tout ça..., avais-je pensé qu’après avoir pris un tour.

J’avais sauté par-dessus un piège à piques et j’avais continué à marcher lentement, en me collant près du mur. Ma réflexion était revenue à la dernière fois que j’avais parlé avec les esprits piégés à l’intérieur de mon Esprit Intérieur. Au cours des années que j’y avais passées, j’avais appris qu’on ne pouvait faire confiance à aucun d’eux. Leurs souvenirs contenaient des pièces d’un très grand casse-tête, mais leurs connaissances étaient fragmentées. Même le Primordial était identique, mais en même temps, je savais que s’ils le voulaient, ils pourraient affecter mon corps. Le fait que les Ténèbres ne pouvaient pas prendre le contrôle de mon corps était probablement un mensonge, ce qui m’inquiétait le plus. Fondamentalement, je ne pouvais pas me faire confiance pour garder le contrôle de ma forme physique dans un moment de danger. Le fait que j’étais actuellement dans cet étrange donjon était la première et la plus grande preuve que j’avais de cette théorie.

Alors que je suivais le mur, j’avais soudain rencontré en un face-à-face avec un Roi-Minotaure recouvert d’une armure de plaques d’acier. J’avais dégluti, et il m’avait regardé fixement. Pendant un moment, j’avais cru qu’une bataille était inévitable et que je finirais certainement par tuer le monstre, mais quelque chose d’inattendu était arrivé. Le Roi Minotaure était passé devant moi sans se soucier de rien.

Je l’avais regardé pendant un long moment.

Qu’est-ce qui vient de se passer ? Pourquoi n’ai-je pas été attaqué ? avais-je pensé.

Si je devais le deviner, alors je dirais que le monstre m’avait peut-être reconnu comme son invocateur. L’autre option était qu’il comprenait que j’étais beaucoup plus fort que lui. Quoi qu’il en soit, j’étais libre de marcher jusqu’au Noyau du Donjon en paix.

La pièce elle-même était simple à première vue, mais en y regardant de plus près, on pouvait voir d’innombrables runes et symboles gravés sur les murs. Ils représentaient tous des mots d’une langue que je ne connaissais pas. Soit ça, soit un mauvais peintre avait tenté sa chance ici.

Peu importe à quel point je fixais les murs, je n’allais rien apprendre d’eux, alors j’avais tourné ma vue vers le minuscule cristal blanc de la taille d’un poing au milieu de la pièce.

Le noyau du donjon..., avais-je pensé.

« Es-tu mon père ? » murmura la voix d’un enfant.

J’avais été paralysé.

« Peu importe combien j’ai bu hier soir, je suis presque sûr que je n’étais pas ivre à ce point ! » avais-je répondu.

« Ne l’es-tu pas ? » demanda l’enfant.

Il n’était pas nécessaire de chercher un enfant dans cette pièce, celui qui parlait était clairement le noyau en cristal.

« Non, Luke, je suis presque sûr que je ne suis pas ton père, » j’avais hoché la tête.

« Luke ? Je ne m’appelle pas Luke, je... Je n’ai pas de nom. Mais le mana de cet endroit est à toi, n’est-ce pas ? » demanda-t-il d’une voix basse qui montrait son insécurité et sa peur.

« Hein ? Eh bien, je n’ai non plus aucune idée de pourquoi c’est comme ça... Euh, de toute façon, quel âge as-tu ? » lui avais-je demandé.

« Je viens de naître..., » répondit-il.

« Hein ? » Je l’avais regardé dans les yeux.

« Je suis un Donjon Demi-Dieu... La valeur de mon niveau n’est que de 1, » m’avait-il dit.

« Un donjon Demi-Dieu de niveau 1... Eh bien, c’est intéressant. Et tu dis que tu n’as pas de nom, n’est-ce pas ? » avais-je demandé pour confirmer ce fait.

Le fait qu’il venait de naître et qu’il parlait normalement ne me dérangeait pas tant que ça. En fait, juste parce qu’il était un donjon, je m’attendais à ce qu’il puisse communiquer dans au moins une langue. En fait, c’était la partie bizarre de tout ça parce que j’avais la réincarnation comme excuse pour savoir certaines choses, mais qu’en est-il de ce donjon ?

« Oui... Peux-tu me donner un nom ? » demanda-t-il.

Euh... Qu’est-ce que je suis censé faire maintenant ? En me grattant la joue droite et en lui montrant un sourire gênant.

« Ne veux-tu pas le faire ? » sa voix était si triste que cela m’avait brisé le cœur.

« Non ! Non ! Non ! Je réfléchis... Je réfléchis, c’est tout... Donc Luke est hors de question. Certainement pas Tête de Godet. Poltergeist ? Non, Thon ? Qu’est-ce qui ne va pas avec mon choix de noms !? » je m’étais gratté la tête avec les deux mains.

« Thon a l’air sympa..., » déclara l’enfant.

« NONNNN ! Hors de question ! » j’avais immédiatement refusé la proposition.

« ... » il n’avait pas répondu, et j’avais continué à y réfléchir.

Quelques minutes plus tard, après avoir fait des cercles dans la pièce et après avoir épuisé presque toutes les lettres de l’alphabet, je lui avais dit un nom possible.

« Et Deusur ? » lui avais-je demandé.

« Deusur... Deusur... J’aime ça ! » répondit-il.

Si j’avais pu le voir, j’étais sûr qu’il souriait vivement.

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6 commentaires :

  1. Merci pour ce chapitre

  2. merci pour cette première partie, hâte de lire la suite^^.

  3. Demi-divin hein… De lui ok mais avec qui ?? Merci pour le chap ^^

  4. Merci pour le chapitre!

  5. Merci pour le chapitre.

  6. Merci pour le chapitre

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