Chapitre 47 : Une question difficile
Partie 2
Au 58e étage, nous avions trouvé une prison où se trouvait une autre victime de ce donjon. Il s’agissait d’une femme brune et musclée dans la trentaine. Son corps était couvert de cicatrices et elle était nue. Nanya avait regardé ses blessures, mais même moi j’aurais pu dire la raison comment elle était morte. Elle avait une épée empalée dans son cœur. Les quelques diablotins que nous avions trouvés n’avaient pas été tués par nous.
« Son propre groupe a dû faire ça..., » déclara Shanteya.
« Pourquoi dis-tu ça ? » avais-je demandé en plissant mon front.
« Quand les diablotins font d’une femme leur outil de reproduction, ils utilisent une petite aiguille pour percer le cerveau et cela lui neutralise définitivement la conscience. Fondamentalement, son corps reste actif, et ils peuvent la nourrir de force. Cependant, elle ne se débattra pas ou n’essaiera pas de s’échapper pendant qu’ils feront leur chemin avec elle. En général, tous les aventuriers doivent tuer et tueront tous ceux qu’ils trouvent dans cet état, » expliqua Nanya.
« Quoi ? Ces diablotins peuvent faire quelque chose comme ça ? » avais-je demandé en étant surpris.
En regardant ces petits bâtards, je commençais à croire qu’après tout, ils n’étaient pas si stupides.
« Oui, mais... dernièrement, divers nobles ont adopté cette pratique pour s’assurer que certains esclaves achetés au marché noir ne se défendent pas, » avait ajouté Shanteya.
En entendant cela, même Nanya avait été surprise.
« Qu’est-ce que tu veux dire par là ? » demanda-t-elle.
« Fondamentalement, ils engagent d’anciens aventuriers pour kidnapper certaines paysannes qu’ils aimaient pour leur corps, puis demandent que cette opération leur soit faite. Les filles sont offertes à leurs nouveaux maîtres dans un état végétatif, puis ils en font ce qu’ils veulent. Certains sont utilisés pour les plaisirs charnels, d’autres comme expériences pour les mages ou les alchimistes. Le pire que j’ai vu, c’était un homme qui s’en servait pour faire pousser des vers mangeurs de chair. Les victimes sont mortes en étant dévorées depuis l’intérieur..., » avait expliqué l’ancienne assassine.
« Mais je pensais que le collier d’un esclave les rendait incapables de désobéir à leur maître, » demanda Nanya en étant un peu confuse.
« C’est vrai, mais un esclave qui a subi cette opération n’est rien de plus qu’une marionnette vivante. Ils ne crient pas et ne pleurent pas quand on les frappe..., » Shanteya expliqua et baissa le regard.
C’était quelque chose qu’elle avait vu de ses propres yeux. Peut-être que c’était une façon pour le Maître de la Guilde de garder ses assassins loyaux ? Il leur avait montré une « utilisation » alternative pour eux.
« C’est méprisable ! » répliqua Ayuseya.
Jusqu’à présent, la draconienne était restée silencieuse, mais en entendant quelque chose comme ça, elle ne pouvait pas retenir sa colère. Il s’agissait d’un acte atroce, même de mon point de vue, mais nous ne pouvions rien faire pour le moment.
Voyons voir... liste de priorités : obtenir un nekatar comme animal de compagnie, faire des recherches sur les affaires politiques du monde et trouver un endroit approprié pour mon académie, obtenir Shanteya et Ayuseya dans mon lit pour les moments sexy, piller une bibliothèque, réparer la situation politique d’Ayuseya, détruire l’ancienne guilde de Shanteya, et enfin... se débarrasser de l’obscurité à l’intérieur de moi, avais-je pensé en notant plus ou moins tout ce que j’avais en tête.
Techniquement, la partie « construction de l’académie » n’était pas si difficile. Je pouvais le construire avec le claquement de mes doigts. Ce n’était pas les matériaux ou la puissance qui me manquaient, mais un bon emplacement, et de préférence, je voulais quelque chose avec une plage parce que les maillots de bain étaient géniaux. L’autre chose importante qui me manquait, c’était l’information et un allié politique qui m’enverraient des étudiants plutôt que des armées prêtes à me tuer. Il y avait aussi le petit fait de pouvoir me battre contre des Suprêmes. Comme j’étais en ce moment, j’avais encore un long chemin à parcourir, mais ce voyage m’offrait toutes les choses qui me manquaient auparavant, surtout un temps d’intimité avec mes trois femmes.
Nous n’étions pas restés trop longtemps dans cette pièce, mais avant de partir, Ayuseya avait incinéré le corps avec une petite boule de feu. Témoin de l’attaque, je commençais à deviner qu’elle était peut-être capable de lancer n’importe quel sort de type feu sans incantation.
Peut-être un trait de son côté Véritable Dragon ? Mais rien n’est apparu sur son statut..., avais-je pensé pendant que je marchais à côté d’elle.
À l’entrée de l’étage suivant, nous avions trouvé un autre membre du groupe précédent, du moins ce qui restait de lui. Une meute de six Dayuks affamés se régalaient de ses restes et croquaient ses os dans leurs puissantes mâchoires.
« Boule de feu, » avais-je dit. Puis j’avais lancé l’attaque dévastatrice sur eux.
Les Dayuks avaient été instantanément tués dans l’explosion. Ils n’avaient même pas eu la chance d’esquiver ou de gémir de douleur. Les restes de leurs corps avaient été répandus tout autour de nous dans un désordre sanglant de boyaux, de sang et de chair brûlée. C’était tout simplement dégoûtant, mais pire que tout... J’avais en quelque sorte bloqué l’entrée du niveau suivant.
En termes simples, j’avais causé un petit effondrement de la région.
« Bon travail, » déclara Nanya avec sarcasme ainsi que plusieurs soupirs.
« Oups ? » leur avais-je dit en affichant un sourire maladroit.
« Pas de problème, le donjon le réparera en peu de temps, il ne nous reste plus qu’à attendre jusque-là, » la démone avait haussé les épaules et elle avait ensuite montré du doigt une pièce voisine. « Allons camper là-bas. »
« Quel donjon faible... ! » m’étais-je plaint à moi-même en les suivant.
Le camp en soi était fait de quatre chaises, d’un petit feu et de viande sur un bâton à cuisson. Au plafond, au-dessus du feu, Nanya avait placé un petit cristal qui avait absorbé toute la fumée. C’était la première fois que je voyais quelque chose comme ça, mais en y pensant, c’était peut-être un objet nécessaire pour explorer un donjon. Après tout, les étages étaient quelque chose comme des grottes fermées, la fumée devait aller quelque part, sinon, cela tuerait les aventuriers. Une torche ou deux n’était pas si mal, mais lorsque vous les utilisiez, vous étiez constamment en mouvement, alors qu’avec un feu, vous deviez rester assis sans bouger. Dans ce donjon, je n’avais pas vu une seule torche. Les étages étaient soit complètement sombres, soit à peine éclairés par des cristaux fluorescents. Comme nous pouvions tous utiliser des sorts, nous avions surtout utilisé des globes de lumière au lieu de véritables torches. Nanya et Shanteya l’avaient fait, j’étais resté planté là à ne rien faire.
Pourtant, peu importe combien de temps nous avions attendu, le donjon n’avait pas dégagé le chemin. Ça devenait ennuyeux et étrange. Même Nanya et Shanteya le pensaient.
« Ça fait plus d’une heure..., » avais-je dit en regardant le feu.
« En effet, étrange..., » Nanya avait plissé les yeux vers l’entrée de cette pièce.
« Même les corps des aventuriers n’ont pas été absorbés. Peut-être que le Cœur du Donjon est mort ? » demanda Shanteya.
« Non, je l’ai confirmé quand nous sommes entrés. Le Cœur du Donjon est vivant et a un niveau de 94, donc nous ne devrions pas être si loin de la fin, » avait dit Nanya.
« En parlant de ça, as-tu trouvé ce pour quoi ils étaient là et combien ils étaient ? » lui avais-je demandé. Mais la démone avait secoué la tête en réponse.
« Alors cette partie reste un mystère..., » déclara Shanteya.
« Oui, » répondit Nanya.
« Bien ! On va se frayer un chemin ! » avais-je dit en souriant.
Nanya haussa les épaules.
« En effet, ça ne sert à rien de perdre plus de temps ici, » Ayuseya avait confirmé ce fait.
« En plus, c’est un niveau 94, non ? N’est-ce pas plus faible que l’autre ? » avais-je demandé.
« L’autre n’était pas un Ancien, c’était un Normal et à peine un niveau 102. En matière de force, celui-ci est au moins 4 ou 5 fois plus fort, » expliqua Nanya.
« Vraiment ? » J’avais cligné des yeux en raison de la surprise.
« Peut-être que c’est juste une supposition, » la démone haussa les épaules et éteignit le feu en l’éclaboussant avec de l’eau provenant de son esprit intérieur.
La façon d’accéder à l’étage suivant était simple, je n’avais qu’à frapper le sol. Facile, mais avant d’avoir la chance de le faire, j’avais été arrêté par les filles.
« Hein ? Quoi ? » avais-je demandé en clignant des yeux surpris.
« Soupir, laisse-moi-le faire ou tu vas tout écraser sur nous, » déclara Nanya.
« Oh, vas-y donc ! » m’étais-je plaint.
La démone avait frappé le sol, mais pas là où je voulais le faire. Elle l’avait fait près de la sortie. Un grand trou s’était formé, et nous avions sauté dedans. Quelques diablotins avaient été écrasés par des rochers et il semblait que les monstres commençaient déjà à creuser pour s’en sortir parce qu’un groupe s’y était rassemblé. Ils avaient levé les armes contre nous, prêts à attaquer. Shanteya avait commencé par abattre cinq Minotaures, Ayuseya avait coupé en deux dix gobelins et Nanya m’avait littéralement volé toutes mes cibles. J’avais été laissé là avec ma garde levée et pourchassant les monstres pour que je puisse avoir un ou deux morts à mon actif, ce qui évidemment ne s’était pas produit. Eh oui, j’avais oublié le petit fait que je pouvais tirer au laser à partir de mes paumes...
« Oh, franchement ! » m’étais-je plaint.
« Là, là, Illsy ! Tu auras ta chance un jour, » Nanya me l’avait dit ça avec un regard compatissant dans ses yeux.
Cette petite diablesse a tout mis en scène ! m’étais-je plaint.
« Regardez ! » cria Shanteya, attirant notre attention.
« On en reparlera plus tard... au lit, » avais-je dit à Nanya.
« J’ai hâte, chéri ! » m’avait-elle répondu en me faisant un clin d’œil.
Ce que l’El’Doraw avait trouvé était un aventurier blessé. Il avait le bras gauche coupé et le pied gauche cassé. Une grosse corne avait été poignardée dans son torse et un Minotaure était mort non loin de lui. Il n’avait plus beaucoup de temps à vivre, mais c’était plutôt étrange que les monstres ici ne l’aient pas achevé. Le laisser mourir comme ça n’était pas quelque chose de typique des donjons.
« Arg..., » l’homme avait gémi. Puis il avait dit quelque chose en kalish.
Nanya s’agenouilla à côté de lui et parla dans la même langue, alors que je ne pouvais que regarder et deviner de quoi ils parlaient. Les yeux de l’homme étaient sérieux, tandis que les paroles de la démone étaient calmes. Prenant une grande respiration, il l’avait saisi par l’armure et lui dit quelque chose, puis sa force s’était estompée et s’était penchée vers l’arrière.
« Cet homme est mourant, » déclara Shanteya.
« On pourrait le guérir... probablement, » leur avais-je dit. Puis je m’étais gratté l’arrière de ma tête, me demandant si nous pourrions utiliser des herbes médicinales ou un cristal.
« Non, il n’en vaut pas la peine, » déclara Nanya en secouant la tête.
« Si tu le dis, mais qu’est-ce qu’il a dit ? » lui avais-je demandé avec curiosité.
« Quelque chose d’inquiétant..., » la démone le regardait comme si elle se débattait avec la décision de me le dire ou non. « Apparemment, les utilisateurs de magie noire se cachent au fond de ce donjon. Leur groupe pensait qu’il s’agissait d’une simple exploration du donjon jusqu’au noyau et inversement, mais quand ils ont rencontré les mages noirs... les choses ont changé. Ils étaient au moins tous de Rang Divin... Son groupe avait plus de 23 esclaves avec eux, tous destinés à être utilisés pour... diverses choses, » expliqua-t-elle.
« Quoi ? 23 esclaves ? » avais-je demandé en étant surpris. Mais le fait qu’ils aient rencontré des aventuriers du Rang Dieu n’était pas si inquiétant pour moi. En fait, j’espérais un peu de défi, mais je ne voulais rien qui soit trop exagéré. À la fin, j’avais voulu les écraser comme des insectes.
« Oui..., » Nanya avait hoché la tête et m’avait regardé.
« Et dix esclaves n’étaient que des enfants..., » rajouta Shanteya.
La démone l’avait fusillée du regard. Il semblait que c’était un détail qu’elle ne voulait pas me faire connaître, mais, en l’entendant, une étrange colère s’était réveillée et avait secoué les chaînes sombres à l’intérieur de mon âme. Faire devenir des criminels en esclave pour leur permettre de réparer les dommages qu’ils avaient causés était une chose, mais faire d’un enfant un esclave était... dégoûtant.
À genoux à côté de l’homme. Je lui avais montré un sourire.
« Shanteya, s’il te plaît, traduit pour moi. Qu’est-il arrivé aux enfants ? » lui avais-je parlé d’une voix froide.
L’homme répondit et sourit.
« Six sont morts... comme nourriture pour les monstres. Ils les ont utilisés pour les détourner. Les quatre autres ont été capturés par les mages noirs et leurs âmes ont probablement été arrachées de leur corps, » répondit l’El’Doraw.
J’avais soupiré et j’avais fermé les yeux. Des veines rougeoyantes étaient apparues sur mes mains alors que je me tenais là. La colère tourbillonnait dans mon cœur. La fureur s’était déchaînée, et pourtant j’avais gardé mon calme à l’extérieur. Bien sûr, les autres n’avaient aucune idée de ce qui m’arrivait, elles ne pouvaient pas dire qu’à ce moment-là, mon âme avait laissé échapper un peu d’obscurité.
Personne ne m’avait posé de questions sur les veines rouges, mais même moi, je n’en avais pas tenu compte.
« Six sont morts comme nourriture pour les monstres, hein ? Six enfants ? » lui avais-je affiché un sourire calme.
« Et alors ? Ce sont des esclaves. Vous êtes ici pour me sauver, et non pas un tas d’outils, » Shanteya avait traduit.
J’avais secoué la tête et l’avais regardé avec un regard calme.
« Non... Pas vraiment, » lui avais-je dit. Puis j’avais envoyé l’un de mes rayons laser au niveau de sa tête.
Je l’avais tué de sang-froid et pourtant... Je n’avais rien ressenti. Comment pourrais-je le faire alors qu’il considérait la vie des enfants comme un outil ? Comment pourrais-je être clément alors qu’il avait réduit des enfants en esclavage et les avait utilisés comme ça, comme nourriture pour les monstres pour sauver sa propre peau ? La colère à l’intérieur de moi était contrôlée par une furie troublante. C’était comme si un démon tirait les ficelles de mon cœur et le frappait de temps en temps avec un bâton de fer chaud.
« Malheureusement, nous n’avons pas pu le sauver, » avais-je dit froidement.
« Soupir, je m’en fiche de la récompense, » Nanya secoua la tête.
« Quel que soit le souhait du Maître, je suis d’accord, » déclara Shanteya.
En les entendant, mon cœur avait senti un soupçon de douleur. En regardant vers elles, j’avais doucement touché sa joue gauche, ce qui avait fait virer son visage vers du rouge vif.
« La différence, c’est que tu veux me suivre, et avec une seule demande de ta part, je suis prêt à te libérer. Le contrat est esclave et maître, mais le lien entre nous est celui d’amis ou plus..., » avais-je dit puis j’avais fermé les yeux un instant. J’avais ensuite regardé mes deux femmes. « Les filles, si jamais je me détourne de ce train de pensée, arrêtez-moi s’il vous plaît, » je leur avais dit ça avec le sourire, mais j’avais refusé de leur dire pourquoi j’avais peur de changer.
La vérité se trouvait au fond de moi : les ténèbres.
« Ne t’inquiète pas, Illsy, tu ne le feras pas ! » déclara Nanya avec un sourire de confiance.
« Tu auras toujours mon soutien, » Ayuseya me l’avait dit avec sa main sur son cœur.
« Le mien aussi, Maître, » déclara Shanteya.
Je leur avais montré un sourire doux, puis j’étais sorti de la pièce. Mais avant de partir, j’avais regardé l’humain mort.
Pourquoi ne ressens-je rien vis-à-vis de ça ? Pourquoi est-ce que je trouve si normal d’avoir tué quelqu’un comme lui ? avais-je réfléchi, puis je m’étais retourné.
Même quand je m’étais souvenu de ce que j’avais fait à Dankyun, il me semblait que cela ne me dérangeait pas beaucoup, si je le devais dire... d’une certaine façon, j’avais quelques limites. Jusqu’à un certain point, je les battrais à coups de poing. Après ça, je les tuerais. S’ils étaient si mauvais que je ne pouvais pas les voir, les tuer était trop peu, et je voulais les torturer d’une manière ou d’une autre. Je voulais les voir souffrir ou savoir qu’ils étaient dans un enfer tout en restant vivants... C’était mal de ma part de penser de cette façon, mais la torture était pire que la mort à mon avis. Pour certains, la mort était une évasion plutôt qu’une punition. Cela s’appliquait aussi à cette ordure de Dankyun.
Mais encore une fois, une autre question avait été soulevée à l’intérieur de mon cœur : quelqu’un qui pourrait tuer si facilement pourrait-il être autorisé à enseigner aux enfants innocents de ce monde ?
Merci pour le chapitre.
merci pour cette deuxième partie^^.
Merci pour le chapitre 😊
Merci pour le chapitre.
Merci pour le chapitre 🙂
Je me demandais, vous faites vous-mêmes les parties ou les chapitres sont prédécoupé a l’origine ?
Je me posais la question car le système de « partie de chapitre » n’est pas très fréquent, mais en même temps en les réunissant toutes ça fait un très très long chapitre.
Pour tous les romans de cette auteur (donc 100 en chance, et lui) et de quelques autres (dont celui de Mariage), ils ont déjà tout pré couper, et nous ne faisons que respecter la longueur. Ils sont même sortie séparément, une sortie par partie.
Donc si la partie fait 4k, on fait une partie de 4k, et avec un module sur le site, vous pouvez lire le chapitre d’un coup une fois tout sortie, sans que nous ayons de dupliquer les données. Idem pour les tomes.
Ainsi, on édite qu’au niveau le plus bas.
Et pour les parties de chapitres, c’est pas vraiment rare.
C’est aussi le cas d’un certain nombre de LN qui ont des précoupages dans leur chapitre (comme Strike, Campione, et plein d’autre). Nous essayons donc d’utiliser cela autant que possible.
Pour d’autre, nous utilisons les coupures naturels dans la narration, indiqué par des marqueurs spécifiques au romans (Ne pas invoquer, Neechan, etc).
On préfère sortir plus souvent des parties qui font plus ou moins la même taille (1.5k à 4k), que de prendre 3 semaines pour sortir un chapitre entière, fusionné. Et c’est plus léger pour l’édition et la correction.
Je te remercie pour cette claire et rapide réponse.
Je pensais que c’était rare, mais ce doit dans ce cas être car j’ai tendance a mettre dans la même catégorie les LN, Xanxia et autres dont j’ai oublié le nom qui pour ces dernier ne possède quasiment jamais de ‘partie’ (ou alors je me trompe encore et je suis juste inattentif ^^).
C’est normal.
Les WN (japonais et les romans chinois, dont font partie le Xanxia n’ont quasi jamais de parties, car ils sont déjà couper en micro chapitre équivalent des parties des LN.