Izure Shinwa no Ragnarok – Tome 1 – Chapitre 4 – Partie 6

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Chapitre 4 : La Sorcière Dorée et le Roi du Mal

Partie 6

Elle s’était avancée vers l’armée d’esprits qui s’étaient alignés et les avait présentés de ses mains, ce qu’elle avait fait avec allégresse.

« À partir de maintenant, c’est le deuxième test. Ce serait bien que tu meures. Car ainsi, je pourrais récupérer ton âme. Mais si tu as réussi à survivre après ça, je ferai de toi mon nouvel amant, » déclara Freyja.

« Je refuse, » avais-je répondu.

« Hahahah. Alors, commençons maintenant, » Freyja avait déclaré ça puis elle avait baissé ses mains d’un coup.

Conformément au signal de leur maîtresse, les esprits avaient commencé à venir à nous.

{ ... il est temps d’y aller.}

« Ouais, » répondis-je dans un murmure à Balor.

Sans attendre l’appel de Balor, je m’étais déjà préparé à ce qui allait arriver.

À partir de maintenant, nous nous trouvions dans l’instant critique de cette lutte à mort.

Je devais prendre le contrôle de ce lieu, de son Régalia afin de rendre Freyja vulnérable.

Et après ça, je devais éliminer Freyja, qui était actuellement en train de sourire en flottant haut dans les airs.

J’avais alors lâché les armes et j’avais recoiffé ma mèche baladeuse, puis j’avais exposé mon œil gauche.

J’avais activé la deuxième capacité de l’Oeil Maléfique.

... La grande armée faite d’esprits qui, avant ça, faisaient un bruit de tonnerre rugissant s’était transformée en poussière en un seul instant.

« ... » L’expression Freyja s’était figée à cet instant-là.

« Tenter de submerger par le nombre ne marchera pas contre moi, » lui avais-je dit en lui montrant mon Œil Maléfique.

... L’Oeil Maléfique de Balor, la quatrième forme, la Mort.

Il s’agissait de la capacité la plus célèbre parmi les utilisateurs d’Œil magique, mais en même temps, c’était celle que les dirigeants craignaient le plus.

Il s’agissait d’une capacité désastreuse qui était capable de répandre la mort à travers un simple regard.

 

 

C’était semblable à ce qui était arrivé lorsque Balor le roi des Fomoriens avait apporté la mort à la famille Danna qui était dirigée par Lugh.

Devant cet Oeil Maléfique, même les grosses troupes ne pouvaient pas éviter leur transformation en poussière.

Les résultats auraient été identiques même s’il y avait des millions d’esprits face à moi. Dès maintenant, il n’y avait plus aucun guerrier qui se précipitait vers moi.

« Mon Oeil Maléfique et ton Regalia sont incompatibles l’un avec l’autre, » déclarai-je.

« ... »

Les yeux de Freyja étaient devenus plus vifs quand elle avait commencé à mettre ses bras ensemble.

C’était évident ce qui était arrivé à ses propres subordonnés.

Les esprits, qui étaient sa carte maîtresse, avaient tous été massacrés en un instant. Je me demandais bien ce qu’elle ressentit en ce moment ?

Je m’étais concentré méticuleusement sur ce qu’elle allait dire ensuite.

« ... Ku. »

Je l’avais alors entendue, un rire qui semblait venir du fond de sa gorge.

« Kukukukukukukukukukukukuku, » Freyja était en train de résister à ses propres désirs, mais c’était comme si elle pouvait encore le refréner pendant un petit moment.

Alors,

« Ne me dis pas que tu pensais avoir gagné ? » m’avait-elle demandé en affichant un air de bonheur. Elle avait alors continué à rire tout en me regardant.

Ce sourire, c’était un sourire de quelqu’un qui prenait plaisir en voyant le désespoir de l’autre.

Et en même temps que Freyja jubilait avec ce sourire... depuis le nuage de poussière, des silhouettes humaines avaient émergé...

Il s’agissait des esprits qui étaient tombés au sol quand j’avais activé mon pouvoir.

Mais leur quantité n’était plus qu’une centaine.

Cependant, il était probable qu’ils soient immunisés contre la Mort de l’Oeil Maléfique.

Avant de demander pourquoi, Freyja avait répondu à ma pensée. « Pourquoi crois-tu que j’ai choisi ce terrain pour invoquer les esprits ? Tout simplement parce que cet endroit possède une surface vraiment très spacieuse. »

Une surface spacieuse. En entendant cette explication, tout s’était emboîté dans mon esprit.

Bien qu’un espace dégagé semble une bonne chose à première vue, lorsque le nombre d’ennemis dépassait des dizaines de milliers de personnes, il était possible de créer un angle mort.

Ils s’étaient placés à l’arrière de la ligne de bataille. Même si le terrain était large, il était impossible pour toute l’armée de marcher côte à côte.

Cela allait toujours former une masse. Ainsi, les groupes de la face avant deviendraient un mur, tandis que ceux de derrière pourraient se cacher dans leur ombre, ce qui créait l’angle mort pour le genre de pouvoir que j’avais.

Freyja avait continué les pourparlers avec moi. « L’Oeil Maléfique possède des capacités très connues. Il est donc facile de les anticiper et de préparer des contre-mesures contre tout ça. »

« ... Tch, » j’avais fait claquer ma langue et j’avais pris le pistolet que j’avais jeté plus tôt.

Simultanément, les esprits m’avaient chargé.

« Allez-y ! Il n’y a plus besoin d’être prudent à l’égard de son Oeil Maléfique, » déclara Freyja.

L’armée des esprits avait chargé comme un seul homme.

Bien que ma faiblesse avait été révélée, il n’y avait aucun moyen d’échapper à la mort une fois présentée devant l’Oeil Maléfique.

Cependant, alors que c’étaient ainsi les esprits présents devant moi n’étaient rien de plus que des marionnettes Freyja.

Tout le monde avait plongé vers moi sans avoir peur de la mort.

« Shinzen Raika ! » Brünnhilde était allée vers l’avant et avait frappé avec son épée sur les esprits.

*clang**clang*

Elle avait coupé l’un des esprits puis elle était passée au suivant.

Est-ce que ce visage est celui d’une Valkyrie qui montre de l’excitation ?

Cependant, ce n’était pas suffisant pour renverser la situation.

Quoi qu’il en soit, la différence entre le nombre de personnes de chaque coté était trop grande.

Je me battais aussi avec mes deux pistolets, mais nous étions loin de la victoire.

Chaque fois que le combat se prolongeait d’une seconde, nous étions de plus en plus éloignés de la victoire.

Pendant ce temps, Freyja nous regardait avec délectation, alors que nous luttions chèrement pour nos vies.

« C’est bien, Raika. Tue autant que tu le veux. La valeur de ton âme augmente proportionnellement au nombre des morts que tu auras causés, » elle avait l’attitude d’une gagnante.

Selon elle, c’était comme si elle avait déjà gagné.

Mais c’était une certitude. Car peu importe comment vous voyez les choses, ma situation était désespérée.

Je ne pouvais utiliser la capacité de l’Oeil Maléfique qu’une seule fois.

Mais il était encore trop tôt pour appeler cela une victoire,

« Kya ! »

Devant moi, les deux épées de Brünnhilde avaient été détruites.

Plusieurs esprits s’étaient rapidement rapprochés d’elle. Sa situation devenait vraiment désespérée.

En regardant ça, je...

« Merde ! »

J’avais activé une nouvelle fois l’Oeil Maléfique.

Le pouvoir de la Mort avait dévoré les esprits qui tentaient de tuer Brünnhilde et cela les avait instantanément transformés en poussière.

Pendant ce temps, bien que j’avais essayé de viser tous les esprits environnants... il n’y avait aucune chance que je puisse tous les annihiler.

« Viens par ici ! » criai-je à Brünnhilde.

« Ahn ! » cria-t-elle en réponse.

J’avais tiré la main de Brünnhilde afin que nous puissions battre en retraite.

Nos chances de gagner étaient maintenant devenues nulles.

Il ne restait plus qu’à courir pendant toute la nuit jusqu’au matin.

Il s’agissait de la dernière option que j’avais actuellement.

Mais... les ennemis n’étaient pas assez gentils pour nous le permettre.

En un clin d’œil, nous avions tous les deux été mis à terre sur les pavées d’or.

L’un des esprits avait rapidement levé son épée et avait tenté de me décapiter.

Mais à ce moment-là.

« Högni. C’est assez. »

L’esprit ayant pour nom Högni avait soudainement cessé de bouger.

Celle qui l’avait arrêté était bien entendu Freyja.

Avant que je ne le remarque, elle était descendue du haut de son escalier.

Les esprits avaient immédiatement ouvert le chemin à leur reine.

Freyja s’approchait calmement de moi. Elle avait l’air fragile quand elle s’était arrêtée devant moi.

« Tu as perdu, Raika, » déclara Freyja.

« ... Alors, dépêche-toi de me tuer, » je l’avais exhortée à le faire d’une voix forte.

En entendant mes dernières paroles, Freyja avait laissé sortir un sourire plein de compassion.

« C’est exact. Je vais te tuer. Mais il reste encore beaucoup de temps avant que la nuit ne soit terminée, » déclara Freyja.

« ... Qu’est-ce que tu veux ? » demandai-je.

« Hé, Raika. Pourquoi ne pas s’amuser avant cette fin ? » déclara-t-elle en se léchant les lèvres.

Je savais très bien quel genre de déesse elle était et donc, j’avais bien compris ce qu’elle voulait dire.

« ~~~~ »

Brünnhilde semblait être devenue embarrassée et elle était devenue rouge en un instant.

« Je n’aime pas ce genre de choses. Freyja, n’approche pas plus ton visage, » lui avais-je demandé.

« Tu sais, j’adore les garçons forts. Comme ce Högni... et toi, Raika. » Avait répliqué Freyja.

Freyja avait déclaré cela en caressant les muscles abdominaux de l’esprit qui avait essayé de me décapiter plus tôt.

« Ce Högni est l’un de mes préférés. Le connais-tu, Raika ? » demanda Freyja.

« ... Je le connais, » avais-je répondu.

Högni était le nom d’un roi qui avait été assassiné par ses amis proches et aussi une personne malveillante sous l’influence de Freyja.

Freyja avait caressé affectueusement cet homme, qui avait rencontré une fin misérable.

Puis, elle avait enlevé sa main d’Högni, et cette fois elle avait caressé ses propres seins.

Non...

Ce n’est pas les siens.

« C’est la première fois que je vais le faire avec ce corps. On dirait que ce corps est encore vierge, je me demande si c’est une grosse affaire si je te donne sa virginité. Comme ça, ne seras-tu pas plus heureux ? » Freyja avait pris la liberté de jouer avec les seins de Shishigane Ruirui alors qu’elle me disait ça.

« ... ! »

Le sang était probablement sorti à travers mes blessures à cause de ma colère intense.

Jusqu’à quand...

« Veux-tu te moquer de l’humain jusqu’à ce que tu sois satisfaite... ? » avais-je demandé.

« Quoi ? Es-tu en colère ? » m’avait-elle demandé en retour.

« ... »

« Tu ne peux plus t’en sortir en utilisant l’œil. Je sais que tu l’as déjà utilisé trois fois. Raika, tu n’as pas d’autre méthode pour gagner contre moi, » Freyja avait déboutonné son uniforme tout en me disant ça.

Sa peau douce sous une lingerie érotique qu’elle avait due achetée la dernière fois avait été exposée à mes yeux.

« Viens, on va s’amuser ensemble, » après qu’elle eut dit ça, Freyja était vite venue m’enlacer...

J’avais alors regardé le toit du palais des esprits.

*Pisshiri... !*

Une fissure avait semblé parcourir cette zone.

Puis les esprits avaient été bloqués sur place.

Et également Brünnhilde.

Et il en était de même les esprits qui s’étaient transformés en poussière avant ça.

Sans aucune exception, tout cela avait surgi comme si tout ce qui s’était produit avant n’avait été qu’un rêve.

« Quoi !? » Freyja avait crié de surprise alors qu’elle était à moitié nue devant moi.

Les esprits qui l’entouraient s’étaient figés alors qu’elle était témoin de ça, stupéfaite.

Il n’y avait plus aucun esprit qui sortait des portes du palais en ce moment.

En d’autres termes, l’intégralité de ses forces était présente sur le champ de bataille. Elle n’avait plus aucune réserve.

« Freyja !! » avais-je crié en m’étant placé avant ça sur le toit.

« !? »

Freyja était toujours en train d’osciller devant ce qui se passait devant elle.

Comme s’ils étaient accrochés par mon cri, tous les autres esprits avaient tourné la tête pour me voir.

Comme un guerrier qui avait perdu de vue ses ennemis, chacun avait regardé l’origine de la voix.

c’est le bon moment.

En un instant.

*Zap*

Après ça, tous les esprits s’étaient transformés en poussière.

Il n’en restait plus aucun de présent.

« Hein ? » Freyja avait haussé une voix abasourdie.

Elle avait regardé autour d’elle, mais aucun des esprits n’était resté présent.

C’était une évidence.

Ça me dérangeait que je doive monter sur un toit, mais cela me permettait de ne pas ignorer certains ennemis depuis cette altitude.

Quand il s’agissait d’une grande armée où un tel point aveugle était présent, il n’y avait qu’une seule solution.

Si vous regardiez en bas depuis une haute altitude, vous pouviez saisir toute la zone sans aucun angle mort.

Ça voulait dire que je pouvais tuer tout le monde avec l’Oeil Maléfique, la Mort.

Même si je ne le lui expliquais pas, une personne comme Freyja pouvait sûrement comprendre.

« ... Qu’est-ce que c’était au juste ? » Cependant, Freyja était toujours emplie de doute. « Pourquoi, comment es-tu capable d’utiliser l’Oeil Maléfique quand tu as atteint tes limites ? »

« ... »

« Tu aurais déjà dû atteindre tes limites en l’utilisant trois fois... alors, pourquoi ? » demanda Freyja.

« La réponse est simple, » je lui avais répondu sans énergie. « La deuxième forme de l’Oeil Maléfique... tu as peut-être vu que j’ai utilisé l’œil de la mort sur ton armée d’esprits, mais en fait, j’ai utilisé l’Oeil Maléfique de l’Illusion sur toi pour te faire voir que je l’ai utilisé deux fois. »

« ... !? »

Les yeux de Freyja s’étaient écarquillé.

La raison pour laquelle je lui avais montré cette vision, c’était bien sûr afin de la faire descendre de sa position surélevée à cause de son insouciance.

C’était une astuce simple une fois que vous l’avez révélée.

Freyja s’était mise à genoux alors qu’elle était couverte de sueur. « Une telle chose..., comme si tu voyais déjà à travers tous les trucs et actions que j’avais préparés !? Brünnhilde devrait ne plus avoir de souvenirs ! Il n’y a aucun moyen d’obtenir l’information... »

« Même sans l’information, j’ai mon cerveau, qui a été infusé avec toutes les informations concernant les Dieux. Avec ces deux armes seules, cela suffit pour qu’un homme tue un Dieu, » répliquai-je.

Freyja avait dit que l’Oeil Maléfique était une capacité connue, il était donc plus facile de préparer une contre-mesure.

Il en allait de même pour moi. Les caractéristiques du nom de la déesse Freyja étaient connues. Ses traits étaient connus tels qu’elles étaient racontées dans les légendes. Je parlais de son Regalia et ses capacités.

Alors, en passant en revue toutes ces connaissances et mes prévisions, il était facile à développer une contre-mesure.

C’est ainsi que la plupart des personnes se battent.

D’après mes recherches concernant le Régalia de Freyja, il était facile de prédire que le sien serait lié à des choses utilisées pour invoquer les esprits.

Comme contre-mesure pour cela, mon plan initial était de monter à la place la plus haute possible avant de libérer mon Oeil Maléfique.

Même si le Régalia de Freyja ne s’était pas avéré être le Palais des Morts, Fólkvangr, je croyais que cette déesse de la mythologie nordique aurait alors une sorte de mur.

Les Traditions, les anecdotes, c’était son Régalia.

Tout cela était suffisant pour confirmer ses compétences et ses capacités.

« Dans tous les âges, d’est en ouest, il y a Dieu avec une grande sagesse... mais, parmi eux, y avait-il un maître stratège tel que Sun Tzu et Hannibal ? »

Il y avait une légende où Dieu utilisait la sagesse pour vaincre certains monstres, mais la plupart d’entre eux dépendaient d’une capacité ou d’un équipement ou d’une sorte d’outils.

Inversement, le Dieu lui-même suffisait pour ce genre de chose.

Ils avaient un grand pouvoir, parce qu’ils avaient en eux-mêmes les outils qui rendraient inutiles ce que je les humains avaient besoin.

Par conséquent, il n’était pas nécessaire qu’ils se remettent en question quant à leur limite comme devraient le faire les faibles... l’occasion... ils n’en avaient jamais eu l’occasion depuis leur création.

« Il est encore un million d’années plus tôt pour comparer une sagesse divine à celle d’un humain. »

« ... kuh ! »

C’était alors que l’expression de Freyja avait été déformée.

*Crack*

Et, avec ce son, le Palais des Morts, Fólkvangr, avait commencé à se briser.

Ce n’était pas seulement le bâtiment. Le pavé d’or et les pierres avaient été arrachés du sol sous la forme de particules d’or.

Finalement, il ne restait plus que la poussière accumulée sous la nuit et le bâtiment de l’école.

{ ... cette renarde a finalement admis sa défaite dans ses cœurs. Son Régalia est complètement brisé,} Balor riait de tout son cœur.

La situation pour le Contrôle avait été mise en place.

« Tch ! »

Freyja était sous pression face à chaque pas que je faisais vers elle.

Elle pensait peut-être à s’échapper, mais il était déjà trop tard.

Elle était complètement dépassée par ma volonté.

De derrière, Brünnhilde, qui était couverte de poussière, sauta à côté d’elle.

« Quoi !? Brünnhilde ! Éloigne-le de moi ! » ordonna Freyja.

« Je ne veux pas ! » répliqua Brünnhilde.

« Toi ! Comment oses-tu désobéir aux ordres de ta maîtresse ? » s’écria Freyja.

« ... ku ! Je suis... ! » Brünnhilde avait parlé en réponse à ce que lui disait Freyja. « Pour l’instant, mon maître n’est plus toi ! »

« ... ! »

Après avoir entendu le rejet de Brünnhilde, la résistance de Freyja s’était affaiblie.

J’étais descendu du toit avant d’arriver au sol.

« C’est presque l’heure, » annonçai-je en regardant le ciel. L’horloge sur le mur était maintenant sur le zéro, cela indiquait que le jour suivant avait commencé.

J’étais maintenant capable d’utiliser à nouveau la capacité de l’Oeil Maléfique.

« J’y vais, » j’avais marché vers le centre de la zone, afin de fermer le grand rideau pour la grande bataille de ce soir.

***

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Un commentaire :

  1. Dominique Ringuet

    Merci pour le chapitre!

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