Infinite Stratos – Tome 1 – Chapitre 4 – Partie 3

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Chapitre 4 : Épreuve de force ! Le match de ligue des classes

Partie 3

« Hé ! M’écoutez-vous !? Orimura ! Huang ! M’écoutez-vous !? » cria Yamada.

Il n’y avait aucune raison de crier sur les systèmes de communication de l’IS, mais Yamada était trop nerveuse pour s’en rendre compte. Pendant ce temps, Chifuyu, en regardant cela de quelques mètres de distance, était plus calme.

« Ils ont dit qu’ils le feraient. Alors, laissez-les faire, » déclara Chifuyu.

« M-Ma-Mad-Mademoiselle Orimura ! Vous n’êtes quand même pas sérieuse ! » s’écria Yamada.

« Calmez-vous. Buvez un peu de café. Le manque de sucre vous rend nerveuse, » déclara Chifuyu.

« Hum... C’est du sel, » déclara Yamada en voyant ce que faisait Chifuyu.

« ... »

Sa main s’arrêta et elle ramena la cuillère de poudre blanche dans son récipient.

« Pourquoi y a-t-il du sel ici ? » demanda Chifuyu.

« Je ne sais pas ? Mais il est écrit sur le pot que c’est du sel..., » déclara Yamada.

« ... »

« Oh ! Après tout, vous devez vous inquiéter pour votre frère ! Alors, le fait que vous vous soyez trompée..., » commença Yamada.

« ... »

Il y avait alors eu un silence inconfortable. Trop inconfortable, en fait. Yamada avait essayé de détourner la conversation dans l’espoir de changer cela.

« Eu-Euh... »

« Yamada, voilà votre café, » déclara Chifuyu.

« Mais il y a déjà du sel dedans..., » répondit Yamada.

« Votre café, » insista Chifuyu.

Elle avait bu du café. C’était un peu salé.

« Merci..., » déclara Yamada alors qu’elle avait les larmes aux yeux.

« Buvez tant que c’est chaud, » continua Chifuyu.

Vraiment, les démons vivaient parmi les hommes.

« Donnez-moi la permission de piloter mon IS ! J’attaquerai immédiatement ! » Cécilia avait plaidé pour y aller.

« J’aimerais vous laisser faire, mais regardez ça plutôt, » déclara Chifuyu.

Elle avait touché l’écran de contrôle à quelques reprises, et l’information qui s’y trouvait avait changé. Il affichait maintenant les valeurs d’état de la deuxième arène.

« Le bouclier d’isolation a été réglé au niveau quatre, non ? Et maintenant, toutes les portes sont fermées ? Est-ce l’IS qui a fait ça ? » demanda Cécilia.

« On dirait que oui. Ils ne peuvent pas s’échapper, et nous ne pouvons pas les soutenir, » Chifuyu avait dit cela d’une voix égale et composée, mais lorsqu’elle avait appuyé sur les boutons du terminal, son irritation était évidente.

« Alors, nous devons demander l’aide immédiate du gouvernement ! » demanda Cécilia.

« C’est ce que nous faisons. L’élite des troisièmes années pirate le système en ce moment même. On enverra une équipe de sauvetage une fois que le bouclier d’isolement sera désactivé, » répondit Chifuyu.

Les sourcils de Chifuyu tremblaient. Son irritation grandissante se manifestait. Cécilia avait interprété cela comme un signe du danger dans lequel ils se trouvaient et s’était tout simplement assise.

« Haha... Donc je ne peux rien faire d’autre qu’attendre..., » déclara Cécilia, résignée.

« De toute façon, vous ne serez pas dans l’équipe de sauvetage, » annonça Chifuyu.

« Qu-Quoi !? » s’écria Cécilia.

« Votre IS est conçu pour combattre plusieurs adversaires à la fois. Se battre ensemble dans un groupe contre un seul ennemi va rendre les choses plus difficiles pour les autres, » expliqua Chifuyu.

« Ce n’est pas vrai ! Je ne leur rendrais pas les choses plus difficiles ! » répliqua Cécilia.

« Alors, vous êtes-vous entraînée au combat d’équipe ? Quel était votre travail là-bas ? Comment avez-vous utilisé les larmes ? Que vont faire vos alliés ? Dans quelle mesure l’adversaire était-il compétent ? Combien de combats d’équipe avez-vous... ? » demanda Chifuyu.

« C-C’est bon ! J’ai compris ! » déclara Cécilia, vaincue.

« Hmph. Bien, » acheva Chifuyu.

Chifuyu aurait pu continuer plus d’une heure si cela avait été nécessaire. Elle avait arrêté Cécilia avant qu’un problème puisse survenir. Cécilia avait abandonné.

« Haha... Je suis contrariée de ne pas pouvoir répondre à ça..., » déclara Cécilia.

Elle se sentait épuisée, et soupira un peu plus profondément qu’avant, puis elle remarqua quelque chose.

« Hmm... Où est Shinonono ? » demanda Cécilia.

Cécilia regarda autour d’elle. Chifuyu regarda les moniteurs d’un air sinistre et quelque peu différent qu’auparavant. Mais à l’époque, les autres personnes dans les lieux n’avaient pas remarqué cela.

 

◇◇◇

 

« Tch... ! »

J’étais à portée de mon attaque ultime, mais mon coup avait été esquivé par l’ennemi. C’était la quatrième fois que je ratais ma chance.

« Ichika ! Espèce d’idiot ! Fais-le correctement ! » cria Rin.

« J’essaye ! » répondis-je.

J’avais attaqué si vite et avec tant de férocité que personne n’aurait pu l’éviter, mais les propulseurs de l’IS ennemi avaient un débit de sortie vraiment étonnant. Il n’avait pas eu besoin de plus d’une seconde pour se mettre à une distance considérable de moi. Et peu importe à quel point Rin distrayait l’ennemi, il avait toujours réussi à esquiver mes attaques à temps.

C’est une très mauvaise situation...

L’énergie de mon bouclier n’était plus que de 60. Je n’avais plus qu’une seule chance d’utiliser mon annulation de barrière.

« Ichika, bats en retraite ! » déclara Rin.

« D’accord ! » répondis-je.

Chaque fois que l’unité ennemie avait esquivé mes attaques, elle avait répondu par une série de contre-attaque ridicule. Elle s’était approchée de moi en agitant ses longs bras, comme un cheval effrayé, tout en tirant des faisceaux à partir de ces bras.

« Cette satanée chose est si ennuyante ! » déclara Rin.

Rin avait ouvert les parois pour utiliser ses canons à impact et avait tiré. L’ennemi avait dévié les projectiles invisibles, ce qui avait ainsi mis en échec sa septième tentative. Quoi qu’il en soit, son tir de soutien avait permis de distraire l’unité, et j’avais pu éviter d’être au corps à corps avec elle. Heureusement, la portée efficace de son arme à faisceau en mode de tir rapide n’était que de la moitié de sa distance normale.

« Rin, combien d’énergie te reste-t-il ? » demandai-je.

« Environ 180, » répondit Rin.

L’énergie de notre bouclier avait été dépensée. Elle en avait perdu une bonne partie, mais était quand même dans une meilleure situation que moi. Le fait de devoir utiliser l’Yukihira Nigata faisait des ravages dans mes réserves.

« C’est difficile... La chance de le frapper avec assez de force pour l’éteindre avec le peu qu’il nous reste est probablement à un seul chiffre, » déclara Rin.

« Oui, mais ce n’est pas zéro, » avais-je répondu.

« J’abandonne. Nous n’avons pratiquement plus d’options. Face à quelque chose que tu ne comprends pas, tu prends la voie sûre et ennuyeuse tel un vieil homme. Mais tu aimes vraiment jouer, n’est-ce pas ? » demanda Rin.

« Oh, la ferme, » répliquai-je.

Au fait, je n’avais pas parié. Ce truc était addictif pour moi, donc je ne le faisais plus. Parier sur des conneries avec Gotanda au collège m’avait coûté beaucoup de boissons gazeuses. J’avais décidé à l’époque que je voulais mettre de coter mon argent d’une façon normale, et j’allais en avoir besoin parce que nos pensions étaient toutes grillées.

« Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » demanda Rin.

« Fuis si c’est ce que tu veux faire, » répondis-je

« Quoi ? Tu te moques de moi ? Je suis une Cadette Nationale, tu sais ! Comme si j’allais m’enfuir avec la queue entre les jambes ! » déclara Rin.

Le trait le plus désiré de toutes les Cadettes Nationales était apparemment la fierté. Après tout, Cécilia avait toujours agi de la même façon.

« C’est vrai. Alors, je m’assurerai que tu me soutiennes, » dis-je.

« Euh... Oh... D’accord... C’est — . » Répondit Rin.

Rin devenait rose lorsqu’un rayon brûlant passa à côté d’elle. Eh bien, nous étions après tout toujours au cours d’une bataille. Ce n’était pas comme si nous ne faisions pas attention à ce qui se passait, mais nous devions plus nous concentrer à nouveau.

« Hé, Rin. Ses tactiques ne te rappellent pas quelque chose ? » demandai-je.

« Hein ? Je ne sais pas. Ne vas-tu pas dire que ça ressemble à un cheval ? » demanda en retour Rin.

« C’est exactement ce à quoi ça ressemble. Non, je veux dire, comme... Te souviens-tu de ce robot humanoïde qu’une compagnie automobile avait fabriqué il y a un moment déjà ? » demandai-je.

« Non... » répondit Rin.

À l’époque, elle devait vivre sous un rocher. ASI ou quelque chose comme ça ? Je ne m’en souvenais pas non plus.

« Je veux dire... Ça bouge comme une machine, ne penses-tu pas ça ? » demandai-je.

« Un IS est une machine, » répliqua Rin.

« Ce n’est pas ce que je veux dire. Comme... Crois-tu vraiment qu’il y a quelqu’un à l’intérieur ? » demandai-je.

« Quoi ? Un IS ne peut pas bouger sans un humain..., » s’exclama Rin.

Rin se tut.

« Il ne nous a pas beaucoup attaqués chaque fois que nous parlions. Comme s’il nous écoutait..., » déclarai-je.

Rin essayait de se remémorer la bataille. C’était la période où elle était très sérieuse à propos de tout.

« Mais... Une unité sans pilote ne devrait pas être possible. Un IS ne peut jamais bouger sans un être humain à l’intérieur. C’est comme ça qu’ils fonctionnent, » déclara Rin.

J’avais aussi lu cela dans un manuel scolaire : il devait y avoir quelqu’un à l’intérieur de l’IS. Mais était-ce vraiment la vérité ? Nous n’avions aucun moyen de savoir ce que faisait déjà la recherche de pointe. Après tout, ils n’en parleraient à personne.

« OK... Supposons que... Et si cette unité est sans pilote ? » dis-je.

« Quoi !? Veux-tu dire qu’on peut gagner si c’est sans pilote ? » demanda Rin.

« Ouais. On peut attaquer avec tout ce qu’on a si on sait qu’il n’y a personne, » annonçai-je.

Entre Yukihira Nigata et Reiraku Byakuya, mon attaque ultime, mon IS avait une tonne de puissance destructrice. Il était tout simplement trop puissant pour être utilisé dans les matchs de ligue ou à l’entraînement, mais contre une unité sans pilote, peu importe les ravages qu’il pouvait causer. J’avais un plan.

« Mais tu n’y arrives même pas. “Donner tout”, » déclara Rin.

« Le prochain va le toucher, » répondis-je.

« Je veux voir ça. Je ne pense pas que ce soit possible, mais supposons que l’unité ne soit pas habitée, » déclara Rin.

Rin savait peut-être que j’avais un plan. Elle me souriait. Parfois, elle m’avait affiché ce sourire auparavant. C’était le genre de visage qui disait. « Et si tu as tort, alors tu m’offriras des crêpes. » C’était le diable en personne cette fille. Elle m’extorquait ainsi depuis le collège.

« Ichika, » déclara Rin.

« Hm ? » demandai-je.

« Que dois-je faire ? » me demanda-t-elle finalement.

{Je ferai tout ce dont tu as besoin. Mais si ça échoue, tu vas devoir traiter avec moi.}

Elle était très douée pour communiquer cela avec ses yeux. Il y a une bonne phrase pour cela : la compréhension tacite.

« Quand je te donnerai le signal, je veux que tu lui tires dessus avec tout ce que tu as, » ordonnai-je.

« D’accord. Mais ça ne va pas le frapper, » répondit Rin.

« C’est très bien ainsi, » déclarai-je.

« D’accord, allons..., » commença-t-elle.

Je m’étais repositionné pour attaquer, mais alors une voix avait surgi des haut-parleurs de l’arène.

« ICHIKA ! »

Il s’en était suivi un bruit de retour audio élevé. Houki me criait dessus.

« Qu’est-ce que tu fais !? » m’écriai-je.

L’arbitre et le commentateur étaient allongés à côté d’elle. Apparemment, elle les avait maîtrisés et assommés. Ils n’allaient pas se réveiller avant un moment, oh, bon sang.

« Tu es un homme... Alors comment un homme ne peut-il pas gagner contre cette chose ? » cria Houki.

Sa voix avait de nouveau généré beaucoup de feed-back audio. Je pouvais la voir agrandie grâce à mes hypersenseurs. Houki était essoufflée et haletante. Elle avait l’air en colère, mais aussi très effrayée... C’était étrange à voir.

« ... »

Merde. L’IS ennemi avait été distrait par la transmission sur l’ensemble de l’arène. Ses lentilles de détection s’étaient détournées de nous et elles visaient maintenant Houki.

« Houki, cours ! » criai-je.

Elle n’allait pas s’en sortir. Je devais y aller immédiatement. J’avais changé de posture et accéléré. Mes yeux étaient braqués sur l’IS ennemi, qui s’était tourné vers Houki.

« Rin, feu ! »

« D’accord ! »

Rin baissa les bras pour permettre à ses canons montés sur ses épaules de tirer à l’avant. Elle allait tirer à pleine puissance, alors elle avait dû déployer au maximum ses ailes auxiliaires. J’avais déplacé mon unité directement dans sa ligne de tir.

« H-Hey, espèce d’idiot ! Qu’est-ce que tu fais !? Dégage le passage ! » cria Rin.

« Fais feu et c’est tout ! » ordonnai-je.

« Putain de merde ! Ne me blâme pas après ça ! » cria Rin.

Quand j’avais ressenti la réaction de haute énergie dans mon dos, j’avais activé mon Allumage Turbo. Le principe de l’accélération instantanée était ceci. J’allais expulser l’énergie de mes ailes dans mon propulseur arrière, l’absorber avec le système principal et l’éjecter avec encore plus de pression. En retour, cela générerait une quantité extraordinaire d’inertie que je pourrais utiliser pour accélérer. Dans l’ensemble, cela signifiait que je pouvais utiliser toute énergie venant de l’arrière, et la vitesse à laquelle j’avancerais serait proportionnelle à la quantité d’énergie investie.

*Bang !* j’avais ressenti un impact massif sur mon dos.

Le projectile du canon m’avait touché. Mon corps avait craqué, et j’avais été projeté vers l’avant.

« WHOAAA ! »

La lumière d’Yukihira Nigata dans ma main droite brûlait encore plus intensément qu’avant. La taille de la lame lumineuse autour de la lame matérielle avait augmenté d’un cran.

Je pouvais maintenant utiliser Reiraku Byakuya, le taux de conversion énergétique était supérieur à 90 %.

Je le savais. Je pouvais le sentir. J’avais l’impression que c’était comme lorsque j’avais touché un IS pour la première fois. Tout était clair et lucide, comme si je comprenais tout ce qui m’entourait. Ma concentration était dix fois supérieure à la normale, si ce n’est plus, et mon esprit était tellement plus rapide. Je sentais la puissance dans mes mains.

Chifuyu... Houki... Rin... Je les protégerai... Je protégerai tout le monde !

J’avais coupé le bras droit de l’ennemi avec ma frappe massive. En retour, son bras gauche m’avait frappé à mort, et juste au point d’impact, j’avais détecté une signature thermique. Il tirait avec son arme à faisceau.

« « ICHIKA ! » » Houki et Rin criaient.

Attendez, ce n’est pas encore fini !

« Verrouillé ? » demandai-je.

« Parfaitement, » répondit une autre voix.

Je l’entendais clairement. Elle pouvait parfois être ennuyeuse, mais j’étais content à ce moment-là d’entendre sa voix. Les quatre sous-unités mobiles de l’IS Larmes Bleues avaient fait feu sur l’ennemi IS depuis les gradins. Mon attaque avait détruit le bouclier d’isolation. Mon plan avait été mis en œuvre.

*Bam !* l’ennemi IS avait été jeté au sol par les coups de laser.

Sans la barrière de bouclier, l’IS ennemi avait encaissé tous les tirs sans avoir le temps de réagir. Peut-être qu’un humain aurait pu anticiper cette attaque, mais pas une machine. Après tout, l’improvisation était le plus grand atout de l’être humain. Les êtres humains étaient rusés, ils allaient toujours trouver des moyens de vous piéger. Les machines ne pouvaient pas faire la même chose.

« C’est passé de peu, » déclara Cécilia.

« Je savais que tu pouvais le faire, Cécilia, » lui répondis-je.

J’avais répondu en toute confiance. Après tout, je l’avais déjà combattue. Je savais à quel point elle était compétente. Peut-être ne s’attendait-elle pas à cela ? Elle semblait bouleversée quand elle m’avait répondu.

« Je vois... Bien sûr ! Après tout, je suis Cécilia Alcott. Je suis la Cadette Nationale de la Grande-Bretagne ! »

C’était ce qui se passait sur notre canal privé. Je ne savais pas comment répondre en privé à quelqu’un que je n’avais jamais rencontré auparavant, mais des contacts plus anciens étaient apparus dans mon journal de bord, et je pouvais les utiliser. Je n’avais qu’à les imaginer au fond de mon esprit, et m’imaginer en train de leur parler.

« Hmph. Au moins, c’est fini maintenant, » déclarai-je.

[AVERTISSEMENT : VERROUILLAGE DÉTECTÉ. L’ENNEMI EST RÉACTIVÉ.]

« Qu’est-ce que c’est ? » m’écriai-je.

Il n’avait plus que son bras gauche. Les canons qui s’y trouvaient étaient passés en mode rafale à haut rendement et me visaient directement. Je pouvais voir la lumière qui se rassemblait dans ses canons. J’avais plongé tout droit vers cette luminosité sans hésitation. Tout était lumineux. Je ne voyais rien, mais je pouvais sentir mon épée frapper la lourde armure de l’IS.

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2 commentaires :

  1. Merci pour le chap ^^

  2. Merci pour le chapitre !

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