Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 9 – Chapitre 6

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Chapitre 6 : Un présent troublant

Environ deux jours s’étaient écoulés depuis la célébration.

Nous avions réussi à balayer les monstres de cette terre, mais nous allions rester jusqu’à ce que nous apprenions l’état actuel de la vague de démons.

Ainsi, deux jours plus tard, la situation dans chaque pays était devenue claire.

Selon les rapports des Chats Noirs, avec la destruction des monstres rassemblés dans le duché de Chima, le nombre de monstres attaquant tous les pays avait sensiblement diminué. Ils estimaient que les Forces unies de l’Union des nations de l’Est pouvaient s’occuper du reste, ce qui signifiait que nous n’étions plus nécessaires ici.

Pendant que nous emballions les camps des Forces de défense nationale de Friedonia pour nous retirer, j’avais entendu une voix.

« Hé ! Souma. Tu rentres déjà à la maison ? » Fuuga s’était soudain approché de nous sur Durga le tigre volant.

« Fuuga ? » avais-je demandé, surpris.

Son apparition soudaine rendit Aisha méfiante, mais l’homme avait Mutsumi derrière lui et Yuriga devant sa selle, alors il n’était probablement pas là pour semer le trouble.

« Tu as l’air pressé, » commenta Fuuga en regardant les soldats qui couraient dans tous les sens. Avec un saut facile du dos de Durga, il avait aidé Mutsumi et Yuriga à aussi descendre, et m’avait demandé. « Tu n’aurais pas pu agir un peu plus lentement ? »

« Ce n’est pas une option, j’en ai peur. On ne peut pas rester loin du pays trop longtemps. Le simple fait de garder une force aussi importante ici entraîne des dépenses massives, et avec la vague des démons en main, je veux rentrer vite chez moi, » répondis-je.

L’Union des nations de l’Est n’avait pas autant de routes pavées que le royaume, nous ne pouvions donc pas utiliser des méthodes comme le train du rhinosaurus pour les déplacements. Nous devions prendre le chemin le plus long et le plus lent pour rentrer chez nous, alors j’avais voulu partir rapidement.

Pour commencer, Hakuya m’avait dit de me dépêcher de revenir dès que nos affaires seraient terminées. En plus, Liscia devait bientôt accoucher, alors j’avais des raisons personnelles de me dépêcher de rentrer.

Lady Mutsumi s’avança et inclina la tête vers moi. « Sire Souma, merci beaucoup pour les renforts que vous nous avez apportés. »

« Je l’ai déjà dit hier soir, mais tout ce que nous avons fait, c’est de nous montrer à la fin pour anéantir les ennemis restants. Il n’est pas nécessaire d’avoir des remerciements excessifs, » répondis-je.

« Même ainsi, c’est un fait que vous avez sauvé ce pays. » Mutsumi leva le visage et sourit. « Je voudrais aussi vous demander de prendre soin d’Ichiha. Il est mature pour son âge, mais il est faible et timide, alors je m’inquiète un peu pour lui. »

« Ha ha ha, je suis sûr qu’il ira bien. Je sais à quel point il est mature après lui avoir parlé, et il semble aussi être en bons termes avec ma petite sœur, alors je pense qu’il ira bien, » répondis-je.

Après ça, j’avais regardé en direction des trois enfants, Tomoe, Ichiha et Yuriga, qui faisaient leurs adieux.

« Au revoir, Yuriga, » dit Tomoe.

« Prends soin de toi, Yuriga, » ajouta Ichiha.

« Oh… Ouais…, » répondit Yuriga.

Hein ? Tomoe et Ichiha se comportaient normalement, mais Yuriga semblait un peu calme. Elle n’avait pas sa forte personnalité habituelle.

Malgré cela, elle avait croisé les bras et avait courbé le dos de façon à ce que sa poitrine dépasse, comme si elle essayait de montrer qu’elle était l’aînée malgré cela.

« Eh bien… Ce n’était pas si mal d’être avec vous deux. J’avais l’impression d’avoir gagné un petit frère et une petite sœur. Vous continuerez à faire de votre mieux quand vous serez de retour au royaume, » déclara Yuriga.

« Un petit frère… ? » murmura Ichiha.

« Te sens-tu peut-être seule, Yuriga ? » demanda Tomoe tout de suite.

Le visage de Yuriga était devenu rouge vif. « Qui se sent seul ? Tu es trop insolente, petite ! » Avant de pincer Tomoe.

« Je…, ne me pince pas la joue comme ça ! » s’écria Tomoe.

« Yuriga, ta façon d’agir, c’est comme une gamine solitaire qui fait une crise de colère, tu sais ? » Ichiha avait fait remarquer cela.

« Dégage de là ! Je vais aussi te pincer ! » s’écria Yuriga.

« Oh… Allons-y, Ichiha ! » déclara Tomoe.

« D-D’accord ! » déclara Ichiha.

Se libérant des mains de Yuriga, Tomoe prit la main d’Ichiha et s’enfuit.

Yuriga les poursuivait en criant. « Attendez ! »

Les trois jeunes crièrent et firent du grabuge alors qu’ils couraient à l’intérieur du camp principal. S’ils s’étaient battus, je les aurais arrêtés, mais Tomoe semblait rire et s’amuser, alors c’était probablement bien.

 

 

Attends, Tomoe s’amusait-elle en taquinant Yuriga sur le fait d’être si directe avec ses émotions ?

Peut-être qu’en grandissant, Tomoe serait la même beauté diabolique que Juna. J’avais l’impression d’en voir déjà des indices.

Tandis que je me sentais de nouveau inquiet pour l’avenir de ma sœur cadette bien-aimée (bien que je me demandais s’il était juste de la regarder comme ça), Fuuga avait soudain frappé dans ses mains comme s’il venait de se rappeler quelque chose.

« Ohh, Yuriga vient de me le rappeler. Hey, Souma, » déclara Fuuga.

« Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je.

« Je voulais te demander, puis-je laisser Yuriga avec toi dans le royaume ? » demanda Fuuga.

« « Hein !? » » Yuriga et moi avons crié en même temps en raison de la surprise.

Qu’est-ce qu’il disait, de nulle part ?

« Qu’est-ce que tu dis si soudainement, grand frère !? » s’exclama Yuriga. « En m’envoyant au royaume… ! »

Il semblait que Yuriga partageait mon opinion…

Attendez, même Yuriga, la plus touchée, ne l’a appris que maintenant ?

Sérieusement, à quoi pensait-il ?

« Quelles sont tes intentions ? » avais-je demandé calmement.

« Tu parlais de coller l’enfant qui va être mon beau-frère à l’école, non ? Quand j’ai entendu ça, ça m’a donné aussi envie de mettre Yuriga dans une grande école. Nous n’avons pas ce genre d’installations à Malmkhitan, vois-tu, » déclara Fuuga.

« Grand frère ! Je sais lire, écrire et faire du calcul ! Si tu dis que tu veux que j’étudie davantage à ce stade, je préférerais être à tes côtés pour apprendre à devenir un commandant qui peut t’aider ! » déclara Yuriga.

Fuuga posa une main sur sa tête. « Ton potentiel en tant que commandant n’est pas mauvais. Mais c’est tout ce que c’est, et tu atteindras rapidement tes limites si tu apprends seulement à être un guerrier. Heureusement, ta tête n’est pas mal non plus. Si tu accumules des connaissances et deviens un sage général, ou un administrateur interne, je pense que tu peux obtenir un grand succès, » déclara Fuuga.

« Mais…, » balbutia Yuriga.

« En plus, je vais être occupé. J’accueillerai Mutsumi comme épouse, après tout. Même si tu restais à Malmkhitan, je n’aurais pas le même temps pour toi qu’avant. Alors, pourquoi ne pas aller au Royaume de Friedonia avec tes amis ? Reviens me voir un jour comme quelqu’un qui peut m’aider à réaliser mon rêve, » déclara Fuuga.

Yuriga jeta un coup d’œil vers Tomoe et Ichiha.

Elle devait se demander si elle devait rester avec Fuuga, avec qui elle aurait moins de temps, ou aller au royaume et aller à l’école avec Tomoe et Ichiha.

Yuriga y réfléchit en silence pendant un moment, mais finalement elle acquiesça. « Je comprends. J’apprendrai dans le royaume, et je m’assurerai de devenir une personne qui peut t’aider ! »

Puis elle avait serré les poings avec détermination.

Attends ! Pourquoi ont-ils fait avancer cette discussion sans aucune contribution de notre part ?

« Je n’ai pas encore dit qu’on l’emmènerait, tu le réalises ? » avais-je fait remarquer.

« Eh bien, fais-moi une faveur, » dit Fuuga, en me jetant son bras autour de l’épaule.

Cette position… c’était effrayant parce que, avec la force de Fuuga, il pouvait facilement m’étrangler à mort.

Même Fuuga avait peu de chances de me faire quoi que ce soit avec les guerriers les plus forts du royaume tout ici, mais…

Je veux dire, il ne le ferait pas, n’est-ce pas ?

C’était un peu effrayant, alors je voulais qu’il lâche prise.

Quand j’avais regardé, Aisha avait la main sur la poignée de son épée, et Juna avait déjà un couteau à lancer à la main prête à partir, tandis que le bout des cheveux de Naden était dressé.

Elles disaient que s’il faisait quelque chose d’anormal, elles le tailladaient, le jetaient ou le choquaient.

Fuuga chuchota à mon oreille. « Eh bien, évidemment… il ne s’agit pas seulement de faire étudier Yuriga. »

Je lui avais répondu en chuchotant. « C’est ta précieuse sœur, n’est-ce pas ? À quoi penses-tu en la laissant avec nous ? »

« Je le fais parce que c’est ma précieuse sœur. » Fuuga avait un sourire tordu qui montrait ses dents de crocodile. « Il va y avoir beaucoup de mouvement dans mon pays. Sur le plan interne, j’ai l’intention d’exterminer les races hostiles qui subsistent à Malmkhitan, tandis que sur le plan externe, j’ai l’intention de me diriger vers le Domaine du Seigneur-Démon avec le soutien des pays de l’Union des nations de l’Est. Dans ce processus, je m’attends à ce que les choses se déchaînent, ne serait-ce que temporairement. »

« … Tu es sérieux à ce sujet, » déclarai-je.

« Bien sûr que oui. Je ne dis pas des choses que je ne suis pas prêt à réaliser, » répondit Fuuga.

Avec la compréhension que les démons n’étaient qu’au plus profond du domaine du Seigneur-Démon, il y marcherait avec seulement les gens de son propre pays. Essayait-il vraiment d’accomplir ce qu’il avait dit ce jour-là ?

Puis Fuuga sourit soudain. « Il y a un risque que mes proches soient pris pour cible à ce moment-là. Mutsumi a l’esprit et la puissance de se défendre, mais Yuriga est encore petite. Il pourrait y avoir des gens qui essaieraient de l’enlever pour l’utiliser comme otage. Quand je considère les pires résultats, je pense qu’il serait mieux de la laisser loin, dans le Royaume de Friedonia. »

« Je vois… Madame Mutsumi est-elle au courant ? » demandai-je.

« Bien sûr. Mutsumi était d’accord avec moi, » répondit Fuuga.

Quand j’avais regardé dans la direction de Madame Mutsumi, elle m’avait fait un léger signe de tête.

Prenez soin de ma belle-sœur, Yuriga. C’était censé vouloir dire ça ?

Si elle approuvait ce que Fuuga faisait ici, cela signifiait qu’elle savait qu’il était sur le point de faire un énorme pari. Même en sachant qu’elle faisait face au danger elle-même, elle choisissait de suivre Fuuga sur le chemin de la conquête. J’avais vu quelque chose qui se chevauchait avec Liscia dans ses yeux.

« Tu as trouvé une bonne épouse, » dis-je. « N’en fais pas trop pour la rendre triste, d’accord ? »

« Je ne peux rien promettre, mais je ferai de mon mieux. Je protégerai à tous les coups Mutsumi. Je dois lui montrer mon monde, comme promis. »

Ils en avaient parlé, hein…

Je vois. Comme Liscia avait parié sur moi, Madame Mutsumi avait fait la même chose avec Fuuga.

Elles avaient parié leur propre avenir.

J’avais poussé un soupir d’admiration pour elles en disant à Fuuga. « Je comprends la situation, mais es-tu sûr que tout va bien ? N’as-tu pas pensé que je pourrais prendre Yuriga en otage ? »

« Tu ne mettrais jamais la main sur Yuriga. » Avec les yeux d’un grand prédateur, Fuuga sourit. « Je ne te comprends pas vraiment. Tu n’es pas fort, mais tu as beaucoup de partisans. Tu as des dizaines de milliers d’hommes à tes ordres, mais tu n’essaies pas de faire quoi que ce soit. »

J’étais silencieux.

« Même si tu étais cinq fois plus nombreux que moi, je ne pense pas que je pourrais perdre. Mais s’il s’agissait d’une bagarre, j’ai l’impression que ça deviendrait un bourbier. Comme si ça allait se transformer en une bataille ennuyeuse. C’est ma prédiction. Je pense que, si possible, je préfère ne pas me battre contre toi. Tu ressens quelque chose de semblable à mon sujet, n’est-ce pas ? »

« … Oui, » j’avais hoché la tête. « Dans mon cas, ce n’est pas “si possible”, cependant. Je ne veux absolument pas me battre avec toi. »

S’il devait être si ouvert à ce sujet, je ne pouvais pas esquiver la question.

Fuuga s’était giflé le ventre comme pour dire, je le savais ! « C’est un honneur d’avoir le roi d’un grand pays si méfiant envers moi. Donc, étant donné que tu ne veux pas t’opposer à moi, tu ne mettras jamais la main sur Yuriga et n’encourras pas ma colère. Au contraire, tu ferais tout ton possible pour bien la défendre, n’est-ce pas ? »

Il avait raison, donc je ne pouvais pas le nier.

Si nous prenions Yuriga en charge dans le royaume, j’étais sûr que j’allais la surveiller pour l’empêcher d’apprendre quoi que ce soit de confidentiel, mais je lui donnerais une protection maximale.

« Alors ? Qu’est-ce que nous gagnons à nous occuper de Yuriga ? » lui avais-je demandé.

« Je te revaudrai ça, » répliqua-t-il.

« Si le besoin s’en fait sentir, tu n’hésiteras pas à renoncer à tout obligation ou devoir, n’est-ce pas ? » demandai-je.

Je l’avais dit méchamment, mais Fuuga avait répondu avec un rire joyeux.

« Je ne le nierai pas. Mais Yuriga est ma seule parente restante, à l’exception de Mutsumi, qui est en train de devenir ma femme. Je ne ferais pas d’efforts pour commencer à avoir des problèmes avec le pays où elle séjourne, » répondit-il.

« Je ne sais pas si je devrais y croire…, » répliquai-je froidement.

Vu qui était Fuuga, je ne pouvais pas être trop sûr de moi. Pourtant, il était probablement vrai que je pouvais m’attendre à ce qu’elle soit un moyen de dissuasion quelque peu efficace. C’était une carte qu’il valait mieux avoir, c’était tout, mais ce n’était pas mal d’avoir quelque chose de prêt à faire face à Fuuga, aussi insignifiant soit-il.

« … D’accord, » avais-je dit. « On va prendre Yuriga. »

« Ha ha ha ha ha, ça aide beaucoup. » Fuuga avait relâché le bras autour de mon épaule.

Quand Fuuga s’était déplacé, Aisha, Juna et Naden s’étaient aussi retirées. J’étais content qu’on en ait fini sans s’affronter.

En posant une main sur la tête de Yuriga, Fuuga avait dit. « Tout est réglé. Va au royaume et étudie durement. »

« Je le ferai ! Je ferai de mon mieux, Grand Frère ! » dit Yuriga avec volonté.

Avec un autre sourire, Fuuga s’approcha de nouveau de moi et me dit d’une voix calme. « Je sais que j’ai dit que tu ne lèverais jamais la main sur Yuriga, mais si tu veux mettre la main sur elle sexuellement, ça ne me dérange pas, tu sais ? »

« Huh!? Qu’est-ce que tu dis !? » m’écriai-je.

Yuriga avait quoi, 13 ans ? Il n’était pas question que je touche à ça.

Cependant, Fuuga riait en s’amusant. « Non, non, non, je ne dis pas que tu le ferais maintenant. J’espère laisser Yuriga avec toi jusqu’à ce qu’elle ait son diplôme. Je suis sûr que dans quelques années, elle sera belle, alors peut-être que tu voudras essayer ? »

« Comme si ! » m’étais-je écrié.

« Si c’est le cas, je veillerai à ce que tu l’épouses correctement. Ça ferait de toi mon beau-frère. Je veillerai à ce que tu me respectes en tant que grand frère, » déclara Fuuga.

« … Je ne veux pas en faire partie, » répliquai-je.

Être le beau-frère de Fuuga ? Ne comptez pas sur moi. J’aurais autant de problèmes qu’Azai Nagamasa avec Nobunaga.

Puis Fuuga m’avait giflé le dos. « En tout cas, je te laisse Yuriga entre les mains. »

« Ow… Très bien. »

J’avais pensé que la discussion avec le beau-frère était juste une blague, mais c’était effrayant alors que je ne savais pas à quel point il était sérieux à ce sujet.

*

C’est ainsi qu’après avoir été poussés à la dernière minute par un présent troublant, nous étions repartis vers le royaume où Liscia nous attendait.

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9 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre!

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre

  4. Merci pour ce chapitre

    Par contre je comprends pas Souma, il devrait assassiner ou au moins neutraliser Fuuga de manière politique vu le danger qu’il représente ne serait-ce que pour le royaume de lastania même si protéger par les chevalier de Nothung ou bien aussi le duché de chima même les liens sont moins fortes avec Souma.

    Surtout au final, Fuuga pourrait être une menace pour le royaume de Friedonia à l’avenir. Il pense tout le temps à l’empire gran chaos comme ennemi imaginaire mais pas Fuuga qui peut être un ennemi plus direct même si il sera utile contre les démons.

    Au moins Souma devrait essayer de limiter son expansion et son pouvoir tant qu’il le peut sinon il risque d’être malmener

    • Il va le faire, mais là, il vient de le rencontrer, donc dans tous les cas, il ne veut pas trop se précipiter.

      Surtout que les mauvaises nouvelles ne sont pas finies.

      Et comme tu dis, il y a son beau-frère et tout ce que cela implique, et un individu comme Fuuga, c’est dangereux, surtout quand du monde sont prêt à l’aider.

      • Il est clair que au vus des intentions pacifique de l’empire grand chaos, à court terme Fuuga et ces projet sont un plus grand danger pour le héros, dans un sens Fuuga me fait un peux penser à Napoléon.

        Après effectivement ils viennent juste de se rencontré mais il est fort probable qu’une fois rentré au pays il prendras des mesures pour limité la casse.

        Moi se qu’il ma un peux choqué c’est que Mutsumi est d’accord avec sa comme quoi l’amour rend aveugle. Je ne parle même pas du faites que du coup il vas y avoir conflit avec son frère ainée.

        • Je suis tout à fait d’accord pour Mutsumi je pensais pas qu’elle soit aussi sanguinaire ou en tout cas aussi volontaire dans le projet de Fuuga.

          En tout cas une tension va surement naître entre Yuriga et Fuuga et Ichiha et Mutsumi.

          Après Souma n’est pas obligé de participer directement, il aurait pu comme pour l’histoire de la communication avec les démons, laisser fuiter des rumeurs disant que Fuuga projetait de tous les conquérir. Ainsi les autres pays de l’union se méfieront à minima ou feront des alliances sécrètes.

          • Pour moi, le royaume de Malmkhitan et Fuuga me font plus penser à Genghis Khan qu’à Napoléon. Genghis et jusqu’à son petit-fils Kubilaï Khan, ont régné avec la force et la terreur qu’ils inspiraient. Mais tout le monde sait que l’Empire Mongol a fini par se diviser car devenus trop grand. En tout cas, Fuuga ne pourra jamais se confronter égale à égale face à l’Empire du Grand Chaos et au royaume de Friedonia.

  5. Merci pour le chapitre.

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