Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 9 – Chapitre 3 – Partie 5

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Chapitre 3 : Une petite aventure et une rencontre

Partie 5

« On dit que tous les enfants du Duc de Chima sont excellents… et c’est vrai, » déclarai-je. « Ichiha, tu es probablement le meilleur et de loin. »

« Pas du tout ! Je ne suis pas compté parmi les enfants talentueux ! » Ichiha semblait agité et bougeait les bras sauvagement.

« Ne l’es-tu pas ? Alors tu n’es pas inclus dans la récompense ? » demandai-je.

« Ouais. Parce que je suis faible et qu’on dit que je suis bizarre…, » répondit-il.

« Vraiment ? » avais-je dit avec incrédulité. « Comment peuvent-ils être si aveugles ? »

Si j’avais pu avoir Ichiha sur la base de mes contributions à la guerre, j’aurais poussé ce Fuuga de côté et je serais parti pour la gloire afin d’avoir la première place.

Si cela n’avait pas été reconnu, j’aurais peut-être eu recours à mon privilège de grande puissance.

Non, attends. S’il ne faisait pas partie de la récompense, cela ne laissait-il pas toute la place aux négociations ? Oh ! Je n’étais pas si sûr d’éloigner soudainement un si jeune enfant de sa famille, mais… quand même…

« Sire, » déclara Aisha. « Tu fronces les sourcils incroyablement fort. Y a-t-il un problème ? »

Mes grognements et mon râle d’agonie à propos de la question avaient fini par inquiéter Aisha à nouveau.

« Ohh, non, » dis-je rapidement. « Je vais bien. Très bien. »

Et bien, s’inquiéter pour ça ici ne servirait à rien.

D’abord, je devais les sonder et voir s’il y avait place à la négociation.

« Ichiha, j’aimerais t’en demander plus sur les détails, » dis-je. « Ça ne te dérange pas ? »

« Hein… ? Euh, bien sûr… Si tu penses que ça vaut la peine de me parler…, » déclara Ichiha.

« Oh, je sais ! Parlons-en longuement avec des friandises que Poncho nous a données en partant ! » J’avais conduit avec joie Ichiha hors de la pièce.

Aisha et Tomoe se regardèrent l’une et l’autre, ne sachant pas trop quoi faire de moi, car j’étais excité par cette découverte inattendue.

« Sa Majesté semble toujours plus animée quand il rencontre une personne intéressante, n’est-ce pas ? » déclara Aisha. « Cela rappelle l’époque où il a découvert Sire Poncho. »

« Heehee. On dirait que j’avais raison quand j’ai pensé que quelque chose pourrait arriver si je réunissais Grand Frère et Ichiha, » déclara Tomoe.

« Tu n’es pas la petite sœur de Sa Majesté et l’apprentie numéro un de Sire Hakuya pour rien, hein ? » Aisha lui avait fait une tape sur la tête.

« Tee hee hee hee ! » Tomoe gloussa timidement.

« Maintenant, on y va ? » demanda Aisha. « Ils nous laissent derrière. »

« C’est vrai ! »

Avec des sourires malicieux, elles nous avaient pourchassés toutes les deux.

C’était arrivé alors que je ramenais Ichiha dans la pièce qui avait été préparée pour nous.

J’avais vu une petite silhouette qui marchait dans notre direction à partir du bout du couloir. En approchant, j’avais réalisé que c’était une fille de l’âge de Tomoe, peut-être un peu plus âgée.

Quand la fille nous avait remarqués, elle s’était précipitée. « Un jeune homme aux cheveux noirs avec une guerrière elfe sombre comme garde du corps. Comme l’information l’avait dit. »

Elle avait à peu près la même taille que Tomoe, alors est-ce que ça fait douze, ou peut-être treize ans ?

Vêtue de vêtements d’un bleu clair de style nomade, les cheveux d’un bleu profond noués en double queue, elle donnait l’impression d’une fille forte aux yeux pleins d’énergie. Si je devais la comparer à quelqu’un que je connaissais, elle était peut-être du même type que Liscia ou Naden. Elle deviendrait une beauté différente de celle de Tomoe dans le futur.

L’autre chose qui la caractérisait, c’était les ailes que je pouvais voir par-dessus ses épaules.

« Seriez-vous le seigneur Souma Kazuya dont parlait mon frère ? » me demanda la fille à la queue jumelle, les yeux pleins de feu. Ils étaient comme les yeux d’un chasseur qui avait trouvé sa proie.

Je me sentais mal à l’aise et je m’étais gratté la joue en répondant. « Eh bien, oui, mais… attendez, votre frère ? »

C’est là que ça m’avait frappé. Ces ailes, cette couleur de cheveux, ça pourraient être… ?

« Vous êtes peut-être la petite sœur de Fuuga ? » lui avais-je demandé.

« Je m’appelle Yuriga Haan. Je vois… Vous devez être le grand roi de Friedonia, » déclara Yuriga.

 

 

Grand Roi, hein ? Ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas appelé comme ça. Le calamar colossal et l’isopode géant portaient tous deux le nom de Grand Roi en japonais, ce qui me faisait penser à des créatures d’apparence grossière, et je n’aimais pas trop ça.

Yuriga avait recommencé à me fixer.

« Vous avez l’air faible pour un “grand roi”. Mon frère est beaucoup plus fort, » dit-elle franchement.

C’était un fait, alors je l’avais ignoré. « Bien sûr, si vous me comparez à Fuuga… »

« Attendez, Yuriga, c’est ça ? Ne pensez-vous pas que vous êtes grossier avec Sa Majesté ? » demanda Aisha, debout devant elle avec un sourire forcé.

Oh, elle souriait, mais, oui, elle était plutôt énervée. Elle avait probablement réalisé qu’il serait immature de s’énerver sérieusement contre une enfant, mais son sourire devenait de plus en plus raide.

Sous la pression du sourire (de rage) du guerrier le plus fort de notre pays, Yuriga vacilla. « Ah… ! Hmm… Euh… »

Où était-elle partie ? Yuriga avait maintenant l’air complètement terrifiée. Elle se tendait comme un cerf dans les phares et était incapable de dire un mot de plus.

C’était plutôt mauvais, n’est-ce pas ? Si on la faisait pleurer, elle aurait pu avoir des problèmes.

« Aisha, ce n’est qu’une enfant… OK ? » avais-je dit, en essayant d’apaiser Aisha.

Je n’étais pas inquiet de ce qu’elle avait dit, et je ne voulais pas me disputer avec l’un des parents de Fuuga par souci de ma réputation de roi…

Fuuga était soudain apparu et avait fait tomber un poing sur la tête de Yuriga. « Espèce de morveuse ! »

Bop !

« Owwwwwww ! »

L’homme était un guerrier qu’Aisha avait décrit comme étant plus fort qu’elle, donc il devait se retenir, mais il semblait encore avoir fait mal, car Yuriga était accroupie et se tenait la tête avec des larmes dans les yeux.

« On t’a dit de rester dans notre chambre ! » réprimanda Fuuga. « Tu t’enfuis tout le temps. »

« Oww… Mais rester dans la chambre, c’est ennuyeux ! »

« C’est toi qui as décidé de venir ! Qu’est-ce qui t’a pris en décidant de contacter le roi d’un autre pays par toi-même !? On n’est pas dans la steppe ici ! » déclara Fuuga.

Puis Fuuga s’était mis debout devant moi, inclinant la tête et faisant aussi incliner la tête de sa sœur.

« Désolé pour ma sœur. C’est un petit garçon manqué gênant. Si elle a fait quoi que ce soit pour vous offenser, je m’en excuse. Vas-y, toi aussi, Yuriga, » déclara Fuuga.

« Ah… Je suis désolée…, » déclara Yuriga.

« Euh, non ! Vous pouvez lever la tête, » avais-je dit en étant mal à l’aise. « Elle n’a pas été si grossière, et ce n’est qu’une enfant. Ma propre petite sœur faisait le même genre de bêtises de toute façon. »

« Ça aide de t’entendre dire ça, » déclara Fuuga en levant la tête avec un sourire. Remarquant Tomoe derrière moi, il ajouta. « Est-ce la petite sœur dont tu parlais ? »

« Je m’appelle Tomoe, » Tomoe avait baissé sa tête.

Voyant ce geste adorable, Fuuga avait souri. « Je vois qu’elle connaît ses manières, contrairement à ma petite sœur insolente. Ah ! Je sais ! Hey, Souma. Puisque je m’impose déjà à toi, j’ai une faveur à te demander… »

« Une faveur ? De moi ? » demandai-je.

« Oui. Si ce n’est que pour un petit moment, peux-tu garder Yuriga pour moi ? » Il avait poussé sa petite sœur vers nous.

Indignée d’être traitée comme un chat, Yuriga avait protesté haut et fort. « Attends, Grand Frère !? »

Cependant, Fuuga avait ri, ne semblant pas s’en soucier le moins du monde. « Le duc Chima m’a demandé de faire le tour de tous les camps sur le champ de bataille pour leur faire savoir que des renforts du royaume de Friedonia vont arriver. Ça remontera le moral. »

« Je vois…, » avais-je murmuré.

« Dans ce cas, j’aimerais que tu t’occupes de Yuriga pendant que je le fais. On dirait que tu as quelqu’un de son âge avec toi, donc ce sera moins ennuyeux pour Yuriga que de rester seule dans la pièce, » déclara Fuuga.

« Ça ne me dérange pas, mais… Ne veux-tu pas laisser un garde du corps à ta sœur ? » lui avais-je demandé.

Fuuga tapota Yuriga sur la tête. « C’est le genre à secouer ses gardes du corps pour faire ce qu’elle veut. Comme c’est ma sœur et tout le monde la gâte, je me dis qu’elle se comportera mieux si elle est avec des gens de l’extérieur. En plus, Souma, tu n’as pas l’air du genre à maltraiter un enfant qu’on te confie. »

« Ce n’est pas mal d’avoir autant confiance, mais… Tu es roi toi-même, n’est-ce pas, Fuuga ? Cela fait de la jeune Mlle Yuriga un membre de la famille royale. Je ne sais pas si je vais soudainement prendre la responsabilité de la royauté d’un autre pays…, » déclarai-je.

« Ne sois pas si raide à ce sujet, » déclara Fuuga. « Je te demande juste de faire du baby-sitting. Ou, quoi, tu es du genre à convoiter les enfants ? »

« Bon Dieu, non ! » déclarai-je.

« Ha ha ha ha ha ! Eh bien, c’est un soulagement. C’est juste pour un petit moment. OK, je compte sur toi, » déclara-t-il.

Ne nous laissant pas le temps de répondre, Fuuga était parti en courant dans le couloir.

Il arrive de nulle part, nous pousse sa petite sœur, puis s’en va… Il est vraiment comme une pluie passagère.

Non, étant donné la chaleur qu’il pouvait avoir, était-il un soudain déluge torrentiel ?

J’avais jeté un coup d’œil à Yuriga. « Est-il toujours pressé, hein ? »

« Vous ne pouvez pas lui en vouloir. C’est comme ça que mon frère est. » Elle était probablement habituée à ce genre de traitement, car Yuriga haussait les épaules.

Maintenant que le gars qui l’avait laissée avec nous s’était enfui, il n’y avait plus grand-chose à faire dans le couloir.

« Retourne-t-on dans la chambre ? » lui avais-je demandé.

Dans la chambre qui nous était réservée, qui semblait un peu plus meublée que les autres, Aisha, Juna, Naden et moi, nous avions grignoté les bonbons au gingembre que Poncho nous avait donnés en écoutant l’histoire d’Ichiha.

« Oh, c’est arrivé… ? » (Munch, munch.)

« Oui. C’est vrai, c’est vrai. » (Munch, munch.)

La Maison de Chima était une famille de neuf personnes composée d’un père et de huit enfants, leur mère étant décédée quand ils étaient jeunes. Les autres frères et sœurs étaient doués en arts martiaux, en stratégie et en magie, mais par rapport à leur renommée, Ichiha avec son corps faible s’était senti mal à sa place.

Il n’était pas en très mauvais termes avec ses frères et sœurs, mais il avait du mal à être comparé à eux. Il était aussi considéré comme étrange comme il dessinait des monstres.

Il semblait que seule Mutsumi avait essayé d’encourager Ichiha, mais même elle n’avait apparemment pas été capable de comprendre son don.

« Je ne sais pas, c’est un tel gâchis », dis-je, déçu.

« Cette zone est pleine d’intrigants, donc seuls ceux qui ont des capacités martiales ou une pensée stratégique sont respectés, » expliqua Ichiha. « Des guerriers qui peuvent obtenir des résultats sur le champ de bataille, ou des stratèges qui peuvent obtenir un avantage dans les négociations. Je n’ai rien de tel. »

« Eh bien… les valeurs changent en fonction de l’endroit où l’on vit, » avais-je admis.

C’est pour ça que personne n’avait remarqué le talent de ce garçon, hein ? Pas même sa propre famille.

Je me sentais mal pour Ichiha, mais quand j’avais pensé que Tomoe avait été la première à reconnaître son don, j’étais fier d’elle. Ça m’avait donné envie de me vanter auprès de tout le monde à quel point ma petite sœur était géniale.

Bien sûr, du point de vue du secret de l’information, j’allais devoir me taire à ce sujet.

« Arrête de sourire, » dit Naden. « C’est évident ce que tu penses, d’accord ? »

Je m’étais giflé les joues. Cela avait-il été si facile à savoir ?

En regardant Aisha et Juna… elles avaient ouvertement détourné les yeux.

… Apparemment, ça l’avait été. Eh bien, ce n’était pas bon.

Puis j’avais entendu une voix audacieuse. « Et, honnêtement, c’est pour ça que mon frère est incroyable, n’est-ce pas ? »

« O-Oh, ouais… Je vois… »

À côté de nous, Yuriga régalait Tomoe avec des histoires de son frère.

« Alors, après que mon frère eut pris le champ de bataille et tué le brave guerrier de la tribu ennemie en un instant, les guerriers de l’ennemi furent terrifiés, » continua Yuriga. « Ils ont immédiatement rompu les rangs et se sont enfuis. La cavalerie bondissant les a écrasés, bien sûr, de sorte que les commandants ennemis ont tous perdu la tête. »

« U-Uhhh… Wôw… » Tomoe semblait un peu contrariée, et elle écoutait avec un sourire poli, mais forcé.

Si quelqu’un devait se vanter sans cesse de sa famille, oui, c’est probablement le visage qu’elle finissait par faire.

Pourtant, Yuriga ne semblait pas s’en rendre compte, alors elle avait continué à raconter l’histoire avec joie.

« Le tigre volant que mon frère monte s’appelle Durga. J’ai entendu dire que mon frère l’a rencontré quand il est entré seul dans le Domaine du Seigneur-Démon. Quand il l’a vu combattre des monstres seuls, mon frère est allé l’aider. Ils sont devenus de bons amis, et ils sont restés ensemble depuis. »

Fuuga était entré seul dans le Domaine du Seigneur-Démon, sans gardes du corps !

Même s’il était très fort, c’était imprudent. C’était allé plus loin que d’avoir des tripes et c’était passé directement à la stupidité.

Et aussi, ce tigre blanc qu’il montait s’appelait un tigre volant ?

« Attendez, c’était une créature du Domaine du Seigneur-Démon ? » J’avais murmuré cela en regardant Ichiha. « Serait-ce un monstre ? »

« Je ne sais pas. » Il secoua la tête. « Je n’ai jamais vu une telle créature. Même si c’était un monstre, ce serait un type très inhabituel. C’est la première fois que je vois une créature qui peut voler sans ailes. »

« Vraiment ? » j’avais jeté un coup d’œil à Naden. « Il y en a un plus près de toi que tu ne le penses, tu sais ? »

Elle s’était retournée avec colère, comme pour dire. « Ne me regarde pas quand tu dis ça. »

Au début, je pensais qu’elle boudait parce que je l’avais traitée comme une créature inhabituelle, mais ensuite elle avait ajouté, l’air fou. « Ne me mets pas dans le même panier qu’un tigre qui ne peut même pas prendre forme humain ! »

Ressentait-elle de l’hostilité envers Durga ?

Puis, du coin de l’œil, j’avais vu Yuriga pincer la joue de Tomoe. « Tu n’as fait que sourire et hocher la tête tout ce temps, Tomoe. Est-ce que tu m’écoutes au moins ? »

« Ahm j’écoute, ahm j’écoute ! »

D’après la tête de Tomoe, ça n’avait pas fait mal. J’étais content qu’elles ne se battent pas.

Quand Yuriga avait lâché Tomoe, elle avait croisé les bras devant elle et avait gonflé sa poitrine. « Je suppose que tu es encore trop jeune pour comprendre la grandeur de mon frère. »

« Murgh… Quel âge as-tu, Yuriga ? » demanda Tomoe.

« Treize, » répondit-elle.

« Tu n’as que deux ans de plus que moi, » déclara Tomoe.

« C’est une énorme différence. Dans un an, je pourrai (à peine) me marier, » déclara Yuriga.

« Mugh…, » déclara Tomoe.

Il semblait que l’âge nubile était bas dans ce monde.

Bien que, même selon les normes de ce monde, quatorze ans seraient considérés comme tôt. Je suppose que Yuriga parlait surtout par vanité. De plus, si elles étaient en compétition à propos de l’âge, cela faisait d’eux deux des enfants.

J’avais regardé les femmes dans la pièce. « Est-ce que le fait d’être en âge d’épouser est quelque chose pour lequel les filles se disputent ? »

« … C’est ce que tu nous demandes ? » demanda Naden avec incrédulité.

« Treize ans, c’est encore un bébé, » répondit Aisha. « Nous, les elfes sombres, nous ne pouvons pas nous marier avant l’âge de 30 ans. »

Eh bien, elles venaient après tout de races à longue durée de vie.

Et toutes les deux étaient têtues de ne pas me le dire, alors je ne connaissais ni l’un ni l’autre de leurs âges réels.

« Après tout, le mariage est un événement majeur dans la vie d’une femme, » déclara Juna en souriant.

En conclusion, dans ce monde aux durées de vie très variées, il n’y avait pas beaucoup d’intérêt à comparer l’âge, mais peut-être que les filles s’en préoccupaient encore.

Quoi qu’il en soit, en une seule journée, Tomoe s’était fait deux amis avec qui elle pouvait parler en toute décontraction. En tant que grand frère, je devais être heureux pour elle.

« Il monte un tigre ! » s’exclama Yuriga. « Un tigre ! Mon frère est vraiment spécial, tu sais ! »

« G-Grand Frère monte un ryuu ! » déclara Tomoe.

« Quoi, essaies-tu de rivaliser avec moi !? » demanda Yuriga.

« Je le fais ! » déclara Tomoe.

Peut-être qu’elles s’énervaient, parce que je pouvais jurer qu’il y avait des feux d’artifice là où leurs yeux se rencontraient.

… Peut-être que j’avais besoin d’avoir une discussion avec Tomoe pour choisir ses amis avec plus de soin.

C’était une décision difficile.

☆☆☆

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5 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour le chapitre. Si ce tigre est un  »monstre », une petite discussion avec Tomoe peut s’avérer très instructive 😁

  3. Merci pour le chapitre

  4. Merci pour le chapitre!

  5. Ethan Nakamura

    Merci pour le chapitre.

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