Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 5 – Chapitre 2 – Partie 1

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Chapitre 2 : L’Arme Secrète du Royaume

Partie 1

— Au milieu du deuxième mois de l’année 1547 du Calendrier Continental

« Ohh ! Votre Majesté, bienvenue et merci de nous honorer de votre présence, » quand j’avais franchi la porte du studio d’enregistrement du Joyau de Diffusion de la Voix que nous avions installé dans le château, un gentilhomme d’âge mûr bien bâti m’avait accueilli avec exubérance.

Il s’agissait de Moltov Juniro, le père d’Ivan Juniro, qui jouait Silvan, le premier héros tokusatsu du Royaume de Friedonia.

« Bonjour Moltov, » dis-je. « Comment vont les choses quant aux émissions et à leur planification ? »

« Sire, nous avons fait de notre mieux pour suivre l’exemple que vous nous avez donné, » répondit-il.

La vérité était que l’autre jour, en partie parce que le personnage de Silvan que son fils interprétait était devenu si populaire, j’avais décidé d’aller jusqu’au bout et de nommer Moltov en tant que directeur de la production des programmes de diffusion. Je l’avais fait parce que je voulais être capable de garder les émissions en production même quand j’étais occupé ailleurs.

Moltov, tout comme son fils Ivan avait une capacité qui faisait qu’il n’y avait pas besoin d’effets spéciaux, donc j’avais décidé que ça ferait de lui un bon choix pour le poste.

Moltov caressa sa barbe avant de déclarer cela. « Eh bien, cette tâche de création d’émissions est plus complexe que vous ne le pensez. Il y a des choses que les gens veulent voir, des choses qu’ils ne veulent pas voir, des choses que nous voulons qu’ils voient, des choses que nous ne voulons pas qu’ils voient... Il est assez difficile de trouver un bon équilibre. »

Moltov avait gémi de consternation après avoir pensé à ça.

J’étais soulagé de le voir prendre son travail si au sérieux. « Voulez-vous déjà abandonner ? »

« Non, pas du tout ! J’apprécie beaucoup ce challenge ! » Moltov m’avait répondu avec un sourire animé.

D’une manière ou d’une autre, je sentais que c’était mieux pour lui que quand il essayait de pousser sa fille Siena vers moi.

À ce sujet, Siena, qui apparaissait maintenant aux côtés de son frère Ivan comme un soutien au héros, avait dit avec un doux sourire : « Je crois que mon père a trouvé son but dans la vie. Il y a un nombre limité de façons de monter en statut en tant que noble. Vous pouvez vous distinguer dans l’armée ou l’administration, ou vous pouvez devenir un parent lié avec la Maison Royale. Ceux-ci ont toujours été les seuls moyens, alors il les a poursuivis sans réserve. Cependant, Votre Majesté, vous avez enseigné quelque chose à mon père : la joie de créer une émission pour le joyau afin de divertir les gens. Merci beaucoup. »

Soupir... Elle était une si bonne fille, j’étais presque arrivé à en douter qu’elle fût en réalité une parente de ce père et ce fils si bruyant.

Quoi qu’il en soit, revenons sur le sujet.

Tout comme Siena l’avait dit, Moltov travaillait avec enthousiasme à la création des émissions.

Je lui tendis la main. « Moltov, j’ai de grandes attentes quant à tout cela. Si vous continuez à développer votre métier, je suis sûr que je vous laisserais vous occuper entièrement de l’un de ses Joyaux de Diffusion. »

« Ma parole ! Et vous me donneriez également un Joyau ? » s’écria Moltov.

« Tout à fait, » répondis-je. « Je voudrais que vous ne l’utilisiez pas pour des émissions publiques, mais pour ouvrir votre propre station de radiodiffusion. »

En d’autres termes, en faisant de lui un diffuseur privé. Si tout ce que nous avions était un radiodiffuseur public, il y avait après tout des limites au nombre d’émissions qui pourraient être produites. Pour que cela se produise, il faudrait d’autres avancées technologiques et il faudrait mettre en place les lois appropriées, de sorte que cela ne pourrait pas se produire tout de suite. Ainsi, il était préférable de commencer à se préparer pour quand cela arrivera dans cinq ou dix ans à partir de maintenant.

Moltov avait alors fait un rire empli de joie. « Vous allez me donner ma propre station indépendante, hehe ! Les rêves sont sans fin ! »

« Oui. Alors, travaillez durement pour cela, » déclarai-je.

« Laissez-moi me charger de ça ! » Moltov tapa fièrement sa poitrine. « À ce propos, Sire, que faisiez-vous ici aujourd’hui ? »

« Ah oui, c’est vrai. Je pense que Juna était censée être quelque part dans le coin..., » dis-je.

« Si vous voulez parler de Mademoiselle Juna Doma, elle tourne actuellement l’émission éducative, » répondit Moltov en pointant du doigt le studio d’enregistrement.

Juna se trouvait actuellement au milieu d’une émission en direct pour le programme éducatif. La chanson qu’elle interprétait et dansait était une chanson pour enfants de l’autre monde avec un style légèrement asiatique. La façon dont Juna avait l’air de danser avec des cordes enroulées autour de ses manches flottantes lui donnait des airs de jeune fille céleste. Cela m’avait donné envie de prier, « Fermez le sentier à travers les cieux. »

Finalement, l’émission avait pris fin. Juna m’avait remarqué et s’était précipitée vers moi, toujours dans sa tenue de scène. « Que se passe-t-il, Votre Majesté ? Je ne pensais pas que vous aviez l’intention de venir ici aujourd’hui, non ? »

« Eh bien, non, je ne l’avais pas prévu, mais... j’ai une faveur que je voulais vous demander, » déclarai-je.

« À moi ? » demanda Juna.

J’avais hoché la tête. « Pendant environ trois jours, à partir de demain, je serai loin du château afin de rencontrer quelqu’un. J’aimerais que vous m’escortiez. »

« Cela ne me dérange pas, mais... vous quittez la capitale sans surveillance pendant trois jours ? » Juna pencha la tête sur le côté, l’air un peu perplexe. « Avec tout le respect que je vous dois, le travail du gouvernement ne sera-t-il pas entravé par votre absence ? »

« Oh, ça devrait aller. Cette chose que j’avais demandé à Genia de développer est maintenant terminée, » dis-je.

« Quoi... que suis-je censé dire... ? » Juna était à court de mots.

J’avais attendu que Juna se soit changée, puis nous étions allés dans mon bureau. Maintenant, elle regardait la chose dont j’avais parlé.

Eh oui... je pouvais comprendre sa réaction.

J’avais donné un ordre à la fiancée de Ludwin et à l’autoproclamée « Surscientifique », Genia Maxwell, pour qu’elle développe une certaine chose pour moi.

Ma capacité, le Poltergeist Vivant, pouvait imprégner des objets avec une partie de ma conscience, pouvait les faire flotter, et pouvait me permettre de les voir d’une vue aérienne, mais elle était seulement efficace dans une portée de cent mètres ou plus. Si j’avais un stylo au bureau des affaires gouvernementales, je devais rester dans un rayon de cent mètres en tout temps. À cause de cela, pendant le temps qui avait suivi la rétrocession du trône, quand les choses avaient été très occupées, je n’avais jamais quitté la capitale plus d’une journée sauf s’il y avait une crise.

Et aussi, comme vous le saviez déjà, la portée effective de cette capacité pourrait être ignorée si la cible était une poupée, mais, malheureusement, les poupées n’étaient pas capables de très bien écrire. Il était facile d’écrire quand je contrôlais directement le stylo, mais pour une raison inconnue, il était inhabituellement difficile de le faire quand j’avais une poupée tenant le stylo. C’était comme utiliser une télécommande pour faire fonctionner le bras d’un robot qui tenait un stylo. Il avait fallu beaucoup de concentration, et ce que j’avais écrit avait fini par ressembler à des pattes de mouches.

Je ne pouvais pas avoir d’écriture désordonnée sur des documents importants. Il y avait beaucoup de documents où cela pouvait causer des problèmes majeurs s’ils étaient mal interprétés.

En fin de compte, même si les poupées avaient annulé la limitation de portée de ma capacité, cela n’avait pas changé la situation qui m’empêchait de quitter le château pendant une longue période de temps. Je savais que si j’avais une machine capable d’écrire des lettres, je pourrais faire mon travail à distance, ce qui me permettrait de quitter le château sans soucis.

C’était à l’époque où j’avais découvert la géniale Genia.

Elle avait utilisé des ossements de dragon comme structure de base, les combinant avec diverses pièces mécaniques et organiques pour créer le dragon mécanique, Mechadrag. J’avais pensé, peut-être qu’elle pourrait créer une poupée qui se déplace comme une main humaine.

Avec cette idée en tête, je lui avais commandé cela, et l’autre jour, le Bras Mécanisé modèle 1 (nommé par moi) avait été complété.

Du côté, on aurait dit qu’un bras avait étrangement germé d’une plateforme en forme de L. En termes simples, c’était comme un bras prothétique ou un bras manipulateur. Cependant, il était étrangement réaliste et humain d’une manière que cela était effrayant et rebutant. Il s’agissait d’une évidence en vue de la réaction de Juna quand elle avait vu la chose.

Oh, Genia, pourquoi avez-vous dû le rendre si réaliste ?

Eh bien, j’avais expérimenté avec les Poltergeists Vivants si je pouvais contrôler le Bras Mécanisé modèle 1. Le bras artificiel se déplaçait doucement, saisissant le stylo et écrivant des lettres sur un morceau de papier.

... C’était deux fois plus effrayant en mouvement. Donc, c’était la « vallée de l’étrange », hein ?

« Quand les bureaucrates voient cette chose fonctionner, ils sont toujours effrayés, » dis-je. « Oh, et quand les servantes apportent du thé, elles crient très souvent et s’évanouissent. »

« Je comprends complètement ce qu’ils ressentent, » même le sourire de Juna tremblait un peu alors qu’elle le disait. Après tout, cela ressemblait à quelque chose sorti tout droit d’une histoire d’horreur.

« En tout état de cause, maintenant que je peux faire travailler le Bras Mécanisé modèle 1, je suis capable de voyager en dehors de la capitale, » dis-je. « J’en ai déjà fait un certain nombre d’exemplaires. »

« Avoir tout un tas d’entre eux en mouvement... Je ne veux même pas imaginer à quoi ça ressemble, » dit Juna d’un ton plein d’excuses, mais j’étais d’accord avec elle.

Les bras de poupée installés dans une pièce vide qui écrivaient sans fin. Le simple fait d’imaginer ça détruisait en lambeaux ma santé mentale.

Juna secoua la tête, essayant de se débarrasser de l’image pour qu’elle puisse remettre les choses sur les rails. « Mais, Sire, pourquoi voulez-vous m’avoir avec vous comme partenaire ? La princesse, Aisha ou Roroa ne feraient-elles pas aussi une possibilité ? »

« Hmm... Considérant à qui je fais face cette fois-ci, je veux que vous me prêtiez votre force, » dis-je. « Je pense que les autres... ne seront pas de tailles face à elle. »

« Elle ? De qui parlez-vous ? » demanda Juna.

« La Commandante de la Force de Défense Nationale, Excel Walter, » répondis-je.

« ... Je vois. Ma grand-mère. Hmm ? Il s’agit donc de la raison pour laquelle vous me voulez à vos côtés, » déclara Juna.

Juna semblait satisfaite de cette explication. Cependant, elle avait rapidement penché la tête sur le côté de façon interrogative.

« Mais, Sire, grand-mère a toujours été votre alliée, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle. « Quand vous dites qu’elles ne seraient pas à sa hauteur, y a-t-il une raison pour que vous preniez position contre elle ? »

Quand j’avais vu le regard inquiet sur le visage de Juna, j’avais alors dit, « Oh, ce n’est pas ça, » et j’avais hoché la tête. « La raison pour laquelle nous quittons la capitale pendant trois jours est d’examiner les progrès d’un projet sur lequel Excel a travaillé, mais à part ça... J’ai entendu dire que Marx avait récemment pris contact avec Excel. »

« Le chambellan ? Mais franchement, pourquoi ferait-il cela... ? Était-ce pour quelque chose d’important ? » demanda-t-elle.

« Oh non ! Ce n’est rien d’important. Il ne semblait pas en faire le moindre secret. Il recevait juste des conseils sur certaines choses, mais... c’est sur quoi il recevait des conseils qui m’inquiètent..., » répondis-je.

« ... Et à propos de quoi pensez-vous qu’il recevait des conseils ? » demanda Juna.

« Il semblerait... que cela avait quelque chose à voir avec une “éducatrice sexuelle” pour moi, » répondis-je.

Au moment où j’avais dit ça, Juna avait un peu grimacé.

Les éducatrices sexuelles étaient une coutume des classes supérieures dans ce pays (les chevaliers, la noblesse, et plus haut). Quand un homme avait atteint sa majorité, une « femme expérimentée » lui était envoyée. Pour s’assurer qu’il ne serait pas embarrassé quand il prendrait une épouse, elle lui apprendrait correctement... la « bienséance dans la chambre à coucher », et bien d’autres choses du genre.

Il était courant que ces leçons fussent enseignées dans une simple pièce comme un cours de santé et d’éducation physique, mais certaines parties comprenaient « un apprentissage pratique ».

Je m’étais maladroitement frotté la tête. « Je vais avoir vingt ans cette année, et j’ai des beautés comme Liscia, Aisha et vous à mes côtés. Je suppose qu’il pensait que, en tant que jeune homme en bonne santé, s’il nous laissait tranquilles, je finirais par poser la main sur au moins l’une d’entre vous, mais cela ne s’est jamais produit. Donc parce que j’ai pris si longtemps, Marx s’est impatienté, et il a dit que peut-être une éducation était nécessaire. Il semble que Hakuya soit d’accord avec lui. »

« Je vois... Voilà donc ce que c’était, » Juna hocha la tête alors que son expression tremblait encore.

La Maison Royale de ce pays était au bord de l’extinction en raison de la crise de succession qui avait éclaté à la mort de l’avant-dernier roi. Ainsi Marx me harcelait toujours pour « me dépêcher et produire un héritier ». Alors que le mariage n’avait pas encore eu lieu, j’étais déjà fiancé à Liscia et aux autres filles, donc cela ne semblait pas être considéré comme des relations sexuelles prénuptiales dans son esprit. Voilà à quel point la pénurie de membres de la royauté était présente dans ce pays.

« Et ainsi, ils se sont tous deux tournés vers Excel, qui a cinq cents ans et qui a beaucoup d’expérience quand il s’agit de choses romantiques, » avais-je continué. « “Nous n’avons pas une femme parfaite pour le boulot,” ont-ils dit. Quand ils l’ont fait... »

« ... J’ai un mauvais pressentiment à propos de ça, » déclara Juna.

« ... Excel a alors levé la main et elle s’est portée volontaire, » dis-je.

« Franchement !! » Juna avait crié, c’était quelque chose qu’elle avait rarement fait.

Il semblait que, quand elle imaginait son fiancé (même si c’était encore un secret) ayant peut-être des relations avec sa grand-mère, elle ne pouvait pas maintenir son sang-froid. Elle avait montré un mélange de panique et de colère.

Elle peut donc aussi faire des expressions comme ça. C’est quelque peu rafraîchissant, pensai-je.

Incidemment, quand Marx était venu lui demander conseil, Excel avait dit, « Oh, Mon Dieu. Dans ce cas, pourquoi ne lui enseignerais-je pas pour vous ce genre de choses ? J’ai après tout une bonne expérience dans ce domaine. Si vous le souhaitez, je peux même gérer personnellement les leçons pratiques, vous savez ? Je viens d’une race ayant une longue durée de vie, donc ce n’est pas si probable que je devienne enceinte après ça. Hehehe, » avec un rire qui rendait difficile de dire à quel point elle était sérieuse.

Selon Marx, tout en utilisant la tromperie produite par son apparence de la mi-vingtaine, ses yeux avaient eu le reflet d’un serpent qui avait trouvé sa proie.

... Je suppose qu’elle n’était pas de la race de serpent de mer pour rien.

Quand je l’avais dit à Juna, elle avait pressé un doigt sur sa tempe, l’air inquiet. « J’en ai entendu parler de tante Accela. » C’était la fille d’Excel et la mère de Carla. « Quand elle était encore une jeune fille, ma grand-mère tentait de séduire les hommes qui étaient tombés amoureux de ma tante et les taquinait. »

« Wôw... C’est assez horrible, » dis-je.

« Non, elle ne l’a fait qu’avec ceux que ma tante n’aimait pas. C’était pour leur faire abandonner une relation illicite avec sa fille, mais... ma mère me l’a dit une fois, avec un regard fatigué, “Je n’ai jamais voulu avoir des camarades de classe qui avaient été courtisés par ma mère et qui étaient tombés entre ses griffes”. »

Eh bien, non, je ne pense pas qu’elle aurait aimé ça. En y pensant, Castor avait d’abord approché Excel, n’est-ce pas ? Avait-elle eu un froid entre eux parce qu’il l’avait courtisé en premier ? C’était certainement vrai qu’elle était une beauté à couper le souffle. Si je n’avais acquis une grande résistance à cela en étant entouré de Liscia et des autres, j’aurais peut-être risqué de tomber amoureux d’elle.

« Alors, maintenant que vous savez ce qui se passe, je voudrais vous demander de m’accompagner, » dis-je. « Puis-je compter sur vous pour ça ? »

« ... Je comprends. Je ferai de mon mieux pour vous protéger, Sire, » Juna m’avait salué avec son visage rempli de résolution.

Me protéger de quoi ? ... Eh oui, la réponse à cela était claire comme de l’eau de roche.

Juna me regarda comme si elle voulait dire quelque chose, mais elle avait du mal à dire ce qu’elle voulait et elle détourna les yeux. Je me demandais ce que ça pouvait être, alors j’attendais qu’elle le dise. Juna sembla se résoudre, puis elle ouvrit la bouche et déclara. « Hmm... à propos du problème que vous avez, eh bien... Ne serait-ce pas résolu si vous posiez simplement vos mains sur l’une d’entre nous ? Ce pourrait être la princesse, ou Aisha, ou Roroa, ou même... hmm... moi. »

Quand elle avait dit ça, avec son visage baissé et ses yeux qui se levaient vers moi, ça m’avait durement affecté, mais j’avais alors dégluti et je m’étais retenu d’agir. Si Marx avait son mot à dire, cela pourrait être exactement le problème.

« Je suis... euh... je ne suis pas encore prêt pour être père, » dis-je. « Écoutez, je vous aime toutes, et bien sûr, je souhaite vraiment faire ce genre de choses avec vous, mais... quand ils me disent que je dois absolument faire un bébé, je deviens d’un coup hésitant. Avec moi comme je suis maintenant, avec ce pays tel qu’il est maintenant, je me demande si je peux faire que vous toutes, ainsi que les enfants qui naîtront, serez tous heureux. »

« Je vois..., » Juna avait l’air un peu déçue, mais elle recouvrit rapidement cette expression d’un doux sourire. « C’est quelque chose qui est vraiment votre genre, Sire. Je peux sentir à quel point vous vous souciez de nous toutes. »

« Bien sûr que oui ! » répondis-je.

« Dans ce cas, j’attendrai avec impatience que vous soyez prêt, » déclara Juna.

Le sourire de Juna était si merveilleux que je l’avais serrée dans mes bras. Elle avait paru surprise, mais elle n’avait pas résisté. Elle était douce et sentait bon.

Je n’étais pas encore prêt, mais... Je pourrais faire ça dans peu de temps. C’était ce que je m’étais dit.

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5 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre.

  4. Ethan_Nakamura

    Merci pour le chapitre.

  5. amateur_d_aeroplanes

    Rien que la différence d’âge de quelques siècles ferait peur 🙂

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