Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 3 – Entracte 1

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Entracte 1 : Le Seigneur Ishizuka

« D’accord... passons au prochain document, » dis-je

Que je sois dans la capitale royale, Parnam, ou la capitale princière, Van, mon travail de roi était toujours le même. Je restais au bureau des affaires gouvernementales examinant les documents que Hakuya m’avait préparés et les approuvant. Surtout maintenant, avec l’occupation de Van qui avait commencé si récemment, ma charge de travail avait augmenté.

Le fait d’avoir laissé s’accumuler plusieurs jours de travail pour que je puisse m’occuper de ce programme de musique n’avait pas aidé. Même si je travaillais jour et nuit, utilisant pleinement mes Poltergeists Vivants, le nombre de piles de papier devant moi refusait de diminuer. En fin de compte, j’avais fini par installer un lit dans le bureau des affaires gouvernementales de Van, afin que je puisse me remettre au travail dès que je me réveillais.

Ainsi, aujourd’hui, comme tous les jours, je m’étais assis au bureau dès l’instant où je m’étais levé, et je regardais une pile de papiers tandis que la lumière du matin illuminait le bureau.

« N’est-il pas le moment que vous ayez votre propre chambre ? » Liscia avait demandé ça alors qu’elle se tenait à côté de moi. Elle semblait un peu exaspérée de ça. Elle me donnait un coup de main. « Ce château a beaucoup de chambres à disposition. »

« Je suis enterré sous le travail de l’aube jusqu’au crépuscule, » dis-je. « Il n’y a pas grand intérêt à avoir une chambre si je n’y retourne que pour dormir. Franchement... juste au moment où les choses se sont finalement installées dans le royaume, j’ai fini par créer plus de travail pour moi en occupant Van. C’est comme, allez au diable la Loi sur les Normes du Travail. »

« De quel genre d’absurdité parlez-vous ? » demanda Liscia. « Allez, voici le document suivant. »

« D’accord... Attendez, encore ça ? » dis-je.

Quand j’avais regardé le document qu’elle m’avait donné, j’avais affaissé mes épaules.

Ça disait, « Les habitants de Van veulent organiser un concert de musique en plein air sur la place centrale. Est-ce acceptable que nous autorisions cela ? » J’avais déjà traité plusieurs pétitions similaires aujourd’hui.

Toutes ces demandes concernaient des concerts, des pièces de théâtre, des expositions d’art, des expositions de calligraphie, et des cirques, entre autres choses. Il semblerait que, après avoir vu cette émission, les habitants de Van s’étaient éveillés à l’idée de s’exprimer à travers les arts. Oui, c’était vraiment ça...

« Une renaissaaaaance, » dis-je, allongeant volontairement le mot.

« Qu’est-ce qui se passe ? C’est venu de nulle part, » déclara Liscia.

« ... Rien, » dis-je.

Liscia m’avait regardé en étant un peu amusée.

Oui, si je dois la faire rire en disant un mot drôle, j’allais probablement devoir d’abord faire usage de la langue locale, pensai-je.

Alors que la Renaissance originelle était venue comme une renaissance de l’humanisme grec et romain alors que l’influence de l’église chrétienne était sur le déclin. Celle-ci serait un renouveau culturel qui ferait que beaucoup de personnes célébreront les arts après avoir été libérées du militarisme.

« Mais franchement... je sais que l’automne est la saison de l’art, mais cet éveil est bien trop soudain, » commentai-je.

Pour être honnête, j’aurais préféré ne pas être submergé par un flot incessant de demandes pour des événements artistiques et culturels. Car après tout, cette ville était techniquement sous occupation. Si ces événements attiraient de grandes foules, il était possible que des conspirateurs puissent s’y rassembler ou qu’ils puissent être pris pour cible par des terroristes. J’aurais aimé qu’ils se mettent à ma place, en tant que la personne qui devait vérifier à fond pour s’assurer que cela ne se produisait pas.

Quand elle m’avait vu me tenir la tête dans les mains, Liscia avait fait un sourire ironique. « Franchement, vous ne pouvez pas les blâmer. Cela signifie simplement que votre diffusion a eu un gros impact, n’est-ce pas ? Il semblerait que ce genre de choses ait été refréné avec force jusqu’à présent. »

« ... Je parie que oui, » dis-je. « Je doute qu’un état militariste les laisse s’exprimer ouvertement. »

Brûler des livres pour avoir légèrement critiqué le régime au pouvoir, emprisonner des personnes pour avoir chanté des chansons qui appelaient à la paix, exécuter publiquement la tête d’une troupe de théâtre qui avait monté une pièce qui tournait en dérision le gouvernement..., pensai-je. Ils ont probablement fait tout cela sans la moindre arrière-pensée. Cette excitation que je vois est probablement due à la libération de tout ce qu’ils avaient refréné jusqu’à maintenant.

« Bien que, grâce à cela, ma charge de travail augmente, » dis-je d’un air sombre.

« Pas de récriminations, » déclara Liscia. « C’est mieux que s’ils s’opposaient à nous. »

« Eh bien, c’est exact, mais... peut-être que je devrais mettre en place un bureau afin de gérer les événements, » dis-je, venant d’avoir une soudaine inspiration. « Si je le confiais à Margarita, alors je pourrais lui confier tout ce qui concerne le divertissement. »

« C’est bon pour moi, mais... vous devrez faire la paperasse pour cela, » dit-elle.

« Ouaisss..., » dis-je.

Il semblerait que, même en luttant comme je le pouvais, ma charge de travail n’allait pas diminuer.

Eh bien, je suis le roi, alors je suppose que ça ne sert à rien d’aller contre ça, pensai-je.

J’avais travaillé pendant l’après-midi, et juste au moment où j’avais faim et que je disais à Liscia que nous devrions manger quelque chose pour midi, le Ministre Royale concernant la Crise Alimentaire, Poncho Ishizuka Panacotta, entra dans la pièce.

Poncho s’avança pour se tenir devant moi, son ventre rond tremblant alors qu’il faisait ça, puis il fit un salut tendu. « Hum ! Votre Majesté, j’espérais que je pourrais avoir un peu de votre temps. »

Il était clairement anxieux. Il n’avait peut-être pas l’air impressionnant en ce moment, mais Poncho avait joué un rôle crucial dans la résolution de la crise alimentaire, et c’était un homme que j’avais choisi afin qu’il travaille à mes côtés, alors il était une figure respectée dans le pays.

Voilà pourquoi je souhaite qu’il s’habitue déjà à se tenir devant moi..., pensai-je.

« Quelque chose ne va pas ? » demandai-je.

« Tout à fait ! Sire, il y a quelque chose que je voulais vous montrer, » Dit Poncho en sortant quelque chose du sac qu’il portait avant de le placer sur le bureau.

« Vous vouliez nous montrer... une fleur ? » Liscia, qui nous regardait, avait déclaré ça en pleine confusion.

Poncho avait sorti une seule fleur. Elle ressemblait à un lys. Cependant, il y avait là une combinaison de couleurs dans son apparence qui semblait toxique. Elle avait des pétales roses, jaunes et bruns.

Si c’était un champignon, ce serait un avertissement clair de ne pas le manger, pensais-je.

« Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je.

« Et bien ! Ceci est une fleur appelée un “lys séduisant”, » déclara Poncho.

« Oh ! D’accord ! Je sais ce qu’est un lys, » dis-je. « Mais qu’est-ce qui le rend si séduisant ? »

« Le pollen de cette fleur a un puissant effet hallucinogène, » expliqua-t-il. « Il induit chez toute personne qui l’inhale un état semblable au somnambulisme. Il pousse principalement dans les montagnes. Il y a longtemps, il y a eu un incident où une division de l’armée l’a inhalé tout en marchant. Ils sont alors tombés d’une falaise en fuyant des ennemis qui n’existaient même pas et en conséquence, ils ont été anéantis. »

« Effrayant ! » m’exclamai-je. Est-ce comme une drogue non contrôlée, ou quelque chose comme ça ? « Attendez, ne me ramenez pas ce genre de chose ici ! »

« C’est correct, » déclara Poncho. « J’ai déjà enlevé tout le pollen. »

« ... Vraiment ? Eh bien, tant que vous êtes sûr que c’est sûr, » dis-je.

« Oui, » dit-il. « En outre, le pollen d’une ou deux fleurs n’aura aucun effet. Cependant, si vous essayez d’approcher un champ où des centaines d’entre elles se développent, alors même le fait de vous couvrir votre nez et votre bouche avec un chiffon n’aidera en rien... »

Eh bien, ouais, à moins de porter un masque avec une filtration d’air, je doute que vous puissiez bloquer tout le pollen, pensai-je. Je n’ai jamais eu à en utiliser moi-même, mais les personnes allergiques au pollen ont l’air d’avoir du mal avec un masque.

« Alors, vouliez-vous me montrer cette fleur ? » demandai-je.

« Non, Sire, la fleur est simplement une sorte de bonus. Ce que je voulais que vous voyiez était cela, » à la suite de ces mots, Poncho avait sorti un petit objet arrondi. Celui-ci était... un légume, peut-être ? Il était blanc, rond et grumeleux, comme des bulbes d’oignon ou des gousses d’ail densément agglomérées en quelque chose comme une pomme de pin.

« Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je.

« Ceci est un rhizome du lys séduisant, » dit-il.

« Un rhizome..., » murmurai-je. « Ho ! La racine du lys, hum ! », cependant, la fin de ma phrase fut criée en raison de ce que je venais d’entendre.

« Hé ! ... Pourquoi criez-vous si soudainement ? » Mon emportement avait surpris Liscia.

J’avais été excité par l’apparition soudaine et inattendue d’un ingrédient de luxe.

Hmm, donc c’est ça une racine de lys, pensai-je. J’en ai déjà vu en petit morceau lorsqu’il est utilisé en tant qu’ingrédient pour du chawanmushi, mais c’est la première fois que je vois un bulbe entier. C’est censé avoir un goût de pomme de terre, si je me souviens bien.

« ... Eh bien, Poncho Ishizuka Paramédical, » commençai-je.

« C’est Panacotta, » dit-il.

« Est-ce que cela se mange ? » demandai-je.

« Oui bien sûr que vous le pouvez, » dit-il. « Cette racine n’a pas d’effet hallucinogène. »

« Et qu’en est-il de son goût ? » demandai-je.

« Si vous les faites cuire à la vapeur, ils sont doux, feuilletés et délicieux, » répondit Poncho. « Je pourrais ajouter cela, ces lys séduisants poussent partout dans les montagnes d’Amidonia. »

C’est bon à entendre, pensai-je. La racine de Lily est riche en hydrates de carbone. Elle peut être utilisée comme aliment de base, tout comme les pommes de terre. Si nous pouvions récolter en masse de celle-ci, alors cela pourrait produire une percée dans la résolution de la crise alimentaire de la principauté.

« Mais à cause de ce pollen, vous ne pouvez pas aller n’importe où près d’où ces fleurs poussent, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« Tout à fait, » répondit-il. « Et si elles ne sont pas récoltées alors qu’elles libèrent du pollen, la toxicité s’accumule dans leurs racines. C’est pourquoi ces racines ne sont pas habituellement consommées en Amidonia. »

« Eh bien, dans ce cas ce n’est pas bon, » dis-je. « Même si elles sont comestibles, si vous ne pouvez pas les récolter. Attendez, hein ? Dans ce cas, comment avez-vous obtenu celle qui se trouve ici ? »

Après que j’eus demandé ça, Poncho avait sorti une carte et avait indiqué une zone dans le nord-est de l’Empire Gran Chaos.

« Il y a un peuple dans les montagnes de l’Empire Gran Chaos qui récolte le lys séduisant et l’utilise comme aliment de base, » expliqua-t-il. « Ils ont développé une méthode particulière afin de les récolter. »

« Quelle est cette méthode ? » demandai-je.

« Vous voyez, ils utilisent le shoujou pour ça, » dit-il.

« Le shoujou... Est-ce bien un type d’orang-outan ? » Je me posais cette question à haute voix, et Poncho hocha la tête en l’entendant.

« Parmi les variétés d’orangs-outans qui vivent dans les montagnes, une espèce a une résistance particulière face aux effets du pollen de lys séduisant, » expliqua-t-il. « Il semble que ces orangs-outans déterrent régulièrement les racines et les mangent. Les montagnards de l’Empire ont donc formé ces orangs-outans afin qu’ils s’occupent pour eux des moissons. »

Je vois, donc comme les cormorans utilisés dans la pêche au cormoran, hum, pensai-je. Les apprivoiser serait normalement la partie la plus difficile, mais nous avons une experte dans ce domaine dans notre pays.

« Ces orangs-outans sont-ils également présents ici à Amidonia ? » demandai-je.

« Oui, » répondit-il. « Il semblerait qu’ils vivent dans les montagnes près de Van. J’ai déjà demandé à Tomoe de négocier avec eux pour nous. Les shoujous sont célèbres pour leur amour de l’alcool, donc je soupçonne qu’ils vont travailler pour nous si nous leur donnons un tonneau de temps en temps au lieu d’argent. »

« C’est bien de voir que vous travaillez si vite, » dis-je.

Non seulement nous avons une réserve de rhinosaurus, mais maintenant, nous avions également l’armée de la Planète des Singes, hehe, pensai-je. À ce rythme, je pourrais littéralement transformer Elfrieden en un royaume animal. Hahaha...

« ... Hé, Liscia, » dis-je.

« Quoi ? » demanda-t-elle.

« Si vous pensez que cette décision politique est trop dingue, vous pouvez m’arrêter, d’accord ? » dis-je.

« ... Ne comptez pas sur moi pour prendre cette décision, » répondit-elle.

Liscia se détourna, refusant d’avoir quoi que ce soit à faire avec ça.

***

Une semaine (huit jours) plus tard, la nourriture distribuée à Van comprenait une boulette faite avec la racine du lys séduisant (racine de lys pour faire plus court).

« Nous distribuons ici des boulettes de racine de lys, » déclara Poncho.

Poncho, le Ministre Royale concernant la Crise Alimentaire lui-même, se tenait sur le site de distribution, fournissant personnellement de la soupe de boulette de racine de lys aux habitants de Van. La crise alimentaire avait profondément affecté Amidonia, alors les habitants de Van s’étaient alignés avec des pots en main afin de pouvoir emporter leur ration de soupe jusqu’à chez eux. En plus de la distribution de la soupe, il y en avait aussi pour la dégustation, et il la servait aux personnes qui avaient fait la queue pour cela.

« Ça vous réchauffe vraiment, » déclara une femme. « C’est bien mieux que ce à quoi je m’attendais. »

« La soupe elle-même a une saveur agréable, » déclara une autre femme. « Je pense qu’il appelait ça du miso, n’est-ce pas ? »

« Ces boulettes de pâte, je parie qu’elles auront également un bon goût de friture, hum ? » commenta une troisième femme. « J’aimerais essayer moi-même de les cuisiner. »

Alors que les femmes au foyer de Van parlaient, Poncho les interpella. « N-Nous avons ici des boulettes de racines de lys que vous pouvez rapporter. J’aimerais beaucoup que vous les rameniez avec vous et qu’ainsi, toute votre famille puisse y goûter. »

Lorsque Poncho se mit à brandir un sac rempli de quenelles de racine de lys, une lueur brilla dans les yeux des femmes au foyer. Puis, avant qu’il le sache, Poncho fut entouré par toutes ces dames.

« Mon Dieu, comme c’est prévenant, » déclara l’une d’elles. « Il s’agit là d’une grande aide pour nous, jeune homme. »

« Vous, êtes-vous bien l’un des assistants personnels de ce roi ? » demanda une autre. « Avez-vous déjà quelqu’un de spécial auprès de vous ? »

« Ha. Non. Je n’ai même jamais pensé au mariage, » au moment où Poncho avait dit ça en étant clairement troublé, une lueur encore plus violente apparut dans les yeux des femmes au foyer.

« Comme c’est splendide ! Vous savez, ma fille est une gentille fille, » déclara l’une des femmes. « Peut-être que vous voudriez l’enlever de mes mains ? »

« Hé, c’est pas juste ! » protesta une deuxième. « Si vous prenez une femme, alors cela devrait être ma fille ! Tout comme moi, elle a de bonnes hanches, parfaites pour l’accouchement, donc je peux vous promettre qu’elle vous donnera des bébés en bonne santé ! »

« Si elle allait vivre avec un homme bien portant tel que vous, je n’aurais pas à m’inquiéter qu’elle ait faim, » déclara une autre.

... Et, avant qu’il ne le sache, elles essayaient déjà de caser Poncho avec leur fille.

Quand elles entendirent tout ce remue-ménage, certaines des jeunes femmes se trouvant un peu plus loin s’étaient même elles-mêmes portées volontaires pour ce poste.

« Il est l’un des favoris du roi, n’est-ce pas ? » demanda une jeune fille. « On dirait que cela serait une chose sûre pour moi de vivre auprès de lui. »

« C’est une occasion idéale pour se marier pour de l’argent, » acquiesça une autre. « Tout à fait ! Tout à fait ! Je suis partante pour ça. »

En l’espace d’un instant, Poncho fut envahi par des femmes, jeunes et moins jeunes. Souma leur avait récemment montré que c’était tout à fait normal de s’exprimer, alors les femmes étaient très franches quant à leurs émotions. Pour Poncho, qui n’était pas habitué à ce genre d’attentions, il n’avait aucune idée de ce qu’il devait faire et se tenait là, nerveux, quand...

« Que faites-vous, Monsieur Poncho ? »

... Quelqu’un l’avait appelé avec une voix qui n’était pas bruyante, mais qui s’entendait de loin.

Lorsque les nombreuses femmes avaient regardé la source de cette voix, elles virent une belle femme en tenue de femme de chambre qui avait une louche dans sa main. Voyant la beauté renversante de la femme de chambre, les femmes déglutirent malgré elles.

Puis, contre toute attente, cette servante se dirigea vers Poncho avant de s’accrocher au bras épais de Poncho. « Vous savez, je suis venue ici à la demande de Sa Majesté afin de vous aider dans votre travail parce que vous êtes si timide. Voulez-vous vous relâcher pendant que je travaille pour vous ? »

Au moment où elle avait dit cela, Serina jeta un coup d’œil à la foule de femmes. Serina ne les regardait pas en particulier, mais les autres femmes se sentaient intimidées par son beau visage.

Qu’est-ce qu’une beauté comme elle fait à côté d’un gars comme lui ? pensaient-elles.

Ils étaient même bras dessus bras dessous. Se pourrait-il qu’ils soient dans une relation scandaleuse ?

Ne prêtant pas attention aux sentiments des femmes, Serina jeta un coup d’œil significatif à Poncho. « Assurez-vous que vous me le fassiez plus tard. Je ne serai pas satisfaite de le faire juste une fois cette nuit. »

Quoi!??? Les dames haletèrent devant les paroles hautement suggestives de Serina.

À propos, la chose que Serina ne se contenterait pas de faire une seule fois cette nuit-là était de tester les plats expérimentaux de Poncho. Serina était ravie du fait de pouvoir tester les plats préparés par Poncho. Ils étaient conçus en cuisinant des ingrédients de moindre intérêt qu’on trouvait dans ce monde. En d’autres termes, elle disait qu’elle ne serait pas satisfaite de tester un seul plat.

Poncho avait bien compris ce qu’elle voulait dire, et il avait dit. « D-D’accord ! Je vais dès lors retourner au travail ! » et il retourna à son travail qui consistait à distribuer de la nourriture.

Serina fit un haussement d’épaules empli d’indifférents, puis se retourna et effectua un élégant salut aux femmes avant de suivre Poncho.

Les femmes ne pouvaient que regarder ces deux personnes partir, se sentant comme si elles avaient été trompées.

... Eh bien ! Alors qu’il y avait quelques problèmes en dehors de ça, les boulettes de racine de lys étaient délicieuses à la fois frites et bouillies, ce qui avait beaucoup aidé en permettant de calmer et d’apaiser les cœurs des personnes sous occupation.

La culture de la consommation de racines de lys s’était alors répandue à Van. Et Poncho Ishizuka Panacotta, qui leur avait personnellement distribué les boulettes, était devenu respecté presque de façon divine par les femmes au foyer de Van. Elles étaient même venues à l’appeler « Seigneur Ishizuka ».

Peut-être qu’un jour il y aurait des sanctuaires construits afin de l’adorer, tout comme pour Billiken.

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3 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.
    P.S : Vous en faites pas mesdames, la polygamie est autorisé à Elfrieden.

  2. Merci pour le chapitre.

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