Ecstas Online – Tome 2 – Chapitre 5 – Partie 1

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Chapitre 5 : Commencer un voyage

Partie 1

L’auberge de Sandiano était un petit hôtel en bord de mer. Son aspect extérieur et sa décoration intérieure étaient élégants et confortables, mais les chambres étaient petites et il n’y en avait pas beaucoup. Le mieux qu’ils peuvent faire était de préparer une grande chambre par sexe. C’était un peu comme un voyage scolaire.

Busujima et Miyakoshi voulaient séjourner dans un hôtel plus somptueux, mais cela avait été rejeté par Asagiri et Hinazawa parce qu’ils ne savaient pas à combien s’élèveraient les dépenses à partir de maintenant.

Eh bien, je comprends plus ou moins Hinazawa, mais Asagiri est étonnamment intelligente pour ce genre de choses, elle est fiable, hein. Est-elle vraiment une riche Ojou-sama ? C’est ce que je pensais.

Cet hôtel était une honte pour le duo de filles, mais il semblerait que le bain en plein air fasse leur bonheur. De plus, la vue sur l’océan était une caractéristique très semblable à celle d’un hôtel de luxe.

Cela expliquait pourquoi je me déshabillais seul dans le vestiaire du grand bain public. Quand j’étais revenu, il n’y avait personne dans la chambre. J’avais demandé au PNJ à la réception de l’hôtel et il semblerait qu’ils soient allés en ville. En pensant qu’ils m’avaient encore laissé derrière eux, j’aurais pu me sentir déprimé, mais ce n’était pas le cas. Ainsi je n’avais pas besoin de me déplacer ailleurs, je pouvais me limiter à guérir tranquillement mon corps fatigué. Et si je devais prendre un bain, le faire seul était bien mieux. Je n’étais pas doué pour prendre un bain avec d’autres personnes lors des voyages scolaires. Je veux dire, est-ce que tout le monde ne déteste pas ça ? Pourquoi dois-tu prendre un bain avec d’autres personnes ? Il n’y a rien de plus désagréable que ça. Et maintenant que j’y pense calmement, n’est-ce pas dégoûtant d’être nu avec d’autres hommes et plonger dans la même eau chaude ? Des gens qui ne sont pas très proches les uns des autres sont nus et à une distance très proche. Prendre un bain ensemble comme ça, c’est sûrement gay, non ? Un bain dans un jeu gay, non ?

J’avais laissé tomber la serviette et j’avais ouvert la porte de la salle de bain.

Ouais, je ne veux pas prendre un bain avec ces salauds. Mais si c’est avec une belle fille, c’est une autre histoire.

« … »

Oui, une belle fille comme ça…

Le bain public spacieux était empli d’un sentiment de libération. Il y avait une baignoire en forme de bassin au-delà de la zone de lavage oblongue. Et au-delà, il n’y avait pas de murs, la mer et le ciel bleu étaient visibles dans cette direction. Cela donnait l’impression que l’eau chaude du bassin continuait jusqu’à la mer.

Dans le bassin où la vapeur montait légèrement, il y avait une silhouette qui regardait la mer, debout. Elle tourna la tête au bruit de la porte ouverte par moi.

Cette pose était certainement celle d’une belle femme qui se tournait pour regarder derrière elle. Des gouttes d’eau brillaient sur les lunettes posées sur son visage. Ses cheveux noirs tombants étaient sexy. Les cheveux noirs se collaient à sa peau blanche, ce qui rendait cette scène plus obscène. Les gouttes d’eau qui glissaient sur sa peau coulaient du dos vers la vallée des fesses, comme si elles étaient absorbées par elles. La peau légèrement teintée en rose par l’eau chaude était mignonne et lascive. Le haut du corps était retourné, et ses seins modestes, mais beaux montraient une vue latérale.

C’est la troisième fois que je vénère ce corps mince et délicat, n’est-ce pas ?

Mais deux de ces cas ne sont pas de ma faute.

« Qu-Qu-Quoi!? » Shizukuishi Non fit frémir sa bouche et son corps. Et elle s’était ensuite accroupie dans la baignoire comme si elle tombait.

« Ce perveeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerrrreeeeee !! » cria-t-elle.

« A-attends, qu’est-ce que je fais maintenant !? Shizukuishi, pourquoi es-tu ici !? » avais-je demandé, choqué moi aussi.

« Comment peux-tu venir effrontément dans la salle de bain des femmes et dire ça !? » me demanda-t-elle.

« Non ! C’est plutôt toi, tu es sans honte dans la salle de bain des hommes ! Es-tu une femme prédatrice ? Est-ce une attaque !? » m’écriai-je.

Le visage de Shizukuishi devient rouge vif de honte et de colère. « Dépêche-toi et pars ! » m’ordonna-t-elle.

J’avais réussi à m’enfuir précipitamment vers le vestiaire.

« Quoi ? »

La loge avait l’air différente de celle d’avant. L’emplacement du lavabo et du miroir était inversé, et il y avait toutes sortes de produits cosmétiques sur le lavabo. Ils n’étaient pas là avant.

« Putain, qu’est-ce qui se passe ? » me demandai-je à voix haute.

Il semblerait que ce soit vraiment la salle de bain des femmes. Ai-je vu une illusion ?

J’avais enroulé une serviette autour de ma taille et j’étais sorti dans le couloir, couvrant à peine mon entrejambe et mes fesses. Puis je m’étais précipité vers le bain des hommes, vers la porte qui se trouvait à côté et par laquelle j’étais entré il y a quelques instants. Contrairement au vestiaire des femmes, la disposition était inversée et aucun produit cosmétique n’y était placé. C’était bien la vue que j’avais eue avant d’entrer dans le bain.

« Qu’est-ce que c’était que ça… ? » j’avais ouvert la porte du bain public en me plaignant.

Là, Shizukuishi Non se tenait dans la salle de bain, complètement nue, en train de s’essuyer ses cheveux.

« Q-Q-Quoi… oi !? » s’écria-t-elle.

« Qu… Qu… ? »

Shizukuishi me regardait avec un visage qui indiquait qu’elle était sur le point de pleurer avec sa bouche encore ouverte.

Et son visage avait fortement rougi.

« Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! »

Attends ! N’as-tu pas accepté de te montrer totalement nue devant moi il y a quelque temps ? De plus, dans une apparence grandiose et embarrassante appelée cape nue !? Je voulais dire ça, mais je ne pouvais pas le faire !

Shizukuishi avait tordu son corps et avait caché sa poitrine avec une main et son entrejambe avec l’autre.

« Tu es ce genre de personne ! Avance ça, dans la mer ! As-tu une dent contre moi ? » me demanda-t-elle.

Tu as une montagne de rancunes envers moi ! Mais je ne peux pas dire ça !

« Attends, écoute-moi ! Certes, quand je suis sorti, c’était dans le vestiaire du bain des femmes ! Mais je suis sorti du couloir un instant et je suis entré dans le bain des hommes ! J’en suis sûr, crois-moi ! »

« Si tu veux que je te croie, regarde ailleurs ! » me demanda-t-elle.

Oups ! J’avais les yeux fixés sur elle.

J’avais tourné le dos à Shizukuishi avec des yeux larmoyants, comme si je tournais là où j’étais.

« — … Alors, qu’as-tu à déclarer dans ton testament ? » me demanda-t-elle.

« Attends une minute ! Ne m’as-tu pas cru ? » lui demandai-je.

« J’ai juste dit que je ne pouvais pas faire confiance aux excuses d’une personne qui fixe délibérément une personne nue, je n’ai pas dit que je te ferais confiance si tu détournais le regard, » me répondit-elle.

Certainement, c’est comme tu le dis ! À ce moment-là, la porte s’était ouverte devant moi.

« Nonnon, y a-t-il une raison pour laquelle tu viens juste de crier… !? »

C’était Asagiri.

Parmi toutes les personnes possibles, j’avais été vu ainsi par Asagiri.

Asagiri s’était figée alors que son sourire s’était bloqué. Et elle avait rougi en un clin d’œil.

« Ah… Je suis ! Je suis désolée ! » s’exclama Asagiri.

« Tu te trompes ! Ce n’est pas ce que tu penses, Asagiri ! » m’écriai-je.

Faisant tourner ses yeux en rond alors que son visage était rouge vif, Asagiri parlait en criant, en se couvrant les yeux avec ses paumes.

« Vous êtes déjà à ce point, je ferais mieux d’y aller ! »

« T-tu, tu as tort, Ririko. Calme-toi et penses-y calmement. Réfléchi de façon réaliste, tu penses vraiment que je vais prendre un bain avec la pire des ordures comme Doumeguri-kun ? » déclara Shizukuishi.

« E-Eh bien ! Il est en face de toi ! » répliqua Asagiri.

Guwaaaaaaaaaaaaaaaa ! Shizukuishiiiii, ne peux-tu pas trouver une meilleure excuse !?

« Je suis vraiment désolée ! »

Asagiri s’était échappée à grande vitesse en paniquant. Elle était immédiatement retournée et elle avait dit. « Allez-y doucement » et elle avait doucement fermé la porte.

Et on entendit après ça le bruit de ses pas qui s’éloignaient.

A, Asagiriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je m’étais lamenté dans mon esprit.

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Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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