Chapitre 151 : La Nuit des Esclaves
« Pour l’instant... reposons-nous, » avais-je dit en regardant vers le soleil qui se couchait dans le ciel à l’ouest.
« Compris, desu. Je vais nous préparer un endroit pour passer la nuit, desu, » déclara Lilia.
« OK, attends, » déclarai-je.
Lilia s’était arrêtée juste au moment où elle allait commencer à agir.
J’avais sorti mon DORECA et j’avais ouvert le menu. J’avais utilisé la capacité qui me permettait de reposer des objets après les avoir Sauvegardés.
Et ainsi, là où il n’y avait rien eu avant, il y avait maintenant une maison qui était apparue d’un coup.
Ce n’était pas seulement une maison normale, car il s’agissait d’une maison plus haute.
J’avais fait rentrer les deux filles à l’intérieur de la bâtisse.
Au premier coup d’œil, cela ressemblait à l’intérieur d’une maison normale avec une table pour cuisiner et un lit pour dormir.
Mais au milieu de la pièce se trouvait un escalier qui montait au premier étage.
Il s’agissait d’un loft que j’avais conçu.
« Il y a un escalier, dano, » s’exclama Arisa.
« Tout à fait. Tu peux y aller et regarder ce qu’il y a en haut, » déclarai-je.
« Je vais aller, dano ! » déclara Arisa.
Arisa avait utilisé ses bras et ses jambes courts pour monter les escaliers. Même si elle tombait, elle irait bien. Pendant ce temps, je m’étais lentement installé d’un côté de la pièce.
Lilia m’avait suivi.
« Il y a une pièce là-haut, desu... chambre ? » demanda Lilia.
« Ce n’est pas vraiment une chambre, c’est un loft. N’as-tu jamais vu quelque chose comme ça ? » demandai-je.
Lilia secoua la tête. « Jamais, desu, » répondit-elle.
« Je vois. C’est dans un endroit comme ça où je vivais avant. Vu de l’extérieur, il s’agit d’une maison normale, mais il y a une ou deux pièces supplémentaires au-dessus, » répondis-je.
« Je vois, desu, » déclara Lilia.
« Et aussi..., » j’avais commencé à parler en levant les yeux.
— Magie a été augmentée de 5 000 —
Arisa, qui avait grimpé jusqu’au loft, se pencha sur le côté avec ses yeux scintillants comme ceux d’un enfant.
« Incroyable, dano ! Ici, il y a même un deuxième étage avec petite chambre, dano ! » déclara Arisa.
« Eh oui. N’est-ce pas comme une base secrète ? » lui demandai-je.
« C’est vrai, Papa ! » Arisa était excitée alors que Lilia avait souri...
Une maison de ce genre était étonnamment bien appréciée.
☆☆☆
Après le dîner, j’avais créé un stylo et du papier, puis j’avais commencé à écrire.
En ce moment, je préparais ma nouvelle arme.
Je voulais quelque chose de différent de l’Épée Esclave Éternelle. Je voulais vraiment une nouvelle arme.
J’avais alors réfléchi à ce que cela pouvait être.
Je ne pouvais pas vraiment penser à quoi que ce soit... alors j’avais commencé à écrire ce dont j’avais besoin.
D’abord, il fallait que ce soit lié à mes esclaves.
Il s’agissait de quelque chose d’évident puisque j’avais 12 adorables esclaves qu’il fallait louer et faire sourire.
L’arme devait être capable d’exercer ce pouvoir et cela devait le transformer en une force. En tant que successeur de la Véritable Esclave Éternelle, c’était l’élément essentiel.
Ensuite, je voulais qu’elle soit développée à partir de zéro.
Je ne voulais pas que ce soit quelque chose qui m’ait été accordé directement par mon DORECA. À la place, je voulais que ce soit comme ce loft où j’avais assemblé diverses choses pour créer quelque chose d’original.
À part cela, j’avais d’autres besoins moins importants, mais ces deux-là étaient les plus importants.
« Onii-chan, » déclara Lilia.
Lilia était descendue des escaliers puis elle s’était placée à côté de moi.
« Arisa dort-elle ? » avais-je demandé à Lilia en levant les yeux vers le loft.
« Oui, desu. Elle a tellement couru partout qu’elle dort plus profondément que d’habitude, » répondit Lilia.
« C’est normal. Elle n’a pas arrêté de courir dans les escaliers, » déclarai-je.
Quand je m’étais souvenu de son excitation, j’avais involontairement ri.
« Qu’est-ce que vous écrivez, Onii-chan ? » demanda Lilia.
« C’est un plan pour une nouvelle arme. As-tu une idée, Lilia ? » demandai-je.
« Une arme pour Onii-chan ? Hmmm, » murmura-t-elle, inclinant la tête alors qu’elle réfléchissait.
« Copier Lilia et Arisa, desu, » déclara Lilia.
« ... Hein ? » m’exclamai-je.
Qu’est-ce qu’elle disait ? Me demandai-je.
« Comme avec les zombies d’aujourd’hui, utilisez beaucoup Lilia et Arisa, desu. C’est l’arme d’Onii-chan, desu, » déclara Lilia.
« Comme une sorte de guerrier invoqué ? » demandai-je.
« Comme ça, desu ! » déclara Lilia.
« Ça ne marche pas vraiment avec moi, » répondis-je.
« Est-ce que c’est si..., desu... » murmura Lilia alors que ses épaules tombèrent.
Elle était triste que sa suggestion n’ait pas été utilisée... ce qui signifie qu’elle était sérieuse à propos de ce qu’elle avait dit.
C’était incroyable à sa façon.
« À quoi pensiez-vous, Onii-chan ? » demanda-t-elle.
« Diverses choses... J’ai d’abord pensé à une arme à feu tel un pistolet, » déclarai-je.
« Pistolet ? » demanda-t-elle.
« Tout à fait. D’abord, je pourrais fabriquer un pistolet magique et j’utiliserais divers objets pour faire des balles. Des matériaux provenant de vous toutes, mes esclaves. Chacune de vous donnerait des matériaux et cela aurait probablement des effets différents et je serais ainsi capable de fabriquer des balles spéciales, » déclarai-je.
« Je vois, desu, » répondit-elle.
J’avais parlé à Lilia de l’une des idées principales auxquelles j’avais pensé.
Je n’arrivais pas encore à me décider pour un choix définitif, alors j’avais cherché à voir la réaction de Lilia face à l’idée.
J’avais eu plusieurs idées et j’avais utilisé Lilia pour voir si elle réagirait particulièrement bien à l’une d’elles, mais jusqu’à présent, il n’y avait pas de gagnant.
Merci pour le chapitre.
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