Chargez sa magie avec un sourire – Tome 5 – Chapitre 142

Bannière de Chargez sa magie avec un sourire ***

Chapitre 142 : Esclave Servante

Dans la ville de Magatan

Je me trouvais actuellement dans une maison de base offerte aux anciennes bêtes esclaves.

Yuria et moi étions transformés en utilisant ma Carte de Magie. Nous faisions la même chose qu’avec Risha dans la ville d’Akito.

En ce moment, j’étais en train de créer une Porte Magique qui se connecterait avec Ribek.

Avec ça, Yuria et moi serions capables d’aller et venir avec aisance.

Après l’avoir fini, nous avions pour ainsi dire réussi à infiltrer avec succès cette ville.

Yuria se tenait à mes côtés avec une attitude réservée et elle regardait par la fenêtre.

Je ne faisais rien et je regardais moi aussi par la fenêtre.

« C’est un peu surprenant, » déclarai-je.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Yuria.

Comme d’habitude, Yuria était calme et posée lorsqu’elle m’avait répondu.

Risha et Yuria étaient du type calme et tranquille, mais la tranquillité de Risha était basée sur la courtoisie et la considération, tandis que Yuria était plus brutale.

J’avais ainsi décidé de m’expliquer. « Puisqu’il s’agit d’une maison gardée en réserve pour les nouvelles personnes, je pensais qu’elle serait à la périphérie, mais cet endroit est presque au centre de la ville, » déclarai-je.

« C’est vrai, » déclara Yuria.

« Normalement, le prix de ce terrain serait plus important. Ne se transformerait-il pas en quelque chose comme un centre-ville ou un quartier commerçant ? Mais regarde donc tout ce qui est autour de nous. Ces maisons ne sont pas développées... y a-t-il quelque chose que je ne sais pas à propos de cette ville ? »

J’avais demandé cela à Yuria.

Cela concernait le fait de créer une ville, puis de la développer.

J’avais fait beaucoup de fois ce type de travail, mais en cours de route, je l’avais surtout délégué à Yuria.

C’est pourquoi j’avais demandé ça à Yuria... mais elle avait légèrement secoué la tête.

« Désolée, je ne sais pas non plus, » répondit Yuria.

« Vraiment ? Eh bien, c’est très bien ainsi, » répondis-je.

Yuria ne le savait pas, alors elle l’avait admis avec honnêteté.

Son caractère était très important pour moi, alors j’avais pensé que c’était bien que cela soit fait ainsi.

En même temps, peut-être que le fait qu’elle « ne sache pas » était une bonne chose.

Comme je lui avais presque tout délégué, Yuria connaissait mieux mon pays que moi.

C’est pourquoi nous étions venus ici incognito pour découvrir les choses du point de vue du citoyen. C’était un peu étrange, mais nous avions pu trouver au moins une chose que nous n’avions pas comprise rapidement.

C’était un bon début.

« OK alors, je vais traîner un peu dans cette ville. Yuria, tu travailles en ce moment à Ribek, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« Oui, » répondit-elle.

« Alors, ne t’occupe pas de moi et continue. Je serai de retour ce soir, donc à moins qu’il n’y ait une urgence, tu peux t’en occuper, » déclarai-je.

« Compris, » répondit-elle.

Elle avait hoché la tête et avait commencé à franchir la porte magique.

« Ah, attends un peu, » déclarai-je.

« Qu’est-ce qu’il y a, Maître ? » me demanda Yuria.

« ... Je t’achèterai un petit souvenir, alors que veux-tu ? » J’avais un peu réfléchi et je lui avais demandé ça.

Yuria avait aussi un peu réfléchi puis elle avait répondu. « N’importe quoi. »

« Je vois, » répondis-je.

« D’accord. Eh bien, j’y vais, » elle hocha légèrement la tête et franchit la porte magique.

Hmm, comme je le pensais... ça n’allait pas être si facile.

J’avais demandé en espérant la rendre heureuse, mais la réaction de Yuria avait été réduite.

Elle avait les plus faibles ondulations dans ses émotions parmi mes six esclaves. Sauf si c’était quelque chose qui la rendait vraiment heureuse qu’elle ne me montrait pas son sourire.

Même avec le scénario de « Jeune Couple Marié » auquel Risha avait réagi, Yuria n’avait pas vraiment eu de réactions.

« Ce scénario est efficace, comme attendu du Maître, » était la seule chose qu’elle avait dite.

Je ne cherchais pas la flatterie, je voulais qu’elle soit heureuse et souriante.

Eh bien... peu importe.

Je m’étais ressaisi et j’étais sorti.

« Hé, vous êtes le nouveau qui a emménagé, n’est-ce pas ? »

J’avais à peine ouvert la porte quand un jeune homme m’avait appelé. J’avais presque l’impression qu’il était à l’affût.

Il s’agissait d’un homme à l’air mince et androgyne.

C’était seulement en raison de ses vêtements et de sa pose qu’il ne ressemblait pas à une femme.

« Je suis Sparov, et vous êtes ? » demanda-t-il.

« Bonjour, je m’appelle Sakimori, » répondis-je.

« Enchanté de vous rencontrer Sakimori, » déclara l’autre.

J’avais serré la main de Sparov.

En raison de ce que je voyais là, il était bien élevé et son comportement était doux.

« Habitez-vous dans le coin ? » lui demandai-je.

« Là-bas, » Sparov avait dit cela alors qu’il avait montré du doigt une maison à trois maisons de là.

« C’est un peu vieux, mais c’est chez moi, » continua Sparov.

« C’est tout près. Donc nous sommes voisins, » déclarai-je.

« Oui, je serai à vos soins. Au fait, comment êtes-vous arrivé ici, Sakimori ? » me demanda-t-il.

« Apparemment, j’étais un singe ? Et d’une façon ou d’une autre, j’ai repris forme humaine, » je lui avais dit ma réponse toute prête.

« C’est donc ce genre de situation. Dans la précédente période, avez-vous des souvenirs de ce que vous faisiez ? » me demanda-t-il.

« C’est tellement vague, je ne m’en souviens pas vraiment, » répondis-je.

« Ça a l’air dur. Mais il y a des cas comme ça, alors ne vous découragez pas, » déclara Sparov.

Il m’avait chaleureusement encouragé après mon mensonge flagrant.

Ma conscience s’était crispée face à ses paroles.

« Comme vous venez d’arriver ici, vous n’avez pas encore trouvé de travail, n’est-ce pas ? » me demanda-t-il.

« Tout à fait, » répondis-je.

J’avais répondu avec les phrases que j’avais imaginées au préalable. « Il semble que vous pouvez vivre sans travailler dans ce pays. Je pensais me détendre et peut-être trouver du travail au jour le jour... »

J’avais dit la même chose à Akito.

En toute honnêteté, je n’avais pas le temps libre pour me trouver un emploi à plein temps. Plus précisément, quelque chose comme un employé permanent serait impossible.

Je devais faire mon travail principal en tant que Roi, et j’avais besoin d’infiltrer six villes, donc c’était hors de question.

Je n’avais pas le temps à disposition pour me trouver un travail, alors ça devait être ainsi.

« Est-ce que c’est le cas ? Je pense que c’est très bien. C’est un pays où vous pouvez le faire. Ah, si vous voulez travailler, dites-le-moi. Je vais vous présenter aux bonnes personnes. Cependant, quand vous le ferez, j’aurai besoin que vous suiviez une règle, » déclara-t-il.

« Une règle ? » lui demandai-je.

« Oui. À ce moment-là, je vous expliquerai, mais j’aurai besoin que vous portiez ceci, » déclara-t-il.

Sparov avait dit cela alors qu’il avait sorti un insigne.

« Et c’est quoi ? » lui demandai-je.

« C’est le badge de Lady Yuria. Notre association soutient Lady Yuria donc — ah par Lady Yuria nous démontrons l’excellence des Ladys Esclave de ce pays, et aussi ces esclaves sont…, » commença Sparov.

Sparov avait expliqué tous les détails sur le pays, le roi et ses six esclaves.

Avec le Roi, il y avait six esclaves. Il décidait de l’excellence de leurs prestations.

J’avais presque dit qu’il y avait 12 esclaves, pas 6... mais je m’étais abstenu de le faire.

« Il y a probablement des gens de l’ancien temps qui n’aiment pas que les esclaves soient au sommet... mais ils s’y habitueront probablement, » déclara Sparov.

« Je vois, » répondis-je.

« Donc, pour le travail, surtout lorsque vous avez un travail qui donne des résultats, vous mettez cet insigne pour montrer votre soutien, » déclara Sparov.

« Je vois, » répondis-je.

J’y ajoutais de temps en temps des mots appropriés, mais en tant que principale personne impliquée dans cette affaire, j’étais surpris.

Ils semblaient tous avoir pris leurs propres décisions.

Je ne comprenais pas ce qui se passait vraiment, mais je le saurais probablement lorsque je mettrais mon insigne.

« Bien sûr, je ne vous forcerai pas. Après tout, tout le monde a sa propre situation à prendre en compte, » déclara-t-il.

« ... »

J’avais un peu réfléchi. Serait-ce... une occasion ?

J’avais pensé à Yuria avec qui je venais de me séparer.

Elle ne m’avait presque jamais montré son sourire. Sa limite minimale pour obtenir une charge de magie était terriblement élevée.

Jusqu’à présent, je l’avais atteint d’une manière ou d’une autre à quelques reprises, mais l’effet était faible. J’avais pensé que c’était peut-être un maniérisme.

Mais qu’en est-il de ceci ? Si c’était cette chose dont Sparov parlait ?

Si je devais remuer des choses comme ça ?

Au lieu d’être un Maître, je pourrais trouver de nouvelles façons de les rendre heureuses.

Je pourrais l’utiliser pour augmenter le nombre de choses que je pourrais faire pour elles en tant que Maître.

J’avais un peu réfléchi et j’avais décidé que je pouvais le faire.

« C’est bon, je m’inscris, » déclarai-je.

« Est-ce que c’est le cas ? Nous vous souhaitons la bienvenue, » déclara-t-il.

Sparov avait été satisfait de ma réponse et avait fait un grand sourire.

Non, ce n’est pas de toi que je le veux. Je m’en fous si tu me fais un grand sourire, pensai-je. Les sourires de mes esclaves sont les meilleurs.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

8 commentaires :

  1. merci pour le chapitre
    petite question que c est il passé avec la futur 13eme esclave elle allai demander pour l etre mais apres on en a plus entendu parlé?

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre

  4. Merci pour le chapitre.

  5. merci pour le chapitre

  6. Merci pour le chapitre et bonne continuation!

  7. Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire