Chargez sa magie avec un sourire – Tome 4 – Chapitre 114

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Chapitre 114 : Le voyage d’affaires du roi

« N-non... ne vous approchez pas. » À l’intérieur d’une maison, une jeune fille frissonna de peur en se tenant dans un recoin de la pièce.

Parmi les montagnes se trouvait un pauvre village qui avait échappé à la destruction du dieu du mal. Ils n’avaient pas grand-chose, sauf leur vie.

En ce moment, un homme et ses subordonnés attaquaient cet endroit.

Le nom de cet homme était Midolfan. Il avait rassemblé les subordonnés de Marato et Maxim et les avait placés sous son commandement. Après ça, il avait dévasté les environs. Cet homme affichait maintenant un regard dégoûtant et pervers alors qu’il s’approchait de la fille.

« Je pensais que ce village n’avait pas d’intérêt. Mais cette petite chose a un corps fort ragoûtant, » déclara Midolfan.

« Nonnnnn... !! » cria la jeune fille.

« Il ne faut pas avoir peur de moi, leur chef, je suis très gentil. Je vais t’apprendre comment un véritable homme et une femme peuvent s’amuser, » déclara-t-il avec un sourire carnassier. Il s’approchait de la jeune fille.

« Mon Dieu, je vous en supplie... ! » La fille s’était recroquevillée et avait désespérément prié.

Elle était la plus jeune fille de ce pauvre village.

Son existence même semblait illustrer l’impuissance que ces personnes ressentaient face à ces loups portant une peau humaine.

« Kufufufu. Merci pour les futures gâteries ~ !! » déclara-t-il.

Mais à ce moment-là...

« Chef ! » cria l’un de ses subordonnés en courant vers lui en pleine panique.

*Bam !* Midolfan n’avait même pas hésité et l’avait frappé avec une frappe du revers de sa main.

« Ghh, Ahhh... » cria son homme de main.

« Cela n’a-t-il pas été dit... qu’à partir de maintenant, cela serait mon moment de plaisir ? J’ai dit de ne pas m’interrompre, n’est-ce pas ? » demanda Midolfan.

« Je sushis désholé... Mashis il y a un prshoblème, » répondit l’autre.

« ... Quoi !? » demanda Midolfan.

Le visage de Midolfan avait déjà l’air aigre, mais après avoir entendu ce qui se passait, il était devenu encore pire.

« Le Roish aushx Esclshaves est... »

***

Six pierres précieuses scintillaient alors qu’un homme seul tenant la Véritable Esclave Éternelle se frayait un chemin vers le centre du village.

Il y avait environ dix maisons dans ce village. La moitié d’entre elles avaient une fumée noire qui sortait de là et plus de la moitié des maisons avaient des portes ou des murs cassés.

Il y avait une pile de choses qui brûlaient et une petite pile d’objets de valeur.

« Merde !! »

L’un des bourreaux... un autre des subordonnés de Midolfan était venu l’attaquer.

L’épée avait semblé disparaître et l’homme avait été sectionné en deux morceaux.

***

J’avais continué à passer devant l’homme et son corps était tombé sur le sol, ou plutôt, les deux moitiés de son corps.

J’avais continué à me frayer un chemin à travers la racaille alors que Midolfan était sorti du seul bâtiment qui était encore intact.

Ses sourcils avaient montré à quel point il était surpris.

« Bâtard... pourquoi es-tu ici ? » demanda Midolfan.

« Une coïncidence... bien que cela puisse aussi compter comme de la magie, » répondis-je.

« Qu’esht-che qu’il ash dit ? » demanda le subordonné de Midolfan.

« S-S’il vous plaît, aidez-moi ! » cria la jeune femme.

Midolfan s’était mis en colère.

Derrière lui, une jeune fille avait bondi pour sortir de la maison.

Elle s’était glissé devant lui aussi vite qu’elle le pouvait et elle avait essayé de se rendre à côté de moi.

Cependant, elle avait été arrêtée à mi-chemin.

Midolfan l’attrapa et enroula son bras autour de son mince cou.

« Oh, tu ne dois plus te déplacer, compris ? Si tu bouges... alors je ne sais pas ce qui va arriver à cette petite fille ici, » déclara Midolfan.

« Un hôshtage, heshin !? » demanda son subordonné.

« Ce n’est pas le genre du Roi aux Esclaves... alors je pense que ça devrait marcher ? » répondit Midolfan.

« ... »

« Ohh, non. Je ne suis pas un méchant. Je n’ai même pas de rancune contre toi. Ainsi, pourquoi ne pas nous arrêter là pour cette fois ? » déclara Midolfan.

« ... »

« Puis-je prendre ça pour un oui ? » demanda Midolfan.

« Ugu! » Il resserra sa prise sur elle et elle gémit de douleur.

Si je n’acceptais pas, sa vie ne serait pas garantie.

« Laissez-la partir, » dis-je.

« Je laisserai partir cette jeune fille une fois que je serai en sécurité. Je tiens toujours mes promesses, » déclara-t-il.

« ... vous feriez mieux, » dis-je.

Midolfan avait commencé à bouger.

Il la tenait alors qu’il continuait à marcher et était sur le point de partir au loin quant à ce moment-là...

Un bruit de frappe avait pu être entendu et une lumière froide avait clignoté.

Chinggggg !

J’avais bloqué son attaque avec mon Épée d’Esclaves.

Midolfan avait attaqué en premier et il avait une fois de plus frappé à l’aide de son épée.

Il avait essayé de m’attaquer par surprise.

« ... N’allez-vous pas fuir en courant ? » demandai-je.

« Il vaudrait mieux te tuer ici, idiot ! » cria-t-il.

« Je vois, » dis-je.

« Ohho, ne pense pas à riposter contre moi. Si tu le fais, alors..., » Midolfan avait dit cela alors qu’il avait commencé à attaquer à nouveau... mais il s’était soudainement arrêté.

Il cracha du sang et son épée tomba de sa main.

« Q-Quoi... Qu’est-ce que c’est ? » demanda-t-il.

Il avait regardé son corps en étant choqué et en ayant peur.

Il avait alors vu six enfants.

Il y avait six adorables fillettes semi-transparentes.

Elles avaient des cheveux dorés et oreilles pointues... des Esclaves Éternelles.

Elles tenaient toutes de courts couteaux qui avaient été poignardés en lui.

« Enfants... ? Quand ont-elles... ? » demanda-t-il.

« Eh bien, c’est comme ça. Tout le monde, revenez, » dis-je.

Les petites esclaves semi-transparentes s’étaient éclairées et avaient disparu dans la Véritable Esclave Éternelle.

Puis j’avais de nouveau frappé avec l’épée alors que les six lumières étaient présentes. Elles s’étaient retransformées en personnes qui entouraient Midolfan.

Puis elles avaient tenu leurs couteaux et avaient sauté sur lui.

Zakuzakuzaku !

La deuxième attaque avait ajouté six autres trous au corps de Midolfan. Son corps avait maintenant une douzaine de trous différents.

« Ga..ha... »

Les yeux de Midolfan montraient une incrédulité absolue alors qu’il s’effondrait lentement sur le sol.

***

« Vous pouvez faire la panacée en utilisant de la magie pure, » déclarai-je.

« OK, allons-y toutes ! » Chasri avait couru avec les autres enfants.

Une fois qu’elles avaient trouvé une personne blessée, elles avaient utilisé leurs cartes pour fabriquer des médicaments avant de les soigner.

Le coût n’était vraiment pas génial, mais je pouvais néanmoins laisser cela ainsi.

Alors je les laissais à leur tâche, je m’étais tourné vers la jeune fille.

« Êtes-vous blessée ? » demandai-je.

« Ah ?... Non..., » répondit-elle.

« Je vois. Vous avez alors eu de la chance, » dis-je.

Ma venue ici était surtout une coïncidence.

J’étais sorti afin de tester le pouvoir de mes petites filles et j’avais utilisé la magie Recherche d’Ennemis qui m’avait guidé jusqu’ici.

Je lui avais offert ma main et je l’avais aidée à se lever.

J’avais regardé l’ensemble de la ville.

Cela ne pouvait presque pas s’appeler un village. C’était seulement légèrement meilleur que la cabane pourrie originale de Madway.

« Avez-vous toujours vécu ici ? » demandai-je.

« Oui... Hmm..., » commença-t-elle.

« Oui ? » demandai-je.

« Hmm... avant ça, cet homme... vous a appelé le Roi aux Esclaves, » déclara-t-elle.

« Oh, c’est possible, » dis-je.

On m’avait appelé ainsi assez souvent.

« Est-ce que ça pourrait être que... vous êtes le roi du nouveau pays ? » demanda-t-elle.

« Tout à fait, » dis-je.

« Al-Alors... » commença-t-elle.

Elle avait ouvert et fermé la bouche comme si elle voulait dire quelque chose, mais ne savait pas si elle devrait le faire.

« Voulez-vous venir sous ma juridiction ? » demandai-je.

« Tout à fait... mais ce village n’a pas grand-chose à offrir..., » déclara-t-elle.

« Je n’ai nullement besoin de chose comme ça, » répondis-je.

« Hein !? » s’exclama-t-elle.

Elle était surprise et semblait ne pas pouvoir le croire.

« Chasri, Irina, Vuela, Arisa, Bella, Olga. » J’avais appelé à haute voix et elles étaient accourues jusqu’à moi.

« Nouz avez-vouz appelés, Maîzre ? » demanda Chasri.

« Fais une maison à une courte distance du village. Nous allons travailler ici pendant un petit moment, » ordonnai-je.

« J’ai compriz, » répondit-elle avant de se mettre à nouveau à courir.

La jeune fille était restée stupéfaite.

Il valait mieux le démontrer plutôt que l’expliquer. Tout d’abord, nous devrions aider un peu à reconstruire cet endroit.

***

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8 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Julien Bonneau

    Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre

  4. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.

  5. L'amateur d'aéroplanes

    Merci pour le chapitre.

  6. 12 esclave v beaucoup

  7. Dominique Ringuet

    Merci pour le chapitre !

  8. Merci pour le chapitre

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