Chargez sa magie avec un sourire – Tome 3 – Chapitre 101

Bannière de Chargez sa magie avec un sourire ***

Chapitre 101 : La Fête Suprême

La Nuit, dans la périphérie de Ribek, au point d’ancrage du cuirassé Risha.

J’avais confié mes tâches de routine à mes esclaves et j’étais venu ici.

Au moment où j’étais monté sur le cuirassé, les filles étaient toutes venues me saluer.

Avec Maya en tête et les autres filles qui l’entouraient.

« Nous vous attendions, » déclara Maya.

Le comportement de Maya avait pris un virage à 180 degrés vis-à-vis de son comportement habituel... elle agissait calmement et avec grâce.

« Vos tenues ? » demandai-je.

Maya et ses troupes d’élite... elles avaient autrefois erré dans le désert en observant et en agissant comme des voleuses.

Mais toutes portaient en ce moment des robes.

Elles portaient toutes des vêtements comme des danseuses porteraient pour aller danser.

Elles avaient des saris enroulés autour de leurs corps et des bracelets dorés sur leurs bras.

« Risha a dit que nous devions... Hmm, votre esclave les a préparés pour nous, » déclara Maya.

« Je vois, » dis-je.

« Est-ce que vous trouvez cela agréable ? » demanda Maya.

« Avant ça..., » dis-je tout en sourire ironique. « Que se passe-t-il avec votre manière de parler ? »

« Ne trouvez-vous pas cela plaisant, Monseigneur ? » demanda Maya.

« Ce n’est pas mauvais... mais ça me fait me sentir bizarre, » dis-je.

« Préféreriez-vous que j’agisse comme d’habitude ? » demanda Maya.

« Hmm..., » j’avais regardé Maya et les filles derrière elle alors que je réfléchissais.

Elles étaient toutes venues pour me saluer.

Leur apparence et leur ton étaient entièrement dédiés envers moi et elles avaient sûrement des arrière-pensées en agissant ainsi.

« Fait comme vous voulez avec les choses que vous faites ! » Les paroles que la déesse m’avait dites quand je fus appelé dans ce monde apparurent dans ma tête.

Faire des objets, faire des villes, faire des pays. Vous pouvez faire les choses comme bon vous semble.

C’était la récompense d’avoir été placé dans ce monde désolé et en ruine.

Je travaillais avec acharnement jusqu’à maintenant.

À partir d’un village de 27 personnes... j’avais fait un pays d’environ 10 000.

Passé d’une époque où survivre était déjà assez difficile, à une ère où les gens pouvaient avoir une économie, des événements et des festivals.

J’avais travaillé... j’avais travaillé dur.

J’avais travaillé dur, alors pourquoi je ne pouvais pas avoir de récompense ?

Je pensais à ça... et je regardais les femmes devant moi et leurs actions... et je me sentais réconforté du fond de cœur.

« Non, c’est très bien ainsi, » dis-je.

« J’ai compris, » répondit Maya. « Nous continuerons à agir conformément à vos désirs. »

« Permettez-moi de vous guider, » l’une des gardes d’élite était venue à mes côtés et avait enlevé mon manteau.

Elle l’avait pris et j’avais marché à travers un chemin qu’elles avaient fait au centre de la foule. Je m’étais déplacé à l’intérieur du cuirassé.

J’avais été guidé à travers l’intérieur terne des salles et le long des couloirs jusqu’à une certaine pièce.

L’intérieur était une chambre à coucher.

Elle ne correspondait pas du tout à l’apparence intérieure du navire de guerre. Il y avait un grand lit à baldaquin dans la chambre bien décorée.

« C’est ? » demandai-je.

« Elle a été créée uniquement pour cette journée et dans un but bien particulier, » répondit Maya.

« Je vois, » dis-je.

J’étais entré dans la pièce avant d’aller m’asseoir sur le lit.

Les filles étaient entrées dans la pièce l’une après l’autre.

Elles m’avaient toutes regardé avec des yeux humides.

Les femmes qui avaient du désir envers moi.

En les regardant... Je me sentais excité et fier.

Je me sentais comme au moment où j’étais monté sur la plate-forme.

Ces femmes qui voulaient être enlacées par moi, qui voulaient que je les embrasse.

Je me sentais comme au moment où j’avais été couronné pour ainsi devenir le roi.

« Akito, » déclara Maya.

« Hm ? » demandai-je.

« ... Je vous remercie, » Maya avait dit ça avec des larmes dans ses yeux pendant que nous étions tombés tous les deux sur le lit.

À partir de là... ce fut un somptueux festin.

Les femmes s’étaient approchées l’une après l’autre pour obtenir ce qu’elles désiraient depuis si longtemps... et pendant les pauses, nous avions bu du saké et avions mangé de la délicieuse nourriture.

La nuit, moi et cinquante femmes avions apprécié la compagnie de l’autre... une nuit de passion.

Le jour suivant, je m’étais réveillé et j’avais pu contempler les sourires heureux de toutes les femmes présentes sur le cuirassé. Un peu après ça, j’avais alors réalisé que le DORECA de Seiya avait quelque peu changé.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

9 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.Il va enfin servir à quelque chose

  2. Merci pour le chapitre.
    PS:C’est pas trop tôt…

  3. Merci pour le chapitre.

  4. On peut dire Enfin, bon maintenant on peut être jaloux de son endurance XD

    • Pas sûr du tout de ça.
      Car il y a une forte chance qu’il ai eu droit à un remontant préparé par ses esclaves afin de pouvoir tenir le coup.
      La Panacée permet également de remonter l’endurance de la personne qui le consomme…
      Il y a donc une forte chance qu’un stock ait été consommé ce jour-là.

      • amateur_d_aeroplanes

        Certes ,  »Red Bull » et la petite pilule bleue peuvent aidé 🙂 Mais c’est le temps qui pause problème, 50 en une nuit, c’est du travail à la chaine, pas le temps de se connaitre l’un l’autre, aucun romantisme 🙂

  5. Ça veut dire quoi à la fin alors ça a changé c’est plutôt vague comme explication j’espère qu’ils vont nous ont donné une plus tard

  6. Barthélémy Lelièvre

    Merci pour le chapitre.

    Et comme pas mal, j’ai eu envie de crier, ENFIN!!!!

Laisser un commentaire