Womanizing Mage – Chapitre 4

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Chapitre 4 : Ximen Wu Hen

Traduit initialement par Babo Trad qui nous a autorisés après son arrêt à reprendre et éditer sa propre traduction ainsi qu’a la publiée ici. Nous le remercions pour cela.

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Il était évident que le Style Ao Tian Jue ne pouvait pas être maîtrisé en si peu de temps, et c’était seulement le premier niveau, qui lui, était facile à apprendre, mais la difficulté augmentait au fur et à mesure des niveaux. Une personne normale aurait pris entre 2 et 3 ans pour terminer le premier niveau, et ça nécessiterait beaucoup d’effort après cela. Si vous n’étiez pas brillant, c’était impossible pour vous d’atteindre le niveau suivant ou le second niveau tout simplement. On pouvait clairement voir la difficulté du Style Ao Tian Jue. Dans sa vie précédente, Long Yi était un génie bénit des dieux qui avait atteint le niveau 5 alors qu’il avait 30 ans. Il savait aussi que le corps qu’il possédait avait un incroyable talent pour étudier rapidement, mais c’était impossible d’accéder au mythique niveau 9 en si peu de temps. Long Yi équilibra ses pensées et ses émotions.

« Paume de la Lointaine Distance. » Cria Long Yi pendant qu’il concentrait le Qi dans sa paume et le tira sur les petits éclairs parcourant le mur métallique.

Une rafale de vent venant du QI de Long Yi attaqua durement la paroi. Avec un grand *BAAAAAM*, la paroi métallique fit un tas de sons continus tout en faisant trembler la cellule.

Long Yi se surprit lui-même. Pourquoi le pouvoir du premier niveau de ce monde était-il égal à celui de deuxième niveau de la Terre, et qu’il n’était pas affecté par le sceau anti-pouvoir de la prison ? Il sentait que la situation était magiquement spéciale, puisque même si quelqu’un se rendait compte qu’il avait enlevé le sceau spirituel, il pouvait quand même s’évader d’ici.

Un long moment passa, mais personne n’arriva pour l’interroger sur ce qu’il s’était passé, rien de tout ça ne s’était produit et un silence qui pouvait rendre une personne folle pesait.

« La prison de Jin Tian est peut-être faite pour les condamnés à mort ? Essaient-ils de me faire mourir de faim ? » Se questionna Long Yi après avoir écouté attentivement si quelqu’un venait l’interroger. C’était aussi parce qu’il n’y avait personne qu’il commençait à avoir faim.

Pour une raison quelconque, Long Yi ressentit un sentiment de familiarité pendant qu’il regardait les petits éclairs parcourant le mur métallique.

« Familier, mon cul, tout le monde deviendrait familier avec la foudre après avoir été frappé par elle... D’ailleurs, je meurs de faim, bordel ! » Se plaignit Long Yi, ses pieds semblaient avancer inconsciemment.

Long Yi voyait les terrifiants petits éclairs l’entourer en faisant *Bzzzt*, à l’intérieur, il semblait y avoir un esprit animé en mouvement, tel un bébé curieux qui s’amusait. Long Yi était fasciné par cette scène, sans pouvoir se contrôler, il approcha ses mains du courant électrique. Il reprit soudainement connaissance et arrêta ses mains.

« Merde ! Ça fout la frousse. Est-ce que quelqu’un essaie de m’hypnotiser ? Non, ce n’est pas possible, je l’aurais déjà remarqué. » Alors que Long Yi essayait de baisser ses deux mains, quelque chose de bizarre se produisit. Le courant électrique de la paroi volait vers ses mains comme s’il était attiré par une force inconnue.

Long Yi rétracta rapidement ses mains, mais il se rendit vite compte que l’électricité bougeait sur la surface de son corps sans pour autant l’électrocuter, comme s’il l’absorbait.

Long Yi regarda ses mains avec un air dubitatif. Il mit alors à nouveau ses mains sur la paroi, et le courant électrique argenté entra avec fluidité dans son corps, comme un enfant perdu retrouvant sa famille. Il ne réfléchissait pas trop à ce phénomène, mais Long Yi sentait quelque chose d’un peu étrange à propos du déroulement des choses.

De plus en plus de courants électriques entraient dans son corps et Long Yi ne sentait aucune gêne, puisque ce qu’il absorbait disparaissait sans laisser de trace après être entré dans son corps. Long Yi sentit une énergie chaude s’écoulant doucement autour de son corps, lui apportant un peu de plaisir. Dans son esprit, il semblait être retourné dans une forêt sauvage, où une fille nue était couchée...

...

Dans le palais de la Cité de Tenglong, Long Ling Er était figée devant une montagne miniature dans son jardin, avec 4 ou 5 servantes se tenant éloignées, elles la regardaient avec attention. Cela faisait maintenant deux jours que la Princesse était comme ça. Elle ne faisait pas la tête aux servantes du palais, elle était juste figée, regardant tomber chaque flocon de neige avec ses yeux vitreux.

Enveloppé dans son cocon imaginaire, le cœur de Long Ling Er s’était gelé, avec ses yeux dénués d’émotions, elle regardait tout ce qui l’entourait. Tout cela à cause du cauchemar qu’elle avait vécu cette nuit-là. Depuis lors, elle avait une aversion absolue au noir, puisqu’elle se rappelait constamment du sourire pervers de Ximen Yu (pour elle, c’était comme si elle avait mangé des mouches). Mais de temps en temps, elle pensait au regard luttant et souffrant qu’il avait eu devant elle, et aussi de la phrase dominante : « Dorénavant tu es ma femme, donc je ne te tuerai pas. » Lorsqu’elle pensait à cette phrase, elle s’énervait immédiatement et commençait à utiliser un sort magique de haute-classe « Feu de l’Enfer » pour brûler tout ce qu’il y avait autour d’elle. Cela avait incité l’Empereur Long Zhan à exécuter sans plus attendre ce bâtard.

Long Ling Er se tenait là, le regard vide, pendant qu’une servante s’avançait vers elle lui disant doucement : « Ma Princesse ! Dame Ximen est arrivée. »

« Amène-la-moi, » dit sèchement Long Ling Er. Ximen Wu Hen était venue de nombreuse fois avant, mais l’entrée lui avait été interdite. Même si elle était sa meilleure amie, elle n’en restait pas moins la sœur de ce bâtard.

Une silhouette couverte par un habit blanc de clergé marchait de manière charmante. Une légère brise fit flotter ses vêtements au vent. Si on regardait de plus près, la fille était vraiment belle, avec un visage pouvant rendre de nombreux hommes ivres sans même boire. Elle avait les sourcils comme des feuilles de saule, des yeux clairs comme l’eau d’un lac, un petit nez au-dessus de ses lèvres couleur cerise mettant en valeur sa peau blanche-neige, ajoutant aussi son tempérament chaleureux et gentil se dégageant d’elle, il donnait aux gens l’impression de vivre sous le doux vent du Printemps.

« Wu Hen, si tu es là pour donner une excuse à ce bâtard alors ne dit rien. Je ne lui pardonnerai jamais, » dit Long Ling Er sans même laisser Ximen Wu Hen ouvrir sa bouche, parce qu’il était impossible de refuser quelque chose à cette petite sœur quand elle commençait à parler.

Ximen Wu Hen souffla légèrement calmement et dit : « Ling Er, je ne suis pas ici pour demander le pardon, car peu importe ce qu’il t’a fait, il devra en accepter les conséquences. Je suis désolée de la façon dont la Famille Ximen t’a traitée. »

Écoutant les gentils mots de Ximen Wu Hen, elle fut de nouveau emplie de souffrance et de grief. Elle tenait fortement Ximen Wu Hen alors qu’elle pleurait de manière convulsive.

Ximen Wu He tapota gentiment le dos de Ling Er. Pour être honnête, elle ne ressentait que du dégoût envers son demi-frère. Il était vraiment la honte de la famille Ximen. C’est juste qu’elle ne comprenait pas pourquoi son père était si indulgent, était-ce parce que sa mère était la grande sœur aînée de la famille Dongfang ?

« Wu Hen, qu’est-ce que je devrais faire ? Qu’est-ce que je devrais faire ? » Long Ling Er essayait de rester forte devant Ximen Wu Hen, mais elle pleurait toujours alors qu’elle disait ces mots. La virginité d’une femme dans L’Empire Kuang Long était très importante jusqu’à leur mort. Une tragédie de cette envergure briserait l’esprit de toute femme, et encore plus une Princesse hautaine comme elle.

En voyant Long Ling Er devenir de plus en plus agitée, Ximen Wu Hen attrapa rapidement les mains de Ling Er et lui infusa une lumière blanche dans son corps. C’était un sort basique « Gardien d’Esprit » qui repoussait les mauvais esprits et apaisait les gens.

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3 commentaires :

  1. Bon bah au moins on a pas à se sentir coupable pour Ximen Yu. Car basiquement il s »est fait tué et dépossédé de son identité non ?

  2. Merci pour le chapitre.

  3. j avoue c est le type qui a prie sa place qui est a plaindre , après avoir était tuer il reviens a lui dans un autre monde tout déboussoler avec une fille a poil devent lui , … on peut pas vraiment lui en vouloir pour la suite même si c est crade pour la fille .

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