Chapitre 3 : La Première Fois
J’avais réussi à obtenir une alliance avec mon premier monstre. Je me sentis soulagé, mais la pensée de ce qui allait bientôt se produire rendait plus raide la totalité de mon corps.
« Merci beaucoup. Je me sens vraiment soulagé d’avoir enfin quelqu’un de fort à mes côtés qui peut me protéger, » dis-je.
« Quels sont vos ordres, mon Seigneur ? » demanda-t-il.
{Félicitations ! Maintenant, il est temps pour toi de t’accoupler avec lui.}
La voix brillante du système fit accélérer les battements de mon cœur. L’accouplement. L’accouplement m’attendait.
« Toi... quel est ton nom ? » lui demandai-je.
« J’ai été emprisonné depuis tellement longtemps que j’en ai même oublié mon nom, » répondit-il.
« Alors, dans ce cas, je vais désormais t’appeler Velke, » dis-je. « Et tu seras le fondateur du nouveau clan des Vellucelsis ! »
« Merci beaucoup. J’en suis profondément honoré, » répondit Velke.
« Heu... maintenant... » balbutiai-je.
Même à genoux, mon partenaire était plus grand que moi. Et au moment où je pensais à ce que nous allons faire, je me mis à transpirer abondamment.
« Velke, à ce propos... à partir de maintenant, je ferai de mon mieux pour réaliser ton souhait, » lui dis-je.
« Oui ? » s’interrogea Velke.
« Nous devrions donc... heu... vous savez... accoupl... » dis-je.
Quand Velke se leva, je pus constater qu’il mesurait environ deux mètres. En regardant ses muscles tendus et ses larges épaules, je fus frustré d’avoir qu’un corps enfantin.
« Mon Seigneur, votre corps semble être immature, » déclara Velke.
C’est exact ! Je mesure 60 centimètres de moins que lui ! pensai-je.
« Ne t’inquiète pas à ce propos. Ceci ne causera aucun problème vis-à-vis de ma capacité de reproduction, » répondis-je.
« Vraiment !? » s’interrogea Velke.
Velke m’avait pris dans ses bras avant d’aller plus profondément dans la grotte.
« Mon Seigneur, quelle expérience avez-vous ? » demanda Velke.
« Oh, et bien, pas vraiment... Je veux plutôt dire que je viens de naître, alors cela sera la première fois pour moi, » dis-je.
Une langue humide me lécha ma joue, et je me mis à rougir à la suite de cet acte.
« Je suis extrêmement honoré d’être votre première fois. Je ferais de mon mieux, » déclara Velke.
Le beau visage de Velke était si proche du mien... c’était déjà largement assez pour me faire rougir, mais il était tellement éblouissant que lorsqu’il souriait mon cœur pourrait tout à fait s’arrêter.
Il m’avait délicatement posé sur un lit moelleux ayant des oreillers encore plus doux. Velke devait avoir fait tout cela à l’aide de sa magie.
Velke semblait vouloir me gâter, alors il enleva d’abord mes simples vêtements noirs avec une certaine aisance puis il retirera avec soins ses propres vêtements. Je pouvais difficilement croire que son corps avait plus de 500 ans. Comparé à lui, mon corps était pathétique. Je pourrais pleurer en pensant à la différence entre nous deux...
Cependant, quand je jetai un coup d’œil entre ses jambes, l’envie de pleurer s’était encore renforcée.
C’était tellement gros... c’est impossible ! Vraiment impossible ! Ce genre de chose ne pouvait qu’appartenir à un monstre !
Ho, c’est vrai ! Nous sommes tous deux des monstres ! pensai-je.
Pourtant, je ne pouvais pas accepter de me comparer au champion se trouvant en face de moi.
« Mon Seigneur, vous êtes... tellement petit..., » dit Velke.
Vraiment ! Je n’ai pas besoin que tu me le dises pour le savoir. Pensai-je.
Je ne pus pas me retenir de lâcher un petit cri lorsque sa grande main passa devant ma hanche.
« Serai-je vraiment en mesure d’entrer ici... ? » s’interrogea Velke.
Hé, je ne suis pas sûr d’être prêt pour que ce doigt touche le trou se trouvant là-bas... pensai-je.
« S-Si tu n’entres pas là-dedans, nous ne serons pas en mesure d’obtenir une famille... heu... c’est vraiment ma première fois, alors s’il te plaît sois doux avec moi... » dis-je.
« Bien sûr. Je ferai tout mon possible pour que cela soit agréable. Alors s’il vous plaît, résistez jusqu’à la fin... » dit-il.
Velke se pencha vers moi, et je pouvais sentir à ce moment-là son souffle contre mes lèvres avant qu’il les scelle en effectuant un baiser.
Une langue beaucoup plus grosse que la mienne s’était alors insérée dans ma bouche et avait glissé le long de mes dents.
« Mmmm... ah, hé... » J’avais haleté pendant la durée de ce baiser, et une voix qui était presque un gémissement était alors sortie.
C’était la différence entre un adulte et un enfant. La langue se trouvant maintenant dans ma bouche était presque trop grande, et la salive que je ne pouvais pas avaler coulait le long de mon menton.
« Mon Seigneur, veuillez ouvrir la bouche, » demanda Velke.
Le fait d’être ainsi embrassé si passionnément encore et encore, me donnait l’impression que mon cerveau avait fondu, et j’avais donc instinctivement obéi à ses paroles sans vraiment y chercher un sens.
Ces doigts minces et propres étaient alors entrés dans ma bouche ouverte. Deux puis trois furent insérés et déjà, ma bouche fut pleine.
« Maintenant, s’il vous plaît, léchez-les, » demanda Velke.
Je fis donc ce qu’on m’avait dit de faire, et j’enrobai bruyamment ses doigts avec ma salive.
Les lèvres de Velke s’étaient à nouveau collées contre les miennes dès qu’il fit sortir ses doigts.
Et alors que je fondais à nouveau sous l’effet de cet autre baiser intense, je sentis une douleur aiguë un peu plus bas.
« Ha ! » criai-je légèrement.
Un doigt visqueux rentra en moi.
« Tout va bien ! » Je me demandais si Velke attendait ça avec impatience. Il me parlait d’une voix douce, mais il pourrait tout à fait faire semblant.
Alors que sa main droite m’ouvrait de plus en plus l’orifice, sa main gauche caressait lentement mon corps. Je me demandai alors s’il cherchait là où j’étais le plus sensible... toutes les zones qui me plaisaient vraiment avaient été caressées méticuleusement.
Il semblerait que le nombre de doigts utilisé en bas avait augmenté alors que j’étais distrait par cet intense baiser.
« Hah, ah! Mm ! » J’avais eu du mal à respirer par le nez, et j’avais donc haleté afin de réussir à respirer. Velke mordit doucement mes lèvres avant de les enfermer lors d’un autre baiser irrésistible.
Je me sentais tellement bien. C’était bien trop intense. Je ne savais pas qu’un simple baiser pouvait me faire me sentir si bien !?
La douleur dans le bas de mon corps était submergée par la sensation occasionnée par ce baiser...
Après que mon cerveau en fusion tomba dans des pensées confuses, j’avais alors été poussé vers le lit afin que je repose sur les coussins.
« Mon Seigneur, je suis désolé, » dit Velke.
Quand j’essayai de demander ce que Velke voulait dire par là, une douleur traversa mon corps.
« Hé... haaaaahh !! » criai-je.
Une douleur brûlante avait parcouru tout le long de ma colonne vertébrale. Quelque chose rentrait en moi, élargissant constamment mon trou.
« Aaaaahh! » continuai-je à crier.
J’avais tellement mal que je ne pouvais même pas fermer les yeux. Les larmes et la salive parcouraient mon visage.
« Je suis désolé, » déclara Velke.
Les douces excuses de Velke furent presque entièrement couvertes par mon cri.
Ignorant la façon dont mon passage se contractait dut à la douleur, il poussa encore plus profondément en moi.
« Aaugh ! » (Velke)
La verge de Velke s’enfonça encore plus loin en produisant un son humide. J’avais été préparé avec soin, donc je n’avais pas été réellement blessé par cet acte, mais la douleur était quand même atroce.
Juste au moment où je sentais que je ne pouvais plus en supporter plus, la chose brûlante qui s’insérait en moi s’arrêta. Velke devait lui aussi souffrir, puisque j’étais serré tel un étau tout autour de sa verge. La sueur dégoulinait depuis ce beau visage.
« Ha, oui ? » demandai-je.
« Mon Seigneur... je suis environ à mi-chemin, » annonça-t-il.
Il n’est vraiment qu’à la moitié ? Est-ce vrai ? Me demandai-je.
Ses mots avaient alors dissipé tout le sang froid qu’il me restait.
J’étais quelque peu désappointé. Avec mon dos appuyé contre les coussins et nos hanches connectées ensemble, ses lèvres étaient bien trop loin pour pouvoir l’embrasser.
« V-Velke, veux-tu bien attendre... jusqu’à ce que je m’y habitue, pourrais-tu... ah ! Attends !? D-Désolé, je suis vraiment désolé ! » dis-je.
« Mon Seigneur... la sensation d’être en vous est vraiment merveilleuse. Je peux à peine supprimer l’envie de continuer... vous n’avez donc nullement à vous excuser, » déclara Velke.
Doucement, Velke posa ses mains sur mes joues et essuya les larmes qui maculaient mon visage.
« T-tout va bien... tu peux bouger si tu veux... Je me sens vraiment plein, mais ça ne me dérange pas si tu le lâches... » dis-je.
... après avoir attendu juste un peu plus longtemps. C’était ce que je voulais dire, mais les mots se coincèrent dans ma gorge quand la chose en moi avait tressailli.
N’est-elle pas devenue encore plus grosse ? Impossible !
L’énorme pénis de Velke fut encore plus serré en moi.
« Ah, c’est... c’est vraiment bien trop..., hah ! » criai-je.
« ... désolé, » répondit-il.
Je fus presque plié en deux par le poids de Velke et ça me donna envie de vomir. Une intention meurtrière se concentra, visant le subordonné qui semblait grossir de plus en plus alors même qu’il s’excusait.
« ... Mon Seigneur, tout votre corps est tellement doux... est-ce là le corps d’un diable ? » demanda Velke.
Velke passe avec douceur ses doigts dans mes cheveux, un contraste énorme vis-à-vis de la férocité faite sur la partie inférieure de mon corps.
« T-Tu es à moi, alors... tu n’as pas le droit de dire que les anciens Seigneurs-Démons étaient meilleurs ! » dis-je.
Dans le passé, Velke avait déjà rencontré d’autres Seigneurs-Démons. Quelqu’un de si doux et puissant... même s’il était visiblement très expérimenté, je ne voulais pas penser au fait qu’il avait sûrement été très intime avec mes prédécesseurs.
« Mon Seigneur, jusqu’à la fin des temps, je vivrai pour vous, » dit-il alors qu’il me faisait un beau sourire.
« Uuhn... d’accord. Je pense que je suis maintenant prêt, alors... c’est bon si tu bouges dès maintenant... » dis-je.
J’avais alors griffé son dos alors qu’il s’enfonçait en moi. Je me sentis un peu désolé pour les rayures rouges que j’avais laissées sur son dos. Bien que je lui disais de continuer, la douleur n’avait pas disparu. Pourtant, je me sentais tellement aimé que je m’étais détendu et j’avais décidé de laisser Velke se lâcher à fond.
Mais il s’agissait là d’une erreur.
Sa première poussée avait tellement pénétré en moi, que je pouvais presque entendre mes tripes se déchirer.
« Aah ! Hé ! Ah ! » criai-je.
Le mélange de la salive et du liquide pré-éjaculatoire de mon entrée avait fait un bruit désagréable. Mes hanches s’étaient soulevées du lit en réaction à la puissance de son mouvement.
« Haaah! » criai-je encore.
Déjà juste cela était plus que suffisant pour remplir entièrement mon ventre. Malgré tout, Velke continua à s’enfoncer en moi.
« Je-je vais me déchirer ! Ha ! » criai-je.
La pointe de son pénis était enfoncée plus profondément qu’il ne l’avait jamais été auparavant. Il semblerait qu’il soit finalement entièrement entré en moi. Ses hanches se collaient fermement à mes fesses.
« Mon seigneur... on dirait qu’il y a même un hymen ici, » dit-il.
Non, pas question... la seule chose qui se trouvait après le rectum était le côlon sigmoïde, où devrais-je dire dans mon cas l’équivalent de mon utérus en vue de ce que j’étais vraiment.
« Il-il n’y a aucune chance..., ah ! Je ne peux pas avoir un... mm, ah... » criai-je.
Velke sourit d’une manière joyeuse et poussa à nouveau après s’être presque entièrement retiré de moi. Encore une fois, son pénis glissa facilement à l’intérieur de moi, brisant cette fois la membrane protégeant mon utérus.
« Ah, ah ! » criai-je.
Je n’avais en vérité ressenti aucune douleur, car elle s’était déchirée. Sans m’en rendre compte, j’avais crié en raison du plaisir qui m’assaillait. Je pouvais sentir Velke s’enfoncer si profondément en moi. Je voulais ressentir encore plus de cette intense sensation.
« Mon Seigneur... Mon Seigneur... » cria Velke.
Velke se retira jusqu’à ce que seulement le bout de son pénis soit encore à l’intérieur avant de s’insérer à nouveau en moi à toute vitesse.
Ces mouvements violents faisaient qu’il m’était impossible de parler.
Je veux... Je veux qu’il jouisse vite en moi, plus vite ! pensai-je.
Le bas de mon corps était devenu vorace. Chaque fois que ses hanches rencontrent les miennes, je pouvais sentir quelque chose poussant contre la main se trouvant sur mon ventre.
Ça fait mal, ça fait du bien, ça me rend malade... diverses sensations se mélangeaient en moi. À l’intérieur, oui, à l’intérieur de moi, je voulais accepter ce goût.
Ma propre voix me semblait rendue folle.
« Uhn, ah ! Velke, tu peux... tu peux dès maintenant éjaculer en moi ! » criai-je.
Ses mouvements deviennent encore plus rapides.
« Arg ! » gémit Velke.
Juste au moment où une chaleur si brûlante explosa au plus profond de mon ventre, Velke gémit légèrement et pour ma part, je perdis connaissance.
merci le principe de l’histoire je pense que je survolerai cette histoire mais plus par curiosité car le yaoi n’est pas mon truc
ici non plus personne n’aime trop, mais c’était plus une rigolade de notre part. On voulait ce qui était le plus horrible pour Halloween dan nos romans, et c’est tombé sur ça.
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