Masou Gakuen HxH – Tome 4 – Chapitre 2 – Partie 7

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Chapitre 2 : Installation

Partie 7

« Ehehehehehe… comme Sylvia le pensait, c’est ce genre de chose n’est-ce pas, desu ? » murmura Sylvia.

« Si tu détestes ça…, » commença Kizuna.

Sylvia secoua la tête. « Sylvia ne déteste pas ça, desu… ma, mais c’est comme si Sylvia était devenue une adulte, desu. »

Kizuna avait fait asseoir Sylvia sur le canapé. Et puis il avait desserré la cravate de Sylvia. Il déboutonna ses vêtements et ouvrit le devant de son uniforme.

« Ah… ! » s’exclama Sylvia.

Les lèvres de Kizuna touchèrent la clavicule de Sylvia. Le parfum sucré et doux pouvait être senti par le nez de Kizuna.

« Sylvia, tu sens bon, » murmura Kizuna.

À cet instant, Sylvia ferma l’avant de son uniforme et se leva du canapé.

« Comme prévu, Sylvia déteste ça, desu ! » s’exclama Sylvia.

« EEHH — !? »

Qu’est-ce qui ne va pas, tout d’un coup !

« Sylvia a aussi eu son cours d’éducation physique aujourd’hui, mon corps est sale, desu ! Sylvia va prendre une douche, desu, » déclara Sylvia.

« Non… tu n’es pas vraiment sale ou puante, tu sais ? Je ne suis pas du tout dérangé, » déclara Kizuna.

« Sylvia est dérangée, desu ! » En disant cela, Sylvia s’était précipitée dans la salle de douche à l’intérieur de la salle d’expérimentation.

Il pensait plutôt qu’elle sentait merveilleusement bon… mais il s’était abstenu de dire ça. C’était aussi gênant d’être le seul à ne pas prendre de douche, alors après que Sylvia soit sortie, il avait lavé sa sueur sous la douche.

Il s’était enveloppé la taille avec une serviette et s’était assis sur le lit.

Sylvia s’appuyait sur l’ours en peluche sur le canapé. Son corps n’était enveloppé que d’une seule serviette de bain.

« Sylvia, viens ici, » déclara Kizuna.

« … Oui, » répondit Sylvia.

Elle se leva et se déplaça timidement jusqu’au côté du lit. Et puis elle s’était assise entre les jambes de Kizuna. Kizuna enlaça le corps de Sylvia par-derrière.

« Haaa... Capitaine… ! » murmura Sylvia.

La main de Kizuna caressait l’épaule de Sylvia jusqu’à l’enfoncement de sa clavicule. Et puis, sa main caressa le corps qui était caché sous la serviette comme s’il cherchait quelque chose.

Le corps de Sylvia s’était tordu dans les bras de Kizuna.

« Est-ce que c’est chatouilleux ? » demanda Kizuna.

« Oui. C’est chatouilleux, mais agréable… c’est une bonne sensation pour une raison inconnue, desu, » déclara Sylvia.

Kizuna fit entrer ses doigts dans la couture de la serviette de bain qui était enveloppée sur le corps de Sylvia.

« J’enlève la serviette de bain, » déclara Kizuna.

La gorge de Sylvia avait fait un son de déglutition. « F-Fais comme tu veux, desu. »

Le corps de Sylvia s’était raidi et elle avait fermé les yeux. La main de Kizuna avait retiré le seul morceau de tissu qui protégeait à peine le corps de Sylvia.

De l’intérieur, l’apparence de Sylvia telle qu’elle était à sa naissance était apparue.

Sa peau était lisse comme un œuf. Il n’y avait pas une seule tache sur cette peau blanche avec un pigment fin. Il y avait aussi le signe d’une légère coloration rose sur ses seins qui étaient légèrement enflés.

« Ho, comment est-ce, desu — ? Le corps de Sylvia, n’est-il pas étrange, n’est-ce pas, desu ? » Sylvia garda les yeux fermés et fit entendre sa voix avec détermination.

Kizuna sourit et parla à Sylvia. « C’est très bien. La nudité de Sylvia est belle et mignonne. Ouvre les yeux. »

Quand Sylvia avait ouvert les yeux, l’écran du mur reflétait son apparence comme un miroir. En regardant son corps nu, qui était serré dans les bras d’un homme nu, le visage de Sylvia s’était échauffé, comme si de la vapeur allait sortir de sa tête.

« Sylvia, je vais faire diverses choses érotiques pour réussir l’Hybridation Culminante, » déclara Kizuna.

« E... érotique… divers, » répéta Sylvia.

Les yeux de Sylvia tournaient en rond.

« C’est sûrement embarrassant, et tu te sens déconcertée parce que c’est ta première fois, mais crois en moi et confie-moi ton corps, » déclara Kizuna.

« Sylvia, crois au capitaine, desu. Sylvia n’a pas peur, desu, » répondit Sylvia.

« Compris. Ensuite, laisse le plaisir emplir dans ton corps sans le réfréner, » déclara Kizuna.

Les doigts de Kizuna touchèrent la peau nue de Sylvia. Le bout de ses doigts s’enfonçait légèrement dans la poitrine blanche et fine.

« Hiuuu ! »

La poitrine de Sylvia, qui n’avait encore jamais été touchée par un autre individu, avait été envahie pour la première fois par les mains de Kizuna. Peut-être à cause de la douche, sa peau était douce et lisse. La peau qui ressemblait à celle d’un bébé semblait coller à la main, la sensation était absurdement agréable au toucher.

Sa main caressa tous les coins et recoins du corps pour profiter pleinement de la sensation de la peau. Après quoi, il avait déterminé comme cible la petite poitrine rose éclatant d’une grande beauté. Il frotta ces petits seins avec la paume de sa main comme s’il les encerclait.

« Ah, un, atten — … Capitaine, » demanda Sylvia.

La paume de la main de Kizuna commença à ressentir la sensation de l’extrémité de la poitrine qui se raidissait.

« Qu’est-ce qu’il y a, Sylvia ? » demanda Kizuna.

Kizuna avait fait ramper sa langue sur la nuque de Sylvia.

« FUAUuunn- ! » s’écria Sylvia.

Sylvia se recroquevilla et trembla de frissons.

« M-Mon corps est un peu chaud… il frissonne, desu, » déclara Sylvia.

La main gauche de Kizuna était posée sur la poitrine, sa main droite caressait la ligne de l’aisselle à la taille.

« C’est bon. Pas besoin de t’inquiéter. C’est la preuve que le corps de Sylvia le ressent favorablement, » déclara Kizuna.

« M-Mais... hauu ! » s’écria Sylvia.

La main droite de Kizuna tapota l’estomac de Sylvia, il toucha la dépression de son nombril. De là, sa main s’était déplacée de sa cuisse à son genou, il avait lentement apprécié le changement de sensation.

Cependant, partout, c’était doux et moelleux, et cela faisait du bien. De plus, tout était mince et petit. Cette sensation où il pouvait vraiment jouer avec tout son corps à l’intérieur de ses bras était une caractéristique unique de Sylvia. C’était quelque chose qu’il ne pouvait pas imaginer faire à Aine ou Himekawa, encore moins à Yurishia.

Sa main rampa sur la cuisse visiblement molle et, ainsi, sa main alla à l’intérieur de la cuisse.

« Hah, aaah, ne —, ne pas… desuuu, » balbutia Sylvia.

Sylvia avait mis de la force dans ses deux jambes et avait fermé ses cuisses. Peut-être que c’était son instinct qui ne lui permettait pas d’entrer sans autorisation, ou bien c’était peut-être une réaction du plaisir, mais il niait l’invasion de la main de Kizuna.

« Mais… dommage, » déclara Kizuna.

« HIiYAaAaAa- !? »

Kizuna avait inséré ses mains derrière le genou de Sylvia et avait ouvert ses deux jambes dans une pose comme pour préparer un petit enfant à pisser.

« C-C’est embarrassant, desu ! Ne… Ne te… — !? » Sylvia regarda sa propre apparence qui se reflétait sur l’écran mural et ses mots s’accrochèrent dans sa gorge. « C-Ce genre de posture… je, c’est indécent, desu. »

Son visage était devenu rouge vif.

Kizuna avait mis ses propres jambes entre l’entrejambe de Sylvia et avait interdit à Sylvia de fermer ses jambes. Et puis quand Kizuna avait ouvert ses jambes, les jambes de Sylvia s’étaient naturellement ouvertes aussi. Sa main était ensuite passée doucement dans cet espace, entre l’entrejambe de Sylvia.

« Fuuu !? Aa… aaaaaaaa-, yaaaaaaaaahn ! » s’écria Sylvia.

Un plaisir qu’elle n’avait jamais ressenti jusqu’à présent perça le corps de Sylvia. Depuis l’endroit où Kizuna jouait, un plaisir qui engourdissait doucement tout son corps et faisait tourner sa tête bizarrement se répandait.

« Fuah, fuahn, iyaan ! »

Les doigts de Kizuna avaient été déplacés d’une manière rythmique. Sylvia réagissait à cela, alors qu’une voix haletante s’échappait inconsciemment de sa bouche. C’était comme si elle était devenue un instrument de musique avec qui Kizuna jouait librement de sa main.

Des éclaboussures d’eau s’étaient mélangées à ce son.

— Quoi ? Pourquoi ce genre de voix peut-il être entendu, desu ?

Sylvia ne comprenait pas pourquoi son corps faisait ce genre de voix. « Qu… y iann, haaaa, aa… hyann. »

Elle avait pensé à le demander, mais sa voix avait été écrasée par son halètement, elle ne pouvait pas parler. Même pendant ce temps, les doigts de Kizuna commençaient à la caresser encore plus attentivement. C’était comme s’il essayait de dissiper ses doutes sur la structure de Sylvia, le bout de ses doigts vérifiant chaque chose.

Sylvia elle-même n’était pas allée jusqu’à se toucher plus loin en se lavant le corps dans le bain, elle n’avait jamais essayé de l’étaler avec autant d’attention.

Tout son corps était chaud, sa tête donnait l’impression de surchauffer. Sa tête brumeuse regardait la fille qui se reflétait devant ses yeux.

— Magnifique.

C’était ce qu’elle pensait. Elle ne croyait pas que c’était elle-même. Elle regardait avec des yeux enchantés la belle et mignonne silhouette obscène.

Kizuna aussi était fasciné par la silhouette de Sylvia. Ses joues étaient rouges, des larmes coulaient sur ses yeux, et puis son expression haletante était incroyablement sexy. Il était impensable qu’une telle expression vienne de la petite fille installée dans son étreinte.

« Hyaaaaann, uaaa, a, AAaaaAaNNNN- »

Son entrejambe s’ouvrait devant un homme, son corps se tordait de plaisir, le corps immature se tortillait de façon obscène.

C’était comme si une succube se déguisait en une fille innocente qui ne connaissait rien à la corruption.

« Emph ! Hiaa ! »

Son corps s’était beaucoup plié. À cet instant, la lumière pourpre s’échappa du corps de Sylvia.

C’était les signes révélateurs de l’Hybridation des Coeurs.

Kizuna avait trouvé l’organe le plus sensible de Sylvia. Dès qu’il avait pincé ce bourgeon, le corps de Sylvia s’était penché en arrière.

« ― !? »

Avec les convulsions qui l’avaient agressée partout dans son corps, un hurlement sans paroles s’était fait entendre.

Sylvia n’arrivait pas à respirer à cause du plaisir féroce et de la stimulation, elle ne pouvait pas non plus hausser la voix. Les orteils de ses pieds avaient l’air d’essayer de saisir quelque chose, ses deux jambes étaient tendues.

Dans les yeux de Sylvia, des particules de lumière nageaient. Quand ces yeux avaient été lentement fermés, la force était partie du corps de Sylvia. Elle avait failli ressortir de l’intérieur des bras de Kizuna.

Kizuna enlaça le corps de Sylvia et la coucha sur le lit. Et puis il ramassa le noyau mis à côté de l’oreiller avec le bout de ses doigts.

« L’événement principal est désormais… hm ? »

Quelque chose qui ressemblait à une partie d’un manuel avait été projeté sur l’écran mural.

« Le Noyau ne peut pas être installé tel quel. Il s’activera si la stimulation est accordée alors qu’il est réchauffé par la température humaine, installez-le après… hein. »

Kizuna avait tenu le noyau et était monté sur le lit.

« Sylvia, je vais enfin l’installer, » déclara Kizuna.

Sylvia ouvrit des yeux endoloris à la suite de l’appel de Kizuna. « Funyu... hauuuu... »

Une voix faussée s’était échappée de la bouche qui s’était ouverte de manière négligente. Le foyer de ses yeux était flou, il semblait qu’elle dérivait encore dans les vagues du plaisir.

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