Masou Gakuen HxH – Tome 4 – Chapitre 1 – Partie 6

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Chapitre 1 : Vatlantis

Partie 6

Cependant, lorsque le regard était baissé, on pouvait saisir l’état du centre-ville qui était bondé de spectateurs. Quand on regardait les clochers à proximité, il y avait des gens sur les balcons et des visages qui sortaient par les fenêtres visibles d’ici. Un grand nombre de personnes s’intéressaient à l’expérience de Nayuta.

Zelsione avait été frappée par une idée et elle était retournée dans la pièce.

« C’est pitoyable d’être laissé de côté. N’oublions pas Gravel. Relâchez-là, » ordonna Zelsione.

Suivant l’ordre, les quatre rois célestes relâchèrent la chaîne de Gravel et détachèrent la reliure. Gravel s’était effondré sur le sol et Zelsione avait traîné ce corps.

« Maintenant, on s’en va. Gravel. Je vais aussi dévoiler ta situation à tout le monde, » déclara Zelsione.

Le visage de Gravel était sombre. Et puis elle avait regardé la fenêtre ouverte.

« Ne… ne me dites pas, dans cette apparence…, » s’écria Gravel.

« Bien sûr que oui. C’est du gaspillage pour toi de cacher ces membres, » répondit Zelsione.

Gravel s’était débattue avec son corps faible. « Quel acte… c’est de la folie ! Non — ! Stop ! »

La fille au cache-œil était venue avec des menottes en cuir. Aldéa avait accepté ces menottes.

« A, Aldéa, arrête, que sont…, » s’écria Gravel.

Gravel fixa le visage de sa partenaire avec des yeux effrayés.

« Ufufufu, quelle belle Gravel ! Pour recevoir autant d’affection… mais, j’aime aussi beaucoup regarder l’endroit mignon de Gravel ♥ ! » déclara Aldéa.

Le dos de Gravel était devenu froid à cause de la terreur.

Aldéa avait mis les menottes sur Gravel. Son bras gauche et son bras droit étaient fixés sur son dos et elle était devenue incapable de cacher son corps.

Le corps bronzé sans une seule ficelle avait été tiré jusqu’au balcon.

« Arrêtez ! C’est mieux pour moi de mourir plutôt que d’être vue dans cette apparence humiliante ! Tuez-moi ! » s’écria Gravel.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? C’est trop de gaspillage de ne pas apprécier un corps aussi beau. Montrons ton endroit mignon à tant de gens. » déclara Zelsione

« Ne faites pas ça ! Ah, fais… non, arrêtez ! NOOOOOOOOO ! » cria Gravel.

Puis on l’avait emmenée jusqu’au bord du balcon.

Le cœur de Gravel resonnait d’un avertissement. Elle avait des sueurs froides avec un visage rouge vif.

C-C’est très bien. Tant que personne ne s’en aperçoit — .

« C’est Zelsione-sama ! »

« … !! »

Le souhait de Gravel n’avait abouti à rien, car au moment où Zelsione montra sa silhouette sur le balcon, le regard des gens convergea vers elle. Beaucoup de bouches avaient prononcé le nom de Zelsione en l’acclamant.

« Hmm ? Je me demande qui cela peut-il être ? N’est-elle pas nue ? »

Le cœur de Gravel avait l’impression qu’il allait s’arrêter.

Les gens qui étaient dans d’autres clochers et aussi les gens qui regardaient en haut de la ville vers le bas, ils avaient vu tous ses endroits embarrassants.

Il y avait de la distance, donc c’était bien. On ne l’avait pas vue. C’est ainsi qu’elle se persuadait, mais les spectateurs qui venaient pour observer ça portaient des télescopes et des jumelles.

Le désespoir s’était répandu dans le cœur de Gravel. Elle avait l’impression que son circuit de pensée allait s’arrêter face à sa grande humiliation. Elle n’avait pas l’impression que c’était réel qu’elle ne faisait pas ça réellement. Les yeux de Gravel débordaient de larmes.

« Comment est-ce ? Qu’est-ce que tu ressens ? » demanda Zelsione.

Comme pour lui donner le coup de grâce, les doigts de Zelsione se glissèrent directement dans l’entrejambe de Gravel.

« Hii !! … Kuh, UAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA- ! » cria Gravel.

Le corps de Gravel avait été transpercé par un immense plaisir.

Son corps réagissait sans se soucier de sa volonté. Sa taille commençait à bouger toute seule à la recherche de plus de plaisir.

« Uu, uuuu… arrête… arrête ça maintenant —, » supplia Gravel.

Gravel laissa couler des larmes. Elle ne pouvait même pas s’opposer au grand plaisir qu’elle n’avait jamais éprouvé auparavant, se laissant seulement jouer ainsi. Gravel secoua la tête jusqu’à ce que ses cheveux soient en désordre afin d’endurer désespérément le plaisir.

« Qu’en penses-tu, Gravel ? Je parle de l’impression d’entrer dans un monde que tu ne connais pas, non ? » demanda Zelsione.

Gravel laissa échapper d’une respiration surchauffée comme si elle allait dégager de la vapeur. Elle parla alors que la bave coulait à flots du coin de sa bouche. « Hic — … pardonnez-moi, déjà… s’il vous plaît, s’il vous plaît, je vous en supplie. »

Ses joues rougissantes étaient mouillées de sueur, ses cheveux désarticulés s’y accrochaient. Des larmes s’étaient accumulées dans ses yeux. Cette apparence de supplication en levant les yeux, n’avait même plus une once de trace du héros de la frontière.

Des frissons montaient dans la poitrine de Zelsione.

« Tu es vraiment mignonne, Gravel. Maintenant, tu peux jouir, » déclara Zelsione.

Les doigts de Zelsione pinçaient fortement l’extrémité de la poitrine de Gravel qui se tenait fermement vers le haut. Et puis les doigts qui caressaient l’entrejambe s’élevaient profondément, remuant à l’intérieur du pot de miel chauffé.

« N ? Nno-, ah, kuuuuu... hahHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA- ! »

Les orteils de Gravel s’étaient étirés et tout son corps avait convulsé. Un jet qui avait l’air radieux débordait de l’intérieur de son corps, mouillant la main de Zelsione et la véranda.

Le corps de Gravel convulsa encore et encore, comme si elle était choquée par l’électricité. L’intensité s’installait graduellement et la force s’éloignait du corps de Gravel.

Après ça, elle avait perdu connaissance et était tombée, mais Zelsione l’avait prise dans ses bras.

« Les filles, emmenez Gravel au lit. N’oubliez pas les menottes. Surveillez là, » ordonna Zelsione.

« Compris. »

Les membres de la Quartum et Aldéa avaient reçu le corps de Gravel de la part de Zelsione. Elles avaient tenu son corps à gauche et à droite et l’avaient emmenée dans la pièce.

Il y avait une seule personne qui regardait tous les détails de loin.

Hida Nayuta enleva ses yeux des jumelles et regarda la Genèse qui était à quelques mètres d’elle. Beaucoup de dirigeables flottaient autour de la Genèse. À la demande de Nayuta pour le bien de l’expérience, Nayuta et Valdy chevauchaient l’un de ces dirigeables.

« Valdy. J’ai entendu dire que les enfants sont créés à partir de cette Genèse dans ce monde, n’y a-t-il pas là une erreur ? » demanda Nayuta.

« Eh… oui, oui. C’est tout à fait exact. Quand son sang et celui de sa partenaire sont offerts à ce pilier, il donnera naissance à des enfants, » répondit Valdy.

« La race humaine de l’Autre Univers, ce sont donc des êtres vivants qui sont tous créés artificiellement… c’est comme ça que ça marche. Vraiment très intéressant, » déclara Nayuta.

Nayuta hocha la tête avec son sourire habituel.

« Est-ce différent, en Lemuria ? » demanda Valdy.

« Oui. Dans la Lemuria, les hommes et les femmes ont des rapports sexuels pour créer des enfants, » répondit Nayuta.

Valdy avait ouvert en grand les yeux à cause du choc. « Créer des enfants par soi-même… c’est quelque chose de miraculeux. Mais, mais… dans ce monde, il n’y a pas de chose vivante appelée homme… bien que dans le passé, il semble qu’ils aient existé. »

« Si c’est le cas, alors vous aussi pourriez être capable de créer des enfants par vous-même, » déclara Nayuta.

« Une telle chose… pour moi d’être capable de créer des enfants… incroyables, » déclara Valdy.

Les lèvres de Nayuta s’ouvrirent soudainement en souriant face à l’air désorienté de Valdy.

« Pour votre gouverne, j’ai déjà créé des enfants avant de venir ici. Avant cela, le Lémurien portant l’armure noire que nous avons rencontrée à Okinawa… c’est mon fils. De plus, c’est un homme, » déclara Nayuta.

Valdy était devenue encore plus choquée. « Impossible… Je pensais que c’était une race particulière, mais… c’est un homme, n’est-ce pas ? Je le savais seulement en raison des rapports qu’ils existaient en Lemuria, mais… c’était la première fois que je voyais la vraie chose. »

La garde impériale qui était un groupe d’élite n’avait pas participé à la mission d’invasion en Lemuria. C’était le travail de l’armée d’asservissement, des personnes de statut inférieur ou de quelqu’un comme Gravel qui venait d’un pays gouverné par Vatlantis.

« Eh bien alors, je peux comprendre que l’enfantement soit réalisé par cette Genèse. Si c’est le cas, j’ai une question concernant l’acte que le capitaine de la garde impériale vient de poser. Je les ai vues avoir des rapports sexuels avec d’autres femmes, mais à quoi cela sert-il ? » demanda Nayuta.

Valdy ne comprenait pas le sens de la question au début, mais lorsque Nayuta expliqua en détail la scène qu’elle venait de voir, elle devint rouge vif jusqu’à ses oreilles.

« C’est… un acte d’amour. Capitaine… c’est un peu, euh, spécial, mais… quand on devient adulte, c’est quelque chose à faire… c’est ce qu’on m’a dit, » déclara Valdy.

En écoutant la réponse de Valdy faite d’une voix qui ressemblait au bourdonnement d’une mouche, Nayuta hocha la tête en signe de compréhension.

« Il ne s’agit pas d’une activité de production, mais d’un acte qui n’est que pour le plaisir, n’est-ce pas ? Je comprends maintenant, » déclara Nayuta.

Nayuta admirait la Genèse. Il n’y avait pas une seule étoile visible dans le ciel très sombre.

On lui avait dit qu’autrefois, c’était un ciel étoilé. Cependant, à l’heure actuelle, ils ne pouvaient pas le voir. Tout comme le sol qui s’effritait, le ciel étoilé se perdait lui aussi.

Ce monde s’effondrait lentement. Le ciel, la terre, et même la vie humaine.

Nayuta avait commencé à confirmer les machines montées sur l’échafaudage. D’épais câbles se faufilaient de l’entrée vers la Lemuria lointaine. Ces câbles traversaient la ville de Zeltis et remontaient vers les dirigeables flottant dans les airs. Et puis, à la fin, cela avait été relié à la Genèse.

Le dirigeable que Nayuta montait était équipé d’une variété d’appareils de mesure, d’un panneau de contrôle et d’un moniteur. Les machines apportées de Lemuria et les machines créées dans Vatlantis étaient mélangées. Les autres personnes ne comprendraient pas du tout quelle fonction ces machines rempliraient.

Les équipements technologiques de Vatlantis étaient abondamment décorés, raffinés, avec le charme d’un mobilier haut de gamme. Malgré tout, la technologie dépassait de loin la technologie du monde humain.

Nayuta avait tendu la main vers le panneau qui servait de console. Au premier coup d’œil, il ne ressemblait qu’à une dalle de pierre, mais quand sa main avait été tenue dessus, un panneau de commande fait de lumière apparut.

« … Maintenant, il est temps de commencer l’expérience. Commençons par le début, » déclara-t-elle.

Sans même une seconde de retard par rapport au programme, Nayuta avait appuyé sur le bouton de démarrage de l’expérience.

À ce moment-là, des lumières de différentes couleurs avaient commencé à circuler à l’intérieur des câbles. C’était la lumière du pouvoir magique. Une grande quantité de pouvoir magique affluait dans l’Atlantide depuis la Lemuria. Puis le pouvoir magique avait voyagé à travers les câbles qui s’étaient répandus à l’intérieur de la capitale impériale Zeltis et avaient conduit dans la Genèse. Les appareils qui s’entassaient sur le dirigeable gémissaient et commençaient à s’activer.

La lumière du pouvoir magique parcourait la surface de la Genèse et plusieurs cercles magiques flottèrent les uns sur les autres. Ces radiances devenaient de plus en plus éclatantes. Les lignes sculptées en détail à la surface comme une carte ancestrale commençaient à briller. La lumière atteignait même des endroits qui jusqu’à présent ne brillaient pas en raison d’un pouvoir magique insuffisant. C’était comme si l’eau coulait dans les tranchées, on pouvait bien comprendre que le pouvoir magique s’étendait sur tous les coins et recoins.

Le gigantesque système qui ressemblait à une horloge mécanique qui, jusqu’à présent, semblait vouloir s’arrêter à tout moment avait commencé à bouger comme si la vie y était insufflée. Le mouvement de chaque engrenage et de chaque pendule devenait régulier et la vitesse de déplacement augmentait.

« Nayuta-sama ! C’est ! » Valdy avait fait sortir une voix forte, ce qui était inhabituel pour elle.

L’ondulation de la lumière se répandait à l’extrémité de la Genèse, avec la partie aspirée dans le ciel comme centre. Et puis, le ciel étoilé avait montré son apparence avec le pilier au centre.

L’obscurité noire avait été effacée et le ciel étoilé s’étendit à perte de vue. Des voix d’admiration, puis des voix de joie s’élevèrent de la bouche des gens qui regardaient le ciel.

« Le ciel est… guéri. » Valdy regardait le ciel étoilé d’un air étourdi.

Nayuta regardait la zone urbaine de la capitale impériale Zeltis avec ses jumelles.

« Oui, mais on dirait que ça ne va pas jusqu’à la réparation de la terre. Cependant, nous avons vérifié la méthodologie de la reprise mondiale. Il ne reste plus qu’à rassembler une grande quantité de pouvoirs magiques. »

Nayuta n’avait pas réagi du tout au succès de l’expérience et n’avait fait que confirmer les résultats avec indifférence.

« Que… Nayuta-sama, » balbutia Valdy.

« Qu’est-ce qu’il y a, Valdy ? » demanda Nayuta.

Valdy baissa la tête profondément. « Pour rendre le ciel à cette Vatlantis… Nayuta-sama est notre bienfaitrice. »

Nayuta fixa Valdy qui gardait la tête baissée.

« Levez la tête, Valdy. C’est aussi grâce à votre aide, » déclara Nayuta.

Valdy leva la tête et la secoua. « Une telle chose… Je n’ai rien fait… tout est à Nayuta-sama… »

« Mais cela ne deviendra pas une contre-mesure définitive, » déclara Nayuta.

« C’est, c’est… alors ? » Les épaules de Valdy étaient tombées dans l’abattement.

« Oui, mais je suis aussi en train d’enquêter sur une nouvelle contre-mesure, » déclara Nayuta.

Valdy avait levé la tête en un éclair. Ses yeux brillaient d’attente. « V-Vraiment ? »

« Oui. Pour cela, votre force est nécessaire, » déclara Nayuta.

« Moi… ? » demanda Valdy.

Nayuta sourit gentiment.

« Oui, je suis une humaine de la Lemuria. Ainsi, je vais aussi recevoir divers malentendus et obstruction. Quand bien même, me protégerez-vous et me suivrez-vous ? Afin de sauver cette Vatlantis, » demanda Nayuta.

Valdy plissa ses sourcils serrés. « Comme vous le souhaitez. Je le ferai, je protégerai… Nayuta-sama. »

Nayuta ferma les yeux et posa sa main sur sa poitrine. « Merci Valdy. »

Nayuta lui tourna le dos et se dirigea vers le petit bateau volant qui était relié au dirigeable.

« Alors, retournons à Tokyo. Nous serons de nouveau occupées, » déclara Nayuta.

Valdy avait suivi Nayuta après son retour et l’avait accompagnée comme une ombre. Nayuta marchait en souriant doucement comme d’habitude.

On ne pouvait pas voir ce qu’elle pensait. C’est à ça que ressemblait son visage souriant.

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