Magika No Kenshi To Shoukan Maou – Tome 3 – Chapitre 6 – Partie 1

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Épilogue : L’aube du jour dans le manoir des sorcières

Partie 1

En y repensant, ça ne fait même pas un mois qu’il était arrivé dans cette école.

Malgré cela… il considérait ce manoir des sorcières comme sa troisième maison. Une profonde affection s’était développée dans sa poitrine, le même genre d’affection qu’il avait pour l’Institut Nanohana et la Maison Hayashizaki.

Enfin… il pouvait rentrer chez lui.

La chambre de Kazuki n’avait pas changé depuis son départ. Abaissant le dos sur le lit, il sentait son propre cœur se sentir lentement à l’aise. Et puis son cœur avait bondi en pensant aux nouveaux jours qui arriveraient à partir de demain.

Qu’est-ce qu’il allait faire demain pour le petit-déjeuner ? Que doit-il faire pour rendre les Senpais heureuse… ?

*konkon* une voix d’une grande douceur avait retenti dans la pièce.

Après qu’il ait répondu « entrez », la porte s’était ouverte et Kazuki avait été surpris en regardant ce qui apparaissait là.

Koyuki portait les vêtements habituels de femmes de chambre, ce qui incluait aussi les oreilles de lapin.

« Puu. »

De plus, elle avait dit une chose inhabituelle.

« Puu ? »

Alors que Kazuki avait immédiatement incliné la tête, Koyuki avait répondu à ça sans expression.

« Ne savais-tu pas que le cri d’un lapin est “puu” ? Ils sont fondamentalement réticents, mais lorsqu’ils sont poussés par le propriétaire de l’animal, ils font du bruit. »

« Vraiment… ? Non, même si je le savais, je ne comprends pas ce que tu fais, Koyuki. Koyuki, es-tu un lapin ? » demanda Kazuki.

« C’est exact, » répondit Koyuki.

Avec le visage légèrement rouge, elle s’approcha de Kazuki avec de petits pas.

Et puis elle avait poussé les épaules de Kazuki sans arrêt et avait fait tomber Kazuki sur le lit avec force.

« Koyuki ? » demanda Kazuki.

« Puu. » Mais face à un Kazuki poussé vers le sol qui avait les yeux écarquillés, Koyuki était montée dessus en disant « puu puu puu ».

« E, euh, qu’est-ce que tu fais ? Koyuki-san ? » demanda Kazuki.

« Puu. Je suis venu te remercier, Kazuki, » répondit Koyuki.

« Mais c’est comme me démontrer de la gratitude, mais je n’ai rien fait… Je veux dire, quel genre de gratitude est-ce que c’est !? » demanda Kazuki.

« Kazuki, tu es supposé avoir un fétichisme et être heureux quand tu es léché par des filles portant des oreilles d’animaux, n’est-ce pas ? » demanda Koyuki.

« En reparles-tu maintenant !? Non ! Quand tu dis des choses comme fétichisme, ça me donne l’air anormal, mais il faut que tu saches que si quelqu’un se fait lécher par une fille mignonne, tant que c’est un homme, tout le monde sera content… ! » déclara Kazuki.

« De plus, tu es aussi censé aimer les uniformes de femme de chambre. Et en plus, tu as dit que cela me convenait bien, » déclara Koyuki.

Incapable de le nier, Kazuki garda le silence.

Avec un visage rougi qui contenait de l’embarras et alors qu’elle disait « puu », Koyuki était arrivée sur Kazuki et s’était penchée sur lui.

Et puis elle avait amené son visage près de Kazuki et lui avait léché la joue.

La langue molle lécha la joue de Kazuki à plusieurs reprises « pero pero ».

« C’est chatouilleux ! » Son murmure était mêlé avec de la perplexité, mais un frisson parcourait le long de sa colonne vertébrale.

« Puu. » Koyuki avait laissé échapper une voix insatisfaite.

« Quand Charlotte était celle qui a fait “pero pero pero”, j’ai entendu dire que tu réagissais avec plus d’enthousiasme…, » déclara Koyuki.

« As-tu entendu une histoire si détaillée !? » s’exclama Kazuki.

Kazuki pensait qu’on ne pouvait rien y faire, alors il avait fait la même chose que cette fois-là. Il avait serré Koyuki dans ses bras, « Koyuki est mignonne ! Mignonne ! » et il lui caressa la tête.

« S’il te plaît, caresse-moi encore plus la tête…, » demanda Koyuki.

« Tes beaux cheveux seraient décoiffés après ça, tu sais ? » déclara Kazuki.

« Ça ne me dérange pas, même si cela devient ainsi, » répondit Koyuki.

Alors que sa honte s’en volait ailleurs et qu’il caressait la tête de Koyuki en l’appelant « Mignonne » à plusieurs reprises, Koyuki avait recommencé à le lécher en disant « Puu ! » joyeusement.

Les mouvements de la langue de Koyuki avaient changé, et ses lèvres avaient pincé la joue de Kazuki et elle avait commencé à sucer avec des sons « chuu ».

« Je n’aurais jamais pensé que tu démontrerais ton affection comme ça, Koyuki, » déclara Kazuki.

Koyuki sépara alors ses lèvres de la joue de Kazuki avec un claquement.

« N’est-ce pas toi qui m’as fait perdre toutes mes issues de secours ? S’il te plaît, prends tes responsabilités, » déclara Koyuki.

Et puis cette fois, c’était les lèvres de Kazuki qu’elle avait bloquées avec ses propres lèvres. Elle pressait fortement les lèvres, tenait ses lèvres entre les siennes, et avec un « chuu », elle suça l’intérieur de la bouche de Kazuki et s’ébattait avec ce baiser.

Il y avait en ce moment cette sensation que leurs sentiments étaient transmis l’un à l’autre par ce contact entre les lèvres, encore plus que par le sentiment transmis par les mots. Une grosse marque de cœur était sortie de la poitrine de Koyuki.

« Kazuki… est-ce que je peux dormir en t’utilisant comme peluche de remplacement ? » demanda Koyuki avec un regard tendrement enivré.

On dirait qu’elle parlait de cette fois au dortoir de la Division Épée.

« … D’une manière étonnante, tu demandes à être gâtée, Koyuki, hein, » déclara Kazuki.

« Puu. Juste pour ce soir, » déclara Koyuki.

« C’est bien, mais cela fait douter de mon raisonnement qui a été formé en tant qu’épéiste, » déclara Kazuki.

« Je te fais confiance. Moi aussi, j’ai encore un peu peur de faire quelque chose de plus que ça, » déclara Koyuki.

Il était parfaitement prêt à avoir d’excellentes relations avec de multiples filles, et comprendre complètement chacun de leurs niveaux de positivité. Mais même s’il avait déjà embrassé certaines d’entre elles, il pensait que pour prendre des mesures qui allaient encore plus loin, une certaine détermination était nécessaire.

Koyuki ouvrit doucement ses vêtements de bonne, ne laissant que le chemisier et les sous-vêtements.

« Pourquoi les as-tu enlevés ? » demanda Kazuki.

« Je dors toujours avec cette apparence. Kazuki, tu devrais déjà le savoir, non ? » demanda Koyuki.

Face à une Koyuki qui pressa contre lui sa peau douce et claire avec le visage rougi, tout en se persuadant de tenir son raisonnement, Kazuki l’accepta et l’enlaça en retour.

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Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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