Magika No Kenshi To Shoukan Maou – Tome 2 – Chapitre 3 – Partie 1

Bannière de Magika No Kenshi To Shoukan Maou ***

Chapitre 3 : Quête, Défié à Nouveau !

Partie 1

« Récemment, Onii-sama est devenu tellement licencieux ! Onii-sama, indécent !! » s’écria Kanae.

« Je n’aurais jamais pensé que le jour viendrait où tu pourrais dire le mot licencieux…, » répliqua Kazuki.

« En plus, tu reçois des leçons privées d’une femme plus âgée... qu’est-ce qu’elle a l’intention d’enseigner à Onii-sama ? Onii-sama, a-t-elle l’intention de te faire monter les marches vers l’âge adulte !? » demanda Kanae.

Une matinée dans le manoir des sorcières ― lorsque Kazuki suivait un entraînement spécial avec Hoshikaze, Kanae était sortie de nulle part.

« Kanae-san, tu n’as pas besoin d’être aussi nerveuse. Je ne vais pas te voler ton grand frère, d’accord ? En plus, Hayashizaki-kun ne me voit pas comme une femme. Nous sommes amis, tu vois, » déclara Hoshikaze.

Avec un beau visage clair et brillant, Hoshikaze avait apaisé Kanae avec un discours éloquent.

« ... Nii-sama, Kanae ne comprend pas du tout ce que cette “belle fille” dit. Si le bon sens de Kanae est toujours normal, alors cette personne est assez belle, n’est-ce pas ? » demanda Kanae.

« Hahaha, que dis-tu ? Contre une femme comme moi... comparée à toi, ta gentillesse ne peut pas être exprimée avec des mots. Voilà, je vais te le montrer, alors lève la tête, » déclara Hoshikaze.

Hoshikaze avait relevé le menton de Kanae, puis elle lui murmura ça tout en regardant directement dans les yeux de Kanae. Face à ce beau visage qui détruisait la barrière de genre, les yeux de Kanae avaient été volés et elle était tombée en état de choc, puis tout à coup « Ha ! », elle avait repris connaissance.

« Nii-sama, cette personne est dangereuse ! Il y a une aura dangereuse autour d’elle !! » s’écria Kanae.

Kanae s’accrocha à Kazuki avec effroi, mais Kazuki avait vraiment compris ce sentiment.

En échange des cours de Kazuki en matière d’épée, Hoshikaze donnait des cours sur la magie à Kazuki. Hier, c’était au tour de Kazuki d’enseigner ses talents à l’épée. Donc aujourd’hui, c’était au tour de Hoshikaze d’enseigner.

« Je suis d’accord avec toi, Kanae. Parfois, lorsque j’enseigne à Hoshikaze-senpai, elle m’a également charmé... Je pense que Senpai était une femme vraiment charmante, » déclara Kazuki.

Hoshikaze avait légèrement rougi en raison des paroles de Kazuki et une marque de cœur était venue jusqu’à lui.

Cependant, elle secoua rapidement la tête : « Bon sang, arrête cela ! » Et elle avait ri.

« Hayashizaki-kun, ce n’est pas bien d’être trop gentil, d’accord ? Si tu dis ce genre de chose à tout le monde, alors, lorsque le moment crucial sera venu, ta précieuse personne ne pourra plus croire ce mot ! » déclara Hoshikaze.

Sur un ton de réprimande, Hoshikaze agita la main devant le front de Kazuki.

« Onii-san, alors tu es dans ce genre d’endroit. Bonjour ! »

Soudain, une voix brillante s’était fait entendre de la direction du manoir, et la silhouette de Lotte en uniforme s’approcha d’eux.

« Je ne t’ai vu nulle part, Onii-san, alors je t’ai cherché. Je veux parler à Onii-san... à propos de l’affaire d’hier soir. La nudité ne me dérange pas ! Je veux parler pour clarifier la situation entre nous, desu ! » déclara Lotte.

Hoshikaze s’exclama « Nue ? » En clignant des yeux en raison de la surprise.

C’est mauvais, pensa Kazuki. C’est le pire moment.

« Ni, Nii-sama, qu’est-ce que c’est que ça... !? Même si tu me le dis ! Qu’est-ce que c’est que d’avoir une autre petite sœur venue d’ailleurs... ? Qu’est-ce que c’est que ça ? À propos de la nudité d’hier soir... !? » demanda Kanae.

Kanae tremblait « buruburuburu » comme un volcan juste avant l’éruption et « gogogogogogo » frémissait comme une folle.

— Kazuki expliqua alors désespérément à propos de l’affaire de Lotte en tant qu’étudiante de transfert spéciale et le cas de force majeure d’hier soir. Cependant, Kanae avait ignoré tout cela et avait dégainé son kodachi. Un dangereux sourire flottait sur son visage.

« ... Nii-sama... pendant longtemps, Kanae a voulu affronter sérieusement Nii-sama…, » déclara Kanae.

« J’ai l’impression que je vais perdre pour la première fois depuis longtemps contre toi, Kanae, comme tu es aujourd’hui…, » déclara Kazuki.

Lotte observa alternativement le visage de la sœur et de Kazuki, puis elle baissa les yeux.

« Mon existence a-t-elle perturbé les relations humaines complexes d’Onii-san, desu... ? » demanda Kazuki.

« Calme-toi, Kanae-san. Il s’agissait simplement d’augmenter le nombre de camarades dans le manoir des sorcières, » déclara Hoshikaze.

« Je ne l’accepterai pas ! ... Cette étrangère en forme de chiot a-t-elle la force qui convient pour être incluse dans le Conseil des Étudiants de la Division Magie !? » s’écria Kanae. « Même s’il semblait que je restais silencieuse, j’ai seulement permis à Amasaki Mio et Hiakari Koyuki de rester aux côtés de Nii-sama parce qu’elles sont compétentes. Je les ai reconnues, mais c’est seulement limité pour rester aux côtés de Nii-sama ! »

Kanae possédait la personnalité de ne pas ouvrir son cœur autrement qu’envers des personnes ayant une réelle force. Kaguya était une autre affaire. Mais pour elle, d’avoir aussi évalué ainsi Mio et Koyuki... c’était inattendu.

« Compétent ? ... Est-il interdit à quelqu’un qui n’est pas fort de rester à côté de Nii-sama, desu... ? » demanda Lotte.

« Bon, sa force réelle sera testée personnellement par moi ! » déclara Kanae.

Kanae tenait son kodachi avec une expression semblable à celle d’un Shura envers Lotte, qui était perplexe. En un coup d’œil, cette scène ressemblait à une intimidation à sens unique. À ce moment, une personne avait interrompu la confrontation.

 

 

« Attendez ! » Une voix vive était venue de l’espace entre les arbres qui entouraient le manoir des sorcières.

De l’autre côté de la voix, la figure de l’épéiste de première année, Hikita Kohaku, était apparue comme une actrice qui entrait en scène.

« ... Fufufu, ce n’est pas nécessaire pour Kanae-kaichou d’agir expressément contre ce chiot. Le devoir de tester les voyous accrochés autour de Kazuki est ma tâche, à moi ! » déclara Kohaku.

Kohaku était apparu en bombant énormément sa poitrine ― cependant, Kazuki ne put s’empêcher de répliquer. « ... Vous ! Est-ce que vous vous êtes caché dans ce buisson en regardant tout cela ? »

« C’est vrai que nous avions des affaires à faire avec Kazuki, mais à cause de la nervosité, nous ne pouvions pas saisir le moment opportun pour sortir. C’est vrai, hier, nous nous demandions comment nous pouvions nous entendre avec Kazuki…, » déclara Kohaku.

Kohaku présenta l’énorme paquet qu’elle tenait entre ses mains, devant Kazuki.

« Nous avions maintenant compris comme être une bonne épouse chevronnée ! Kazuki, nous avons fait un bento, alors venez avec nous pour déjeuner ensemble aujourd’hui ! Puis, marions-nous après ça ! » déclara Kohaku.

« Hayashizaki-kun, as-tu fini de préparer mon bento, n’est-ce pas ? » Au moment où Kazuki allait accepter la boîte à lunch, Hoshikaze avait déclaré quelque chose qu’il valait mieux ne pas dire.

« Qu..., quoi... pour une personne virile comme Kazuki, d’avoir en lui ce côté familial... c’est en dehors de nos calculs personnels…, » déclara Kohaku.

Le visage de Kohaku devint pâle, le paquet de boîtes à lunch fut laissé tomber avec un son de *gashan*.

« Kohaku ! Salaud, tu as planifié de berner Nii-sama, hein !? Oublie ça ! Qu’est-ce que c’est que ça, cette histoire de mariage !? Explique-le-moi en détail !! Nii-sama va épouser sa petite sœur !! » cria Kanae.

Le teint de Kanae avait changé et elle avait menacé Kohaku. Non, il ne pouvait pas épouser sa petite sœur.

« Humph, Kanae-kaichou qui a agité la queue devant Otonashi Kaguya de la Division Magie n’a aucun droit et vous ne pouvez pas remettre en question nos actions qui sont concentrées sur l’avenir de l’art à l’épée. Pardonnez-nous pour l’impolitesse, mais restez en dehors de ça, » déclara Kohaku.

« Remuer la queue devant Kaguya !? Qu-Qu-Qui diable remue la queue devant ce genre de personne !! Bien sûr, récemment, je suis dans le même groupe qu’elle, et j’ai aussi reconnu sa force, mais je déteste cette fille !! » cria Kanae.

Tout en déplaçant sa main comme une queue de chat paniquée, Kanae découvrit ses crocs et hurla.

« Quel tsundere ! Même si dans la salle du Conseil des Étudiants, vous ne parlez que d’Otonashi Kaguya ou de Kazuki... plutôt que de parler de ça, ce qui compte maintenant, ce sont les voyous qui approchent de Kazuki ! » déclara Kohaku.

Kohaku afficha un sourire belliqueux et jeta un regard noir vers Lotte.

« ... Je ressens une forte hostilité, desu, » déclara Lotte. « En bref, si je me bats avec cette personne et que je gagne, je pourrai rester au Manoir des sorcières avec tout le monde, n’est-ce pas ? ... Alors, faisons-le, desu ! »

De façon inattendue, Lotte montra un puissant esprit combatif et lança un regard noir à Kohaku.

« Ce genre de chose est notre point fort ! Face à quelqu’un qui invoque de la magie, nous n’avons rien à craindre. Nous montrerons l’habileté de notre propre style à l’épée ! » déclara Kohaku.

Agissant de concert avec l’esprit combatif de Lotte, Kohaku avait rugi de plus en plus fortement.

Kazuki ne savait pas trop s’il devait arrêter cette querelle plutôt inutile. Toutefois — .

« Je voulais faire une bataille fictive aujourd’hui pour assister à la magie de Lotte, alors n’est-ce pas une aubaine ? » déclara Hoshikaze.

Hoshikaze se tenait là. « Hahaha » riant sans ménagement. L’affaire quant au duel entre les deux femmes était réglée.

Il restait encore assez de temps avant les premiers cours de la matinée, donc les quatre personnes s’étaient déplacées sur le terrain de sport.

« Parce que la présidente du Conseil des Étudiants de la Division Épée, Kanae, est ici... ça va, même sans la reconnaissance de Kaguya-senpai, n’est-ce pas ? » demanda Kazuki.

« Ce n’est pas un duel officiel qui influence le classement. Kaguya est faible le matin, donc elle dort toujours tout en étant en train de baver, vous savez, » répondit Hoshikaze. « C’est correct tant que nous, les juges, ne laissons personne être blessé. »

Et puis, Kohaku, l’étrange épéiste qui portait sept katanas, et Lotte, la princesse d’un autre pays, se firent face alors qu’elles étaient séparées par une distance de 50 mètres. Lotte avait chanté son incantation et elle avait appelé le Prophète.

« Veritas me Liberabit : la vérité me libérera — l’homme sage devenu père, protecteur de l’humanité, montrez cette sagesse ici même, » chanta Lotte.

Et avec une lumière qui avait surgi là, l’uniforme de la fille avait été changé sur elle en une Robe Magique. La Robe Magique qui recouvrait sa peau blanche et laiteuse était comme un bikini qui cachait seulement la petite surface de la poitrine et le bas du corps de la fille. C’était étrangement terne comparativement à toutes les Robes Magiques que Kazuki avait vues jusqu’à maintenant.

Kohaku avait dégainé l’un de ses katanas parmi les sept qu’elle portait. Il semble qu’elle n’utiliserait pas plusieurs katanas à la fois.

« Bon. Alors, commencez ! » déclara Hoshikaze.

Kohaku avait couru après l’annonce du signal de Hoshikaze et Lotte avait chanté son premier sort. Ainsi commença le duel.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Laisser un commentaire