Magika No Kenshi To Shoukan Maou – Tome 2 – Chapitre 2 – Partie 1

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Chapitre 2 : Visiteuse du Monde Extérieur

Partie 1

Quand Kazuki et Mio étaient entrés ensemble dans la classe, plusieurs salutations de « Bon matin » les avaient accueillis. Même si c’était tous les matins, le barrage de salutations de toutes ces filles était encore écrasant.

« Hé, Amasaki-san, Hayashizaki-kun, ne voulez-vous pas vous joindre à nous !? »

L’un des camarades de classe ne s’était pas arrêté à l’accueil et s’était approché avec cette proposition.

Sans attendre la réponse de Kazuki, la jeune fille avait paniqué et avait continué à parler sans pause.

« Mais sûrement, après m’être bien moquée de vous au sujet de l’épée, ce serait peut-être trop honteux de former un groupe ensemble ! Mais Hayashizaki-kun, quand vous vous êtes battu contre Amasaki-san avec un katana, j’ai trouvé ça vraiment cool ! »

En regardant attentivement cette fille, c’était elle qui avait déclenché l’incitation quant au duel avec Mio.

« De plus, j’ai pensé que si nous défions une quête, il était utile qu’un épéiste nous accompagne. Plutôt que de demander aux personnes de la Division Épée, il serait plus facile de demander à vous, Hayashizaki-kun, qui est un camarade de classe... d’ailleurs, j’ai entendu que Hayashizaki-kun et Amasaki-san sont actuellement en difficulté !! N’est-ce pas le cas !? » continua-t-elle.

À l’intérieur de la classe, des voix moqueuses avaient retenti. « Aah, elle essaye d’aller aux côtés de Hayashizaki-kun — ! » « Ce n’est pas juste ! » et ainsi de suite. Entendant cela, la fille avait répondit : « Attendez, taisez-vous toutes — ! »

En tant qu’« épéiste », il semblerait que Kazuki ait été remarqué par ces camarades de classe qui faisaient entendre ces voix joyeuses.

Cela faisait un mois qu’il était inscrit dans cette école. Le nombre d’étudiantes qui avaient réussi à faire un contrat avec leur Diva avait rapidement augmenté.

Ces étudiantes avaient immédiatement formé leur groupe et avaient activement effectué des quêtes.

« Comme prévu, je me demande si ce n’est pas bon... avant quand je me moquais de l’épée..., » même si Kazuki n’avait rien dit, cette camarade de classe s’était déjà emportée.

« C’est bon, ça ne me dérange pas non plus. En fin de compte, c’est devenu l’occasion d’arranger ma relation avec Mio, » déclara Kazuki.

Une marque de cœur avait flotté depuis la fille après avoir entendu la réponse de Kazuki.

Les camarades de classe s’exclamaient « Y a-t-il une chance !? », et cela avait aussi fait sensation.

« Vraiment !? Alors, après l’école aujourd’hui, partons en quête ensemble... »

« Je suis désolé, je veux demander à mon groupe avant ça, » demanda Kazuki en regardant le visage de Mio.

Tout à l’heure, Mio regardait en attente pour savoir si Kazuki accepterait l’invitation, mais quand elle avait capté les yeux de Kazuki, elle avait fait une expression boudeuse, comme si elle essayait de cacher son agitation.

Son visage avait l’air de vouloir dire : « Ce n’est pas bien si tu fais ce que tu veux. »

Mais comme prévu, il semble qu’elle n’était pas d’accord avec n’importe qui.

« Hm... en un mot, cela serait mieux qu’on s’entende mieux d’abord ? ... Eh bien, on ne peut pas trop faire autrement que comme ça. Mais merci de ne pas avoir fait toute une histoire sur mon comportement de la dernière fois ! Désolée pour ça. Je vais retourner à ma place, » déclara la fille.

L’apparence de la jeune fille avait changé comme si elle avait été libérée de sa culpabilité et elle était retournée à sa propre chaise.

{C’est une fille qui a formé un contrat avec le 72e pilier, c’est pour ça qu’il faut utiliser tout ce que tu peux pour être amical avec elle.}

Dans la tête de Kazuki, Leme avait indiqué son mécontentement, même s’il avait déjà dit qu’il ne voulait pas avoir ce genre de comportement sans honneur.

« C’est comme s’il n’y avait aucune considération pour moi et qu’elle ne visait que Kazuki ! Même si c’est moi qui suis de Rang A... Je suis contente que Kazuki m’ait considéré comme tel, » déclara Mio.

Mio souriait un peu avec ses dernières paroles, puis elle se dirigea vers sa propre chaise.

Tandis que Kazuki atteignait sa propre chaise — par-derrière, Koyuki lui parlait avec insouciance.

« Plutôt que d’inviter quelqu’un comme moi, ne vaut-il pas mieux accepter cette offre d’avant ? »

« Mais c’est mon rêve d’avoir un trio avec Mio et Hiakari-san et moi dans un seul groupe, » déclara Kazuki.

« ... Comme c’est obstiné. Êtes-vous un harceleur ? » demanda Koyuki.

Kazuki se retourna, mais Koyuki détourna son visage de « Puih ».

« ... Hiakari-san, parlons-en avant que Sensei n’arrive ? » déclara Kazuki en direction du visage translucide et noble de la jeune fille.

« Je ne veux pas parler de banalités. De telles choses sont inutiles, peu importe à quel point nous le faisons, » répliqua Koyuki.

« Il y avait beaucoup de livres dans votre chambre, Hiakari-san, n’est-ce pas ? Quel genre de livre aimez-vous lire ? » demanda Kazuki.

« Je ne fais que lire des séries de livres qui sont déjà terminés, peu importe la personne. C’est pourquoi, n’essayez pas de me parler, » déclara Koyuki

« ... Maintenant que j’y pense, Hiakari-san, aimez-vous les lapins ? D’une façon ou d’une autre, ça vous va bien, » demanda Kazuki.

« Je préfère ça aux humains. C’est pourquoi, n’essayez pas de me parler, » déclara Koyuki.

« ... Hiakari-san, en ce moment je fais une drôle de tête. Alors regardez par ici, » déclara Kazuki.

« Votre visage est relativement bien ordonné, donc je pense que cela ne sera pas intéressant quoique vous fassiez, » déclara Koyuki.

« Hiakari-san, ce n’est pas bon si vous me faites des compliments et vous vous moquez de moi alors que vous ne me regardez même pas. Vous ne le regretterez pas, alors regardez un peu ici, » déclara Kazuki.

Kazuki avait utilisé un mouvement drastique en utilisant la magie du renforcement du corps pour renforcer les muscles de son visage afin de faire une expression.

Exécution Secrète de Soirée de l’Hayashizaki aussi connu sous le nom de l’Ougi, Meurtre au premier regard.

« Dire des choses comme ça, comme si c’était quelque chose de gros..., » déclara Koyuki.

Koyuki regarda Kazuki d’un bref coup d’œil de côté, à cet instant « — Bufuhhh !?? », s’exclama-t-elle.

Grâce au renforcement musculaire, la structure osseuse du visage de Kazuki s’était transformée au maximum de ses capacités.

« Venez dévorer mon visage..., » imitant la voix du héros que les enfants aimaient encore maintenant, Koyuki avait caché son visage avec ses deux mains pendant que tout son corps tremblait. Une marque de cœur était sortie de sa poitrine.

... Impossible, je n’aurais jamais pensé que son niveau de positivité puisse augmenter avec ça.

Kazuki s’était laissé emporter et avait répété son « Visage mimétique d’Animé » attentivement. Koyuki tremblait comme la vibration d’un téléphone portable et les camarades de classe environnants riaient aussi quand elles avaient remarqué le visage de Kazuki. Avec un instant choisi bien précis, la porte de la salle de classe s’était ouverte.

« Taisez-vous tous, ordures ! C’est déjà le moment de la courte première période en classe. À quel point voulez-vous être nuisibles — BUFUUUHHH !? »

Liz Liza était finalement venue alors Kazuki s’était retourné pour faire face à la plate-forme à l’avant de la classe, puis Sensei s’était aussi écrié. « Ord-Ordures ! Saloperie de rang E, qu’est-ce qui vous est arrivé, imbécile !? Je veux dire..., qu’est-il arrivé à votre visage ! ... Oi, est-ce que ça va ? »

D’après le lapsus de Liz Liza, un écho d’inquiétude était apparu.

« Je suis désolé, ça ne peut pas être réarrangé tout de suite, » déclara Kazuki.

« Est-ce que c’est de la magie du renforcement corporel... ? Il y a donc ce genre d’utilité pratique pour cette capacité, hein... Cela pourrait être utile pour se déguiser. Peu importe, comme punition, vous devez garder votre visage comme ça jusqu’à ce que je dise que c’est bon. Quoi qu’il en soit, tout d’abord, je vais vous présenter une étudiante transférée. Entrez, entrez, » déclara Liz Liza.

Transférer un étudiant !? Liz Liza-sensei avait fait face au couloir et appela. La salle de classe se transforma en tumulte.

Quel genre d’étudiant transféré était venu — le bruit de cette attente n’avait duré qu’un moment.

Si vous y réfléchissez bien, tout le monde se rendait compte qu’une telle chose est impossible.

Il était impossible pour une étudiante transférée de venir à l’Académie Nationale Caryatid.

Pourquoi était-ce ainsi ? Parce que, à part les individus qui avaient eu l’Enigma à leur 14e anniversaire, personne d’autre ne pouvait s’inscrire dans cette académie. Un ajout à une date ultérieure était impossible.

Que se passe-t-il dans le monde ? Plutôt que de l’attente, c’était des regards confus qui étaient concentrés sur la porte.

La porte avait été ouverte avec un bruit de grattage et celle qui était apparue était — une fille étrangère un peu petite.

Ses longs cheveux dorés flottant autour d’elle, elle se dirigea vers la plate-forme d’une manière raffinée. Lorsqu’elle s’était déplacée vers la direction de la classe, des particules brillantes s’étaient détachées de ses cheveux dorés et de sa peau blanche.

La combinaison de ses cheveux brillants et de sa peau blanche était comme de l’or pur et de la soie.

« Enchanté de vous rencontrer. Je suis Charlotte Lieben Frau, desu, » déclara Charlotte.

Elle parlait un japonais couramment et d’une manière assez inattendue. Elle avait un sourire élégant et posé, accompagné d’un ton de voix modéré qui résonnait bien à l’oreille. Tout était revêtu d’une atmosphère d’un magnifique objet de grande classe.

« Elle n’a peut-être pas l’air d’une Japonaise, mais en tant que ma parente éloignée, elle a la nationalité japonaise. En fait, elle a encore 14 ans, cependant... en raison de certaines circonstances, elle a sauté des classes pour venir dans cette académie. Elle est plus jeune que vous tous, mais le talent magique de cette fille était déjà qualifié de Rang A. Il n’y a aucun problème avec elle, » déclara Liz Liza.

Sauter des classes ? ... Ce qui veut dire que la jeune fille avait été stigmatisée à l’âge de 14 ans et sans attendre sa promotion, elle avait immédiatement été transférée dans la Division Magie, comme ça ?

Pourquoi lui avait-on accordé un traitement si particulier ? D’après l’explication de Liz Liza, plutôt que d’expliquer l’origine de la fille, c’était plutôt comme donner un avertissement de ne pas regarder trop profondément dedans.

« Appelez-moi Lotte. »

Contrairement au silence à l’intérieur de la classe, elle présentait un visage souriant avec plus d’affections que quiconque. Puis elle avait regardé dans la classe — et lors que ses yeux avaient rencontré Kazuki, ses yeux s’étaient ouverts en grand.

Son corps s’était penché vers l’avant, laissant ses cheveux derrière elle et elle avait laissé sortir une voix excitée.

« — Japanische Animation ! » s’écria-t-elle. La prononciation en anglais sonne un peu différemment.

— Comme le sort réservé de tout élève transféré, Lotte était entourée de ses camarades de classe à chaque pause.

 

 

Sa personnalité qui avait fait de son mieux pour répondre honnêtement à toutes sortes de questions avait vraiment exsudé le charme d’une junior.

« Tes cheveux sont vraiment jolis ! Et ta peau est vraiment blanche ! Es-tu vraiment japonaise ? »

« Euh... Ma famille et celle de Liz Liza-oneesan vivaient au Japon depuis l’époque de mon grand-père. Même si je suis comme ça, je suis une Japonaise quand même, desu, » répondit Lotte.

« Eeh, vraiment !? Tu ne parlais pas une langue mystérieuse avant ? »

« Lotte-chan, quel genre de nourriture aimes-tu ? »

« Eeeto... sushi et tempura... surtout du ton, j’aime ça, desu ! » répondit Lotte.

« Ce n’est pas possible ! Lotte-san est après tout absolument une étrangère ! »

« Hé, laisse-moi aussi toucher tes cheveux ! Uwaa, c’est vraiment joli quand on le voit de si près ! Comme de l’or pur ! »

« Sa joue est vraiment lisse ! Mignonneee !! »

« Uuuuuuu... être touché ici et là comme ça fait vraiment du bien, desu..., » déclara Lotte.

Même lorsqu’elle était bousculée par ses camarades de classe, elle restait docile comme un chiot avec pedigree et montrait un sourire élégant et heureux. Avec ce genre d’attitude, Lotte était devenue une personne très populaire dans la classe.

Regardant cette scène de loin — Koyuki avait parlé avec Kazuki avec un ton étonné.

« ... Si elle était entourée de tant de gens comme ça, ne mourrait-elle pas de stress ? » demanda Koyuki.

« Mais il faut converser modérément, vous savez, Hiakari-san, » déclara Kazuki.

« ... Ce n’est pas nécessaire. Ce genre de chose est un obstacle, s’il vous plaît, ne me parlez pas, » déclara Koyuki.

« Le côté qui est venu et a commencé la conversation était vous, Hiakari-san, n’est-ce pas !? » demanda Kazuki.

Au moment où les questions s’arrêtèrent accidentellement, Lotte jeta un coup d’œil vers le siège de Kazuki.

Après cela, elle avait dit aux étudiantes environnantes : « Excusez-moi, juste un peu, excusez-moi. » Tout en s’inclinant et en s’excusant à plusieurs reprises, la foule se sépara et elle s’approcha de Kazuki. Koyuki avait évité son visage avec un « puih ».

« Excusez-moi... ce visage d’anime de tout à l’heure, pouvez-vous le faire encore une fois ? » demanda Lotte.

Kazuki s’était caché le visage comme s’il jetait un coup d’œil entre les doigts ses mains, puis après avoir utilisé la technique sur son visage, il avait montré son visage. Lotte ne riait pas en voyant cela, mais ses yeux brillaient d’excitation.

On aurait dit que Lotte ne connaissait pas les animes récents, alors Kazuki avait incliné la tête.

« ... Vous aimez les vieux chefs-d’œuvre comme ça ? » demanda Kazuki.

« Oui ! En tant que Japonaise, il est naturel d’aimer les animes, desu ! » déclara Lotte.

Non, attendez, peu importe comment vous le voyez, d’après ses goûts en matière de nourriture et d’animation, il ne ressemblait pas du tout à une Japonaise. Ou peut-être devrais-je dire que d’après son excitation, elle ressemblait plus à un péquenaud de campagne...

Cela m’a donné envie de douter qu’elle ait vraiment vécu au Japon depuis longtemps.

Néanmoins, si elle n’était ni née au Japon, ni étrangère naturalisée, c’est une question vraiment déroutante.

— C’est parce que le Japon actuel n’avait pas de relations diplomatiques avec d’autres pays.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre !

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