Chapitre 46 : L’histoire d’une certaine famille 5
« Qu... Qu... Qu... C’est quoi ton problème ? »
L’homme criait d’une voix vraiment horrible. Il s’agissait de l’homme qui était sur le point d’enlever ses vêtements alors qu’il était sur le lit, chevauchant ma précieuse Tierra. N’était-il pas cette pourriture qui était à l’église à ce moment-là ?
Tierra me voyait et avait été surprise, mais, peu à peu, elle afficha une expression comme si elle allait sous peu fondre en larmes. Dieu merci ! On dirait que rien ne lui avait été fait depuis son enlèvement.
« Pourquoi es-tu ici ? »
Et alors, Darl avait placé sa main sur son épée alors qu’il demandait ça. Puis, prévoyant de protéger son maître, cette raclure de noble, il dégaina son épée. Cette pourriture de noble avait tiré de force Tierra qui ne pouvait pas marcher, puis il l’avait laissée tomber du lit. Cette merde, je voulais le tuer tout de suite. Cependant, à part ça, je devais faire quelque chose à propos de Darl.
« Ah, Mars, tu étais donc dans un endroit comme ça, hein. S’il te plaît, ne te force pas trop. »
Alors que je regardais Darl, une femme aux cheveux dorés, Mylène, entra dans la pièce comme si elle se promenait. Elle venait de la direction de la porte que j’avais ouverte. Et elle s’était mise en colère contre moi. À côté d’elle, un homme vêtu d’une robe, ayant le même âge que moi, et qui était devenu mon maître, le Seigneur Hardt, était également là.
Je n’avais pas l’intention d’être aussi hâtif. D’ailleurs, pourquoi me regardes-tu ainsi, Tierra ? C’est effrayant.
La beauté aux cheveux dorés et l’homme du même âge que nous apparurent soudainement ensemble. Face à ça, Darl ainsi que le noble rugissant furent stupéfaits. Cependant, je pourrais dire que la tension dans l’air se relâcha immédiatement quand ils virent que celle qui était apparue était une femme.
« Fufufu, je me demandais qui c’était et c’était juste deux mecs avec une femme. De plus, cette femme est de toute beauté. Darl, tue les hommes. Je jouerai avec la femme de cet homme ! »
Ce noble regarda Mylène puis il se mit à rire d’une manière disgracieuse. C’était carrément dégoûtant. Tierra, tu es avec ce type pendant plusieurs jours.
Cependant, il y avait quelqu’un qui était plus en colère que moi contre cette pourriture de noble. C’était...
« Oh, gros porc. Ne dirige pas ton regard dégoûtant sur Mylène ! Tu vas salir ma précieuse Mylène ! »
Le Seigneur Hardt avait explosé de colère. Une pression telle que je pensais être écrasée par elle se propagea jusqu’à moi d’un seul coup. Même moi, qui n’avais pas été touché directement avais été dans cet état là, mais la noble pourriture était... uwaa, il tremblait sans même pouvoir perdre connaissance.
Cet homme, Darl, restait complètement immobile et même sa respiration était devenue étrange. Le Seigneur Hardt les ignora tous les deux et marcha vers Tierra, qui était groggy. Et puis, il porta doucement Tierra dans ses bras et la laissa s’asseoir sur le lit.
« Tierra, ai-je raison ? Je vais te donner le choix. C’est quelque chose que j’ai aussi demandé à Mars qui est là-bas et il l’a accepté. Seras-tu ma subordonnée et choisir de combattre contre le monde, ou autrement, veux-tu vivre comme ça avec ce gros porc ? Fais ton choix. »
Si on lui demandait quelque chose comme ça dans cette situation, ce qu’elle allait dire n’était-il pas déjà décidé ? Tierra redressa son corps au-dessus du lit et baissa la tête devant le Seigneur Hardt.
« Moi, Tierra, je promets ma fidélité au maître. »
« D’accord. Tant que tu seras ma subordonnée, je ne laisserai plus jamais Mars et toi être séparés. Et puis, je m’appelle Hardt, ravi de te rencontrer. Mars, tu dois escorter ta copine. »
« Ah oui ! »
... Mon Dieu, j’avais été surpris. Je n’aurais jamais pensé que le Seigneur Hardt, qui avait montré jusqu’à maintenant une attitude si froide, fasse un visage si doux. Je m’étais dirigé du côté de Tierra comme l’avait dit le Seigneur Hardt. Bien que ce soit un peu embarrassant, j’avais porté Tierra à la manière des princesses.
Elle plaça ses mains autour de mon cou, même si elle faisait une expression embarrassée.
« Tierra, je ne te laisserai pas vivre d’autres expériences douloureuses. Je ne vais vraiment pas lâcher ta main. »
« S’il te plaît, ne la lâche plus. Je vais la serrer également. »
Même les mots qui normalement m’embarrassaient, pour moi qui avais été séparé d’elle et qui avais reconfirmé son importance, je ne ressentais plus rien de tel. Alors que Tierra et moi nous nous regardions, nous...
« Vous tous, qu’est-ce que vous faites à mon esclave !? »
... avions oublié cet homme. Même si j’avais été capable de sauver Tierra, ce n’était pas encore fini.
« Darl ! Qu’est-ce que tu regardes ! Tue rapidement ces gars-là ! D’ailleurs, que font les soldats ! Pourquoi personne ne vient, même si c’est bruyant ! »
« Hmm ? Tu veux que les soldats viennent, n’est-ce pas ? »
Le Seigneur Hardt avait réagi aux paroles du noble qui criait. Et puis, le Seigneur Hardt claqua des doigts et le bruit de personnes courant dans le couloir résonna dans toute la maison. Ces sons se rapprochaient progressivement de cette pièce. Tierra avait placé avec anxiété de la force dans ses bras.
Et puis ce qui était entré dans la pièce était...
« AAaaAAAa! »
« UUuAAAA! »
... des soldats dont les apparences avaient changé. Parce que nous... ou plutôt, parce que le Seigneur Hardt était entré dans ce manoir juste avant, nous avions bien sûr été attaqués par les soldats. Cependant, le Seigneur Hardt et Mylène avaient tué tous les soldats qui venaient attaquer et en avaient fait des zombies avec le pouvoir du Seigneur Hardt.
Et puis, le Seigneur Hardt alla se mettre à côté de ce merdeux de noble. Cette pourriture de noble leva les yeux vers le Seigneur Hardt sans pouvoir bouger. Puis le Seigneur Hardt plaça sa main sur la tête de cet individu et chanta sa magie... non, il chanta sa sorcellerie.
« ... Wôw, qu’est-ce que tu fais ? »
« Expérimente avec ton propre corps ce qui va t’être fait. »
Le Seigneur Hardt déclara cela et jeta cette pourriture de noble dans les zombies. Ce noble qui avait été jeté avait été plaqué au sol par les zombies avant qu’il ne puisse se lever. Et alors, un zombie attrapa le bras droit de ce merdeux de noble et...
« Aa... AaAAA !! Mon braaaaassssss ! Mon braaaaasssss ! »
J’avais immédiatement masqué les yeux de Tierra. Cependant, ma main avait été repoussée par elle. On dirait qu’elle voulait regarder jusqu’au bout avec ses propres yeux.
Bien que petit à petit, la noble avait été rongée sur tout son corps. Il regardait cette vue et hurla, mais son expression changea peu à peu.
« P-P-Pourquoi n’est-ce pas douloureux ? On me ronge tellement, alors pourquoi !? »
« À propos de ça, j’ai temporairement atténué ta sensation de la douleur avec ma sorcellerie. Il s’agit d’une punition pour avoir mis la main sur ma subordonnée. Regarde donc ton propre corps se faire manger jusqu’à ta mort. Ah, en passant, j’ai donné des instructions pour qu’ils évitent de manger tes organes vitaux afin que tu ne meures pas si facilement. »
Après que le Seigneur Hardt eu déclara ça, il était venu vers nous. Il semblerait qu’il ne s’intéressait plus au noble.
« Alors, Mars. Tu dois aller régler ton propre différend. Comme je l’ai dit tout à l’heure, tu devrais pouvoir l’utiliser si tu le souhaites. »
« ... Compris. »
J’avais dégainé l’épée que j’avais reçue du Seigneur Hardt avant de venir ici. Et puis j’avais regardé Darl.
« ... Que comptes-tu faire, Mars. »
« C’est décidé, n’est-ce pas ? Toi... je vais te tuer ! »
C’était la condition pour qu’il fasse de Tierra et moi ses subordonnés. Cependant, ce n’était pas seulement ça. Je ne te pardonnerai absolument pas à toi, qui as blessé ma précieuse famille !
Merci pour ce super chapitre, hâte d’être à Lundi !
Merci pour le chapitre !
Merci pour le chapitre