La Croix d’Argent et Dracula – Tome 4 – Chapitre 2 – Partie 1

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Chapitre 2 : La Maison de la Sorcière

Partie 1

Dans l’obscurité, seule une main pâle pouvait vaguement être vue.

À côté de la lumière de la rue, une silhouette sombre vêtue d’une cape noire se tenait là.

Engouffré dans l’ombre, même le contour de sa silhouette était difficile à discerner.

Seule la main pâle et délicate, s’étendant en dehors de la cape, était visible sous la lueur, comme si elle présentait son existence étincelante au milieu de l’obscurité.

Les doigts minces tenaient un petit pot.

 

« Ah, j’ai obtenu quelque chose d’intéressant. »

 

Des chuchotements harmonieux résonnaient dans l’obscurité.

Il s’agissait de la voix d’une femme. Cela semblait envoûtant, mais ça faisait également froid dans le dos.

S’il avait été chuchoté à l’oreille d’un auditeur, la chair de poule et la terreur se seraient répandues dans tout son corps.

« Peut-être que cette chose pourrait être utilisée pour confirmer si le plan réussira ou non. Cependant, il semble un peu tôt pour que l’événement principal commence dès maintenant, » continua-t-elle.

Sa voix semblait légèrement confuse.

Après un moment de silence, la présence d’une personne était apparue dans la zone.

Au coin de la rue, une lycéenne qui rentrait chez elle était devenue visible.

Vêtue de son uniforme scolaire, la jeune fille marchait avec la tête baissée.

En voyant son apparition, la silhouette dans l’obscurité avait souri, ses lèvres rouges formant la forme d’un croissant.

« Une excellente opportunité. »

L’identité de la personne qui venait d’arriver n’avait aucune importance pour elle.

Elle voulait simplement profiter de l’occasion pour tester certaines choses.

Ce n’était ni le destin ni une fatalité préétablie.

C’était tout simplement parce que cette fille était passée par là par hasard.

La jeune fille n’avait nullement remarqué la menace qui se cachait derrière le lampadaire alors qu’elle était sur le point de passer à côté.

Le bras mince de la jeune fille avait alors été saisi par une main pâle.

« ... ? »

Alors qu’un soupçon de méfiance se répandit sur les yeux de la jeune fille, elle regarda dans la direction de la silhouette.

... Et c’était seulement pour voir une jarre ouverte présentée devant ses yeux.

Aucun liquide ne s’était déversé de là. À la place, un gaz rouge était entré dans ses narines.

« ... !? »

La main sous la cape tenait la fille sans lâcher prise, ignorant la toux incessante de la jeune fille.

Quelques secondes après, un gaz blanc en forme de brouillard avait été expiré en provenance de la bouche même de la jeune fille.

Le gaz avait pris de l’expansion dans l’obscurité et avait progressivement pris conscience de soi.

Puis, il avait pris un contour distinct et humanoïde, jusque dans les moindres détails.

« Très bien, » murmura la voix féminine.

Après avoir confirmé les effets, la sombre silhouette avait laissé seule la fille.

Puis, se fondant dans l’obscurité, elle avait disparu sans laisser de traces.

Laissée seule, la jeune fille s’était couvert la bouche pendant qu’elle vérifiait ce qui l’entourait.

Peut-être à cause de l’inhalation du gaz, sa conscience était encore un peu floue.

Bien qu’elle n’avait pas été en mesure de comprendre ce qui s’était passé, à la fin, elle avait continué son trajet afin de rentrer chez elle.

Des passants présents à ce moment-là avaient alors affiché des regards de surprise en voyant la jeune fille.

C’était une scène bizarre.

Comme une image miroir, une deuxième personne marchait dans une direction opposée et elle s’éloignait du dos de la jeune fille.

Ses vêtements, sa coiffure et son physique — tout était identique.

En ce qui concerne ce clone qui était parti loin d’elle... la fille ne le savait pas du tout.

 

***

 

Samedi après-midi, Hisui était arrivé chez Kirika comme convenu.

Heureusement, il ne s’était pas perdu et était arrivé à l’heure.

C’était un manoir occidental qui se distinguait même dans ce quartier résidentiel de haut standing — dès ces premières impressions, il était déjà évident qu’il s’agissait de la maison de Kirika.

Un vaste et majestueux jardin de style occidental était entièrement visible même de l’extérieur.

Avec un peu de nervosité, Hisui avait ajusté sa cravate décontractée et avait appuyé sur l’interphone à côté de la porte.

Celle qui vivait là attendait apparemment depuis longtemps — .

 

« La porte sera ouverte sous peu, » déclara une voix sans même laisser s’écouler une seconde de délais.

 

Après que Kirika ait répondu dans l’interphone, elle se dirigea Hisui à travers le jardin vers une entrée spacieuse.

Tout allait bien jusqu’à ce moment-là.

Mais lorsque Kirika avait ouvert la porte pour l’accueillir, un mécontentement bien visible était instantanément apparu sur son visage.

« ... Bienvenue, » déclara Kirika.

« Merci pour votre hospitalité, » déclara Hisui.

« Oui, nous sommes ici pour profiter de votre hospitalité ! » Rushella sourit alors qu’elle parlait en se tenant à côté d’Hisui.

Et pire encore, elle avait son bras enroulé autour de celui d’Hisui.

Bien que la peur de se perdre puisse être considérée comme une raison, récemment, chaque fois qu’ils sortaient, Rushella insistait toujours pour marcher bras dessus bras dessous avec lui.

« Euh... Senpai..., » balbutia Hisui.

« ... Ce n’est pas grave. Ce type de développement pourrait être qualifié d’inévitable. C’est ma faute si je n’ai rien spécifié clairement à l’avance. J’aurais dû m’attendre à ce que vous ne puissiez pas la laisser seule à la maison sans surveillance un jour férié. C’est ma faute. Cependant... Pourquoi les autres sont-elles aussi ici ? » demanda Kirika.

À côté de Rushella... il y avait également Mei et Eruru.

« Senpai, prendre ainsi de l’avance n’est pas une bonne chose à faire, n’est-ce pas ? Même si je n’ai jamais invité Hi-kun chez moi, est-ce que vous n’allez pas un peu trop vite ? » demanda Mei.

Vêtue d’une camisole d’automne, Mei souriait d’une manière séduisante.

Et de même, vêtue d’une tenue adéquate, Kirika se tenait à côté d’eux. Elle portait une blouse et une minijupe de grande classe.

« ... J’aurais dû m’attendre à ce que vous arriviez sans invitation. Mais Kariya-san, je n’aurais jamais pensé que même vous viendriez..., » déclara Kirika.

Kirika l’avait regardé avec ressentiment, mais Eruru n’était pas troublée par son regard.

« Je souhaite simplement connaître les résultats de l’analyse, » répondit Eruru. « Eh bien ! Si Hisui-san venait seul, je n’aurais pas eu l’intention de venir en visite, et je n’ai pas après tout envie que vous me regardiez comme ça... Mais puisque Rushella a également suivi, afin d’éviter qu’elle ne cause des troubles, je devrais être présent pour la superviser. Au contraire, je suis ici afin de vous aider, n’est-ce pas ? »

« En effet, puisque ces deux-là sont ici, il vaut mieux que vous veniez également, » déclara Kirika. « Quoi qu’il en soit, on a assez parlé ici, dépêchez-vous et venez à l’intérieur. »

« D’accord... Ah, j’ai apporté un petit quelque chose, » tout en disant cela, Hisui lui avait remis le thé et les confiseries occidentales qu’il avait apportés.

Kirika les avait acceptés sans expression et elle les avait donné la domestique à ses côtés avant de conduire le groupe d’Hisui dans la maison.

« Hmm, cette maison est si spacieuse... Je veux vivre dans un endroit comme ça ! Non, plutôt, je suis censé vivre ici ! Ce genre de maison me convient mieux ! » déclara Rushella.

« Un vampire vivant dans ce genre de maison attirerait trop d’attention. Au fait, je n’ai jamais su à quel point vous êtes une fille riche et gâtée. En comparaison, mes cadeaux semblent un peu trop bon marché. Est-ce que Senpai est en colère à cause de ça ? » demanda Hisui.

« Clairement pas ! »

« Manifestement pas. »

Deux des coupables, Mei et Eruru, qui étaient à l’origine du mécontentement de Kirika, avaient réfuté simultanément les spéculations d’Hisui.

« Vraiment... Hier, quand j’ai envoyé le message texte pour confirmer l’heure et le lieu, elle a utilisé une tonne d’émoticônes dans sa réponse et avait l’air très heureuse, » déclara Hisui.

« Je m’y attendais, » s’exclama Mei.

« Pauvre enfant, » déclara Eruru.

« Que savez-vous exactement toutes les deux... ? » demanda Hisui.

Hisui était resté mal à l’aise. Le groupe avait traversé la maison et était arrivé dans un jardin.

« Wôw... ! » s’exclama Hisui.

Bien qu’Hisui n’avait aucun sens artistique pour les fleurs, les innombrables fleurs en pleines floraisons, mais centrées autour des roses, l’avaient tout de même étonné.

En utilisant les traits de différentes fleurs dans une combinaison parfaite, cet espace avait produit un sentiment d’harmonie.

Par rapport à une salle de réception ordinaire, ce lieu était sans doute plus adapté pour recevoir des invités.

Sous la lumière chaude du soleil, le temps était parfait pour une conversation en plein air.

En passant par un petit chemin rempli d’un parfum floral, ils arrivèrent à une série de tables et de chaises blanches.

Une dame assise dans un fauteuil roulant les attendait déjà. Remarquant l’arrivée du groupe, elle avait souri chaleureusement.

« Bienvenue, bienvenue. Venez, s’il vous plaît, asseyez-vous ici, » déclara la vieille dame.

Le groupe d’Hisui avait donc pris place.

Dès le premier moment où il avait posé ses yeux sur la femme, Hisui avait compris qu’elle devait être la grand-mère de Kirika.

Comme Kirika l’avait mentionné, elle était originaire d’Angleterre. Amicale et douce, elle partageait une certaine ressemblance avec Kirika. Dans sa jeunesse, elle n’avait pas dû manquer de rendez-vous romantiques.

Malgré son âge avancé, elle était le genre d’aînée dont l’équilibre et cette présence remarquables étaient quelque chose que tout le monde aspirait probablement à réaliser lorsqu’ils atteindraient un âge avancé.

Puisqu’elle était l’enseignante de Kirika, naturellement, elle devait aussi être une sorcière. Néanmoins, sa tenue vestimentaire et son châle à prédominance blanche donnaient une impression assez éloignée de cette identité. Tricoter tout en étant assis près d’un foyer chaud et en racontant des histoires de sa jeunesse à ses petits-enfants correspondrait probablement mieux à son apparence actuelle.

« Ravi de vous rencontrer. Je m’appelle Hisui Kujou. Votre petite-fille m’a tellement aidé tout ce temps..., » déclara Hisui.

« Bonjour, vous êtes trop aimable. Enchantée, je m’appelle Welfica. Êtes-vous le... fils de Miraluka ? Cette façon de voir les choses peut sembler un peu étrange. Ce serait peut-être plus approprié si je vous appelais son jeune frère... Ne serait-il pas plus approprié ? » demanda Welfica.

« Vous la connaissiez... elle... ? » demanda Hisui.

Hisui avait regardé avec surprise la dame âgée devant lui.

En entendant le nom inattendu, le visage de Rushella était devenu sombre.

Même le vampire « Pure entre les Purs » n’avait jamais vu Miraluka en personne auparavant.

En fin de compte, Miraluka n’existait que dans la seule mémoire d’Hisui.

Un sanctuaire où personne ne pouvait entrer sans autorisation, un ensemble de souvenirs que personne ne pouvait partager.

Néanmoins, aujourd’hui, ils avaient finalement rencontré un humain qui la connaissait.

« Vous êtes... Quand l’avez-vous rencontrée !? » demanda Hisui.

« Il y a très longtemps... À l’époque, j’avais à peu près votre âge. Je ne l’ai vue qu’une seule fois. En parlant de ça, c’est ironique qu’elle soit décédée plus tôt qu’une humaine comme moi, » répondit Welfica.

Welfica se souvenait de ça.

Pour cette aînée qui avait fait l’expérience de toutes les manières des dures réalités du monde et des séparations provoquées par la mort, sa rencontre avec Miraluka le « Véritable Ancien » était encore un souvenir spécial.

« Le thé est prêt ? » demanda Welfica.

Alors qu’Hisui était encore immergé dans ses souvenirs, Kirika revint avec un plateau de thé.

« Oh... Merci, » déclara Hisui.

« S’il vous plaît, prenez d’abord du thé. Il n’y a pas besoin de précipiter la conversation, » déclara Welfica.

Comme dans la classe du club, Kirika avait préparé la vaisselle pour le thé et avait commencé une petite réunion de thé.

Comme d’habitude, le thé qu’elle avait infusé était délicieux. Sur les assiettes se trouvaient également diverses collations exquises qui avaient été méticuleusement préparées.

« Kirika-chan, tes compétences sont de mieux en mieux. Est-ce parce que tu as trouvé quelqu’un que tu aimes ? » demanda Welfica.

« Franchement, s’il te plaît ne parle pas de ça..., » répondit Kirika.

La blague de la grand-mère avait fait rougir Kirika.

Malgré l’image impeccable de perfection qu’elle présentait à l’école, Kirika n’était qu’une fille dans la fleur de l’âge.

Voyant l’étudiante modèle lui montrer un nouveau côté, Hisui n’avait pas pu s’empêcher de sourire en buvant le thé.

Voyant la conversation dériver de plus en plus loin, Eruru avait pris la parole pour revenir au sujet principal.

« Au fait, Welfica-san, êtes-vous parvenue à une conclusion concernant les fragments que je vous ai remis ? Je suis certaine que vous avez déjà entendu toute l’histoire de votre petite-fille..., » déclara Eruru.

« Oui... Je les ai déjà vus. Les deux fragments semblent provenir de cercueils finement fabriqués. Même quand j’étais jeune, ce type d’artisanat de première classe était assez rare. Cependant..., » répondit Welfica.

« Cependant... ? » demanda Eruru.

« Au fait, l’un des fragments est récent... Même si je dis récent, cela doit probablement avoir été fait il y a vingt ou trente ans. Pour un cercueil de vampire, c’est beaucoup trop nouveau, » déclara Welfica.

« Les cercueils de vampires sont généralement des antiquités. C’est d’autant plus vrai pour les vampires de haut rang. Plus l’âge d’un cercueil est important et plus le pouvoir magique qui y est infusé est puissant et sert à augmenter le prestige du propriétaire. Le cercueil que vous avez mentionné comme étant récent, lequel est-ce ? » demanda Hisui.

« Ce n’est pas celui qui appartient au “Pur entre tous les Purs”, mais l’autre. Je pense... c’est probablement à la petite dame ici ? » Welfica désigna calmement la personne clé.

À en juger par le ton de sa voix, Kirika ne lui avait probablement pas tout révélé. Elle avait plutôt vu de ses propres yeux l’identité de Rushella.

En ce moment, Rushella hocha la tête, actuellement assise à l’ombre que Kirika lui avait préparée.

« ... Exactement. Qu’y a-t-il de semblable entre le cercueil de Fergus et le mien ? » demanda Rushella.

« Ils ont été fabriqués par le même artisan... Même si j’aimerais le passer sous silence comme ça, ce fait n’est pas si simple. Ces deux cercueils ont été créés à une centaine d’années d’intervalle. Alors ce n’est probablement pas par la même personne. Ou peut-être... Ils ont été créés dans des endroits similaires grâce à des méthodes similaires... Ou plutôt..., » continua Welfica.

« Plutôt ? » Eruru se pencha en avant et demanda.

Elle était très intriguée par cette affaire.

« Son cercueil était basé sur celui du vampire “Pur entre les Purs”... Ou du moins, une imitation créée en se référant à ce type de cercueil de haute qualité afin de reproduire le même savoir-faire... C’est l’impression que j’ai eue, » répondit Welfica.

« Qu’est-ce qui se passe ici ? » marmonnait Hisui, très intéressé.

Cependant, au centre du sujet de conversation, Rushella avait fait une remarque de déplaisir : « Pourquoi mon cercueil est une imitation alors que je suis moi-même un “Véritable Ancien” ? L’ordre n’est-il pas complètement faux ? C’est très déplaisant ! »

« “Véritable Ancien”... ? Vous êtes... ? Comment est-ce possible, à part Miraluka, tous sont déjà..., » balbutia Welfica.

Le visage de Welfica avait été rempli par la surprise.

Se pourrait-il qu’elle, comme Hisui, connaisse un peu la vérité des « Véritables Anciens » ?

« À nouveau cette personne..., » entendant le nom de Miraluka, Rushella se plaignait avec rancune, le poing serré.

En effet, peu importe où, ce nom était toujours apparu pour causer des ennuis.

« S’il vous plaît, calmez-vous. Que votre cercueil soit neuf ou non, cela ne diminue pas votre existence. De plus, il est fort possible que le cercueil ait été endommagé et réparé pour une raison ou une autre. Un simple cercueil n’affectera pas votre prestige et votre position, n’est-ce pas ? » Eruru était intervenue pour réduire la tension et éviter la catastrophe.

Rushella avait trouvé son explication raisonnable et s’était calmée. « Eh bien... C’est vrai. »

« Welfica-san, autre chose ? » demanda Eruru.

« Rien de spécial... Il est fort probable qu’une simple comparaison des cercueils ne donnerait pas d’autres indices. Dans tous les cas, son cercueil en tant qu’objet appartenant à un vampire est vraiment du dernier cri. Cependant, son créateur doit aussi avoir fait des recherches sur les cercueils qui ont été transmis depuis l’antiquité, distillant leur essence même pour fabriquer ce cercueil. J’en suis absolument certaine, » répondit Welfica.

« En d’autres termes, nous devons trouver un angle différent, hein. Dites, qui êtes-vous, de toute façon ? » demanda Eruru à Rushella.

« Aucune idée..., » Rushella avait détourné son visage et avait boudé.

C’était précisément parce qu’elle ne le savait pas qu’ils étaient venus ici pour enquêter.

Mais à l’heure actuelle, ses origines étaient devenues encore plus mystérieuses. Pire encore, le nom du parent d’Hisui, que personne d’autre n’avait rencontré, était réapparu sans avertissement.

Plus Rushella y pensait, plus elle était en colère. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était d’engloutir les collations sans dire un mot de plus.

Voyant l’humeur se rafraîchir soudainement, Kirika s’était levée.

« Oh, Kujou-kun... L’agent de blocage de la lumière est prêt, laissez-moi d’abord aller le chercher pour vous au cas où j’oublierais plus tard, » déclara Kirika.

« Oh merci..., » répondit Hisui.

« Venez avec moi pour le récupérer. Oh, en ce qui concerne le festival sportif, puis-je discuter de quelque chose avec vous ? La dernière fois, vous avez dit que vous étiez prêt à aider, n’est-ce pas ? » demanda Kirika.

« Oui, c’est ce que j’ai dit..., » répondit Hisui.

« Les documents sur ça sont dans ma chambre. Parlons-en là-bas, » déclara Kirika.

En disant cela, Kirika avait quitté la table.

Bien qu’Hisui soit un peu perplexe, il pensait que refuser ne serait pas poli.

Après avoir jeté un coup d’œil à Rushella, il s’était finalement levé et avait suivi Kirika pour entrer dans la maison.

Rushella était sur le point de se lever et de l’appeler, mais Mei et Eruru l’avaient arrêtée.

« Qu’est-ce que vous faites toutes les deux ? » demanda Rushella.

« Fermons les yeux pour une fois. Une fois de temps en temps, ça devrait aller, » déclara Mei.

« Si vous essayez de les suivre, vous pourriez très bien finir par souffrir de la malédiction d’une sorcière. Profitez de cette opportunité avec Kujou-san qui n’est pas là. Maintenant, vous pouvez demander tout ce que vous voulez sur sa famille, » déclara Eruru.

En entendant les conseils d’Eruru, Rushella s’était assise à contrecœur à sa place.

La vieille dame devant elle avait continué à sourire affectueusement.

« Puis-je... vous demander ? À propos de... Miraluka..., » demanda Rushella.

« Je vous dirai tout ce que je sais, » Welfica accepta immédiatement sa demande. Puis elle fit un petit rire amical.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre !

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