Chapitre 2 : S’Éloigner de la Vie Normale
Partie 2
J’avais pensé des centaines de fois que j’arriverais à le tuer.
Mais finalement, je m’étais fait dominer par l’Oeil Maléfique... Et donc moi, Brünnhilde, j’avais perdu la liberté de faire le moindre mouvement.
À la suite des ordres de Raika Shinzen, j’avais enlevé mes vêtements pièces après pièces.
La jupe qui possédait une fermeture à glissière chuta sur le sol avec un bruissement.
En poursuivant mes actions, j’avais ensuite décroché mon soutien-gorge.
Ma poitrine qui avait été enveloppée dedans plus tôt s’était finalement retrouvée comme libéré. *Pyon*. Cela m’avait donné une telle impression quand ils étaient sortis de là.
Mes seins avaient une belle forme. Dans le futur, ils étaient susceptibles de produire du lait de qualité.
Ma peau blanche et soyeuse possédait une excellente texture sans une seule tache sur elle.
Maintenant, tout le haut de mon corps pouvait clairement être vu, y compris mes membres en bonne santé. Ce corps avait l’aspect parfait d’une magnifique jeune femme.
Même si je n’étais qu’une femme de guerre, c’était suffisant pour me rendre jalouse.
Ces seins ne m’appartiennent même pas...!
Je ne savais pas combien de fois je m’étais souvenue de ça dans mon esprit.
Ce corps appartient à mon hôte humain appelé Charlotte. Je n’étais qu’un esprit qui possédait ce corps.
C’est pourquoi cela n’était pas équivalent à l’exposition de mon propre corps.
Pourtant, peu importe combien de fois je me disais ça...
« ... Hic. » (Brünnhilde)
Un petit cri put être entendu lorsque ma main se déplaça pour desserrer l’élastique de ma culotte.
Une voix inconnue s’échappa hors de moi...
Chaque fois qu’un morceau de tissu était retiré de son corps, il semblait que sa dignité aussi tombait sur le sol, morceau après morceau.
C’était comme si son ego qu’elle gardait en toute sécurité sous une coquille de fer était maintenant mis à nu devant tout le monde.
C’était comme si son existence était si fragile que maintenant elle s’effondrait lentement.
« J’ai tout enlevé. » (Brünnhilde)
Ma bouche lui rapporta cette information tout doucement, comme si s’agissait d’une obligation que je devais faire.
M’arrêtant désormais de bouger, j’étais actuellement debout. Mes mains étaient tendues derrière moi, et maintenant, rien ne couvrait encore mon corps.
J’étais entièrement vue...
« ... » (Raika)
Raika Shinzen, qui avait placé ses deux coudes sur le bureau avec son menton soutenu par une main, me regardait en silence.
Ses yeux avaient l’air froids, ils pouvaient même être comparables à ceux des insectes.
Dans ma direction, il jeta un regard de dédain qui me fit mal, mais si l’on m’avait demandé de choisir entre ça ou un sourire, je n’aurais jamais pu me décider
Quoi qu’il en soit, le moi en ce moment était tout simplement pathétique.
Mes propres intentions étaient complètement ignorées.
J’étais traitée comme valant moins qu’un insecte.
Le sommet de mes seins avait fleuri, affichant la couleur d’une pêche, et mon jardin épanoui était aussi observé par cette personne méchante.
Ceci ne pourra jamais être pardonné, car j’étais moi-même une femme-chevalier qui m’était épanouie sur le champ de bataille.
« Haa ... haa ... » (Brünnhilde)
Mon souffle devint de plus en plus difficile à cause de la honte et de l’humiliation.
En pensant qu’il n’y avait rien que je puisse faire face à ça, mes jambes tremblèrent d’impuissance.
Mon corps semblait brûler à cause du bouleversement émotionnel. Ma peau blanche semblable à de la neige brillante était maintenant entachée par une tache de couleur de pêche.
De la sueur commençait à se former sur ma peau jusqu’à ce qu’elle devienne des gouttes, puis ces gouttes traversèrent la vallée de mes seins et ainsi que celles de mes cuisses.
C’était tellement gênant que j’avais envie de mourir.
Mais, ce n’était pas encore la fin.
Mes pieds approchèrent tranquillement de mon ennemi.
Je devais m’exposer entièrement, dans les moindres détails.
Après m’être arrêtée devant Raika Shinzen, ma poitrine se mit à trembler avec force.
Mon ennemi ne bougea même pas un sourcil, mais il continuait à regarder les protubérances roses qui étaient maintenant dressées.
Ne me regarde pas ainsi... tsk.
Mon corps, qui était entièrement dominé par lui, se déplaça par lui même, en totale contradiction avec mes pensées.
J’ai pris mes cheveux dans mes mains et lentement, je les avais alors répartis des deux côtés de mes épaules.
Ensuite, comme si je devais rendre saillantes mes fesses, j’avais plié mon corps au niveau de la taille.
« ... sk ! » (Brünnhilde)
Consciente que mon corps était complètement exposé, ma température corporelle augmenta à cause de la honte.
Tout mon corps était bouillant.
C’était brûlant parce que même mon jardin secret était pleinement exposé à lui.
Ah... ce n’est pas bon...
Utilisant le restant de ma fierté, je ne laisserai jamais couler cette dernière larme qui la représentait.
J’avais fermé avec forces mes paupières.
En même temps que je faisais ça, mes deux mains se placèrent à gauche et à droite de mon jardin secret, prouvant que je n’avais plus rien à cacher.
« S’il vous plaît, contemplez cette belle vue. » (Brünnhilde)
Maintenant, seule ma bouche pouvait doucement se déplacer.
J’avais été totalement... exposée, il m’avait entièrement vue.
Mes pensées devinrent entravées.
Tout en mordant le goût de la défaite écrasante, une voix impliquant de me tuer fit écho dans ma gorge.