Ecstas Online – Tome 2 – Chapitre Extra

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Discussion entre filles, pays elfique〜 Source chaude d’Arzheim〜

Alors que la guilde 2A attendait d’avoir une rencontre avec la Reine d’Arzheim, dans le pays elfique dans lequel ils étaient arrivés, un elfe accompagnateur était venu voir la classe 2A qui louait une auberge près du château de Weisskrone. Il leur avait été recommandé de se purifier avant de rencontrer la Reine.

« Uwaaa ♪ . Voici donc les salles de bain du pays elfique, » Asagiri avait laissé sortir une voix qui semblait indiquer qu’elle était heureuse.

Elle tenait une serviette à la main et regardait l’immense salle de bain. Asagiri, qui était complètement nue, était de bonne humeur, telle une enfant.

« C’est très beau comparé à la salle de bain du Hall de Guilde. »

Shizukuishi, qui avait couvert ses parties intimes avec une serviette, était arrivée derrière Asagiri.

« Nous n’avons pu utiliser que la salle de douche du bateau pendant un moment. Les salles de bain larges me rendent heureuse. »

C’était une salle de bain spacieuse et splendide qui leur donnait l’impression d’être un lieu sacré. Le sol, les murs et la baignoire étaient tous faits d’une pierre blanche semblable à du marbre. Il y avait une sculpture bien dessinée d’où s’échappait de l’eau chaude. Il n’y avait pas de plafond, et lorsqu’elles levaient les yeux, elles pouvaient voir un ciel parfait.

« Il y a beaucoup de baignoires, tu ne crois pas… ? Ah, il y a un jacuzzi. On se retrouve plus tard ? »

« … Bien sûr. »

Asagiri avait mis ses pieds dans le bain, choisissant la plus grande baignoire parmi les nombreux bains qui s’y trouvaient.

« Aah, ça fait du bien… »

Elle s’était assise comme elle le faisait toujours et s’était immergée dans l’eau chaude jusqu’aux épaules.

« Haa ~ c’est le paradis, le paradis en effet ♡. »

« Qu’est-ce que c’est que ça ? On aurait dit une vieille dame. »

Elle se sentait si bien qu’elle ne se soucia pas de la réplique de Shizukuishi. Asagiri avait souri avec gentillesse et elle avait fait signe à Shizukuishi.

« Allez, dépêche-toi, Nonnon. »

« Arrête de m’appeler comme ça. »

« Hein ? Mais c’est mignon. »

Shizukuishi avait enjambé le bord de la baignoire tout en cachant ses parties intimes avec une serviette.

« … Shizukuishi-san, tu entres dans le bain chaud avec une serviette enroulée autour d’elle ? »

Shizukuishi trembla comme si un point sensible avait été touché par la remarque d’Asagiri.

« Quand je suis devant ton corps explosif, Asagiri-san, j’ai honte, peu importe comment je le regarde. »

« Ex-Explosif… ? Ce n’est pas vrai du tout ? »

« Tu dis ça si impudemment avec des seins et des fesses si dodues et riches. »

« Eeeh ? Cette façon de le dire, c’est comme si je devenais un peu grosse… ? Ah, pas du tout, c’est ce que ça veut dire !? »

Shizukuishi en avait assez d’Asagiri qui lui pinçait le ventre.

« Bien, bon sang. »

Shizukuishi avait laissé tomber la serviette qui cachait sa poitrine comme si elle avait renoncé. En dessous, bien que cela ne soit pas au même degré qu’Asagiri, des seins splendidement mûrs et une taille fine comme si elle était étroitement serrée étaient là. Un corps délicat et mince émergeait, avec des jambes fines s’étendant à partir des petites fesses. Seul l’entrejambe était à peine recouvert d’une serviette.

« Uwaa… tu es belle, Nonnon. Tu es incroyablement svelte… c’est bien, » déclara Asagiri, mêlée à un soupir et avec un visage à l’air enchanté.

Cependant, en revanche, Shizukuishi avait marmonné, apparemment ennuyé. « Qu’est-ce que c’est ? Le sang-froid d’une personne qui a des seins. Est-ce que tout se résume à ça ? »

« Eh bien. Je le pense vraiment. Tu es si mince, tu ressembles à un mannequin. »

Shizukuishi avait inconsciemment vacillé devant les paroles franches d’Asagiri.

« Je suis trop petite, donc c’est impossible pour moi d’être mannequin, » répondit Shizukuishi.

« Mais ta peau est magnifique. Elle est aussi blanche que la neige. La forme de tes seins est bonne, et je pense que ces dimensions sont les meilleures, » répondit Asagiri.

Ne pouvant supporter la façon dont les parties de son corps avaient été estimées une par une, Shizukuishi avait caché son corps dans la baignoire comme si elle tombait à pic.

Et elle avait froncé les sourcils, fixant Asagiri.

« Qu-Quoi ? Ne me fixe pas autant ! »

Immergée dans l’eau chaude, elle avait avancé et avait amené son visage juste en face d’Asagiri.

« Shi... Shizukuishi-san ? »

Le visage de Shizukuishi était positionné à 30 centimètres devant elle. Mais alors que la chose mystérieuse s’approchait, les rides de ses sourcils avaient disparu.

« Asagiri-san, lève-toi un peu. »

« Eh ? D’accord. »

En se levant, faisant ruisseler l’eau chaude, le corps d’Asagiri était apparu comme s’il était né dans la baignoire. L’eau chaude coulait sur sa peau sans taches. Il ne restait que des gouttes sur sa peau immaculée et jeune, comme si l’on faisait couler de l’eau chaude.

« Eh, attends, No-Nonnon ? »

Après que Shizukuishi se soit levée, elle avait regardé le corps d’Asagiri pour le tracer et l’inspecter tout en maintenant une distance très proche. Elle avait suivi la clavicule, qui dessinait une belle dépression, puis ses yeux étaient allés plus bas. Elle avait involontairement dégluti devant les grandes masses de graisse qui se trouvaient en dessous.

« … Tellement énorme. »

« Bon sang, c’est assez, c’est embarrassant. »

Sans pouvoir le supporter, Asagiri avait caché ses seins avec ses bras. Cependant, Shizukuishi avait continué à la regarder comme elle le faisait avant. En contraste avec les gros seins, la taille était fine et tonique. Même le creux du nombril sculpté là était beau.

« Même le trou du nombril est beau, que diable… ? »

« Je ne comprends pas ce que tu fais, Nonnon ! »

En descendant de la taille fine, un bas du dos et des fesses énormes et surplombants l’attendaient.

« Le type pour les accouchements faciles, hein. »

« Pourquoi t’intéresses-tu à mon gros cul ? »

« Avec ces beaux seins et cette taille, tu peux donner naissance à des enfants à tout moment. »

« Ce sont… les mots d’un futur encore très, très lointain. »

« Peut-être. »

Satisfaite, Shizukuishi s’était immédiatement immergée dans l’eau chaude jusqu’aux épaules et avait rapidement pris de la distance avec Asagiri.

« Avec ce corps, il n’est pas étonnant que les garçons de notre classe et les hommes de passage te regardent avec des yeux emplis de désir sexuel. Au contraire, je ne peux m’empêcher de ressentir de la sympathie pour ceux qui sont en ébullition, réprimant désespérément leur désir charnel. »

Après qu’Asagiri se soit immergée dans l’eau chaude, elle avait froncé un peu les sourcils.

« Ne dis pas de choses bizarres. N’est-ce pas impoli pour tout le monde ? »

*Haa*, Shizukuishi avait soupiré.

« De plus, même ton caractère est sympathique et populaire. »

Sur ce, elles avaient arrêté de parler et elles avaient apprécié la détente de leurs corps dans l’eau chaude. Et elles avaient levé les yeux au ciel, se régalant du magnifique ciel étoilé.

« … Maintenant que j’y pense, Asagiri-san. Tu es sortie avec Doumeguri-kun il n’y a pas longtemps, n’est-ce pas ? »

« Hmm ? Oui. Je voulais qu’il me donne un conseil sur quelque chose. »

« Asagiri-san, recevant des conseils de la part de Doumeguri-kun, le plus bas placé dans la hiérarchie ? Pourquoi ? »

Avec un sourire amer, Asagiri avait secoué la tête.

« Ce n’est pas comme si le haut et le bas avaient quelque chose à voir avec ça. Mais je… »

Puis elle avait fait une grimace comme si elle avait soudainement remarqué quelque chose et avait hésité.

« … Est-ce donc ainsi ? Eh bien, ne t’inquiète pas, Nonnon. »

Shizukuishi avait plissé les sourcils avec un visage apparemment suspicieux.

« Hein ? »

« Je ne vais pas me mettre en travers de ton chemin, Nonnon. »

L’expression du visage de Shizukuishi était devenue de plus en plus désagréable.

« Je ne sais pas ce que tu imagines, je ne veux pas le savoir, mais tu as tort. »

Asagiri avait incliné sa tête sur le côté.

« Mais tu es inquiète, non ? Parce que tu me demandes quelque chose comme ça. »

« Il y a quelque chose chez ce type… qui me dérange un peu. »

« Hé, tu vois ? »

Asagiri avait souri, l’air heureux. C’était un sourire comme si elle se réjouissait du bonheur des autres, un sourire clair et pur.

En regardant son visage, Shizukuishi n’avait plus eu envie de parler du sujet plus longuement que ça.

« Rassure-toi. Je suis ton alliée, Nonnon ! »

« … Et toi, Asagiri-san ? »

« Hein ? »

Asagiri avait eu ses yeux qui se comportaient de manière étrange en raison de la tournure soudainement venue.

« Ne sors-tu pas avec Ichinomiya-kun ? Jusqu’où es-tu allé maintenant ? Je serais heureuse si tu me laissais entendre cela afin que je puisse l’utiliser comme référence. »

« Eh bien… Je me pose la question. »

Une légère ombre avait été projetée sur le sourire d’Asagiri.

« Ce n’est pas comme si l’un de nous avait avoué. »

« Hein ? Alors, mais… oh bien. C’est comme un mariage de facto, tu sais ? »

« Eeeh ? Qu’est-ce que c’est que ça ? »

Asagiri avait ri, apparemment amusée par l’analogie de Shizukuishi. Mais lorsque les rires cessèrent, Asagiri, qui souriait, l’air un peu triste regarda l’eau chaude devant elle.

« … Je veux dire. En fait, où pointe le cœur d’Akira-kun ? Je ne sais vraiment pas. »

Shizukuishi s’était inquiétée un moment en cherchant ses mots.

« … Un homme étonnant, hein. Il se moque d’une bonne femme comme toi, Asagiri-san. Si j’en ai l’occasion, je le tuerai par-derrière pendant une quête. »

Asagiri avait lâché un rire et elle avait fixé Shizukuishi. Ce regard était quelque peu triste et gentil.

« Mais puisque c’est un malentendu, Asagiri-san aussi ─ a-attends !? »

Asagiri s’était approchée de Shizukuishi, touchant l’épaule de l’autre et enserrant ses deux bras autour de son cou. Les gros seins d’Asagiri étaient pressés contre ceux de Shizukuishi, et les seins de l’une et l’autre changeaient de forme comme si elles cherchaient un endroit où aller.

« Asagiri-san ? C- Ce passe-temps est ─. »

« Nonnon est une bonne fille, n’est-ce pas… ? »

« Asagiri-san… »

Elle ne pouvait pas voir le visage d’Asagiri. Mais les bras autour de son cou donnaient l’impression qu’ils cherchaient à l’aider plutôt qu’à la féliciter. Elle avait le sentiment que si elle se libérait de ces bras, elle finirait par briser quelque chose de très important.

« … Asagiri-san. Ne me dis pas que tu as l’intention de dire qu’Ichinomiya-kun et Doumeguri-kun sont “suspects” ? » demanda-t-elle.

Comme cela avait été annoncé si soudainement, Asagiri avait relevé son visage de surprise.

« Qu’est-ce que tu sors, Nonnon ? Ha, ahhahahahahahahaha, s-stop, c’est trop drôle ! Hahahahahahaha. »

« C’est vrai. Mais qui est le dominant et qui est le soumis ? »

Les rires heureux des deux femmes s’étaient mêlés dans la vapeur et ils avaient été aspirés dans le ciel nocturne.

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Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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