Noire de Plaisir – Tome 1
Table des matières
- Prologue
- Chapitre 1 : Un Corps Hypersensible
- Chapitre 2 : Le Château Royal du Chaos
- Chapitre 3 : La Princesse Vampire de la Noirceur
- Chapitre 4 : La Proposition de Formations
- Chapitre 5 : L’Hors d’Œuvre
- Chapitre 6 : Un Clitoris Tout Tremblant
- Chapitre 7 : Chevaucher
- Chapitre 8 : La Chrysanthème
- Chapitre 9 : Expérience anale
- Chapitre 10 : Repos
- Chapitre 11 : Princesse Vampire Rouge
- Chapitre 12 : Confrontation
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Prologue
« ... nn... ..? » (Eiji)
Minuit.
Eiji ouvrit les yeux alors que son corps tout endormi ressentait un poids qui venait soudainement d’arriver sur lui. En sentant cela, il tenta de se relever, mais s’arrêta net quand il aperçut la chose qui était assise sur son abdomen.
« Qu’est-ce qui se passe là ? » (Eiji)
Eiji, réfléchissant à la situation, plissa les yeux tout en tournant son cou pour mieux voir la scène qui se déroulait devant lui. Il y voyait une jeune fille aux cheveux noirs qui était assise sur lui, vêtue d’une robe noire gothique.
« ... mmm ? » (Eiji)
Eiji cligna des yeux, pensant que la scène totalement imprévisible visible devant lui était juste un rêve ou une illusion. Cependant, peu importe combien de fois il essaya, la silhouette de la jeune fille resta présente. Elle était toujours là, assise sur son abdomen à le regarder fixement.
La légère chaleur de son corps pouvait être ressentie à travers le drap, confirmant par la même qu’elle était bien réelle. C’était une fille qui possédait une beauté sans pareille. Sa beauté avait largement dépassé même celle de ces idoles qu’on voyait ici et là. Non, oser faire la comparaison serait ridicule.
Ses cheveux noirs et lustrés se rependaient jusqu’à sa taille, lui donnant un style très différent d’une Japonaise. Ses traits étaient semblables à ceux d’une Occidentale, avec un milieu de son visage, des yeux rouges, un nez céleste [1] et sa petite bouche très mignonne. S’il n’avait pas ressenti la chaleur de son corps, il n’aurait pas été étrange pour lui de la confondre avec une poupée fabriquée par un artisan fabriquant de poupées en porcelaine de très haut de gamme.
À en juger par son apparence, elle semblait avoir environ 15 ans.
L’expression sur son visage pourrait être largement appelée "séduisante", en considérant son apparence et son âge. Bien qu’elle soit plus appropriée de la décrire comme une "beauté envoûtante" en raison de l’aura émanant d’elle, amplifiée par l’illumination due à la lumière de la lune.
« Qu-Qui est cette personne !? » (Eiji)
Comme Eiji n’avait aucun souvenir de connaître une si belle fille, il s’agissait donc de leur première rencontre. Car il était certain que des caractéristiques comme elle avait, auraient certainement laissé un profond souvenir dans sa mémoire.
Il ne pouvait pas non plus se rappeler d’avoir amené dans sa chambre, une telle fille ou même une quelconque fille.
Peut-être l’avait-il vraiment fait, alors qu’il était dans un état d’ivresse avancé... Ses pensées se tournèrent dans cette direction, bien qu’il ne se souvient nullement d’avoir bu la nuit dernière. Au moment où il s’était endormi, il était sûr qu’il n’y avait personne d’autre dans la pièce à part lui-même. Ce fait pouvait facilement être confirmé.
Ce qui voulait dire qu’il était certain qu’elle était une personne suspecte qui s’était introduite sans sa permission, dans sa chambre alors qu’il dormait.
« Oh, êtes-vous réveillé !? » (jeune fille)
Réalisant qu’Eiji venait de se réveiller, la jeune fille haussa la voix en clignotant de ses yeux rouges, un peu surprise.
Elle avait une voix très claire. Même si elle avait parlé à haute voix, elle pouvait être entendue très distinctement comme si elle avait directement chuchoté près de son oreille. Si elle devenait une actrice, elle deviendrait sans aucun doute une star. Si elle devenait une chanteuse, un million de disques vendus seraient largement garantis... C’était une voix si adorable qui faisait automatiquement ressentir ce genre de conviction au plus profonde de votre être.
Quand Eiji entendit cette voix, il sentit son dos frémir.
« Bien, ceci n’a cependant guère d’importance. Après tout, cela ne changera pas ce qui va se produire. » (jeune fille)
Tout en parlant, elle retira le drap couvrant le corps d’Eiji. Puis elle le jeta dans un des coins du lit avant de commencer à détacher les trois boutons du pyjama que portait Eiji.
Après avoir fini cela, elle écarta le col du pyjama pour exposer la nuque d’Eiji.
Ces doigts minces tracèrent alors un chemin, tout le long de l’abdomen d’Eiji, donnant en ce lieu, un sentiment de chatouillement. C’était fort agréable, faisant doucement trembler tout son corps.
Le cœur d’Eiji battait furieusement la chamade, dans l’attente d’une suite, alors que ces actions abruptes qui semblaient être le prologue d’une relation amoureuse continuaient à le déconcerter.
« Q-Que faites... » (Eiji)
« Haha. Votre sang, je vais vous le prendre. » (jeune fille)
« Hein ? » (Eiji)
Tout en cachant son excitation profondément à l’intérieur de son cœur, Eiji lui demanda cela, mais la fille ignora ses paroles et annonçait à la place, ses désirs. En entendant une réponse différente de ses attentes, une expression de stupeur s’afficha sur son visage.
Des canines anormalement développées brillèrent alors qu’elle murmurait cela. Non, il serait plus approprié de les appeler des "crocs". Possédant une finesse impossible pour des humains, ceux-ci ne peuvent être liés qu’aux armes que les carnivores, tels les loups, utilisaient à l’encontre de leurs proies.
Bien qu’il imagine déjà une scène où ces crochets acérés rentreraient dans sa peau, mais il savait déjà que la fille ne ferait jamais cela.
Prendre son sang, il s’agissait simplement de mots. S’ils avaient été vrais, on pouvait alors, supposer que ces crocs étaient censés aspirer le sang après avoir percé dans les veines se trouvant sous sa peau.
C’était comme ce que faisaient les...
... Vampires ?
Alors que le nom de l’existence qui n’existait que dans le folklore ou dans les romans fantastiques lui venait à l’esprit, la fille qui chevauchait toujours son abdomen posa ses lèvres sur la nuque d’Eiji.
Au fur et à mesure que leurs corps entrèrent en contact, Eiji sentit une douceur se répandre sur le devant de son corps. En inspirant l’odeur parfumée qui provenait directement du corps de la jeune fille, il ne put empêcher son excitation d’augmenter d’une manière vertigineuse, bien qu’il se trouve dans une telle situation.
Cependant, à l’instant suivant, une douleur aiguë traversa sa nuque. En essayant de regarder dans cette direction, il ne pouvait que voir des cheveux d’un noir brillant. Il n’était plus possible pour lui de voir la partie de son corps où il ressentait de la douleur.
Est-ce que je vais... être tué comme ça après que tout mon sang aura été aspiré ?
Pour une raison inconnue, le fait que son sang qui circulait encore dans son corps soit progressivement aspiré, lui apportait un très grand plaisir. C’est pourquoi Eiji s’était résolu à mourir, tout en perdant connaissance...
Notes
- 1 Forme particulière de nez.
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Chapitre 01 : Un Corps Hypersensible
« ―――― qu’est-ce qui se passe... ? » (Eiji)
Eiji s’attendait à voir l’expression d’ivresse d’une fille en train de se déchaîner, ses crocs plantés dans sa nuque, mais au lieu de cela, il fut accueilli par la silhouette molle et impuissante d’une jeune fille se trouvant couchée sur lui. En même temps, il ressentit une sensation très chaleureuse qui se propageait dans son abdomen, justement là, où la jeune fille était en train de le chevaucher.
« ... Hein ? » (Eiji)
Eiji qui ne pouvait alors que marmonner ne pouvait pas croire à une si abrupte évolution de la situation
Cependant, il n’eut aucune réponse à son interrogation.
La jeune fille semblait être dans un état où elle était à peine consciente. Son corps se tordant et se convulsant, elle était totalement incapable de parler. Pour le moment, il décida donc de soulever cette frêle jeune fille et de délicatement, la placer à côté de lui.
En regardant la situation du point de vue d’Eiji, bien qu’elle fut sans aucun doute, une personne suspecte qui l’avait soudainement attaqué, il ne pouvait pas s’attaquer à une telle personne d’une manière si brutale.
Naturellement, le fait qu’elle était une beauté incomparable était l’une des raisons.
« Bien... » (Eiji)
Eiji put enfin se lever après avoir déplacé la fille. Il s’assit alors à côté d’elle, comme s’il était au chevet d’une malade. Une expression troublée était bien visible sur son visage alors qu’il se tournait vers elle. La fille était couchée, le dos contre le lit, et son corps sans défense était pleinement exposé. Ses membres semblaient être totalement dépourvus de force, incapables de pouvoir faire, par eux-mêmes, le moindre mouvement.
Le bas de la robe avait été relevé par mégarde, lors du déplacement, exposant ainsi la partie inférieure du corps de la jeune fille.
Eiji déglutit instinctivement quand son regard se posa sur ces cuisses d’une telle blancheur, apparaissant presque comme translucide.
Et puis, à leurs jonctions, se trouvait une culotte indécente de dentelles noires, complètement trempée et dégoulinante.
Eiji en eut des vertiges alors qu’il fut assailli par l’odeur intense de ces divers liquides corporels, involontairement mélangée avec de l’urine.
Au moment de leur rencontre, elle exsudait une atmosphère fascinante et emplie de charmes, mais actuellement...
Son apparence était si déraisonnable, qu’elle la transcendait totalement, agissant à un point inimaginable, directement sur l’excitation sexuelle des hommes, tel un aphrodisiaque tellement puissant que nul ne pouvait y résister. Eiji tendit sa main chancelante vers ce corps sans défense, comme s’il était devenu une marionnette sans âme contrôlée par un autre.
† † †
Le corps de toute beauté de la jeune fille, qui se tenait là, en parfait contraste avec l’obscurité régnant dans la pièce et la lumière du clair de lune qui brillait par la fenêtre, semblait vraiment irrésistible aux yeux d’Eiji. Eiji fut submergé par les superbes courbes nues qu’il pouvait admirer, alors qu’il était en train de retirer la robe gothique noire ainsi que les sous-vêtements, eux aussi noirs, se cachant juste en dessous.
Ses modestes seins formaient une douce courbe tandis que leurs protubérances centrales étaient dressées fièrement, haussant leurs pics, comme si elles voulaient souligner leurs présences.
Le léger duvet se trouvant dans la zone du mont de Vénus, au-delà de son svelte abdomen, ne pouvait pas dissimuler sa vulve.
Et maintenant, à l’emplacement le plus important, au cœur de ses fines jambes, dans sa région honteuse qu’était la fente de sa vulve, un flot continu de nectar jaillissait en permanence de là.
Eiji eut l’impression que son pénis se durcissait instantanément, alors qu’il regardait l’état tellement indécent dans lequel se trouvait cette vulve enfantine.
Si elle n’avait pas ainsi dévoilé son corps nu, peut-être n’aurait-il jamais osé mettre la main sur elle, mais à l’heure actuelle, il était totalement submergé par cette divine floraison.
Cependant, ces protubérances arrogantes ainsi que le suintement de ce nectar qui sortait en filet, poussèrent Eiji à franchir la ligne finale qui avant cela, agissait telle une barrière.
Ceci aurait été une honte pour un homme de ne pas manger ce fruit qui lui était ainsi offert. ― avec une telle pensée en tête, Eiji se pencha alors vers la fille. Bien qu’Eiji ne comprenait pas dans quel état était le corps de la fille, il lui était évident que ses sens étaient devenus hypersensibles.
En fait, ceci semblait si extrême, qu’elle ne pouvait même pas endurer la légère stimulation du bruissement de ses vêtements pendant qu’il la déshabillait. Ce qui l’avait forcée à de nombreuses reprises, à atteindre l’apogée de son plaisir. Peut-être qu’elle aurait même été éveillée à un tel plaisir par la moindre brise caressant son corps délicat. Face à une telle fille, dont les tétons orgueilleux et appétissants semblaient lui dire : "S’il te plaît, n’hésite pas à nous pincer ~", et ayant remarqué cela, Eiji utilisa ses doigts pour les pincer délicatement.
« Nhaaaaaaaaaaaaaa ――――!? » (jeune fille)
Elle eut immédiatement un orgasme à ce doux contact.
Un violent déluge jaillit alors d’un coup, provenant de son entrejambe.
Eiji regardait sans afficher d’expression la scène d’une jeune fille en pleine montée de plaisir alors qu’elle faisait arc-bouter sa taille vers des sommets jamais atteints jusque là. Cependant, en voyant cela, un sourire apparut alors sur le visage d’Eiji alors qu’il pressait plus fortement sur ces mignonnes protubérances coincées entre les doigts de ses deux mains.
Les pouces et les doigts du milieu pinçaient ces tétons presque comme s’ils se touchaient.
« Hn ?? Aahhhh, Ahyaaaa !? » (jeune fille)
La fille, qui n’avait toujours pas terminé son apogée précédent, avait encore une fois, perdu tout contrôle d’elle-même, puisqu’elle avait encore une fois eu un orgasme sous les assauts assidus des doigts du jeune homme. Le fait qu’il n’y avait aucune résistance face à ce plaisir était absolument ridicule.
« St-sto ... » (jeune fille)
La jeune fille supplia avec une voix bégayante pour un peu de miséricorde, mais cette demande eut un effet opposé. Eiji se sentait de plus en plus excité par cette frêle apparence enfantine.
Il déplaça alors seulement sa main droite pour empoigner entièrement le sein gauche et ainsi pouvoir jouer avec lui, tandis que sa main gauche resta pour continuer à persécuter la protubérance reposant fièrement sur le dessus du sein droit.
« Arrr... c’est déraisonnable... Aaaahhhh, ça recommence à nouveau ! » (jeune fille)
Bien que la jeune fille avait supplié pour un peu de répit, elle recommença intensément à jouir à mesure que le mamelon de son sein modeste fut pétri.
Inspiré par ses émotions malicieuses quand il vit cette belle apparence impudique, Eiji se rapprocha alors pour effectuer une douce tétée sur l’un des mamelons.
« ―――――――― ~~~~~ !? » (jeune fille)
L’effet fut formidable.
La jeune fille fut agressée par un plaisir si intense qu’elle ne pouvait même plus prononcer le moindre mot. Son corps convulsa, se courbant à un tel point qu’il ressemblait presque à la forme d’un pont.
Ce qui jaillit alors de sa région inférieure n’était plus un simple filet, mais plutôt toute l’urine restante de sa vessie qui sortit en un flot continu.
Le lit d’Eiji était déjà totalement trempé par les divers fluides corporels de la jeune fille. Et la personne elle-même n’était pas quelqu’un qui serait dérangé par une chose aussi triviale.
Peu de temps après, la jeune fille s’affala sur le dessus du lit détrempé, respirant bruyamment, tout en essayant de prendre de profondes respirations.
Cette succession d’orgasmes intensifs l’amena finalement à retomber sur ses hanches, la laissait totalement épuisée.
« ... Haahh, Haahh » (jeune fille)
Tout en observant l’effondrement de la jeune fille, Eiji déplaça son attention du haut du corps de la jeune fille, vers des régions bien plus basses.
Comme si ses doigts marchaient sur le dessus de ce corps, ils caressèrent doucement chacune des zones qu’ils rencontraient. Pour commencer, le long des seins, puis après lentement vers le ventre, le nombril, et pour finir, vers le mont de Vénus. Même le doux et léger contact d’une telle caresse raviva encore plus le plaisir de la fille, comme elle était tombée dans un tel état d’excitation sexuelle. Même maintenant, simplement toucher ses zones habituellement non érogènes faisait trembler de plaisir tout son corps.
Enfin, il était temps de tourmenter son emplacement le plus crucial. Alors qu’il semblait en premier abord, éviter les régions les plus sensibles du corps de la jeune fille, les doigts d’Eiji passèrent brusquement à côté de sa vulve, caressant alors doucement l’intérieur des cuisses.
« Hein ? Hhmmm ! » (jeune fille)
La fille laissa échapper, de sa bouche grande ouverte, une voix émerveillée en réponse au doux plaisir qu’elle ressentait de ce mouvement inattendu.
Et en même temps, son corps qui était devenu figé dans l’attente de la stimulation que sa vulve était sur le point de recevoir commença alors à lentement perdre ses forces.
― – Et à cet instant, Eiji caressa avec son doigt, la vulve de ce corps sans défense, de haut en bas et inversement.
« Hyaaaaaaaaa !? » (jeune fille)
La jeune fille avait baissé sa garde avant cela, alors, lorsque ce stimulus soudain frappa son entrejambes, ceci l’obligea à gémir sans limite et d’une manière vraiment extravagante. Eiji, qui regardait ses mignonnes réactions, sourit légèrement alors qu’il caressait la vulve de la jeune fille, faisant glisser sa main vers le haut puis vers le bas tout en maintenant avec ses doigts, un contact continue.
« Hnn, Nmn, Sssss. Aaaaahhhhhhhhhhhh! » (jeune fille)
Son corps excessivement sensible, ravagé par les orgasmes, continua encore à ressentir un orgasme à chaque fois que les doigts du garçon caressaient le tracé de sa vulve, l’obligeant ainsi à lâcher des gémissements de plaisirs.
La fente de sa vulve enfantine commença alors à s’épanouir sous ces caresses constantes, exposant finalement la chair rose de sa partie intérieure, dégoulinant d’une humidité constante. Cependant, il garda cette partie pour plus tard et tendit la main vers un autre endroit proche. C’était un petit pois de chair au sommet de la vulve. Avec ses doigts, Eiji écarta le prépuce, exposant ainsi le bijou qui s’y trouvait dissimulé.
« C-Ce n’est pas possible... Stooo ! Ce-cet endroit est... » (jeune fille)
La jeune fille avait ainsi joui une fois de plus à la seule sensation de ces doigts en contact avec cette zone extrêmement sensible. Elle trembla alors, dans l’attente de la suite, imaginant déjà ce que serait la prochaine attaque dont son corps allait souffrir.
Cette sensibilité était tel qu’elle avait donc bel et bien eu son apogée quelques instants après, lorsque la protubérance à l’entrée de sa vulve fut mise au contact avec l’air. Elle tremblait d’une certaine peur, mais elle avait aussi une grande attente au plus profond d’elle, en s’imaginant tous les intenses plaisirs qu’elle ressentirait si cet endroit était directement touché.
Encore une fois, elle essaya quand même de plaider pour être libéré, pour la nième fois, mais il n’y avait maintenant, même plus de son qui sortait de sa bouche. Elle reçut alors un cadeau sur sa personne, sous la forme d’un baiser appliqué directement sur sa partie la plus sensible de son être.
« ―――――――― ! » (jeune fille)
Avec son clitoris, presque aussi chatouilleux que ses mamelons, qui était ainsi simulé, cela continua à lui faire perdre sa voix, alors qu’elle atteignait son apogée encore et encore.
« ~~~~~~~~ っ! » (jeune fille)
C’était un orgasme directement causé par la sensation des lèvres d’Eiji touchant son clitoris. Puis un second suivit rapidement alors qu’il le toucha avec la langue. Un troisième orgasme arriva quelques secondes après, au moment où la langue du jeune homme piégea le clitoris dans ses remplis. Et pour achever le tout, une nouvelle montée fulgurante arriva alors qu’il suçait passionnément le petit pois au centre de la zone.
En subissant ces stimulus qui l’amenaient, à chaque fois, à avoir un nouvel orgasme, avant même que le précédent ne soit terminé, la jeune fille remonta dans les cieux, devenant ainsi incapable de descendre, ne serait-ce que d’un peu des montagnes de plaisirs qui l’assaillaient.
Et la plus stimulante de toutes ces actions était sans aucun doute l’aspiration que subissait son clitoris. Étant déjà à un niveau de stimulation qui l’empêchait de résister au moindre contact, cette nouvelle action l’empêchait encore plus de reprendre le contrôle d’elle-même. C’était devenu au-delà de l’inimaginable. Presque comme si son âme était en train de quitter son corps.
Par réflexe, essayant de lever sa taille comme pour fuir cet intense plaisir, elle réalisa qu’elle en était incapable de le faire à cause de la présence de deux mains posées sur ses fesses. Mais en plus, ceci eut un effet contraire à ses attentes, car l’action de lever sa taille elle-même servit de stimulant supplémentaire au suçage de son clitoris, ce qui lui provoqua un orgasme supplémentaire. Ceci l’avait donc ainsi rendue encore plus excitée. Alors même qu’elle avait acquis la compréhension de ce fait, elle ne pouvait pas arrêter les mouvements involontaires de sa taille, agissant par pur réflexe, la forçant ainsi à endurer les orgasmes successifs qu’Eiji lui infligeait. Et cela dura jusqu’à ce qu’il soit satisfait de cela et qu’il décida de passer à la suite.
Eiji sépara alors sa bouche de cette protubérance si captivante, se sentant rassasié de cette action. La jeune fille était déjà tombée dans un état de demi-conscience, sans doute quelque chose de proche de la mort. Ceci serait extrêmement pénible si cela arrivait.
Après tout, elle avait déjà eu, jusqu’à maintenant, un nombre incalculable d’orgasmes. Eiji n’avait même pas tenté de compter ce fait jusqu’à maintenant, et peut-être que même la personne devant ses yeux qui les avait eus aurait été incapable de répondre elle-même à cette question. Cependant, il était encore bien trop tôt pour annoncer la fin de ces plaisirs sexuels.
Si vous demandiez pourquoi. Et bien, c’était simplement parce qu’Eiji n’avait toujours pas éjaculé, ne serait-ce qu’une fois. Il n’y avait aucune chance que tout cela finisse ainsi. Eiji enleva donc son pyjama et son caleçon qu’il portait, révélant, à la lueur de la lune, son corps nu.
Une taille relativement grande ainsi qu’un corps forgé par l’exercice, c’était bien le genre de carrure dont les femmes raffolaient.
Cependant, l’objet le plus captivant qu’une femme n’aurait pas manqué de remarquer aurait sans aucun doute été son pénis monolithique jaillissant de son aine. Avec une taille dépassant largement la taille moyenne des Japonais, son érection révélait pleinement son étonnante dimension.
Du liquide pré-éjaculatoire coulait à sa pointe, trempant le gland qui attendait avec impatience de rentrer dans le corps d’une femme.
Eiji sépara alors les jambes de la jeune fille avec sa main gauche, soutenant son pénis avec l’autre. Elle n’offrit aucune résistance à tout cela, sûrement en raison d’être presque complètement paralysé à la suite de ses orgasmes successifs.
Au cœur de ses jambes écartées, sa vulve enfantine, encore totalement impudique et dégoulinant toujours, fut enfin visible.
Même dans son état de faiblesse, elle supplia avec ses yeux tournés vers le haut. Mais tout ceci n’agissait que comme du carburant aux flammes de son excitation.
« Je vais entrer. » (Eiji)
Ignorant la fille qui secouait légèrement la tête en signe de refus, il poussa la pointe de son sexe contre la vulve lubrique et mouillée. La jeune fille jouit au simple contact de ce gland, affichant en même temps, sur son visage, une expression de peur.
†††
Chapitre 02 : Le Château Royal du Chaos
« Aaaahhhhh ... » (jeune fille)
En appliquant une certaine force, Eiji força son gland dans l’orifice offert devant lui. Ce trou était petit, parfaitement adapté au physique de la jeune fille, mais il avait quand même très bien accueilli le pénis en raison d’être extrêmement lubrifié par l’humidité.
Le plaisir de son pénis, poussant dans cette douce chair, augmenta brusquement. Cette sensation agréable de serrage, comme s’il était dans un puit, et surtout l’excitation d’avoir des relations sexuelles avec une fille dont la beauté était sans égale, tout en semblant si immature, était vraiment divin. Tout cela avait presque fait qu’Eiji éjacule instantanément en elle, juste après son entrée.
« Uuuhhh ... » (Eiji)
Cependant, tout cela serait du gâchis s’il devait le faire si rapidement. Il voulait éjaculer au cours du zénith de son plaisir, pour ainsi savourer au maximum de ce corps si pur. Avec de telles pensées en tête, Eiji serra ses dents, résistant à la pression présente au plus profond de lui, évitant ainsi d’éjaculer. Soudain, il sentit que son gland frappait contre quelque chose de solide. Cette sensation de douce élasticité lui prouva qu’elle n’avait jamais connu d’homme avant lui, à l’intérieur de son corps.
Eiji se sentit un peu coupable alors qu’il se rendit compte de ce fait, mais il déplaça quand même tout son poids pour franchir cette ultime barrière, car actuellement, il éprouvait une excitation surréaliste d’ainsi pouvoir goûter à une jeune vierge si belle.
« Hnn ... guh ... » (jeune fille)
C’était une voix qui ne devait jamais être entendue. Tout en ressentant la sensation de la porte qui s’ouvrait lentement devant le passage de sa verge, Eiji poussa pour entrer plus en profondeurs.
Peu importe combien de préparation avait été faite pour la rendre humide, il était inévitable qu’elle éprouve de la douleur alors que son hymen était en train de se déchirer, ce qui fit, bien entendu, gémir la jeune fille.
Quelques larmes s’échappèrent brusquement de ses yeux.
« Khh ! Tout est enfin rentré ! » (Eiji)
Eiji avait réussi à franchir la barrière finale, poussant sa chose d’extraordinairement grande taille, au plus profond de la jeune fille. C’était une merveilleuse situation en considérant sa petite silhouette. Tout cela avait été confirmé par cette splendide élasticité qu’il ressentait en ce lieu. Cependant, il semblerait que c’était vraiment trop grand pour elle, car un léger renflement provoqué par quelque chose à l’intérieur d’elle pouvait être observé sur son ventre.
Eiji caressa ce ventre soyeux, sondant ainsi, au moyen de sa paume, l’objet étranger à ce corps.
« Uh... Aaahh ... » (jeune fille)
La jeune fille laissa sortir une voix d’agonie, tandis que le pénis semblait caresser étroitement ses parois vaginales, se dirigeant vers l’orifice de son utérus.
Cependant, Eiji pouvait clairement ressentir à travers la liaison entre leurs chairs maintenant profondément liées, le moindre mouvement que le corps de la fille avait. Il sentit les parois vaginales se contracter et avoir quelques spasmes alors qu’elle atteignait son orgasme encore une fois, son pénis frappant enfin les profondeurs jamais explorer de la fille.
Dans un cas ordinaire, il aurait été difficile pour une fille de connaître l’expérience du plaisir, juste après avoir perdu sa virginité. Cependant, après être tombée dans un état extrême d’excitation sexuelle totalement anormale, où elle ressentait la jouissance juste avec une caresse sur sa peau, la douleur d’avoir été défloré ne représentait plus qu’une sensation triviale.
Naturellement, elle avait ressenti la douleur, mais son corps accueillait parfaitement Eiji en elle, contrairement à ses souhaits.
Ses murs vaginaux se tortillaient, serrant ainsi énergiquement l’appendice se trouvant en son sein, prouvant parfaitement ce fait indéniable. C’était aussi obscène que ce qu’aurait pu faire une prostituée très expérimentée.
« Merde !? » (Eiji)
Étant submergé par la sensation d’être autant serrée par cette chair tendre et mouillée, Eiji avait presque accidentellement éjaculé en elle. Tout en restant dans cette position, son pénis enfoncé profondément dans les parties les plus intimes qui l’avaient accueilli, il commença à titiller la partie haute du corps de la jeune fille.
« Aaaaahhhhhhh, stoooooo! » (jeune fille)
Sa peau enneigée était devenue teintée de rose en raison du plaisir et de l’excitation. Eiji commença par embrasser la nuque de la jeune fille, puis descendit en spirale jusqu’à arriver sur un des petits seins pour finalement achever son parcours en suçant le téton érigé au centre.
La fille gémissait coquettement chaque fois que son état d’hypersensibilité la propulsait à ressentir de nouveaux orgasmes en réponse à ces douces caresses.
Son vagin rempli à craquer par le pénis d’Eiji continuait à faire jaillir du nectar, tout en se contractant en parfaite harmonie avec ses orgasmes.
« Ugh, crap! » (jeune fille)
En conclusion, ce plan fut un échec. Le fait de caresse ainsi le haut du corps, conçu au départ comme une distraction, lui était retourné rétroactivement sous la forme d’un massage effectué par le vagin de la jeune fille sur sa verge. Son endurance commençait de plus en plus à se fissurer, provoquer par l’accueil sans égal et merveilleux qui lui était fait par le corps de la jeune fille et il semblerait que de tenir beaucoup plus longtemps lui serait bientôt impossible. Alors, Eiji abandonna son plan de tenir le plus longtemps possible et décida de s’amuser de manière satisfaisante jusqu’au moment où cette destination finale tant désirée est atteinte.
« Kuuuuaaaaahhhh ... » (Eiji)
En mettant ses mains sur la taille de la jeune fille, il sortit entièrement son pénis enterré dans la fille, avec toutes ses forces. Elle gémit inconsciemment due à la sensation de sentir que tout ce qui était dans son corps se retirait d’un coup.
Quelques centimètres avant la fin, il s’arrêta pour ainsi garder son gland à l’intérieur d’elle, puis, soudainement, Eiji pénétra de nouveau, profondément en elle.
« Aaagyagaaaaa !? » (jeune fille)
Elle eut un orgasme instantanément, poussant un court cri à la suite de l’intense poussée s’enfonçant entre ses murs vaginaux tandis que le pénis s’acheminait rapidement jusqu’à son utérus.
Il ignora ceci et sortit à nouveau son pénis avant de l’enfoncer lentement en elle, au lieu de ses précédentes poussées instantanées. Il répéta cela trois fois cette action lente et douce.
« Ugh, uwa, aaahh! » (jeune fille)
En sentant cette façon de lui faire l’amour plus lente, très différente des profondes poussées rapides effectuées jusqu’à présent, un plaisir inhabituel l’assaillit, la faisant remonter vers les sommets, tout en lui faisant expérimenter un léger orgasme. Pour la quatrième fois, Eiji poussa, encore une fois en utilisant une poussée lente, atteignant avec ce mouvement, les profondeurs du vagin de la fille.
« Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh !, » (jeune fille)
Trois poussées douces suivies d’une poussée profonde en quatrième, un tel rythme fut ainsi répété encore et encore.
Elle connut à chaque fois un léger orgasme en réponse à chacune des lentes poussées alors que ces profondes pénétrations l’obligèrent à rétablir la courbure de son dos, son corps accueillant un intense orgasme.
Depuis qu’Eiji s’était abstenu d’arrêter le mouvement de ses hanches, les parois vaginales de la jeune fille se relâchèrent, en raison du plaisir de ce frottement répété alors qu’elle était dans un état bien trop sensible immédiatement après avoir connu un orgasme. De plus, sa sensibilité augmentait après chaque orgasme, ce qui l’amenait à ressentir un nouvel orgasme simplement à cause de cela. C’était un cycle inévitable et vicieux.
« Je n’en peux plus... soyez plus gentil... » (jeune fille)
La jeune fille tenta de plaider pour un répit, se sentant complètement sans défense dans cet enfer de plaisir qui lui volait même son souffle.
Cependant, sa voix n’avait pas réussi à toucher les oreilles d’Eiji. Même Eiji n’avait pas eu le temps d’envisager quoi que ce soit d’autre.
Il commença à pousser son pénis d’autant plus intensément après avoir détecté l’arrivée de l’éjaculation qui remontait dans sa région du bas-ventre.
Peut-être de ces actions ou le fait de sentir la verge se gonfler en préluder à son éjaculation, la jeune fille prit conscience tout à coup de cette situation et se mit à supplier avec véhémence, tout en haletant.
« S’il-te plaît... pas en moi...! » (jeune fille)
Eiji inclina sa tête en sentant son cœur sadique se réveillant à cause de ces yeux tournés vers le haut.
Le plaisir de souiller l’utérus pur d’une jeune fille qui n’avait jamais accepté un homme avant lui était incroyablement excitant.
« S’il-tttte-plait, je vais mmm... » (jeune fille)
Pendant ce temps, la partie du cerveau d’Eiji qui était encore laissé intact au niveau de son sens de la raison l’avertit.
Peut-être que la raison pour laquelle elle avait supplié pourrait être due à la peur de tomber enceinte. Bien que son âge précis soit inconnu, il n’aurait pas été étrange qu’elle ait connu ses premières menstruations en tenant compte de son aspect externe. La pensée d’imprégner cette jolie fille devant lui était extrêmement excitante, mais Eiji n’avait pas la détermination de tomber si tôt dans la paternité.
« Tsk. » (Eiji)
Il fit claquer ses lèvres à contrecœur et abandonna son idée d’éjaculer en elle. Cependant, il évacua ses sentiments négatifs sur la saillie la plus sensible de la jeune fille comme une forme de vengeance.
En plongeant de nouveau sa verge surdimensionnée à l’intérieur d’elle, il écarta totalement les jambes de la jeune fille, exposant entièrement son mignon petit minou.
En étirant le pois de chair positionner sur la section supérieure, la petite perle qui se cachait à l’intérieur fit son apparition depuis cette petite ouverture.
Eiji sépara la chair qui la couvrait, en poussant complètement le pois et utilisa alors ses deux doigts pour le frotter tout en le serrant.
« ―――― !? Hyyyyaaaaaahhhhhhh !? » (jeune fille)
La fille jouit allégrement à cette stimulation excessive, tout en poussant un cri aigu, alors qu’elle était amenée dans un état proche de la mort par ce plaisir si extrême.
En bougeant sa taille alors qu’elle se tordait de plaisir, ses parois vaginales se serrèrent sur le pénis en elle, si intensément, comme si elle voulait l’écraser. Ce stimulus augmenta pour ainsi devenir le déclencheur final de cette scène. Après avoir pu retenir l’envie d’éjaculer jusqu’à ce point, le plaisir s’était accumulé au-delà de l’imaginable à la suite des serrages massifs que lui causait le vagin de la fille. L’endurance d’Eiji avait atteint sa limite.
« Mmn... Ooohhhh! » (Eiji)
En écartant son pénis de ces voraces parois vaginales qui agissaient contrairement aux pensées de la jeune fille, Eiji maintint sa posture tout en douchant le ventre, couleur de la neige, avec son sperme. Ayant dû ainsi se retenir depuis si longtemps, la quantité de sperme qu’il éjaculait était bien plus grande qu’il ne l’avait jamais fait auparavant.
Le liquide blanc qui fut ainsi libéré ne souilla pas seulement le ventre soyeux de la jeune ville, mais n’épargna nullement le nombril ainsi que les seins.
« Haah ... haah ... » (Eiji)
Pour terminer correctement son éjaculation, il caressa sa verge pour expulser la totalité du sperme restant à l’intérieur et arrosa encore plus le corps devant lui. Peu de temps après, il s’effondra sur le lit, épuisé par cette séance de sexe si intense. Bien que le lit ait été intégralement trempé avec divers fluides corporels et qu’il ne pouvait plus être considéré comme apte à être utilisé pour s’y reposer, l’envie de dormir qui s’était accumulée à cause de la fatigue l’obligea y rester..
Perdant progressivement la vision de ce qui l’entourait, il posa son regard vers la jeune fille se trouvant à ses côtés. Il semblait qu’elle s’était évanouie après son orgasme final et qu’elle était maintenant endormie tout en respirant doucement.
À la fin, qui est cette fille ? En se remémorant cette question à ce moment-là, Eiji regarda les yeux de la jeune fille et s’endormit tout en affichant un visage endormi et innocent.
† † †
« ... Un rêve. Non, ceci n’y ressemble pas. » (Eiji)
Le lendemain matin, après le réveil, la première chose qui entra dans la vision d’Eiji, tout en se sentant exceptionnellement heureuse, fut la silhouette d’une jeune fille nue. Les taches séchées du liquide blanc sur le ventre de cette fille nue, dormant devant lui, ainsi que le lit trempé par divers liquides corporels, réfutaient toutes les chances que l’incident de la nuit dernière ne soit qu’un rêve humide. Son corps nu tenta de nouveau Eiji, mais cette fois, avec un charme diffèrent due à la lumière du soleil, par rapport à son illumination qu’elle avait eue hier soir, sous le clair de lune. Eiji sentit alors son pénis devenir dur, bien qu’il soit allé jusqu’au bout, il y a quelques heures. Cependant, en se réveillant ainsi, après une nuit de sommeil, il ne put à nouveau, faire une telle action.
« Eh bien... Que faire maintenant ? » (Eiji)
La jeune fille ouvrit alors brusquement les yeux devant Eiji, le rendant abasourdi, incapable de penser à la bonne façon de faire face à elle.
Elle examina son corps ainsi que les environs après s’être soudainement assise sur le lit avec un regard montrant qu’elle était encore somnolente. En toucha avec ses doigts, la substance blanche et séchée qui s’était accrochée partout sur son corps, elle ne comprit pas immédiatement ce que c’était.
Cependant, ses yeux affichèrent rapidement la reprise de sa compréhension en retrouvant pleinement ses sens. Et puis, ils furent immédiatement remplacés par des yeux en colère. La jeune fille tourna alors sa tête vers Eiji tel un robot rigide. Son visage était bouffi de larmes sur le coin de ses yeux.
« Il — ... » (jeune fille)
« ―――――― ! » (Eiji)
La réponse à la salutation douteuse qu’Eiji était sur le point de faire, fut une claque féroce sur sa joue.
†††
Chapitre 03 : La Princesse Vampire de la Noirceur
« ... » (jeune fille)
« ... » (Eiji)
Un silence étouffant dominait l’intérieur de la pièce.
Assis de travers sur une petite table, les deux portaient des expressions complexes, tout en se sentant perplexes sur la marche à suivre pour pouvoir commencer une conversation.
Eiji était assis sur la partie avant, portant un T-shirt tout à fait classique et un pantalon.
Il regarda avec une expression de gêne bien visible, la personne assise de l’autre côté.
L’objet de son regard était bien sur la belle jeune fille aux cheveux noirs, vêtue quant à elle, de sa robe gothique noire.
Elle fronça les sourcils vers Eiji avec ses pupilles rouges perçantes quand elle vit qu’il la regardait.
Après avoir lavé les vestiges quelque peu excentriques de la nuit dernière à l’aide d’une bonne douche, les deux étaient maintenant habillés sous une forme plus appropriée.
Le drap, trempé de divers liquides corporels, avait été retiré du lit et jeté directement à l’intérieur de la machine à laver.
Cependant, l’odeur qui flottait dans la petite pièce n’était nullement encore partie. Quiconque entrant dans la pièce et humant l’air aurait instantanément su les conclusions des événements de la nuit dernière.
« ... » (jeune fille)
« ... » (Eiji)
Tous deux gardèrent le silence, ne sachant pas quoi dire.
L’attaquant et la victime — peut-être que rien ne pouvait facilement être fait en raison de cette relation.
La réaction classique aurait dû être qu’Eiji s’excuse pour avoir ainsi agi à son encontre, en raison de sa perte de contrôle. Mais la cause première de cet événement était due à la jeune fille qui s’était faufilée dans sa chambre, essayant de lui sucer le sang, quitte à le tuer par la même occasion.
Compte tenu de ce point important, elle pourrait largement être considérée comme étant celle qui l’avait attaqué, entraînant ainsi que la situation soit devenue aussi compliquée qu’elle était à l’heure actuelle.
Maintenant que j’y pense... elle a bien sucé de mon sang. Pensa le jeune homme.
Après s’être souvenu de cela, Eiji toucha alors, à l’aide de sa main, la base de sa gorge. Bien qu’il semble qu’elles se soient maintenant refermées, les traces de deux plaies circulaires étaient bien présentes.
Les événements qui s’étaient déroulés après avaient entièrement saturé sa mémoire. Ce qui lui avait fait oublier qu’elle l’avait mordu à la nuque, lui aspirant du sang.
Juste après ça, il semblait qu’elle ait ressenti d’étranges plaisirs, s’effondrant jusqu’à la conclusion des événements. Ainsi, le volume de sang aspiré était minuscule. Il ne ressentait nullement la sensation d’être en anémie, mais c’était un fait indéniable que son sang avait bien été aspiré.
Est-ce qu’elle est vraiment... une vampire ? continua à réfléchir Eiji.
Vampires. C’étaient ces créatures non humaines qui n’existaient que dans le folklore ou l’occultisme.
Avec une force physique dépassant largement les humains et la capacité de se transformer soit en loup, soit en chauve-souris, ils aspiraient la force vitale des humains. Les victimes de leurs morsures se transformaient elles aussi en vampires et s’en prenaient par la suite aux autres.
Malgré tout, ils possédaient beaucoup de faiblesses comme compensation de leur écrasante force, force qui dépassait le raisonnement humain. Pour commencer, ils étaient irrémédiablement réduits en cendres sous l’effet de la lumière du soleil, en plus d’être incapables de traverser la moindre étendue d’eau, et pour finir, ils étaient sensibles à l’ail, ainsi qu’à l’argent et aux croix.
... Et ainsi de suite. Mais dans le cas présent, la lumière du soleil ne la couvre-t-elle pas ? pensa-t-il après avoir analysé la situation ?
Bien qu’ils soient dans une pièce, la lumière qui passait par la fenêtre ne pouvait pas être considérée comme inexistante.
Le corps de la jeune fille était illuminé par les rayons du soleil, mais il n’y avait aucun signe de sa transformation en cendres.
« Quoi ? » (jeune fille)
Se sentant méfiante en remarquant ce regard fixé sur son corps, la jeune fille prit l’initiative de parler.
« Rien, c’est juste que tu es encore en vie, même si tu es frappée par la lumière du soleil. » (Eiji)
La jeune fille le regarda sans comprendre, en réponse à un Eiji qui exprimait ses pensées actuelles.
Cependant, réalisant la raison pourquoi ces pensées erraient dans une telle direction, elle ragaillardit ses lèvres de satisfactions.
« Hmm, il semblerait que tu aie enfin réalisé ma vraie nature. » (jeune fille)
« Alors tu veux dire que tu es vraiment une vampire !? » (Eiji)
« C’est exact. Il n’y a aucun mal à t’expliquer ce genre d’informations, mais maintenant, ceci est rendu quelque peu gênant. » (jeune fille)
« Quoi ? » (Eiji)
Lorsqu’il l’interrogea au sujet des mots ambigus qu’elle venait de prononcer, elle pointa simplement la table du doigt, tout en affichant un sourire mutin et en faisant part de sa demande.
« Je ne pense pas que m’offrir du thé te ferait souffrir d’un trop lourd châtiment !? Si c’était possible, du thé noir. » (jeune fille)
En disant de tels mots, il semblait que la précédente colère avait complètement disparu si l’on jugeait son apparence actuelle.
† † †
« Muh ... » (jeune fille)
« Je te le dis par avance, il n’y a, dans mon logement, que ce thé noir. » (Eiji)
Eiji informa la jeune fille qui sirotait la coupe de thé avec une expression d’insatisfaction clairement visible sur son visage.
Vivant la vie solitaire d’un étudiant universitaire, sa maison ne possédait que ce genre de sachet bon marché de thé noir. C’était quand même mieux que de ne rien avoir.
Eiji ne s’attendait pas à ce que ce bien produit en masse puisse satisfaire les goûts sans doute raffinés d’une jeune demoiselle qui semblait habituée au thé noir de la plus haute qualité, mais il ne pouvait pas faire autrement, car il n’avait rien d’autre à offrir. Et il n’avait nullement l’intention d’aller lui en acheter spécialement pour elle.
« ... Alors, on va faire avec. » (jeune fille)
La jeune fille tendit délicatement la main vers le sucre et le lait placés au milieu de la table, même si elle déclarait ces mots qui étaient remplis de réticence.
Elle devait penser qu’elle pourrait mieux supporter cela en prenant du thé au lait plutôt que de le prendre sans rien.
Versant beaucoup de sucre et de lait dans sa tasse, la jeune fille commença alors à raconter son récit tout en mélangeant son thé avec une cuillère à café.
« Voyons voir. Qu’est ce que je suis exactement ? » Commença-t-elle avant de poursuivre « Comme tu l’as probablement deviné, je suis bien une vampire. »
Après quelques instants, elle poursuivit son monologue. « Cependant, je ne suis pas n’importe quel vampire ordinaire. »
Le jeune homme lui demanda alors cela.
« Que veux-tu dire par là ? » (Eiji)
« Hmm. Et bien, permets-moi de me présenter à nouveau. Maintenant que j’y pense, il serait injuste pour moi que je fus la seule à le faire. Alors, dis-moi immédiatement ton nom. » (jeune fille)
« Haaa ! Eiji Azuma. Comme tu as pu le constater, je ne suis qu’un étudiant universitaire tout à fait ordinaire. » (Eiji)
Eiji annonça son nom en se sentant quelque peu accablé par les manières agressives de la jeune fille.
Cependant, la fille murmura alors quelques mots en réaction au mot "ordinaire" qu’il avait utilisé pour se présenter.
« Non, ce n’est pas exact. Du moins, de mon point de vue, tu n’es en aucun cas, un universitaire "ordinaire", loin de la. » (jeune fille)
« As-tu dit quelque chose ? » (Eiji)
« Non, non, rien. Quelque chose de personnel. » Répondit-elle, cette fois-ci, à haute voix avant de poursuivre. « C’est donc mon tour de me présenter. »
Pour tenter de tromper Eiji qui avait entendu ses murmures, elle se leva brusquement avant de se présenter dans des mouvements remplis d’une grande élégance, en n’ayant pas oublié avant de légèrement relever l’ourlet de sa robe comme certaines nobles faisaient.
« Mon nom est Noire. Noire Primella. L’une des six souverains démoniaques de la nuit qui existent de par le monde, la Souveraine Démoniaque de la Noirceur. » (Noire)
À ce moment-là, Eiji vit comme une illusion que tout ce qui entourait la fille se transformait en une pièce se trouvant dans un palais inconnu localiser dans un lieu lointain.
Sa salutation affichait une telle grâce. Il émanait de Noire une aura caractéristique de ceux qui appartenaient à la noblesse.
Cependant, il n’était pas quelqu’un qui croirait aveuglément les dires d’une telle personne et donc, il commença à l’interroger sur les faits annoncés au cours de la présentation.
« Souverain Démonique de la Nuit ? Ceci signifie-t-il que tu es la Souveraine des Vampires ? » (Eiji)
« Oui. J’aurais sous mon contrôle un grand nombre de subordonnés et de territoires si je revenais dans ma patrie. » (Noire)
« Hmm... C’est quelque peu incroyable. » (Eiji)
Une petite enfant ? Peut-être que Noire pouvait ressentir cette pensée affichée dans ce regard, car elle adopta immédiatement une expression sombre. En outre, Eiji avait posé son regard, un peu plus bas que le visage de la jeune fille.
« Tu es très grossier à mon encontre. Même si j’apparais devant toi de cette façon, j’ai vécu des décennies plus longtemps que toi. Et aussi, où regardes-tu comme ça ? As-tu un problème avec la taille de mon buste ? » (Noire)
« Non, elle est tout simplement parfaite et hier, je me suis senti très bien avec cette dimension, donc je n’ai aucune plainte à formuler. » (Eiji)
« Quoiiiiii ― — !? » (Noire)
Le visage de Noire fut teinté du rouge de la colère, mais aussi d’un important embarras, clairement visible, car à ce moment-là, elle cachait ses seins avec ses mains, tandis qu’Eiji lui répondit avec une honnêteté débordante alors qu’il faisait des signes avec ses mains pour se souvenir des sensations merveilleuses qu’elles avaient ressenties au cours de la nuit dernière.
« À ce sujet, la nuit dernière, comment as-tu osé me faire une telle chose ? Une telle conduite ! Pour avoir ainsi profité des moments de faiblesse d’une personne telle que moi... En plus de ça, tu m’as volé ma virginité que j’avais sue protégée depuis si longtemps ! » (Noire)
Eiji hésita un peu, avant de se justifier alors qu’il voyait que Noire lui criait dessus après qu’apparemment, elle se rappelait des événements précédents.
« Eh bien, j’avoue que c’était une mauvaise chose que j’ai faite... mais tout a commencé à cause de toi qui es venue m’attaquer dans mon lit. De plus, je ne pouvais que considérer ceci comme une invitation de ta part quand tu m’as ainsi révélé ton lieu le plus intime juste en face de moi. » (Eiji)
« Q-Qui t’a dit que je t’invitais à me faire cela !? » (Noire)
Mais en vérité, ce qui faisait enrager Noire était qu’Eiji racontait des choses concernant son état de folie passagère qui était déroulé juste après qu’elle suça un peu de sang du jeune homme. En plus, elle savait bien que ses jambes s’étaient alors automatiquement séparées sur les côtés, comme une invitation que son corps offrait au jeune homme. Et pour couronner le tout, sa culotte s’était presque instantanément détrempée à cause des jus provenant de son vagin.
Cependant, même cette colère n’était que du pur camouflage pour essayer de cacher la honte qu’elle éprouvait ainsi que la peur de ne pas pouvoir se contrôler dans des moments comme ceux-là.
À ce propos, puisque sa culotte n’était plus en état d’être portée, elle était actuellement avec le drap, à l’intérieur de la machine à laver. En d’autres termes, actuellement, elle ne portait rien en dessous de sa robe.
« Pour commencer, pourquoi ces choses se sont-elles passées de cette façon ? » (Eiji)
« ... C’est à cause de ton sang. » (Noire)
« Hein ? Mon sang ? » (Eiji)
Eiji ouvrit la bouche à la suite à sa question, une expression de stupeur écrite sur son visage.
« Oui, la raison pour laquelle les vampires aspirent du sang est en vérité pour pouvoir absorber le pouvoir magique qui se trouve à l’intérieur de chaque humain, par le biais de l’action de sucer leur sang. » (Noire)
« La puissance magique ? Une telle chose existe-t-elle vraiment ? » (Eiji)
« Ce n’est pas présent partout. Mais à l’intérieur des humains, c’est le cas. » (Noire)
Selon ses mots, il semblerait que les vampires suçaient le sang des humains afin de pouvoir absorber le pouvoir magique qui entrait dans leur existence depuis leur naissance. Leur objectif était donc de maintenir ou mieux, d’augmenter leur propre pouvoir en le faisant.
Dans le cas contraire, ils ne mouraient pas immédiatement de faim s’ils ne suçaient pas régulièrement du sang en tant que leur repas, mais à l’inverse, s’ils absorbaient trop de pouvoir magique d’un coup, ceci pourrait entraver le processus de maintien en vie de leur corps.
La quantité de pouvoir magique que possédaient les humains, était assez minuscule et à peine suffisante à la survie des vampires. La puissance magique pouvait aussi être obtenue par l’absorption de n’importe quel fluide corporel en tant qu’intermédiaire, avec certains plus efficaces que d’autres, mais tout ceci pouvait être résumé juste en un mot ― — impur.
« Cependant, tu es une exception entre tous. Même si je n’en connais pas la raison, la densité du pouvoir magique présent dans ton sang est plusieurs centaines de milliers de fois supérieures à celle d’un humain ordinaire. Une proie de rêve pour nous, les vampires... donc j’avais pensé... » (Noire)
L’expression du visage de Noire se déforma après avoir dit cela.
La raison de cette expression pouvait facilement être devinée à la suite des événements survenus hier.
« N’aurais-tu pas été incapable de l’absorber ? » (Eiji)
« Oui, j’en ai été incapable. N’était-ce pas épouvantable ? Je ne m’attendais vraiment pas à ce que cela soit si difficile ! » (Noire)
Eiji la regarda avec un regard très chaleureux alors qu’elle se plaignait tout en prenant un air boudeur.
Après avoir perçu cela, elle toussa une fois pour s’éclaircir la voix et continua à parler.
« Le transfert de pouvoir magique s’accompagne généralement d’un plaisir sexuel, mais la quantité de sensation ressentie est généralement assez négligeable. Cependant, avec ton sang, le niveau de plaisir était à un niveau complètement différent de la normale. C’était un plaisir si violent et si écrasant... il n’y avait aucune chance pour moi que je puisse supporter cela. » (Noire)
Bref, il semblerait qu’elle ait atteint son apogée en plein milieu de l’absorption du sang, car le pouvoir magique contenu dans ce sang avait été bien trop important pour elle.
Elle avait franchi la limite, juste après l’avoir mordu avec ses crocs, directement dans la nuque du jeune homme et avait aspiré seulement quelques gouttes de sang, ce qui l’avait obligée à faire l’expérience d’un orgasme forcé.
En outre, son corps était devenu dans un état d’hypersensibilité comme si elle s’était baignée au cours d’une longue période, dans une solution non diluée d’aphrodisiaque.
Elle n’avait pas pu y résister et donc ceci l’avait laissée dans un état proche de la mort. Et ensuite, Eiji avait goûté ce délicieux plat présenté juste devant lui.
Un médicament puissant pour l’un peut être le poison ultime pour un autre.
« Haaaa! Une action si téméraire... ceci s’est avéré n’être finalement rien de plus qu’un désastre total. » (Noire)
Noire se leva après avoir fini sa boisson et posa sa tasse sur la table.
Il semblait qu’elle prévoyait de quitter ces lieux.
Eiji devint nerveux alors qu’il constatait cela.
Si la situation restait ainsi, elle disparaîtrait très probablement pour toujours et ne réapparaîtrait plus jamais devant lui, ce qui le rendrait incapable de revoir cette si belle expression.
Même si elle n’était qu’un monstre buveur de sang, il ne voulait pas que cette rencontre si rare avec une telle magnifique jeune fille qui l’avait prestement enfourché sans vergogne puisse se terminer de cette façon. Il devait donc faire quelque chose au moyen d’un appât ou d’une petite filouterie.
Stimulé par son impatience, Eiji murmura quelques mots au moment où elle lui montra le dos et se dirigeait déjà vers l’entrée.
« Hmm ? Alors c’est ainsi, tu fuis ! » (Eiji)
« Qu’est-ce que tu viens de dire ? » (Noire)
Noire s’arrêta net puis lui lança un regard noir, trouvant une faute impardonnable dans ces mots.
« Ceci est inexcusable. Qui as-tu dit qui fuyait ? » (Noire)
« N’ai-je pas tort ? Bien que ton but soit de sucer mon sang, n’étais-tu pas en train de rentrer à la maison parce que tu ne peux pas faire une telle chose aussi triviale ? Il semblerait qu’un Souverain Démonique de la Nuit soit un être qui abandonne très facilement. » (Eiji)
Bien que ce soit une provocation de bas étage, regarder le visage de Noire prouvait qu’elle semblait très efficace. Les coins de ses yeux se crispèrent et une veine semblait prête à éclater à la surface de son front.
« Corrige immédiatement tes mots. La fière Souveraine Démonique de la Nuit ne s’enfuit jamais. » (Noire)
« Si c’était vraiment le cas, alors pourquoi ne tentes-tu pas d’aspirer à nouveau de mon sang ? » (Eiji)
« ... Si c’est ce que tu souhaites. La situation d’hier était quelque chose d’inattendu en raison de sa brusquerie. Sucer ton sang à nouveau est une chose facile si je connais à l’avance le sujet. » (Noire)
Elle aurait peut-être remarqué que c’était une provocation franchement déplorable si elle avait été dans un état de calme. La princesse-vampire aux cheveux noirs était facilement tombée dans le piège qui lui apporterait bien des calamités.
†††
Chapitre 04 : La Proposition de Formations
Avalant sa salive, Noire fit face au repas présenté devant ses yeux.
Ses actions n’étaient pas dues à son appétit, mais plutôt à la peur des effets secondaires.
Cependant, elle avait déjà dit qu’elle le ferait. Et donc, si elle se retirait maintenant, il ne faisait aucun doute que le jeune devant elle risquerait de se moquer d’elle. Ce serait pour elle, une humiliation intolérable.
« Qu’est-ce que tu attends ? Ne commences-tu pas à sucer ? » (Eiji)
« D’accord, je vais sucer ! Je reprenais juste mon souffle. » (Noire)
« Vraiment ? Alors dans ce cas, tu peux immédiatement commencer. » (Eiji)
Le jeune homme l’avait interrogée tout en présentant sa nuque juste sous les yeux de la jeune fille, comme pour attirer la fille hésitante.
Noire avait impulsivement répondu avec des mots de déni en réponse à cette question.
C’était vraiment étrange. Comment les choses pouvaient-elles se dérouler ainsi ?
Normalement, si elle était restée calme, elle aurait dû à coup sûr, remarquer la provocation si flagrante.
La nuque du garçon qui lui avait ainsi été présentée portait déjà deux récentes blessures. Elles avaient été faites la veille, par elle. Le souvenir du sang si sucré et onctueux qui provenait de là était encore frais dans sa mémoire et le résultat de ses actes était également profondément imprimé dans son esprit et dans son corps.
Ce n’était pas quelque chose de facile à endurer. Et il était évident qu’il se passerait la même chose si ce sang était à nouveau goûté.
Ce serait bien si elle s’abstenait de l’aspirer, mais se retirer à ce point nuirait à la fierté d’un des Souverains Démoniques de la Nuit.
Je vais sûrement pouvoir l’endurer si je fais vraiment attention et ne suce qu’une très faible quantité. Pensa Noire. C’est vrai ! Cela s’est passé ainsi hier, seulement parce que j’avais aspiré d’un seul coup, beaucoup trop de ce sang.
Il n’y a aucune chance pour moi d’être incapable de l’endurer si je suce avec beaucoup de précautions une quantité minuscule de sang.
Noire mordit alors la nuque d’Eiji en se persuadant avec ses pensées qui s’avérèrent finalement, totalement vaines.
† † †
« Voici donc le résultat d’une seule goutte. » (Eiji)
« Ta-Taissss... tooooi ! » (Noire)
Le résultat d’avoir sucé du sang, avec le plus grand soin, fut qu’une seule gorgée fut aspirée par Noire. Cela s’était passé comme prévu. Mais Noire tomba quand même en arrière alors qu’un flot de liquides s’échappait de sa région du bas-ventre.
Si Eiji n’avait pas soutenu le haut du corps de la jeune fille, pour ainsi être capable de la déposer sur le dessus du lit, elle se serait directement effondrée sur le sol.
Son corps au-dessus de la taille reposait maintenant directement sur le lit tandis que ses jambes pendaient sur le bord du lit. C’était une posture très immorale.
Cependant, avoir sucé le sang avec précaution ne s’avéra pas complètement inutile.
Par rapport à la dernière fois où cela l’avait forcé à tomber dans un état d’inconscience, sa conscience était cette fois-ci, assez claire.
Cependant, le problème était qu’il était difficile de savoir si elle se sentait vraiment heureuse de cela.
Comme elle était dans cet état de semi-conscience, la honte qu’elle ressentait avait également augmenté la crainte qui s’accumulait chez elle.
« Tout comme la dernière fois, vous avez assez rapidement commencé à vous répandre partout. » (Eiji)
« Neee regar... » (Noire)
En retournant le bas de la robe que Noire portait alors qu’elle était dans un état de paralysie, donc sans défense, Eiji pouvait voir le nectar qui jaillissait du vagin de la jeune fille qui était quant à lui, encore fermement clos. Du liquide glissait le long de ses jambes d’un blanc enneigé.
L’intensité avec laquelle cela jaillissait pouvait être perçue par l’humidité déjà présente à l’intérieur de la robe.
Bien que la nuit dernière, il ait vu le même spectacle, le fait de le voir dans un cadre plus lumineux le fit paraître encore plus douce, ce qui n’avait aucun rapport avec le fait qu’elle avait pu, hier soir, avaler sans vergogne la chose énorme d’Eiji.
« T-Toi ! » (Noire)
Noire envoya un coup de pied en plein sur lui alors qu’il contemplait le bas du corps, après qu’il eut relevé la jupe.
Étant une vampire, sa force physique avait largement dépassé celle des humains. Un trou aurait donc été creusé dans le torse d’Eiji si elle l’avait frappé sérieusement. Cependant, elle venait de subir plusieurs orgasmes successifs et ne pouvait donc pas avoir beaucoup de puissances dans ses jambes.
Encaissant facilement ce coup de pied, Eiji continua ses actions qui consistèrent à faire pivoter le corps de la jeune fille.
« Qu’eeest-tu... train de fai...? » (Noire)
C’était une posture où le haut de son corps était toujours couché sur le lit tandis que son cul faisait directement face à Eiji. Ses jambes neigeuses, curvilignes et délicieuses, avaient inconsciemment obligé Eiji à se mettre à les caresser avec douceur. Bien qu’elles ne puissent pas être appelés voluptueuses, elles semblaient si douces que cela provoqua une flambée d’énergie dans le pénis d’Eiji, le durcissant rapidement.
Cependant, il était encore trop tôt pour l’insérer en elle.
Cet endroit si invitant était déjà assez humide au point qu’il n’y avait pas besoin de préliminaires, mais profiter directement du plat principal serait trop impulsif.
En pensant ainsi, il tendit son doigt du milieu, le poussant entre les lèvres inférieures sans défense.
« Hhhiiyyyuuuuuuu !? » (Noire)
Débordant d’une ample quantité de nectar, ce lieu si précieux accepta sans faillir, son doigt sans à-coups.
Content de cela, il continua avec son doigt, à labourer fermement cette chair vaginale.
« Aaaahhhh, Hyaaaaa, S-Stooooooo... » (Noire)
Ne se contentant pas de la caresser, il commença aussi à pousser son doigt en dedans et en dehors. Le corps de Noire fit jaillirent un nuage de liquides corporels en réponse à ce stimulus de plus en plus véhément.
En attendant, Eiji s’était soudainement rendu compte de l’existence d’une région qui lui donnait une impression inhabituelle.
« Q-Quoo ? » (Noire)
À quelques centimètres de l’entrée inférieure de la jeune fille qui était posée, face vers le bas, poussant instinctivement ses fesses vers lui se trouvait une région qui était légèrement creuse, tout en générant un sentiment de vitalité pétillante. Il visa directement ce lieu, le caressant impitoyablement.
L’effet fut spectaculaire.
« Hyah!? Qqqqu ciiii !? S-sttttttt... » (Noire)
« Ha !? Il y a quelque chose d’étrange ici ! » (Eiji)
Immobilisant la fille en panique qui essayait de s’échapper à la main gauche d’Eiji, Eiji continua inexorablement à masser le point G de Noire.
Blâmant le point faible se trouvant à cet endroit, inconnu même d’elle-même, Noire sentit à la fois de l’embarras et de la peur de l’inconnu, tout en criant à cause de ce plaisir accablant qu’elle ressentait.
« Stoooo, Stoooo, quelque chose siiiiiiiii intensssssss...!? » (Noire)
Noire cria, submergée par la sensation de sentir comme si quelque chose allait s’enfuir hors d’elle. Eiji poussa rapidement son doigt vers l’extérieur, réalisant ceci comme un coup de finition.
Après avoir subi ces tourments en continu, cette action, utilisée comme une garantie de succès, fit passer Noire au délai de ses limites.
« Hyaaaaaaaaaaaaaaaaa ! » (Noire)
Accompagnée d’une voix si coquette, une marée extralarge de liquide sortit de l’entrejambe de Noire, aspergeant tout le sol derrière elle, alors qu’elle était inclinée avec son corps, toujours face contre le lit.
Bien que la dernière fois, elle ait déjà projeté du liquide si loin, c’était la première fois que cela sortait à une si grande échelle.
Eiji ne pouvait plus en supporter plus, voyant cette scène mystique enrichie de cette silhouette si féminine. Il ouvrit donc la braguette de son pantalon, en tirant simplement sur la fermeture éclair. Puis baissant juste après son slip, il sortit délicatement son pénis.
En poussant sa verge déjà dressée vers la vulve de Noire qui se tenait encore avec sa face contre le lit, Eiji se pencha en avant comme s’il voulait envelopper entièrement ce corps qui attendait la suite.
« Q-Qu – Quoii, je viens juste de jou... » (Noire)
En pensant qu’Eiji essayait de lui faire quelque chose, Noire lui demanda de s’arrêter, mais il l’ignora, poussant son pénis à l’intérieur avec toute sa force.
« Aaaaahhhhh, quoiii, je jouis encoreeee !? » (Noire)
Ayant ce pénis dur et ardent à l’intérieur de son endroit le plus sensible juste après avoir eu un orgasme, Noire ne put le supporter et grimpa à nouveau au sommet du plaisir.
Cependant, tout cela n’était que le début.
Contrairement à hier, Eiji commença par pousser tout d’un coup, pour aller profondément en elle.
« Hiiiiiiiiiiiiiiiiii. Hiiiiiiiii!? » (Noire)
La sensation inhabituelle d’être prise en levrette par opposition à son invasion antérieure par devant affûta encore plus ses sens.Une position différente que le missionnaire lui donna, de nouvelles sensations.
De plus, le fait d’être possédé d’une manière analogue à la façon dont les animaux s’accouplaient donna naissance à une importante excitation immorale.
C’était pareil pour Eiji qui était celui qui la prenait par-derrière.
Avoir des relations sexuelles avec une fille si délicate dans une posture semblable à celle d’animaux s’accouplant, l’actuel sentiment de la ravir de telle manière était extrêmement excitant.
« Je jouis ! Encore une fois ! Je jouis ! Combien de fois vas-tu encore me faire jouirrrrrrrrrrrr ――――― !? » (Noire)
Après être tombée dans un état où elle ne pouvait plus reprendre son souffle, elle secoua sa tête avec fougue, ce qui fit virevolter tout autour d’elle, ses cheveux d’un noir brillant.
En même temps, alors qu’elle continuait à avoir des orgasmes, ses parois vaginales se resserrèrent sur le pénis d’Eiji avec une terrible force.
« Mer..., ça va sortir ! » (Eiji)
« Aaaaaaahhhhhhhh〜〜〜〜〜 ! » (Noire)
En sortant son pénis au dernier moment, son sperme se répandit sur les fesses et le dos de Noire.
Le plaisir de cette chaleur ainsi que le sentiment du gland imposant sa sortie vers l’extérieur l’avaient automatiquement poussée à reculer instinctivement pour essayer de garder ce pénis en elle, tout en accueillant un orgasme extrêmement prolongé.
† † †
« Le pire... » (Noire)
Noire fut agressée par un dégoût intense d’elle-même, en raison de s’être laissé prendre par une telle provocation bon marché et, par les conséquents qui l’avaient obligée, à nouveau, à subir une atteinte à son corps.
Encore une fois, elle avait pris une douche pour nettoyer son corps, mais sa robe ne pouvait plus être portée à l’heure actuelle, vue dans quel état, elle était, étant complètement trempée. Elle couvrit donc désespérément le haut de son corps nu, en s’enveloppant dans une serviette.
« Eh bien, n’est-ce pas toi, Noire, qui est vraiment trop faible vis-à-vis du plaisir ? » (Eiji)
« M-Maintenant que tu le dis... » (Noire)
Ayant reçu les bénédictions des couleurs de l’automne sur ses joues depuis le coucou du matin, Eiji souligna ce fait à une jeune fille déprimée.
Après lui avoir fait l’amour, enfonçant son pénis profondément en elle, puis en utilisant une manière aussi insolente pour lui parler, rendant ainsi Noire en colère, tout ceci faisait qu’elle allait démarrer une dispute dans peu de temps. Cependant, avant que cela n’arrive, Eiji pinça les lèvres de la jeune fille avec ses doigts, plaçant en même temps, une tasse de thé noir devant elle.
« Je parlais sérieusement. Comme tu étais une vierge, cela signifie que tu n’avais aucune expérience de ce genre de choses, n’est-ce pas ? Être ainsi incapable de supporter le fait de sucer mon sang, peut-être que ce n’est qu’une expérience insuffisante de ces choses-là qui en est la cause ? » (Eiji)
« Mai... ceci... oui. Peut-être que c’est bien le cas. » (Noire)
Pour le moment, Noire réprima sa colère et se contenta d’analyser les tenants et aboutissements de la remarque d’Eiji.
Certes, elle n’avait aucune expérience sexuelle due au fait qu’elle avait réussi à protéger sa chasteté jusqu’à sa rencontre avec Eiji. Au mieux, tout ce qu’elle avait fait était de la masturbation. En outre, ce n’était que le niveau où elle s’était taquinée légèrement le clitoris, sans même avoir enlevé le prépuce, et aussi en utilisant son doigt pour caresser son vagin. Cependant, son doigt n’avait même jamais été inséré à l’intérieur.
Si la raison était bel et bien une faible tolérance au plaisir, il n’y avait donc, à l’heure actuelle, aucun facteur qui puisse lui faire croire autre chose que cela.
« Cependant, si c’est vraiment le cas, où veux-tu en venir ? » (Noire)
« En d’autres termes, il serait tout à fait possible d’absorber le pouvoir magique contenu dans mon sang si tu peux t’habituer à ces plaisirs. » (Eiji)
Tu veux mon pouvoir magique, n’est-ce pas ? pensa-t-il.
Elle ne trouva plus ses mots pour répondre à Eiji alors qu’il lui envoyait un regard éphémère après avoir déclaré cela.
Certes, le pouvoir magique dans ce sang était attrayant si l’absorption était effectivement possible.
Cependant, Noire demanda plus d’informations à Eiji alors qu’elle ne pouvait pas penser à une méthode définie pour s’y habituer.
« S’habituer à ça... Comment ? » (Noire)
« Naturellement. Existe-t-il une autre possibilité que de faire ce genre de choses à un grand nombre de reprises ? » (Eiji)
« Toi... alors c’était ton but... » (Noire)
Une expression de dégoût grimpa sur le visage de Noire alors qu’elle se rendit compte de ces objectifs.
Cependant, elle n’hésita même pas une seconde, mais fut finalement coupée avant de pouvoir s’exprimer.
« Haaa! Ma vraie intention est peut-être de faire plus d’actions obscènes avec une fille si mignonne. Cependant, cela n’est-il pas non plus dans le sens de ton propre objectif, Noire ? » (Eiji)
« M-Mignonne...!? » (Noire)
Noire regarda vers le bas, rougissant en réponse aux mots emplis de franchises d’Eiji.
Eiji attendit alors qu’elle parvienne à une conclusion.
« Eh bien, que feras-tu ? » (Eiji)
Noire avait croisé ses bras, réfléchissant à la proposition d’Eiji depuis un bon moment, tout en se sentant troublée.
Il n’y avait aucun doute que le jeune homme devant elle avait proposé cela pour son propre plaisir.
Cependant, la proposition elle-même n’était pas incorrecte et avait beaucoup du bon sens.
En outre, les gains seraient énormes si le pouvoir magique de son sang pouvait être absorbé.
Après avoir pensé comme tel, bien qu’elle hésitât encore un petit peu, Noire hocha finalement la tête.
« Je comprends. Je te serai dans ce cas redevable pendant un certain temps. Cependant, souviens-toi de ce point. Si tout cela s’avérait finalement inutile, alors sois prêt à recevoir une rétribution équivalente. » (Noire)
« C’est vraiment effrayant ! Cependant, je vais t’aider à acquérir assez d’expérience afin d’éviter cela. » (Eiji)
« À-À propos de cela... Je voudrais te demander d’être dorénavant plus doux avec moi... » (Noire)
Ainsi, après avoir reçu le consentement de la Princesse Vampire de la Noirceur, sa formation aux plaisirs commença.
†††
Chapitre 05 : L’Hors d’Œuvre
« Alors, que ferons-nous aujourd’hui ? » (Noire)
« Étant donné qu’il sera difficile de commencer immédiatement avec les choses les plus extrêmes, l’agenda pour aujourd’hui est de s’embrasser et de te taquiner au niveau des seins. » (Eiji)
« En écoutant ces mots justes après m’avoir fait tout cela, même si c’était ma première fois, ils n’ont vraiment aucun pouvoir de persuasion. » (Noire)
« Haha... » (Eiji)
Eiji se gratta la joue alors qu’il faisait un rire tendu en réponse au regard méprisant de Noire.
Les deux étaient actuellement assis sur le lit, l’un à côté de l’autre.
Ils s’étaient nettoyés avec une bonne douche. Noire ne portait pas sa robe, actuellement vêtue seulement de ses sous-vêtements.
Son corps féerique et séduisant pouvait être vu à travers sa culotte noire.
Peut-être préoccupée par le regard d’Eiji, Noire couvrit alors le voisinage de ses seins ainsi que de son entrejambes avec ses mains.
Mais ses gestes téméraires avaient encore une fois réveillé ses désirs charnels, même si elle n’avait, elle-même, probablement pas pris conscience de cela.
« Je t’ai déjà vue nue deux fois, il n’est donc pas nécessaire d’être gênée. » (Eiji)
« T-Tais-toi ! Je ne peux rien y faire vu que ceci sera la première fois que je serais vue dans une telle apparence alors que je suis encore consciente ! » (Noire)
Noire se justifiait avec une voix légèrement irrégulière en réponse aux mots qu’Eiji lui murmurait.
Eiji lui avait certainement fait deux fois l’amour, mais elle avait été semi-inconsciente pendant ces deux fois en raison de l’effet secondaire du sang. C’était la première fois que son corps à moitié nu était ainsi observé alors qu’elle était encore consciente et, de plus, pendant un moment de la journée aussi éclairé.
« Eh bien, c’est bon maintenant. Je vais t’embrasser, c’est d’accord ? » (Eiji)
« O-Oui... » (Noire)
Eiji posa alors ses mains sur les épaules de Noire pour l’embrasser, mais il remarqua à ce moment-là que le corps de Noire se rigidifiait. Non seulement cela, elle semblait également légèrement trembler.
Vis-à-vis d’une telle réaction venant de la Princesse-Vampire, cela pourrait-il que... De telles pensées apparurent alors dans l’esprit d’Eiji.
« Peut-être que même pour les baisers tu es... ? » (Eiji)
« OUI, C’EST MA PREMIÈRE FOIS ! EST-CE SI MAL !? » (Noire)
Bien qu’il ait aussi appris qu’elle avait été vierge jusqu’à l’avant-veille, Eiji était incapable de croire qu’elle n’avait jusqu’à maintenant, même pas embrassé quelqu’un. Sur son visage, une expression de stupéfaction devint clairement visible.
Après tout, ne considérant pas l’apparence de la fille devant ses yeux, elle avait déjà vécu pendant plusieurs décennies de plus que lui. Serait-il vraiment possible de ne jamais avoir embrassé la moindre personne après avoir traversé tant d’années ?
Peut-être qu’elle avait vécu une vie solitaire loin des humains depuis plusieurs centaines d’années.
Un sentiment de pitié envers elle se réveilla instantanément à l’intérieur d’Eiji.
« J’ai l’impression qu’en ce moment, tu as des pensées des plus pénibles. » (Noire)
« Non, ce n’est pas cela... Laissons ça de côté. Vas-tu bien vis-à-vis du fait que je t’embrasse ? Après tout, ceci sera ton premier baiser. » (Eiji)
« Bien sûr, je ne suis pas bien avec ça. Bien que je ne sois pas bien avec ça... tu m’as déjà volé ma pureté, alors même si tu me le demandes maintenant... » (Noire)
Noire hocha la tête tout en se sentant un peu réticente, mais aucune intention de refuser ne pouvait être ressentie en provenance d’elle.
Eiji confirma cela avant de l’enlacer tout doucement, puis il l’embrassa avec tendresse directement sur ses lèvres.
« ―――――― Mmmmm! » (Noire)
Se séparant l’un de l’autre après quelques secondes, Noire ouvrit les yeux qui étaient avant cela fermés, puis toucha doucement ses lèvres avec son doigt.
« ... Bien que je me sois déjà demandé depuis longtemps ce que je ressentirais en faisant cela, c’est finalement étonnamment simple. » (Noire)
Son monologue rempli d’insatisfaction réveilla alors le côté diabolique d’Eiji.
« Vraiment ? Alors, cette fois-ci, je ne vais pas y aller gentiment. » (Eiji)
« Hein !? » (Noire)
En disant cela, Eiji ignora une Noire perplexe et continua son action pour l’embrasser à nouveau ses lèvres.
Et puis, sa langue força un passage entre les lèvres de Noire, envahissant sa bouche.
« Mnn 〜〜〜〜〜〜 !? » (Noire)
Une expression troublée fut bientôt visible en raison de l’offensive abrupte qu’elle subissait. La langue d’Eiji alla dans tous les coins de la bouche de Noire. Chatouillant son palais, glissant le long de la crête de ses dents, se tordait autour de sa langue, avant d’aller caresser ses dents.
En un clin d’œil, le corps de Noire perdit toutes ses forces, presque sur le point de s’effondrer. Eiji appuya ce corps contre son propre corps tout en l’enlaçant plus fermement.
Et bien sûr, il continuait aussi à la tourmenter avec sa langue.
...? (Noire)
Comme Eiji continuait de l’embrasser tout en la taquinant avec sa langue, il remarqua quelque chose d’étrange au niveau de l’état physique de Noire.
Ses yeux avaient perdu leur foyer comme s’ils avaient fondu alors qu’un doux parfum enivrant embaumait toute la pièce. On pouvait voir ses mamelons se dresser vers l’extérieur, alors que du nectar débordait de son entrejambes.
Et...
« Mmmnnnn〜〜〜〜 ! » (Noire)
Le corps de Noire enlacé tout en douceur par Eiji s’était un peu raidi puis commença à se tordre.
Sa voix était feutrée en raison de sa bouche bloquée, sinon elle aurait certainement magnifiquement gémi de plaisir.
A-t-elle joui ? Avec juste un baiser ? pensa-t-il.
Bien qu’Eiji ne soit pas vraiment inexpérimenté pour embrasser, il ne s’était jamais considéré comme expert.
Le baiser avec la langue qu’il avait fait pour tourmenter Noire était juste une imitation obtenue grâce aux connaissances qu’il avait acquises dans un magazine.
Jusqu’à quel degré de sensibilité son corps possédait-il pour ne pas pouvoir se prémunir contre une persécution aussi grossière ?
Et combien de temps cette fille hypersensible continuerait-elle à ronronner ainsi ? Eiji se sentait extrêmement excité par cet étrange éveil.
† † †
Il posa délicatement Noire qui manquait d’énergie, et qui venait d’avoir un orgasme, sur le lit. Ensuite, il fit glisser les ficelles de ses sous-vêtements pour ainsi pouvoir les lui enlever.
Bien qu’il ne soit pas complètement enlevé, tout jusqu’à la base de son ventre devint ainsi visible, exposant ainsi complètement sa modeste poitrine.
Ces seins de petite taille étaient légèrement plus petits que sa paume. Avec sur cette peau enneigée, des protubérances roses vivaces bien exposées.
C’était irrésistible pour ceux qui seraient des fétichistes, et même pour ceux qui ne l’étaient pas, ils trouveraient peut-être difficile de détourner leurs yeux de sa si magnifique beauté.
L’obligeant presque à les sucer. Eiji était totalement subjugué par elles.
Cependant, en ce moment, il ne pouvait pas se permettre de se perdre dans ses propres désirs.
Eiji accompagnait Noire dans sa formation pour qu’elle puisse se familiariser avec le plaisir. S’il tombait de nouveau dans la luxure comme hier, alors il attaquerait à nouveau et Noire cacherait probablement immédiatement son endroit si intéressant comme elle l’avait fait avant.
Au contraire, elle pourrait aussi le tuer s’il échouait avec ces choses.
Pour ces raisons, Eiji supprima ses désirs lancinants et sortit les appareils qu’il avait préparés à l’avance pour elle.
C’étaient deux pinceaux et des vibrateurs en forme d’œuf.
« Q-Qu’est-ce que c’est ? » (Noire)
« Maintenant, je vais jouer avec tes seins en utilisant cela. » (Eiji)
« Attends ! Ne viens pas avec des choses si étranges, s’il te plaît. » (Noire)
« Ceci n’a rien d’étrange. J’utilise simplement les gadgets appropriés pour t’offrir un plaisir efficace. » (Eiji)
En disant cela, Eiji rejeta le regard de Noire, tenant un pinceau dans chacune de ses mains alors qu’il caressait la partie inférieure de ces seins à l’aide de ces instruments.
« Mmn ! » (Noire)
Eiji commença à brasser les pinceaux tout en jetant un coup d’œil sur la toute tremblante Noire. En faisant des mouvements circulaires, il visait le sommet en faisant des spirales de plus en plus vers le haut, étant parti de la base de ces monticules. Bien qu’il manque de choses à escalader, cette courte ascension se révéla très fructueuse.
Les pinceaux, une fois montés sur le sommet, ne s’arrêtèrent pas, entrant ainsi en contact avec les aréoles, puis ils commencèrent leur chemin vers le bas, tel un écoulement, descendant vers le bas de ces délicates collines.
Ses mamelons déjà dressés se levèrent de plus en plus de son corps tout tremblant, en réponse à ces mouvements éclair.
Incapable de recevoir un tel stimulus, ses protubérances solitaires tremblèrent. Soudainement, Eiji perpétra une attaque-surprise en caressant ce corps avec les pinceaux dans des mouvements descendant au début, mais ensuite les ramena directement vers le sommet tout en maintenant en permanence le contact avec la douce peau de la demoiselle.
« Aaaahhhhh!? » (Noire)
Se sentant à la fois étonnée et emplie de plaisir, Noire poussa un gémissement aigu dû à l’attaque explosive et soudaine que subissaient ses seins.
Cependant, elle était étonnée qu’au début. Car seul le pur plaisir resta après que l’étonnement fut rapidement disparu.
Ses taches tendres, qui étaient les endroits les plus sensibles de son buste, étaient totalement affolées à l’aide des pointes de ces pinceaux. Il était totalement impossible de s’échapper à cette sensation si agréable.
Cependant, sentant que c’était honteux ce qu’elle faisait, Noire ferma totalement sa bouche d’où elle avait juste avant, poussé un long gémissement rempli de pur plaisir.
« Mmn, Mmmnn, Mmmnnnnn, Fummnmnm » (Noire)
Elle persévéra pour empêcher d’une manière ou d’une autre sa voix de sortir, mais ces pinceaux-là lui faisaient pousser des gémissements à chaque fois qu’ils caressaient ses mamelons très sensibles. Les coins de ses yeux étaient sur le point de faire jaillir des larmes en raison du doux plaisir qu’elle appréciait grandement.
« Tu es assez têtue. » (Eiji)
« Tais-toi ! » (Noire)
« Je ne peux rien faire d’autre pour avancer. Donc, je vais te faire gémir, en te taquinant encore plus intensément. » (Eiji)
« Q-Qu’as-tu prévu de faire ? » (Noire)
Noire montra une expression légèrement effrayée en réponse à la déclaration d’Eiji.
Sous son regard aiguisé, il arrêta de tourmenter les seins de la jeune fille et lança de côté les pinceaux qu’il utilisait jusqu’à maintenant.
« ...Ah. » (Noire)
La voix de Noire se fit entendre, se sentant déçue de voir ces objets, qui avaient délivré à ses seins tant de doux plaisir, partir loin d’elle.
Cependant, Eiji avait déjà saisi les deux vibrateurs à la place où il les avait laissés avant, puis les fixa contre les tétons de Noire avec l’aide d’une bande prévue à cet effet.
« Heu... ? Je ne ressens rien, est-ce normal ? (Noire)
Noire regarda avec dédains ces vibrateurs de la taille d’un œuf de caille qui étaient maintenant attachés contre ses seins, ne sentant aucune stimulation provenant d’eux après qu’ils étaient ainsi fixés sur elle.
« C’est parce que je n’ai toujours pas allumé le commutateur. » (Eiji)
« Commutateur ? Que se passera-t-il si tu l’actives ? » (Noire)
« Ce qui doit se produire. » (Eiji)
En disant ainsi, Eiji activa le contrôle des vibrateurs, les configurant sur la puissance "Moyenne".
Les deux vibrateurs attachés sur les seins de Noire acquirent leurs mouvements et ils commencèrent donc à vibrer. Naturellement, les tétons auxquels ils avaient été attachés avaient également commencé à vibrer avec eux.
« Aaah, Hyaa!? Qu’est-ce que c’est !? Je me sens un peu bizarre... » (Noire)
Noire se sentit perplexe de cette stimulation due aux vibrations qu’elle n’avait jamais ressenties jusqu’à maintenant, une stimulation qui ne pouvait pas être réalisée en utilisant des mains humaines.
« Aahh, Mmmn, Uuu, ça ne me plait pas. Non, pas ça. » (Noire)
Noire secoua la tête en refusant la sensation déchirante et paralysante qu’elle ressentait. Cependant, les vibrateurs attachés à ses seins ne pouvaient pas être affectés par ses paroles.
Les vibrateurs attachés à ses seins se déplaceraient avec elle, même si elle essayait de s’y échapper en tordant son corps. Ils continueraient à lui faire du plaisir jusqu’à ce qu’ils soient retirés.
« Est-ce correct de ne pas empêcher ta voix de sortir ? » (Eiji)
« C’est inutile, ma voix arrive quand même à fuir, peu importe combien j’essaie de l’en empêcher. » (Noire)
« Il semble avoir été plus efficace que ce à quoi je m’attendais. Au fait, Noire. » (Eiji)
« Aaahh, Mmmnn, Hah? Q-Quoi ? » (Noire)
Eiji appela Noire alors qu’elle savourait pleinement son plaisir, tout en gémissant sans aucune retenue.
Alors qu’elle se tournait vers lui pour le regarder, alors même qu’elle sentait qu’elle allait jouir dans très peu de temps, à la suite de ce plaisir si agréable, Eiji lui montra la télécommande des vibrateurs.
« Tu peux utiliser cela pour contrôler leur puissance. Et actuellement, ils ont été mis sur "Moyen", du moins, jusqu’à maintenant. » (Eiji)
« ...Hein ? » (Noire)
Comme s’il était impossible pour elle de comprendre la signification de ses mots, Noire afficha une expression d’incompréhension au début, mais la compréhension se fit de plus en plus visible sur son visage.
Troublée après avoir réalisé l’avenir qu’allait connaitre son corps, Noire se précipita pour l’arrêter.
« A-attends ! S-Sto...!? » (Noire)
Avec un visage raidi par la peur, elle lui indiqua qu’il devait s’arrêter, mais il réussit quand même à augmenter la puissance à "Max" sous ce regard suppliant.
À l’instant même, le volume de bruit émis par les vibrateurs attachés à ses tétons augmenta d’un cran d’intensité.
« Aaaaaaahhhhhhhhh!? Sttttttttttooooooooooppppp !? Je jouis, je jouisssssssssssssss ! Hyaaaaaa !! » (Noire)
Naturellement, non seulement le son, mais les vibrations ainsi que les stimulus subits par ses tétons avaient tous augmenté à ce moment-là.
Expérimentant une sensation extrêmement intense sur ses deux tétons, Noire éjacula tout en arquant son corps se trouvant sur le sommet du lit.
Eiji éteignit les vibrateurs après avoir confirmé la situation.
Après que les vibrations des vibrateurs attachés sur ses tétons se furent arrêtées, Noire laissa retomber sa taille qui tremblait après avoir juste avant, adopté la forme d’un pont sur le dessus du lit alors qu’elle subissait son moment de plaisir.
« Haaahh... Haaahh... » (Noire)
La Princesse-Vampire de la Noirceur était complètement trempée de sueur, se sentant impuissante, incapable de se lever présentement et elle respirait lourdement pour essayer de reprendre son souffle.
†††
Chapitre 6 : Un Clitoris Tout Tremblant
« Hé, Noire, » dit Eiji.
« Quoi ? » répondit Noire.
« Aujourd’hui, allons-nous utiliser ta bouche ? » demanda Eiji.
« Heu !? » s’exclama Noire.
Au lendemain du jour où il l’avait embrassée et avait torturé ses mamelons, Eiji essaya de demander pour une fellation.
Cependant, la réponse que Noire fit à Eiji fut quelque peu percutante. Mais à la place de lui dire qu’elle n’aimait pas l’idée, elle semblait plutôt avoir quelque chose d’autre en tête.
« Ne vas-tu pas le lécher et me le sucer ? » demanda Eiji.
« Quoi... !? Ne plaisante pas avec moi ! Je ne ferais jamais ça, » protesta-t-elle.
« Par tous les moyens... » commença Eiji.
Eiji continua à essayer de la persuader, mais elle ne changea pas d’avis. Elle continuait à rejeter la demande en secouant la tête.
« Trouves-tu ça dégoûtant ? » demanda Eiji.
« Bien sûr, » répondit-elle. « Et en plus, c’est très dangereux. Je suis désolée de te décevoir. »
« Hm !? » dit-il.
À la suite des paroles de Noire, Eiji pencha la tête. Il se demandait s’il y avait une résistance vis-à-vis de la chose d’un homme qui serait inséré dans sa bouche, mais il semblait plutôt que cela soit pour une autre raison.
Après avoir réfléchi à ça. Eiji posa la question qu’il venait d’avoir. « Que veux-tu dire par dangereux ? »
« Quoi... ? Ha. Je pense que j’ai oublié de te le dire, » déclara Noire. « Le Pouvoir Magique est également contenu dans les fluides corporels autres que le sang. Et, bien sûr, cela comprend aussi le sperme. »
« Hein !? Vraiment, » s’exclama-t-il.
« Tout à fait. En plus, le Pouvoir Magique se trouvant à l’intérieur du sperme est plus concentré que celui se trouvant dans le sang, » expliqua Noire. « Est-ce que tu comprends maintenant ? Ceci veut dire que si je bois de ton sperme... »
Juste en buvant quelques gouttes de sang, elle était déjà empêtrée dans un état de quasi-mort. Qu’arriverait-il si elle buvait du sperme qui contenait encore plus de Pouvoir Magique ?
Noire qui devait avoir imaginé une telle chose s’était elle-même étreinte dans ses bras tout en tremblant.
« Que va-t-il se passer ? » demanda Eiji.
« Je ne peux pas l’imaginer, » répondit Noire. « Ceci ne serait pas bizarre si mon cœur s’arrêtait ou si je devenais folle à cause de la trop grande quantité de plaisir. »
« Si c’est le cas. Alors, malheureusement, je dois abandonner cette idée... » répondit le jeune homme.
« Oui, s’il te plaît... » dit-elle.
Bien que ce soit regrettable, mais Eiji avait déjà abandonné l’idée après s’être souvenu de se qui s’était passé hier.
Au cours de l’entraînement effectué hier, ils n’avaient fait que s’embrasser, mais Noire avait quand même fini par jouir. À ce moment-là, il s’était demandé pourquoi si elle était encore si sensible. Mais si le Pouvoir Magique était présent aussi dans d’autres fluides corporels, alors l’histoire changerait totalement.
« Ne me le dis pas. Mais te sentais-tu bien quand tu m’as embrassée ? » lui demanda Eiji.
« Ne me demande pas de me souvenir de ça, c’est bien trop embarrassant ! » répondit Noire.
... Mais bien sûr, la salive contenait également du Pouvoir Magique. Bien que cela soit plus réduit que le sang et le sperme, ceci ne deviendra pas une chose terrible comme ce qui s’était produit avec le sang.
Noire répéta également à plusieurs reprises à Eiji ceci. « Oh, je vais te le dire encore une fois. C’est juste au cas où... mais, s’il te plaît, ne jouis pas en moi. »
« Cela étant dit... Ne me dis pas que ce n’est pas bon que je jouisse en toi ? » lui demanda Eiji.
« C’est pareil dans le sens où le sperme est aspiré par mon corps, » répondit-elle.
« ... c’est donc interdit, » répliqua-t-il.
Bien qu’Eiji n’ait pas joui à l’intérieur d’elle, car il voulait éviter une grossesse, maintenant que Noire lui signalait cette interdiction, Eiji avait eu une sueur froide.
En outre, selon les explications que Noire avait faites après ça, la concentration du Pouvoir Magique était dans l’ordre d’important : Sperme Sang Salive Sueur Urine.
Après avoir eu cette information, Eiji avait plaisanté en disant à Noire de boire son urine à la place du sperme. Mais après qu’elle ait entendu ses paroles, Noire s’était mise en colère.
***
« C’est l’heure ! Allons-nous commencer la formation d’aujourd’hui ? » demanda-t-il.
« D-D’accord... Heu, qu’allons-nous faire aujourd’hui ? » dit-elle.
« Aujourd’hui, nous allons entraîner ton lieu si précieux ! » déclara-t-il.
« Hein !? » s’exclama Noire, très surprise en entant les paroles d’Eiji.
« Alors maintenant, il te suffit de te dévêtir, » ordonna Eiji.
« Mais... » commença-t-elle.
Après avoir été un peu encouragée par Eiji, Noire commença à enlever ses vêtements avec une expression de honte et d’insatisfaction clairement visible sur son visage. Cependant, la demande d’Eiji n’était pas encore terminée.
« Maintenant, reste debout, et montre-le-moi entièrement, » dit-il.
« Hein !? Mais c’est... T-Tout sauf ça... » balbutia Noire.
« C’est correct. Alors maintenant, dépêche-toi, » ordonna-t-il.
« Mais... Je vais me souvenir de ça... ! » menaça-t-elle.
Alors même qu’elle était de prime abord très hésitante, quand elle entendit Eiji l’encourager, elle prit une profonde inspiration. Puis, après avoir renforcé sa détermination, elle avait écarté ses jambes jusqu’à avoir la même largeur que ses épaules. Puis elle posa ses doigts sur son entrejambe, avant d’écarter ses lèvres inférieures afin qu’Eiji puisse bien voir l’intérieur.
« Super. C’est vraiment magnifique ! » s’exclama-t-il.
« C’est trop embarrassant... » réagit-elle après avoir entendu ça.
Alors qu’Eiji regardait à l’intérieur d’elle, Noire était si embarrassée que son visage était devenu totalement rouge. Cependant, elle ne montra aucun signe pour vouloir cacher son entrejambe. De plus, l’intérieur de sa chatte rose était déjà mouillé.
« Tu es déjà mouillée. Es-tu excitée d’être ainsi vue ? » demanda-t-il.
« Certainement pas. C-C’est différent... » répliqua-t-elle.
« Si ce n’est pas ça, pourquoi es-tu déjà si mouillée ? » demanda Eiji.
« Hyaaaaa !? » lâcha-t-elle d’un coup.
Après lui avoir parlé, Eiji avait inséré un doigt en elle. Il s’agissait encore d’un vagin inexpérimenté, mais elle avait instinctivement resserré ses chairs sur le doigt qui s’insérait en elle.
Alors qu’il écartait les lèvres roses, le nectar d’amour commença à couler à flots.
« Alors, n’est-ce pas mouillé ? » demanda-t-il. « C’est trop dégoûtant ! »
« I-Iyaaaa... Ne dis pas ça... » déclara Noire.
« Peu importe ce que tu m’as dit, ça ne changera pas que c’est déjà très mouillé, » dit-il « Houraa, c’est déjà bien le cas ! »
Eiji retira son doigt humidifié par l’entrejambe mouillé de Noire et le lui montra. Elle essaya de détourner le visage dû à la honte, mais Eiji qui l’avait vue réagir ainsi, avait mis son doigt dans la bouche de Noire.
« Nn... !!? » tenta de parler Noire.
Noire qui voulait au départ protester contre cet acte avait fini par comprendre son intention et elle commença à sucer son propre nectar d’amour sur le doigt jusqu’à ce qu’il soit propre. Puis, sortant le doigt de sa bouche, un fil de salive se forma entre le doigt et sa bouche.
« Bon, commençons par la leçon principale ! » s’exclama Eiji.
« Heu !? » S’exclama Noire qui était incapable de comprendre les propos d’Eiji. Elle pencha la tête due à la confusion.
Noire, gardée dans l’incertitude par Eiji, avait fait une expression faciale interrogative. Eiji qui ne disait rien avait pris à la place un pinceau qu’il avait posé sur le lit.
« Hein ! Un pinceau ? » demanda Noire.
« Ah ! Je vais te le faire avec ça, » répondit Eiji.
Tout en disant cela, Eiji déplaça le pinceau se trouvant dans sa main vers l’entrejambe de Noire. Elle pensait qu’elle allait se faire titiller l’entrejambe avec cet objet, alors elle était devenue embrassée pendant qu’elle se préparait à la stimulation de son corps.
Mais, ses attentes furent trahies. Ce n’était pas l’entrejambe vers où se dirigeait le pinceau.
La protubérance de chair se trouvant à son entrejambe supérieure était étalée par son autre main. La chose à l’intérieur était aussi grosse qu’un grain de riz, et elle était touchée par l’air extérieur. En ressentant cette étrange sensation, Noire laissa échapper un mignon petit cri.
« Hyaa..!? » cria légèrement Noire.
Et Eiji, après avoir positionné son pinceau, attaqua le bourgeon de chair qu’elle avait essayé de protéger.
Il l’avait passé tout autour de la protubérance, et pendant ce temps, elle gémissait.
« Hyaaaaaaaaa...! » gémissait-elle. « Merde, cet endroit... ! » Noire qui avait reçu un stimulus plus important avait crié avec cri haut perché.
Son lieu secret était déjà ouvert, mais elle baissa la taille en essayant de fuir ce puissant stimulus...
Alors qu’elle essayait de s’échapper, Eiji le poursuivit et continua à caresse ce bourgeon de viande avec la pointe du pinceau.
« Ahhh !? Arrrrr... tte... Cet endroit... cet endroit est bien trop sensible ! » cria-t-elle. « Haaaaa!!!! »
« Au contraire, ne serait-ce pas commode ? » demanda-t-il. « Car après tout, il s’agit d’une formation pour s’habituer au plaisir. »
« C’est... impossible. Vraiment imposss... » commença Noire, mais elle ne put pas finir sa phrase.
Noire ne pouvait pas supporter la sensation d’être tourmentée à cet endroit avec la douce soie du pinceau. Et elle avait essayé d’enlever la main d’Eiji qui ouvrait son lieu secret. Cependant, juste avant cela, Eiji arrêta son action avant de dire. « Oh, tu auras une punition si tu n’ouvres pas correctement cet endroit. »
« Puni... » gémit Noire. En entendant les paroles d’Eiji, Noire fut incapable de faire quoi que ce soit à la main d’Eiji qui ouvrait son précieux lieu secret.
Dans cet état, peu importe combien elle essaie de s’échapper, elle ne pouvait pas s’enfuir. Il n’y a pas d’autre choix que de supporter le stimulus si irritant.
Noire essaya de l’endurer désespérément, mais finalement, elle ne put pas résister bien longtemps.
« Aaaahh! Merde !!! C’est impossible !! » cria-t-elle. « Haaaa, je jouuuuuuiiii... Aahhhhhh! »
Tout en faisant jaillit un flot de nectar d’amour, la taille de Noire tremblait alors qu’elle était sur le point de jouir.
Il semble qu’elle était prête de s’effondrer et qu’elle sera bientôt incapable de se tenir debout. D’une façon ou d’une autre, elle avait tendu sa main vers le sol et avait soutenu son corps afin de ne pas tomber. Et alors qu’elle était sur le point de jouir...
« La formation est terminée, » déclara Eiji.
« Hein !? Mais... Ç-ça ne peut pas être ainsi ! » s’indigna Noire.
C’était sûrement qu’elle était frustrée de sa propre situation en raison de ne pas avoir put jouir. Elle était si proche du point culminant que cela en étant rageante.
Elle voulait protester, mais Eiji ne l’avait pas laissée faire et l’avait à la place punie.
« Mais... pourquoi... quelle est cette punition ? » demanda-t-elle.
« C’est tout ! Est-ce que ton corps est flexible ? » demanda-t-il en retour.
« Hein !? Oui, je suis très confiante quant à la flexibilité de mon corps, » répondit-elle.
« Bien bien ! Peux-tu placer tes deux pieds derrière ta tête ? Bien sûr, tu peux le faire sur le lit ! » dit-il.
« Hein !? » s’exclama Noire, un peu surprise de la demande.
Tout en faisant un visage étonné, Noire grimpa sur le lit, s’allongea sur le dos comme lui avait demandé de faire Eiji, puis elle plaça ses deux pieds derrière son cou.
Selon elle, elle était confiante dans la souplesse de son corps. Elle avait mis son pied gauche derrière son cou avec assez de marge, puis elle avait soulevé sa jambe droite avant de placer le pied droit derrière son cou.
« Hooo! » s’exclama Eiji.
« Cette posture... elle est trop embarrassante ! » dit-elle.
Noire qui avait pris une pose de yoga sans en connaître la raison était en ce moment dans l’état où elle ne pouvait plus rien faire.
Quand elle se coucha sur le dos avec les pieds croisés derrière le cou, son endroit secret était naturellement clairement visible. Elle l’avait finalement remarqué pour la première fois, et Eiji avait souri en voyant ça. Mais c’était trop tard.
Eiji avait déjà attaché les chevilles de Noire ensemble derrière son cou à l’aide d’une ficelle. Puis, ils avaient attaché les deux mains de la jeune fille aux côtés droit et gauche du lit. Les deux mains avaient été attachées dans une pose semblable à un bonzaï...
« Q-qu’est-ce que tu vas faire là !? » demanda Noire.
Ayant été soudainement attachée, elle devint colérique. Mais elle n’avait pas l’air d’être en colère contre sa position actuelle.
Et elle ne pouvait rien faire afin de cacher son lieu secret dans cette position. Maintenant, elle ne pouvait même plus protéger son entrejambe rose contre l’intimidation.
Eiji qui était satisfait de la position de Noire avait alors sorti l’outil qu’il avait caché.
« ... Hein !? Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce... » Noire regarda Eiji qui avait sorti un outil et elle avait demandé ça avec une expression terrifiée.
« Il s’agit d’un appareil de massage électrique. Il va améliorer la circulation sanguine en vibrant et fera disparaître toute rigidité, » annonça Eiji.
« Vraiment... ? Mais je n’en ai pas besoin de ça, car je ne me sens pas raide, » répondit-elle.
« Je vois ! Mais il semblerait qu’il y ait une zone qui est devenue toute raide, » déclara Eiji.
« Hein !? » s’exclama Noire.
Le regard d’Eiji alla vers le bas. Là, il pouvait voir la protubérance qui était raide et qui avait été titillée jusqu’à maintenant avec le pinceau.
« Ne me dis pas que !!? Merde ! Ne fais pas ça ! Impossible ! C’est faux ! » tenta de dire Noire.
« Qu’est-ce qui est faux ? » demanda-t-il.
Alors qu’elle secouait la tête, Eiji pressa l’outil se trouvant dans sa main vers la protubérance sensible de Noire. Dans quelle mesure sera-t-elle sensible ? Et qu’arriverait-il si sa protubérance avait été affectée par cet outil ?
Tout en tremblant de peur, Noire plaida sans honte, mais ne reçut aucune réponse d’Eiji.
« S’il te plaît, arrête-toi ! N’importe quoi... » plaida Noire.
« Je l’allume ! » annonça calmement Eiji.
« Arrêt...!!! Hyaaaaaaaahhhhhhh !! » Cria-t-elle.
À ce moment-là, Eiji alluma le commutateur tout en ignorant la plaidoirie de Noire. Le son de la vibration qui n’était pas comparable au rotor avait fait augmenter l’intensité de la voix de Noire en un instant.
« Mais... Mais... ! Arrrrttsss ! Je jouuuuuuuiiiiissssss ! » gémit-elle fortement. Noire avait été rapidement précipitée jusqu’à sa jouissance après que l’interrupteur fut allumé.
Cependant, Eiji n’avait pas arrêté ou retiré l’appareil de massage.
Dans sa position actuelle où les deux pieds étaient fixés derrière son cou, même si elle voulait essayer de s’échapper de l’appareil, elle ne pouvait rien faire.
Son corps ne pouvait plus agir selon sa propre volonté. Elle ne pouvait plus que ressentir du plaisir.
Jusqu’à ce qu’Eiji soit satisfait, la seule chose qu’elle pouvait faire était d’accepter la torture qu’il lui faisait.
« C’est assez... ! S’il te ppplaît, c’est asssezzzz...! » Noire plaide désespérément tout en se rapprochant encore de son apogée.
Elle avait ainsi été soumise à une torture sexuelle excessive sur son corps fraîchement consciente de tout ça et était tombée dans un état de frénésie.
« Je jouiissss encore !!! Arrrrrrrrr !! Haaaaaaa!! » cria-t-elle.
Elle ne pouvait plus le supporter. Et ainsi, elle avait déjà joui à de nombreuses reprises.
Noire qui avait été forcée à goûter à d’innombrables jouissances subissait encore et encore des montées de plus en plus puissantes.
« ...!!! » Noire ne pouvait même plus dire le moindre mot. Elle convulsa sous l’intense plaisir qui l’assaillait, la plaçant dans une position encore plus gênante.
Alors qu’elle subissait une stimulation bien trop intense pour elle, ses yeux étaient presque devenus blancs et étaient au bord de l’abrutissement total.
Quand Eiji avait finalement éteint la machine de massage électrique, un liquide légèrement jaunâtre s’était échappé de l’entrejambe de Noire qui subissait encore des jouissances à répétition alors même que l’appareil était éteint.
†††
Chapitre 7 : Chevaucher
« Mou, je vais juste abandonner l’acquisition de ton Pouvoir Magique et simplement te tuer dès maintenant... ! » cria Noire.
« Ne sois pas si effrayante..., » déclara Eiji.
Regardant Noire qui frottait les traces de liens sur ses mains et ses chevilles tout en le regardant fixement, Eiji eut une sueur froide.
En fait, il ne savait pas à quel point elle était forte. Comme elle était une vampire, elle devrait être assez forte pour tuer des humains.
Eiji avait essayé de détourner le regard pour se débarrasser de sa peur, mais Noire continuait de le fixer.
« Il n’y a personne qui ose être aussi violent contre le Souverain Démonique de la Nuit ! » cria-t-elle.
« Tu exagères un peu là..., » dit-il.
« Oh, je n’exagère point ! » répliqua-t-elle.
Il pensait qu’il allait mourir !
Noire avait levé le poing en regardant Eiji avec colère.
Apparemment, un clitoris massé avec un massage électrique semblait trop dur pour elle.
Eiji qui pensait qu’il s’était en effet un peu emporté avait dit afin de se repentir. « Aah, oui. Je dois m’excuser pour ça... »
« ... Je ne vois aucune repentance de ta part, » dit-elle.
Alors qu’il regardait Noire, il commença à enlever les vêtements de la jeune fille.
Face à son action brusque, Noire avait crié avec un visage rougissant. « Kyaaa ! Pourquoi les enlèves-tu si soudainement ? »
« Pourquoi... et bien, c’est pour pouvoir t’étreindre, » dit-il.
« Huh! Il y a encore plus que ça ? » demanda-t-elle.
La Princesse suceuse de sang aux cheveux noirs avait les yeux grands ouverts face à Eiji.
Elle avait été victime de taquinerie. Elle avait été à moitié morte, elle avait été attachée dans une posture de yoga et ses yeux étaient presque devenus blancs.
Elle n’avait pas réalisé qu’elle avait été trompée jusqu’à ce point.
« De plus, tu es la seule qui se sente bien. Et je n’ai pas encore été satisfait, » dit-il.
En outre, cela avait été également ainsi hier.
« C’était..., » dit-elle.
Les mots d’Eiji étaient tout à fait corrects. Hier, ils s’étaient embrassés. Il lui avait également caressé les mamelons, et les avait aussi massés, ainsi que d’autres endroits de son corps. Cependant, lui, il n’avait jamais pu éjaculer.
« M-Mais ! C’est à propos de moi qui dois m’habituer au plaisir et non pas toi qui dois être satisfait, » dit-elle.
« C’est vrai, » dit-il. « Mais dans ce cas, je ne recevrai aucun mérite de le faire ainsi. »
« Muguhh... » cria-t-elle.
Certes, c’était comme l’avait dit Noire, cette situation n’était pas favorable aux deux côtés. Et ils ne commerçaient pas avec de l’argent et d’autres choses du genre.
C’était tout simplement parce que Noire avait besoin de s’habituer au plaisir afin de pouvoir obtenir le Pouvoir Magique d’Eiji. Et donc, elle le faisait simplement pour s’entraîner à ça. À cet égard, il n’y avait pas besoin de satisfaire l’entraîneur.
Cependant, il était également vrai que Noire était la seule à en bénéficier.
Noire pensait qu’elle n’aurait rien à faire, alors elle continua à agir ainsi.
« Bon, j’ai compris, » dit-elle. « Mais, ne fais rien comme tu as fait plus tôt. Mon corps ne tiendra pas plus longtemps. »
Avant ça, Noire, qui avait goûté la torture implacable du massage électrique dans une pose semblable au yoga, avait fortement insisté sur le fait qu’elle ne voulait plus souffrir comme ça.
Après avoir réfléchi un moment, Eiji avait suggéré autre chose à Noire.
« Ha ! À propos de ça..., » dit-il.
« Hein !? » s’écria-t-elle.
***
« Nn... »
Noire se tenait sur ses jambes alors qu’elle s’était placée au niveau de la taille d’Eiji. Elle baissa lentement sa propre taille alors que ses deux mains tenaient son bas-ventre.
Eiji avait proposé la soi-disant position de femme sur le haut que Noire faisait en ce moment.
Si tel était le cas, elle pourrait contrôler le rythme par elle-même, donc ça ne serait pas si désagréable pour elle... Noire l’avait cru et elle avait accepté ça parce qu’Eiji l’avait dit. Mais en fait, il voulait seulement essayer cette position.
Ce qu’Eiji lui avait dit n’était pas un mensonge. Mais c’était embarrassant d’avoir son pénis qui était tenu par ses mains.
C’est une position où la femme était supérieure à l’homme. La position de la femme au sommet était une position qui ne pouvait être accomplie sans mouvements agressifs du côté féminin. En bref, il ne pouvait pas prendre cette position sans sa coopération.
Jusqu’à présent, Eiji était le seul à le faire et Noire était celle qui le recevait. D’un autre côté, dans cette position, elle était la seule à bouger.
Noire faisait lentement déplacer la verge d’Eiji vers son propre lieu secret tout en tremblant. Finalement, la pointe du gland toucha son entrée secrète.
« Ahnn..!? »
... À ce moment-là, elle avait été surprise par la sensation agréable qu’elle n’avait pas prévue, et elle avait brisé sa posture. Ses genoux s’étaient pliés, son corps s’était abaissé et elle s’était par la même occasion accroupie jusqu’à ce qu’elle soit bien assise sur la taille d’Eiji.
Le bâton de viande qui touchait plus tôt l’entrée de son lieu secret s’était violemment inséré dans son vagin et il touchait déjà son utérus en un seul mouvement.
« ──────Kuhugghh..!? »
À la suite de cette intense et soudaine pénétration, Noire ne pouvait plus correctement respirer et elle ouvrait et fermait sa bouche.
Après avoir fait cela pendant un moment, le haut de son corps tomba lentement vers la poitrine d’Eiji.
« Si tu l’as fait ainsi si soudainement, n’est-ce pas que tu es impatiente ? » demanda Eiji.
« C-ce n’est pas vraiment ainsi... S-S’il te plaît, laisse-moi me reposer un moment, » dit-elle.
« Eh bien ! Fais donc ce que tu veux, » déclara-t-il.
Son étroite place secrète s’était détendue en raison des orgasmes en continu qu’elle avait eues plus tôt, mais en même temps, elle stimulait beaucoup le pénis en se resserrant.
En étant juste inséré en elle, il pouvait sentir un doux massage que son vagin faisait sur son pénis, et déjà cela lui faisait se sentir plutôt bien.
S’il bougeait juste un petit peu, il était sûr qu’il pourrait rapidement jouir.
Comme il pensait que cela serait désastreux pour Noire, il décida de se distraire.
Il avait alors commencé à la caresser de haut en bas afin de la mettre à l’aise.
« Hyaaa ! At-Attends... ne m’as-tu pas dit que je pourrais me reposer !? » demanda Noire.
« Je n’ai pas bougé ma taille, n’est-ce pas ? » dit-il.
« Hyaaaah !? Pas ici... » cria-t-elle.
Eiji la caressa encore jusqu’à ce qu’elle finisse par remonter le haut de son corps. Après quoi il décida de toucher et de pincer ses mamelons qui étaient devenus durs et pointus.
L’endroit qu’il avait torturé hier était devenu un interrupteur de plaisir pour Noire.
Alors qu’elle se faisait caresser ses mamelons si sensibles, Noire ne put s’empêcher de vouloir bouger sa taille.
« Tu pourrais maintenant commencer, n’est-ce pas ? » déclara-t-il.
« Je sais, je l’ai déjà compris, » répondit-elle.
Après qu’Eiji lui ait dit ça, Noire souleva lentement son corps avec ses mains posées sur le ventre d’Eiji.
Et élevait lentement son corps jusqu’à ce que le bout du pénis soit presque visible, puis, finalement, elle se laissa brusquement tomber, s’empalant ainsi sur la verge dressée.
« Unmmff, Aaaaahhh... » dit Noire.
Noire faisait de son mieux pour empêcher sa voix de sortir alors que tout cela se transformait en un intense plaisir. Elle essayait de résister en tenant sa bouche avec sa main et le pénis pourrait effectivement toucher tout le long du chemin.
C’était embarrassant.
Tout en essayant de se calmer, Noire avait demandé à Eiji pendant qu’elle déplaçait lentement sa taille de haut en bas. « Comment est-ce ? Est-ce que ça te fait du bien ? »
« Oui, cela fait du bien, mais..., » dit-il.
« Mais quoi ? » demanda-t-elle.
« Si c’était possible, je voudrais une plus grosse impulsion. Comme ça..., » demanda Eiji.
« Mais... qu’est-ce que tu vas faire... haguu !? » demanda-t-elle.
Eiji qui était encore sous Noire avait commencé à bouger ses hanches de haut en bas.
Les ressorts du lit l’avaient également aidé, et ils rebondissaient selon le rythme de Noire qui était sur Eiji.
C’était comme rebondir sur un trampoline, ou monter sur une machine de rodéo. Cependant, en raison de ce rebondissement, un pénis pénétrait profondément à l’intérieur d’elle.
Naturellement, ce mouvement de haut en bas avait été transformé en un stimulus qui frottait le pénis contre les parois du vagin. Et il touchait également son utérus.
« A-Attends... Hyaaaa, c’est trop ! O-Oui, c-c’est bien trop ! Cela... cela touche partout ! » dit-elle.
« Si c’est si faible là-bas, qu’en est-il de ça ? » demanda-t-il.
Tout en disant cela, Eiji changea ses mouvements.
Il déplaça sa taille et transperça tout le trou de chair jusqu’au dos de Noire. Dans cet état, il commença à frotter l’entrée de l’utérus.
Ce doux frottement donna à la Noire un plaisir encore plus violent que le précédent.
« Nonnnn, Passss çaaaaa! Aaaahhh, je jouissssss je jouissssss haaaa je jouisssssss ! Je suis en train de jouuuuuuiiiiirrrrr !!! » cria Noire.
Noire qui venait d’avoir sa jouissance grâce à l’intense friction était lentement tombée sur le corps d’Eiji.
Mais, même si elle était déjà à bout de souffle, Eiji ne voulait pas arrêter.
Il attrapa la zone autour de la taille de Noire et commença à percer l’étroit vagin de Noire avec la force de ses bras dans un intense mouvement de piston.
« Maaaaaiss! S’il te plaaaaaîttt !! Haaaaaa ! Je suis si sensssssible làààààà ! Jeeeee vaaaiiis mourrrrrirrrr...! » cria Noire.
Le vagin qui venait d’atteindre son paroxysme et qui était hypersensible était percé par Eiji qui ignorait Noire qui plaidait sans vergogne pour son pardon.
Noire qui était percée avait commencé à se lâcher totalement dans le plaisir et avait commencé à perdre son raisonnement dû à ce même plaisir. Du coin de sa bouche, un peu de bave avait également commencé à apparaître. D’autre part, Eiji avait bientôt atteint sa limite.
« Je vais bientôt tout laisser sortir..., » dit-il.
« Fwheee ? » demanda-t-elle, confuse.
La princesse-vampire aux cheveux noirs n’était même plus capable de comprendre les paroles d’Eiji. Il voulait tellement jouir à l’intérieur d’elle, mais il se souvenait également qu’elle avait dit de ne jamais jouir en elle.
Inévitablement, il pouvait seulement lâcher l’éjaculation hors du vagin.
« J’y suis presque ! » dit-il.
« Hiaaaaaaaahhh... ! » cria-t-elle.
Finalement, il perça profondément l’intérieur de Noire jusqu’à ce que, une fois de plus, il poussa fortement contre l’utérus de Noire.
Puis, saisissant l’occasion, Eiji avait sorti son pénis hors du vagin de Noire.
Noire avait eu un énorme orgasme à cause de la dernière poussée qu’Eiji lui avait faite ainsi qu’au choc quand le pénis avait frappé ses fesses pendant qu’il sortait d’elle. Au même moment, le liquide blanc provenant du sexe d’Eiji sortit comme une douche en plein sur le dos de Noire qui était encore allongée sur Eiji.
« Ahhnn, c’est chaud, » cria-t-elle.
Noire qui était devenue fatiguée après ses éjaculations répétées avait alors perdu connaissance, et la chaleur dans son dos fut la dernière chose dont elle se souvenait.
Heureusement, elle n’avait pas eu l’occasion de se plaindre vis-à-vis du fait de contrôler le rythme par elle-même.
†††
Chapitre 8 : La Chrysanthème
« C’est absolument hors de question ! » Une voix du rejet résonnait dans la chambre d’Eiji.
Bien sûr, celle qui avait haussé la voix était la princesse des vampires aux cheveux noirs.
Tout en haussant ces sourcils dus au mécontentement, elle avait également fait un signe X avec ses mains croisées devant elle. Son rejet avait été montré à la fois dans le discours et par l’action.
« Es-tu absolument certain ? J’ai l’impression d’avoir déjà eu cette conversation hier, » déclara Eiji.
Hier, Eiji avait demandé une fellation, mais elle avait également refusé de cette manière.
Cependant hier, il y avait une raison claire pour laquelle elle refusait la fellation. Mais maintenant, elle refusait cet autre acte parce qu’elle n’aimait pas la notion.
Ce que la princesse-vampire aux cheveux noirs avait refusé était...
« Le faire dans les fesses... c’est absolument trop étrange ! » déclara-t-elle.
« Je suis désolé pour cet acte étrange ! » dit-il.
C’était ce qu’on appelait le sexe anal.
Certainement, il pourrait être appelé un jeu anormal. Mais il était également inattendu pour Eiji que Noire affiche un tel rejet.
Voyant qu’elle refusait toujours, Eiji avait finalement abandonné.
« D’accord, d’accord... Je vais préparer du thé noir pour améliorer ton humeur, » déclara Eiji.
« En parlant du thé noir, est-ce que tu parles de sachets de thé ? » demanda-t-elle.
« Non. Hier, j’ai acheté des feuilles de thé et un pot..., » commença Eiji.
« Hein !? Vraiment !? » s’écria Noire.
Noire était vraiment heureuse quand on lui offrait du thé noir. Elle avait l’air de ne pas s’y attendre.
Apparemment, sa mauvaise humeur avait également été emportée en un instant.
« Aah, il faut attendre un peu que l’eau bouille, » dis-je.
« Je peux si c’est juste ça..., »
Eiji regarda avec un sourire amer l’apparence heureuse de la princesse-vampire et alla à la cuisine afin de faire bouillir l’eau.
Il déchira ensuite le cachet contenant les feuilles de thé qu’il avait achetées et en sortit l’équivalent de trois cuillères à thé qu’il versa dans le pot.
Il referma ensuite le couvercle et attendit qu’il fasse un peu de vapeur. Puis il versa le thé dans deux tasses qu’il avait préparées pour ça.
Finalement, il apporta les deux tasses sur un plateau et en présenta une à Noire.
« Alors, vas-y, » dit-il.
« D’accord, merci, » répondit-elle.
Après que Noire eut reçu la tasse de thé, elle l’apporta d’abord jusqu’à son nez afin de pouvoir profiter de l’odeur.
Satisfaite de l’odeur, elle avait alors amené la tasse de thé vers sa bouche et y avait bu une gorgée.
« Les feuilles de thé semblent plutôt bonnes. Elles ne sont pas mauv..., » déclara-t-elle.
Soudainement, le corps de Noire se mit à trembler. Et elle avait l’air de vouloir dire quelque chose.
Elle posa la tasse qu’elle tenait entre ses mains sur la table et elle posa ses mains sur sa poitrine comme pour retenir son cœur.
Au moment où elle était sur le point de tomber au sol, Eiji la prit dans ses bras.
« C-C’est... !? » demanda-t-elle. « Est-ce le thé qui a... !? »
Noire qui était maintenant consciente de la soudaine ondulation qui se propageait dans son corps regarda celui qui avait préparé le thé. Parce qu’elle était la seule autre personne à l’intérieur de la pièce.
« Aah, j’ai caché un peu de mon sang dans ta tasse, » dit-il.
« Hein !? Q-Que veux-tu dire par là ? » demanda Noire.
Intrigué et en colère, le visage de Noire se colora lentement d’excitation.
Bien qu’elle regagnait peu à peu de la force, son nectar d’amour avait déjà commencé à couler de son entrejambe.
Parce qu’il était mélangé avec le thé noir, l’effet du sang était plus faible. Mais bien qu’il soit plus réduit, il lui était toujours impossible de gérer le Pouvoir Magique qu’Eiji lui avait donné.
Et aussi, il était déjà impossible pour elle de se lever toute seule.
Eiji avait porté Noire, qui ne pouvait plus résister, jusqu’au lit.
Et parce qu’il avait mis un futon roulé sous son ventre, sa posture était maintenant celle où son cul était levé vers lui.
Alors que Noire était embarrassée et protestait en silence, Eiji releva sa jupe.
« Hyaaaaa !!? » cria-t-elle.
Eiji avait mis ses mains sur sa culotte noire qui était de la couleur opposée à sa peau blanche et l’enleva lentement. Bien sûr, à cause du nectar débordant, sa culotte était déjà mouillée à la place où elle était en contact avec son entrejambe.
Les fesses en acier inoxydable de Noire, qui finirent par être exposées, rappelaient la pleine lune flottant dans le ciel nocturne.
« Ooh! Il semble si doux au toucher, » constata-t-il.
« N-Ne ne le touche pas ! » répliqua Noire.
La quantité de chair était réduite, mais la peau était douce au toucher.
Noire qui avait tenté d’échapper à son contact n’avait pas la force de le faire.
Après qu’il eut senti ses fesses pendant un moment, il passa finalement au plat principal. Il plaça ses mains sur les fesses gauche et droite, puis il les écarta pour lui faire ouvrir les fesses.
Le trou qui avait alors montré son visage était telle une fleur de chrysanthème caché dans une chaîne de montagnes.
« Hi-Hiyaaaaaaa... !!? » cria-t-elle.
Le trou sale et honteux de Noire avait été montré, et elle avait crié à cause de son embarras.
Cependant, la véritable attaque sur ses belles fesses ne commençait que maintenant.
Eiji avait pris une courte pause puis il commença à rapprocher son visage de son anus et...
« Fuuuuu... » souffla-t-il.
« Hyuuu !? N-Ne ne fait pas ça !! » demanda Noire.
Après qu’Eiji souffla de l’air vers l’anus, elle y répondit par des secousses.
Noire suppliait Eiji d’arrêter, mais Eiji l’ignorait et continuait à souffler.
« Hyaa ! Aahuu ! Uuaaa! » gémit-elle.
Chaque fois qu’Eiji soufflait de l’air sur l’anus, cette zone ne cessait de trembler à cause du plaisir. Pour faire face à cette sensation sans contact que subissaient ses fesses, Noire saisit les draps fermement alors que son visage se colla contre le lit.
Quand Eiji cessera de souffler, elle perdit sa force et tomba comme si elle était fatiguée.
« Haa...haa... haa... » gémit-elle.
Et puis, Eiji se déplaça jusqu’à la prochaine étape vers la princesse-vampire qui était encore sous le coup de la fatigue alors que sa respiration était haletante.
Il écarta les fesses avec son pouce et son majeur de la main gauche.
Et puis, il toucha et chatouilla l’anus avec sa main libre.
« Hyaaaa !? Haaaaa... ! C-C’est sale !!! Ne me touches pas là... !! » cria-t-elle.
Le sang d’Eiji qui était mélangé avec le thé noir était seulement quelques gouttes. Et Noire n’avait bu qu’une gorgée. La quantité totale de sang qui avait été absorbée par son corps était donc assez faible.
Par conséquent, ce n’était nullement la même chose que ce qui s’était produit le premier jour où elle avait failli s’évanouir. Et son esprit et ses paroles étaient toujours clairs.
Mais même si son esprit était clair, dans un tel cas, il devenait inutile.
Le fait de pouvoir penser avec clarté ne l’aiderait certainement pas à éviter la honte.
Et le visage de Noire était déjà rougi par la honte d’avoir été touché au niveau de son cul... Et elle avait donc essayé de le cacher en poussant son visage dans un oreiller.
Il s’agissait d’un acte afin de se cacher dû à sa honte. Mais elle n’avait pas remarqué qu’elle sentait bien mieux les doigts qui dansaient sur le bas de ses fesses depuis qu’elle avait elle-même scellé sa vision.
Alors que le doigt se déplaçait afin de tracer les bords de l’anus, l’anus en entier se contractait et son dos tremblait.
Alors que son anus se contractait, on dirait qu'il souhaitait accueillir ce doigt. Tout en savourant cette scène, Eiji éclata de rire.
Après que ce rire eut été entendu, Noire continua de secouer la tête alors qu’elle se recroquevillait avec toujours la tête dans l’oreiller.
Puis, Eiji déplaça ses mains sur les fesses de Noire.
Il avait ensuite mis son index des deux mains sur les bords de l’anus, puis, lentement, il les avait écartés afin d’élargir l’anus de Noire.
Puis il regardera à l’intérieur de la jeune fille qui semblait être comme si elle avait ouvert une nouvelle bouche.
« Arrête... N-Ne ne regarde pas là !!! Cette place... !! Ne regarde pas à l’intérieur !! » demanda-t-elle.
« Ce n’est pas grave si tu es timide. Tout le long, la chaire possède une belle couleur rose..., » répondit Eiji.
« ...!? »
La honte qu’elle ressentait d’avoir quelqu’un qui regardait à l’intérieur de son anus suffisait déjà à lui donner envie de mourir. Et Noire poussait un cri tout en poussant son visage vers l’oreiller qui étouffait ses cris.
Noire qui poussait toujours son visage contre l’oreiller ne voyait pas ce qu’Eiji allait faire.
Bien sûr, même si elle avait vu ce qu’Eiji allait faire, elle ne pourrait rien faire pour l’arrêter.
« Huiiii!? »
Noire sentit soudainement une douleur et une pression au centre de son cul. Et puis, Noire poussa un petit cri avec une faible sensualité présente dans sa voix.
Quand elle leva la tête de l’oreiller et regarda derrière elle, ce qu’elle vit, était le petit doigt de la main droite d’Eiji qui se cachait à l’intérieur de son anus.
Compte tenu de ce qu’elle avait ressenti plus tôt, ce qu’il avait fait pouvait tout à fait être imaginé. Eiji avait poussé son petit doigt dans l’anus.
« Que... qu’est-ce que... ? ... un do-do-doigt !? » Maiiii... tu as poussé ton petit doiiiight dans mon anuuuss... » Elle gémissait due au plaisir qu’elle ressentait en ce moment.
Et quand il commença à tourner son doigt dans cette situation, son intérieur fut comme tordu et une friction put être ressentie. Face à cette sensation qui apparaissait en elle, Noire avait soudainement haussé sa voix.
Alors qu’elle essayait désespérément de se dire que la sensation qu’elle ressentait depuis son anus était désagréable, elle ne remarqua pas qu’un flot de nectar d’amour coulait déjà de son vagin et cela en très grande quantité.
Pourtant, elle l’avait réalisé dans son cœur. Alors elle commença à supplier Eiji d’arrêter la torture.
« S-S’il te plaît... Sors-le de là..., » dit-elle.
« Aah, d’accord, » dit-il.
« Hafuu...Fueeehhhh !? Pou-Pou-Pourquoi !??? » demanda-t-elle.
Face à Noire qui suppliait qu’il retire son doigt de son anus, Eiji le sortit docilement. Mais au moment où Eiji sortit totalement son doigt, Noire sentit un plaisir au niveau de ses fesses et elle laissa échapper un gémissement inattendu.
Cependant, bien que Noire laissa échapper un gémissement dû au fait d’être soulagée du doigt qui était finalement sorti d’elle... Elle fut confrontée à ce doigt, et elle laissa soudainement échapper un son insensé.
D’ailleurs, c’était son annulaire qui était un peu plus épais qu’il avait inséré à ce moment-là...
« Nous élargissons lentement ton anus en le faisant comme ça, » dit-il.
« I-I-Iyaaaaa... Je ne veux pas de ça... !! » gémit-elle.
Noire avait sérieusement détesté Eiji et ses tortures, mais sa résistance avait été affaiblie dès qu’il avait commencé à bouger son doigt en elle.
Le sentiment de pression était toujours là, mais la douleur qu’elle ressentait plus tôt avait disparu. À la place, Noire sentit un plaisir engourdissant qui venait de ses fesses. Ce plaisir rampa à travers sa taille et alla jusqu’à sa tête.
Pour qu’elle puisse ressentir quelque chose comme ça, il était indéniable qu’elle se sentait emplie par un profond plaisir.
†††
Chapitre 9 : Expérience anale
« ... N...Kuu... »
Noire était allongée sur le ventre sur un futon roulé. Elle levait ses hanches tout en essayant désespérément de maintenir sa posture.
Il s’agissait d’une posture considérablement difficile à maintenir en raison de l’état de pliage de son corps, mais elle n’avait pas le choix, car cela ne conduirait qu’à une punition plus douloureuse si elle refusait de le faire.
En ce moment, deux doigts d’Eiji étaient insérés dans son anus. La totalité de son index et de son majeur était enveloppée par la chair, le perçant profondément. Les deux doigts tournoyaient comme s’ils tentaient de creuser ses intestins.
Même si auparavant elle avait du mal à laisser un doigt à l’intérieur, son entrée... bien que plus petite que le phallus d’un homme... avait pris de l’expansion au point où elle pouvait assez facilement avaler deux doigts en même temps. Cependant, elle n’avait même pas le droit de se laisser aller à ce fait désespérant.
Quoi qu’il en soit, les deux doigts qui s’inséraient en elle étaient placés dans une position où ils ne l’atteindraient pas si elle ne gardait pas ses hanches poussées vers le haut.
Si Noire n’avait pas désespérément essayé de pousser sur ses hanches et qu’elle s’était baissée, le doigt d’Eiji n’aurait pas été en train de creuser violemment dans son cul.
Certes, il n’y avait rien de plus embarrassant que d’avoir à se tenir ses fesses en l’air pour qu’il puisse être en elle, mais la peur de ce qui lui arriverait si elle s’arrêtait là maintenait, était présente.
« ... Fu... ku... fua... fua... »
Des perles de sueur avaient commencé à apparaître sur son front alors qu’elle continuait à pousser ses hanches vers le haut. Cependant, elle approchait de ses limites et ses bras avaient commencé à trembler.
Naturellement, il était presque impossible pour elle de réfréner les tremblements dans sa taille et elle tremblait de plus en plus. Cependant, ce faisant, elle avait fini par faire frotter ses entrailles contre les deux doigts qui avaient été profondément insérés en elle.
Ironiquement, elle avait fini par ressentir du plaisir qui lui était procuré par l’intermédiaire de son propre anus.
« ... Uaaa... afu... su... super... bien... »
Avoir deux doigts enfoncés profondément à l’intérieur d’elle aurait dû être douloureux au possible, mais elle s’y était habituée au bout d’un certain temps.
Une fois qu’elle s’était habituée à la pression, la douleur qu’elle ressentait après avoir été légèrement caressée à l’intérieur s’était transformée en quelque chose d’autre.
Elle avait commencé à se sentir excitée par les zones qui étaient touchées et une étrange démangeaison avait commencé à s’accumuler dans la région de ses hanches.
Une chaleur intense avait balayé sa tête et elle avait commencé à être proche de l’évanouissement.
Sa conscience floue ne pouvait plus faire face aux sensations qui ne cessaient de croître dans ses hanches, et ainsi...
« Fuaaaaaa... »
Ses hanches tremblaient brièvement, s’affaiblissant sous la pression.
Sentant les deux doigts d’Eiji frotter l’intérieur de son anus, Noire avait poussé un gémissement coquet.
« Afu, fua, hyaaaaaaaaa ! »
Réagissant à ces stimuli intenses, Noire avait commencé encore plus à bouger ses hanches avec frénésie. C’était comme si elle se frottait délibérément contre les doigts d’Eiji.
Cela aurait été trompeur de le dire autrement, considérant le fait que c’était exactement ce qu’elle faisait. En ce moment, il était évident qu’elle utilisait les doigts d’Eiji pour se masturber plus facilement.
« Ev... même si... c’est mon trou du cul... fuaa ! Mes hanches, mes hanches ne s’arrêtèrent pas. Ah, non... non... je suis en train de jouir ! » gémit Noire.
Noire était consciente de son apparence disgracieuse, bougeant ses propres hanches et atteignant l’apogée en utilisant ce trou. Néanmoins, ces sentiments de honte et de corruption en elle n’avaient fait qu’accroître son excitation.
Les mouvements rudes de ses hanches avaient atteint leur apogée et elle était au bord de la jouissance.
Eiji la regarda en lui tendant la main et attendit le moment parfait, en tordant ses doigts pour la caresser plus violemment.
Eiji déplaçait ses doigts en essayant de se synchroniser avec le mouvement de hanches de Noire. Noire n’avait pas pu le supporter plus longtemps et avait finalement atteint son apogée.
« Ahii !? Hyaaaaaaaaaaaaaa... !?? »
Elle avait levé les hanches en l’air et avait lâché un gémissement obscène alors qu’elle subissait un orgasme extrêmement fort.
Son corps, qui était devenu raide à cet instant, tremblait lorsqu’elle commençait à avoir des spasmes. Elle avait ensuite perdu toute sa force et s’était effondrée dans le lit.
« Hyaaa !?? »
Soudain, alors qu’elle était épuisée sur le lit, les doigts oisifs d’Eiji à l’intérieur de son anus avaient recommencé à creuser et avaient amené Noire à sa deuxième jouissance en un instant.
« ... mmph ! »
Ayant été forcée d’éprouver un plus grand plaisir avec ce nouvel orgasme, Noire avait perdu la capacité de parler pendant que son corps tremblait.
Avec son entrejambe débordant de jus d’amour, la princesse vampire s’était effondrée.
Son anus avait été desserré et exposé par le doigt d’un homme et ses entrailles roses avaient été profanées.
Alors qu’il voyait le contraste entre son apparence assez jeune et son anus obscène, Eiji avait avalé sa salive.
S’il laissait passer cette occasion, il n’aurait probablement pas la chance de profiter à nouveau de ce genre d’expérience.
Alors qu’il pensait à ça, il enleva rapidement ses vêtements, puis attrapa la taille de la jeune fille qui était allongée sur son ventre sur le futon roulé, et cibla son anus gonflé.
« Fue ? Qu’est-ce que tu es... ? » demanda Noire.
Alors qu’elle avait senti la sensation de chaleur sur son cul qui avait secoué tout son corps épuisé, elle avait finalement remarqué l’existence de quelque chose qui semblait être sur le point de s’insérer en elle par son anus.
Ce qui touchait son anus était la silhouette effrayante d’un pénis qui essayait de s’insérer en elle.
Le visage de Noire pâlit lorsqu’elle essaya d’arrêter Eiji. « Non !? S... sto... higuuuu !?? »
Elle n’avait pas pu se plaindre jusqu’à la fin à cause du phallus qui envahit son corps alors qu’elle criait en raison de son angoisse. « Aguuuuuu, kuu, ça fait mal. Impossible, il n’y a aucune chance que... »
Même après avoir eu son anus se soit desserré et élargi par deux doigts, le pénis de premier ordre d’Eiji était encore plus gros que ses deux doigts combinés.
Alors qu’il tentait de forcer l’entrée dans l’anus de Noire qui était encore trop serré, Noire hurla à l’agonie.
Réalisant qu’il ne serait pas capable d’insérer son phallus, il avait abandonné l’idée pour l’instant et avait à la place inséré son pénis dans le trou humide présent sous l’anus de Noire.
« Auuuuuuuuuu !? Pourquoi as-tu soudainement... !? » demanda Noire.
Contrairement à quand il l’avait fait dans l’anus, son pénis avait été joyeusement accueilli par le vagin de Noire.
Même si une verge s’était enfoncée profondément en elle, elle ne ressentait aucune douleur, mais seulement du plaisir. Son trou indécent qui était exploité tenait fermement le pénis profondément et avec plaisir.
Néanmoins, Eiji n’avait pas inséré son sexe à l’intérieur de sa cible principale. Après avoir poussé plusieurs fois, il l’avait rapidement fait sorti hors du vagin de Noire.
« Fue !? Qu... pourquoi ? » demanda Noire ?
Accompagnée par le bruit du pénis qui s’échappait, Noire le regarda en suppliant. Cela ne peut être vu que comme un appel demandant à Eiji de continuer ce qu’il faisait avant ça.
Cependant, le pénis qui s’était échappé n’était pas retourné dans le vagin. À la place, il avait repris son attaque sur l’anus qu’il n’avait pas réussi à envahir la dernière fois.
« Hé, hiii... encore !?? » s’exclama Noire.
Eiji avait essayé de forcer cette chair dans les profondeurs de l’anus de Noire tout comme avant.
La friction était la même qu’avant, mais comme du jus d’amour avait trempé quand il était allé dans le vagin et qu’il agissait comme un lubrifiant, cela avait lui permis d’enfoncer lentement son phallus dans les profondeurs de sa cible. Voilà la raison qui l’avait fait d’abord insérer son pénis dans le vagin de Noire.
Eiji avait poussé sa tige de chair profondément à l’intérieur jusqu’à ce que son pénis soit complètement enfoui dans le trou offert.
« U, uaaaaa...C’est à l’intérieur, ce truc épais est. S’il te plaît... s’il te plaît. Ne bouge pas, » Noire supplia Eiji de ne pas bouger.
En vérité, Eiji ne pouvait pas non plus se déplacer librement parce que son pénis était si serré dans l’anus de Noire. Même s’il essayait de forcer son chemin en utilisant la force brute, elle ne ressentirait probablement rien d’autre qu’une douleur extrême. En fin de compte, le but d’Eiji n’était pas de tourmenter Noire en lui provoquant de la douleur.
Il était resté immobile pendant un certain temps, en attendant qu’elle se calme.
Quelques minutes plus tard, la respiration de Noire s’était progressivement calmée après avoir souffert de la douleur antérieure.
Sentant que la force de serrage dans ce cul s’affaiblissait chaque fois qu’elle expirait, Eiji avait décidé d’observer la situation pendant encore un petit moment. Après quelques respirations supplémentaires, Eiji avait décidé que c’était le bon moment et avait sorti avec résolution sa verge.
« Afuuuuuuu !? Ne t’ai-je pas dit de ne pas bouger ? » s’exclama Noire.
« Mais on ne peut pas rester comme ça pour toujours, n’est-ce pas ? » demanda Eiji.
« C’est vrai... mais, ne peux-tu pas en finir avec ça ? » demanda Noire.
« Ah, alors je vais finir pour cette fois, » déclara Eiji.
« Hein !? » s’exclama Noire.
Eiji avait répondu en arrêtant de retirer son pénis, et inversement, il poussa pour aller au plus profond de toutes ses forces.
Faisant exactement le contraire du mot « finir », Noire avait soulevé une protestation. « Aguuuuuu, je croyais que tu avais dit que tu avais déjà fini !? »
« J’ai dit que j’allais finir au moins une fois, n’est-ce pas ? » répondit-il.
« Je... Je ne voulais pas dire ça comme ça... aguu !?? » s’écria Noire.
Tout en lui parlant, il s’était retiré une fois de plus et l’avait poussée profondément à l’intérieur d’elle, encore et encore.
Il s’était lentement retiré, mais quand il avait repoussé à l’intérieur, il l’avait fait d’un seul mouvement jusqu’à atteindre les profondeurs de l’anus.
Avant qu’elle ne s’en rende compte, Noire avait commencé à bouger ses hanches comme si elle essayait de faire correspondre le rythme. Inutile de dire qu’elle ne savait pas qu’elle bougeait ses propres hanches.
« Ah, ah, ah, ah, bizarre, je me sens bizarre, » murmura-t-elle.
« Qu’est-ce que c’est ? » demanda-t-il.
« Pourquoi suis-je, avec mon anus... pourquoi ? » demanda Noire.
Noire était déconcertée par le fait qu’elle ressentait du plaisir par ce trou.
En entendant cela, Eiji avait involontairement ri et s’était arrêté de faire son mouvement de va-et-vient.
« Pourquoi demandes-tu ça ? C’est évidemment parce que tu es une perverse qui prend plaisir qu’on jouer dans son cul, » déclara Eiji.
« N... non, je ne suis pas... je ne suis pas une perverse ! » protesta Noire.
« Dans ce cas, peux-tu m’expliquer pourquoi tu bouges tes hanches ? J’ai arrêté de bouger il y a un moment déjà, » déclara Eiji.
« Ah..., » s’exclama Noire.
Tout comme l’avait dit Eiji, il ne bougeait pas en ce moment. La seule qui bougeait était Noire.
Elle bougeait ses hanches de son propre gré pour se faire plaisir. Même après s’en être rendu compte, elle était toujours incapable d’empêcher ses hanches de bouger.
En réalité, la raison pour laquelle elle sentait aussi bien n’était pas vraiment parce qu’elle aimait se faire percer l’anus. C’était à cause du pouvoir magique qui se trouvait dans le liquide pré-éjaculatoire d’Eiji qui était désormais présent à l’intérieur de son corps.
Bien que l’effet du liquide soit faible par rapport au sperme d’Eiji, il était toujours aussi puissant que le sang d’Eiji et il avait l’effet de faire tomber les vampires dans le plaisir.
Néanmoins, Noire ne s’en était pas rendu compte et elle avait fini par envisager sérieusement la possibilité qu’elle ait pu être une perverse qui éprouvait du plaisir qu’on joue dans son anus.
« Je ne peux pas m’arrêter, je ne peux pas du tout m’arrêter. Pourquoi ça, alors même que c’est si embarrassant ? Mon cul... se sent si bien... » demanda Noire.
« Tu l’as finalement admis. Alors, c’est l’heure du dernier sprint, » annonça Eiji.
Après s’être temporairement arrêté, Eiji avait finalement saisi la taille de Noire et avait commencé à bouger. De plus, il bougeait encore plus intensément qu’avant.
Après avoir réalisé le plaisir intense qu’elle ressentait en provenance de son anus, Noire ne pouvait plus résister à l’orgasme qu’elle était sur le point de vivre.
« Ahyaaaaaaaaaaa, ha, c’est trop intense !?? Il n’y a aucune chance que je puisse supporter ça. Je jouis, jouisssssss... je jouisssss, je suis en train de jouir... ahhhhhhhh, » cria Noire.
« Ah, j’éjacule... ! » gémit Eiji
« Mmph !? Hyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... ! » cria Noire.
Il avait à peine réussi à sortir son pénis avant de tout libérer. Son sperme avait été projeté avec force sur les fesses de Noire. Elle avait senti le liquide chaud éclabousser son corps pendant que son orgasme la faisait intensément frémir.
Son corps avait continué à subir des spasmes pendant un bon moment avant qu’elle ne s’évanouisse et ne tombe sur le lit.
†††
Chapitre 10 : Repos
Hmmm 〜.
Le lendemain, après le tourment de plaisir sur l’anus par Eiji, Noire avait fait une moue et faisait continuellement un bruit boudeur pendant toute la matinée. En effet, c’est comme pour dire : je suis en colère.
Naturellement, les zones rouges comme l’automne fleurissaient à nouveau sur les joues de l’Eiji. Et ce n’était pas d’un côté, mais des deux côtés cette fois. C’était un châtiment de la part de Noire, qui s’était fait mettre en boule, qui s’était fait piéger, et en plus, qui avait été trompé. Elle ne semblait pas s’en être contentée et elle boudait encore.
« Pffff !? » Avec un bruit idiot, la joue droite bouffie de Noire s’était plissée.
Bien sûr, cela ne veut pas dire qu’elle était de nouveau de bonne humeur en si peu de temps. Les joues gonflées avaient juste été touchées par un doigt, et seul l’air stocké à l’intérieur avait été expulsé.
Elle ne regarda pas la personne qui avait fait un tel méfait, alors que la main avait été durement écartée.
« Tu es de mauvaise humeur depuis ce matin., » déclara Eiji.
« S’il te plaît, mets ta main sur ta poitrine et écoute-moi, » déclara Noire.
« Hein ? D’accord, » déclara Eiji. « Eh bien, sans réserve. »
« AFUUU ! ? Attends, quoi... !? » s’écria Noire. « Qui t’a dit de toucher ma poitrine ? »
Eiji posa sa main sur la poitrine de Noire et il la caressa légèrement, Noire qui réagissait d’avoir une main sur sa poitrine afficha un regard boudeur, alors qu’elle faisait la moue. Honnêtement, la sensation produite par une petite poitrine semblait lui faire penser que cela n’était pas tout à fait suffisant.
Mais elle devint tendue en poussant involontairement un soupir de plaisir, visiblement stimulée au niveau de la poitrine qui était touchée par des doigts avec précision. C’était clair en raison des mamelons qui se relevaient le dessus du tissu. Mais comme pour contester ça, elle se leva afin de se mettre en colère.
« Enfin, tu fais face par ici, » déclara-t-il.
« Hm... »
Quand Eiji avait affiché un visage heureux, Noire n’avait pas pu le gronder et s’était de nouveau assise. Non, en fait, il peut être plus juste de dire qu’elle s’était tue plutôt que de dire qu’elle s’était fâchée. Au lieu de l’arrêter, elle avait passé ses nerfs sur lui alors qu’elle avait émis une aura bouillante, mais aussi plus tenace.
Avec elle dans un tel état, Eiji secoua son épaule et soupira.
« Était-ce si désagréable de sentir ça dans ton cul ? » demanda-t-il.
« C’est évident, » répliqua Noire. « Je trouve ça désagréable d’être touché comme ça. »
« Mais ça fait du bien, n’est-ce pas ? » demanda Eiji. « En fin de compte, tu as secoué ta taille de ton propre chef. »
« Gu ! ?? c-c’est-à-dire..., » balbutia Noire.
Noire changea son expression de colère vers une expression honteuse face à Eiji.
†††
Bien qu’il y avait une sensation désagréable au niveau de son trou du cul, c’était un fait qu’elle avait agité ses hanches et avait atteint sa jouissance quand elle avait senti du plaisir provenant de son trou du cul.
Il n’était pas possible de trouver une excuse pour dire qu’elle ne le ressentait pas puisqu’elle avait exposé la vérité sans rien pouvoir cachée.
Bien qu’elle soit encore de mauvaise humeur, il y avait peut-être aussi de la colère envers soi-même qui avait eu du plaisir en raison de ce trou impur. Bref, elle se détestait elle-même.
« Je pense que j’ai aussi fait de mauvaises choses en te forçant à le faire, » déclara Eiji. « Donc je suis ici pour te parler de quelque chose... »
« Quoi ? » demanda Noire.
« Veux-tu sortir jouer quelque part ? » demanda Eiji. « C’est malsain de rester à la maison tout le temps. »
Face à cette proposition inattendue, Noire cligna des yeux. Elle ressemblait à une jeune fille à l’apparence appropriée à son âge.
Après avoir réfléchi pendant un certain temps, elle demanda avec enthousiasme. « Vas-tu bien m’escorter, hein ? »
« Oh, je te guiderai correctement en guise d’excuses. Princesse, » déclara Eiji.
Eiji avait tendu la main pour montrer qu’il le ferait. Noire lui avait pris la main bien qu’elle boudait encore un peu.
†††
À cette heure encore rafraîchissante du matin, les deux individus marchaient côte à côte le long de la route.
Noire portait toujours sa robe noire habituelle... C’est une robe noire qui avait été trouvée quelque part d’inconnue. Comme on pouvait s’y attendre, on avait l’impression qu’elle se démarquerait aux yeux du public avec cette robe si extravagante.
« Ce qui me fait me souvenir qu’à cette heure..., » balbutia Eiji.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda-t-elle.
« Noire, est-ce que cela va même si tu es touchée par le soleil ? » demanda Eiji. « La légende sur les vampires est-elle un mensonge ? »
Face aux mots des Eiji qui demandaient ça en marchant dans la rue, Noire avait montré un regard compréhensif.
Il faisait beau dehors et les rayons du soleil la touchaient.
Cependant, Noire ne s’en préoccupait pas. Elle avait remarqué qu’elle n’avait pas vu le soleil le lendemain de sa rencontre avec Eiji. Jusqu’à présent, elle l’avait presque oublié, car elle était dans la pièce.
« Certaines de ces légendes sont vraies, mais la plupart sont de fausses rumeurs ou des malentendus, » déclara Noire.
« fausse rumeur ou malentendu ? » demanda Eiji. « Et plus précisément, cela donne quoi ? »
« Comme tu le sais, c’est vrai qu’on suce du sang. Mais, il n’y a aucune chance que je ne puisse pas traverser l’eau courante, et je ne me brûle pas en touchant de l’argent. La croix n’a non plus aucun effet, » répondit Noire.
« Ne dis pas que tu ne meurs pas si on te poignarde le cœur avec un tas de bois blanc ? » demanda Eiji.
« Attends... Même si je ne suis pas une vampire, je mourrai, » déclara Noire.
« Tu as tout à fait raison, » déclara Eiji.
Certes, comme elle le disait, il n’y avait rien de vivant qui puisse survivre au coup de couteau au cœur. Ses paroles selon lesquelles elle mourra, qu’elle soit une vampire ou non, étaient convaincantes.
De plus, Eiji comprenait mal « Le vampire meurt lorsqu’il est poignardé au cœur avec un morceau de bois blancs » plutôt que « Le vampire ne peut mourir que si le cœur est percé par un morceau de bois blancs » qui était la bonne réponse. On dirait la même chose, mais c’était très différent.
« Je n’aime pas l’ail... Ce n’est pas une faiblesse, mais je n’aime pas l’odeur, » déclara Noire.
« En d’autres termes, ce n’est pas une faiblesse, est-ce juste une sorte de préférence alimentaire, » déclara Eiji.
« Peut-être devrais-je dire que c’est bel et bien une préférence alimentaire, parce que notre odorat est plus fort que celui des humains, » déclara Noire. « Ce n’est pas seulement moi, je parle aussi d’autres vampires. La première chose dont nous avons parlé était la lumière du soleil... C’est vrai que les vampires ordinaires sont vulnérables à la lumière du soleil, mais ils ne se transforment pas en cendres en un éclair comme dans la fiction, mais brûlent lentement, et leur puissance est réduite de moitié. »
« Hm ? Vraiment ? » demanda Eiji. « Mais Noire, tu sembles aller bien. »
Eiji regarda la partie exposée de la peau d’une jeune fille aux cheveux foncés qui marchait à côté de lui avec un visage étrange, elle était blanche et belle et il ne voyait aucun signe de brûlure. Il ne pouvait pas dire d’après l’apparence qu’elle avait vu son pouvoir être réduit de moitié.
« J’ai dit un vampire ordinaire, non ? » demanda Noire. « Je suis la reine de la nuit. La lumière du soleil ne me fait aucun mal. »
« Il y a des différences individuelles entre les vampires, » déclara Eiji.
« Eh bien, c’est ainsi, » déclara Noire. « Au fait, où veux-tu m’emmener ? »
« Pour l’instant, je pense à l’aquarium de la ville voisine, » déclara Eiji.
« Je ne connais pas bien l’endroit, je te laisserai le soin de le faire, Eiji, » déclara Noire.
Après avoir dit ça, elle posa naturellement ses mains sur la main qu’Eiji offrait, et ils commencèrent à se diriger vers la gare.
†††
Les deux personnes qui avaient visité l’aquarium de la ville voisine avaient fait le tour de chaque pièce l’une après l’autre.
Au début, c’était Noire qui avait regardé l’aquarium avec une expression claire qui semblait très peu intéressée, mais en voyant divers poissons et animaux aquatiques, son regard était devenu plus excité et plus intéressé. Comme elle était fascinée par ça, elle avait commencé à tirer Eiji derrière elle sans préavis.
Si vous la regardez agir avec une telle vivacité, il n’y avait aucun moyen d’imaginer qu’elle était une vampire. Vous pouviez être sûr que les gens dans la zone pensaient aussi que c’était une fille normale.
Non, on devrait plutôt dire qu’elle était une beauté incomparable, et non pas une fille normale pour être plus précis. En fait, tous les hommes autour d’Eiji étaient attirés par elle. Même s’ils visitaient ce lieu en couple, ils tournèrent leur regard vers Noire, et certaines des autres femmes étaient en colère contre elle.
Il y avait un homme qui regardait fixement Eiji qui marchait main dans la main avec une telle fille, mais il s’en fichait.
En réponse à son désir de prendre le plus de temps possible pour regarder tout ce qui se trouvait dans les lieux, ils avaient décidé de déjeuner dans un restaurant situé dans la salle principale. Il y avait beaucoup de fruits de mer à consommer, et les pâtes aux fruits de mer dégustées n’étaient pas mauvaises pour ce genre de restaurant. Cependant, c’était un peu cher.
Puis, après le déjeuner, ils avaient décidé de continuer à passer l’après-midi à l’aquarium.
L’après-midi, l’événement principal était le spectacle de pingouins en plein air qui se tenait dans une zone spécifique du lieu.
Noire avait été si excitée de voir le spectacle, avec les enfants autour d’elle, qu’il serait impossible pour Eiji de regarder le regard chaleureux de Noire sans réfléchir.
« Nn... Eh-Eh bien j’aime un petit peu ça, » déclara Noire.
« Hmm, il est trop tard pour agir d’une manière cool dans cette situation maintenant, » déclara Eiji.
« Oh, la ferme, » déclara Noire.
Noire avait remarqué qu’il regardait son visage qui était absorbé par le spectacle maintenant, mais il était déjà trop tard. C’était la seule chose qu’Eiji surveillait tout le temps, la voisine à côté de lui.
Cependant, quand elle avait vu le pingouin Stuff en plein spectacle, elle avait été distraite par ça et son attitude non neutre fictive s’était effondrée à nouveau avec une rapidité surprenante.
« Jiiiiii... っ!»
« Ah~... Dois-je t’en acheter un ? » murmura Eiji pour lui-même.
†††
« V-Vraiment ? » demanda Noire.
Parce qu’elle regardait la bâtisse près de la sortie avec les yeux nostalgiques, Eiji avait décidé d’acheter un jouet en peluche de pingouin déformé.
Le sourire éclatant de la princesse vampire présent à ce moment-là était gravé profondément dans son esprit.
Finalement, Eiji et Noire étaient restés dans l’aquarium jusqu’à ce qu’il soit fermé, même s’ils étaient venus le matin. Si le temps de repas n’était pas compté, cela faisait environ six heures qu’ils avaient été présents dans les lieux. Il était correct de dire que c’était une bonne chose.
Ces deux personnes étaient sur le chemin du retour, mais cela avait laissé des regrets quant à une période heureuse qui s’était écoulée plus rapidement que prévu.
Alors qu’ils marchaient vers le coucher du soleil, Noire parla des impressions d’aujourd’hui.
« Au début, je pensais que c’était amusant de voir des poissons, mais c’était aussi très intéressant parce qu’il y avait différents poissons, » déclara Noire.
« C’était bien, » déclara-t-il. « Es-tu de meilleure humeur maintenant ? »
« E-Eh bien... Je pardonnerai l’impolitesse d’hier à celui qui m’a escorté aujourd’hui, » déclara Noire. « Oh, mais ne t’emporte pas. Je ne te pardonnerai pas si tu le fais la prochaine fois. »
« Oh, si effrayante, » déclara Eiji.
Il n’y avait rien de sérieux entre deux personnes qui se faisaient une blague agréable. La preuve était qu’ils se tiennent la main doucement l’un contre l’autre. Bien sûr, l’autre main de Noire tenait un gros pingouin en peluche.
Si quelqu’un d’autre les voyait, ils ressemblent probablement à un couple.
Cependant, le couple fut appelé... Non, pour être exacte, la voix hostile était venue pour parler vers la princesse vampire des ténèbres.
« Tu sembles étonnamment t’amuser avec ce mâle humain. Noire, » déclara la voix.
« ─ Ah !?? » s’exclama Noire.
Dès qu’ils avaient entendu sa voix, Noire avait changé d’expression et avait rapidement regardé en arrière.
Au bout de son regard, il y avait une jeune fille rousse vêtue d’une robe pourpre.
La tension monta sur le visage de Noire quand elle vit la fille.
« ─ Rouge !? » demanda Noire.
†††
Chapitre 11 : Princesse Vampire Rouge
Deux filles portant des robes dans le parc au coucher du soleil se faisaient face.
Les deux filles possédaient des caractéristiques différentes, mais toutes les deux présentaient de très belles apparences.
Cependant, même si un jeune homme flirteur était présent, il ne serait pas possible de leur parler maintenant.
L’air tendu s’écoulait entre deux personnes et une atmosphère perturbante s’échappait dans l’environnement. Bien que cela n’ait pas été compris par Eiji, qui était un homme du peuple, cela aurait probablement été appelé une intention meurtrière. En raison de cela, les oiseaux et les chats avaient fui le parc d’un seul coup.
Noire avait été arrêtée sur le chemin du retour de l’aquarium qu’elle avait visité avec Eiji. Ils avaient vu l’apparition de l’autre personne qui les appelait en leur disant de s’arrêter et elle avait montré une apparence tendue, ce qui les avait conduits à aller dans un parc voisin.
La fille qui avait arrêté Eiji et Noire avait l’air d’avoir deux ou trois ans de plus que Noire en termes d’âge physique. Bien qu’elle ait l’air un peu dure, son apparence permettait de dire qu’elle était belle et comparable à Noire qui pouvait être considérée comme une beauté hors pair.
Contrairement à la petite Noire, la fille était plus grande et son style se démarquait. C’est-à-dire que si elle agissait comme un modèle, elle serait capable de sauter au sommet en quelques secondes.
Vêtue de rouge avec une poitrine voyante, ses cheveux roux mi-longs semblaient bien avec elle, dans l’ensemble, l’image du rouge était forte. L’impression du rouge était plus prononcée en contraste avec Noire qui s’unifiait dans une robe noire et les cheveux étaient également brillants de cheveux noirs.
En outre, Noire démontrait une situation qu’elle ne pouvait pas se le permettre, de sorte que le jouet en peluche qu’elle avait jusqu’à présent avait été confié à Eiji pour qu’il le tienne alors qu’il se tenait derrière.
C’était inévitable qu’un pingouin en peluche déformé jette de l’eau froide sur le sentiment d’oppression de cet endroit d’une manière considérable.
« Après un long moment, Noire, » déclara Rouge.
« Oui, ça fait un moment, » déclara Noire. « Je n’aurais jamais pensé que tu viendrais me voir toute seule, Rouge. Est-ce bon d’arrêter de fuir déjà ? »
« Parce que l’idiote ne m’a pas pourchassé tout ce temps, alors je me suis pointé devant elle, » déclara Rouge.
« ... Je suis une noble femme, je ne suis pas douée pour bouger comme toi, » répliqua Noire.
Alors que Noire affichait de l’irritation, la fille rouge nommée Rouge montra un air de sang-froid.
Face à la provocation pure et simple libérée en riant du nez, l’humeur de Noire s’était encore aggravée.
Tout en gardant un œil aiguisé, elle demanda à l’autre personne d’une voix basse. « Alors ? Je me demande si tu allais t’installer ici de toute façon. Alors viens-tu me défier ici ? »
« C’est impossible ! Je ne vais pas faire un comportement aussi grossier, » répliqua Rouge. « Il devrait y avoir un endroit convenable pour régler l’affaire entre nous. Je suis juste là pour te donner ça aujourd’hui. »
Après avoir parlé, Rouge avait sorti une feuille d’enveloppe de la poitrine charnue et la jeta vers Noire.
Ce comportement avait fait que Noire avait plissé ses yeux. C’est parce qu’elle ne pouvait pas rivaliser avec elle avec sa petite poitrine. Rouge agissait envers Noire d’une manière intimidante, même si elle le comprenait probablement. Une légère provocation... plutôt que cela, c’était dans une catégorie du harcèlement.
Sans détourner les yeux d’elle, Noire avait attrapé la lettre lancée avec deux doigts.
La lettre avait été reçue telle quelle, Noire demanda alors à Rouge. « ... Qu’est-ce que c’est que ça ? »
« Comme tu peux le voir, c’est une invitation à une danse amusante et divertissante..., » répliqua Rouge.
« Hum, une danse..., » murmura Noire.
Rouge disait que c’était une invitation à danser, mais si vous regardiez son sourire flottant qui semblait venir d’un carnivore voulait attaquer une proie, alors n’importe qui pouvait facilement dire que le sourire n’était pas un substitut pour ces paroles.
C’était pour ainsi dire une déclaration de guerre. C’était ce qu’on pourrait appeler une lettre de contestation.
Noire l’avait remarqué, alors elle déforma son sourire de jeune beauté d’une manière guerrière alors qu’elle exposait ses crocs.
« Je vais m’excuser pour aujourd’hui. Ne casse pas la lettre d’invitation. Si tu as peur, tu peux t’enfuir, » déclara Rouge.
« Tu es sûre, ce n’est pas ton genre. Je ne vais pas écraser l’invitation à une soirée dansante, » déclara Noire.
« Fufu, je l’espère, » déclara Rouge.
« !? »
Alors qu’elle riait, Rouge avait tourné le talon et était sortie du parc.
Pendant un instant, Rouge tourna les yeux vers Eiji qui était devenu inerte, sans pouvoir suivre la conversation entre Noire et Rouge d’il y a un instant, et elle lui fit un clin d’œil.
Eiji avait été surpris par le clin d’œil soudain, elle avait fini par disparaître de l’endroit sans rien lui dire.
Alors que Rouge s’éloignait de là, Noire, qui était tendue tout ce temps, détendit ses jambes et ses épaules.
« Eiji ? » demanda Noire.
« Hein ?a, ah, ah... désolé, » déclara Eiji. « J’étais un peu surpris. »
« Tu dois être fort, » déclara Noire.
Eiji, qui avait été stupéfait, avait été critiqué par Noire. Il secoua la tête légèrement et clarifia ses pensées. Tout en rendant le jouet en peluche qu’il avait à Noire, il avait posé des questions sur la jeune fille rouge qui avait été confrontée avec elle jusqu’à il y a quelque temps.
« Tout va bien, » déclara Eiji. « Alors qui est cette fille ? »
« Oh eh bien... Rentrons à la maison pour le moment. Je t’expliquerai après ça, » déclara Noire. « Je ne parle pas quand je suis debout dans un endroit comme ça. »
« D’accord, d’accord, » déclara Eiji.
Après avoir dit ça, ils retournèrent dans la chambre Eiji en silence.
Comme avant, ils se tenaient la main...
†††
« Tu peux peut-être t’attendre à ça, mais cette femme est comme moi un roi de la nuit, » déclara Noire. « Elle s’appelle Rouge Primera. »
« ... Primera ? » Eiji avait répété le nom de la fille rouge que Noire avait annoncé.
Si sa mémoire est correcte, c’était le nom de la fille devant lui. Elle s’était présentée sous le nom de Noire Primera quand il l’avait rencontrée.
Elle était comme Noire, le roi de la nuit, et Eiji imaginait qu’elles pouvaient être des sœurs.
Cependant, Noire et Rouge n’étaient pas aussi semblables en apparence que des sœurs.
Il est vrai que les deux filles étaient de belles filles, mais leurs traits étaient très différents. De plus, il y avait une différence : le style était vraiment différent. Je n’ose pas le lui dire, parce qu’il en va de l’honneur de Noire.
« Je te le dis, il n’y a pas de lien de sang entre nous. Mais d’une certaine façon, on pourrait dire qu’il y a un lien avec le sang..., » déclara Noire. « Le nom Primera signifie la première génération. »
« Première génération ? » demanda Eiji. « Tu veux dire en tant que vampire ? »
« Oui. Il était une fois un vampire appelé le Fondateur, » répondit Noire. « Seuls six individus ont été transformés en vampires directement par lui, les Rois Primeras de la première génération des démons de la nuit. Rouge et moi sommes aussi l’un des six. Et, ceux qui nous ont pris du sang et sont devenus frères étaient de deuxième génération, ceux qui prennent du sang de vampires de deuxième génération sont de troisième génération, et cela descend de génération en génération. »
Noire expliqua à Eiji alors qu’elle regardait en l’air vers lui pour se rappeler quelque chose.
Il n’avait capté qu’une petite partie du contenu et avait eu l’air perplexe.
Si son explication était correcte, cette fille rouge, Rouge, était censée être comme une sœur pour Noire.
Cependant, alors qu’il regardait la situation entre Rouge et Noire juste avant ça...
« Mais vous aviez l’air extrêmement hostiles l’une envers l’autre ? » demanda Eiji.
« C’est vrai, en gros, c’est une relation hostile, » déclara Noire. « Il n’y a pas de règle selon laquelle vous devez vous entendre simplement parce que vous aviez été fait vampire par le même fondateur. Au contraire, tant que nous pouvons avoir la suprématie les uns sur les autres, alors nous agissons tous pour nous rapprocher les un des autres de diverses manières. »
« Oh, vraiment ? » demanda Eiji. « Mais, d’après ce que j’ai entendu de la conversation, Noire, tu étais probablement en train de la pourchasser. N’est-ce pas le cas ? »
« Oui, c’est exact, » répondit Noire. « Je suis venue dans ce pays parce que je poursuivais cette femme. La raison pour laquelle je voulais sucer ton sang d’abord et avant tout était parce que je voulais enrichir ma magie avant la bataille. »
Eiji avait entendu la réponse de Noire, ce qui l’avait mis mal à l’aise. Il imaginait qu’elle allait le quitter pour chercher Rouge, ce qui était le but initial.
« Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? » demanda Eiji. « Vas-tu te battre contre cette fille ? »
« Bien sûr, je ne m’enfuirai pas si on me défie, » répondit Noire.
« Cela dit, elle a lancé une invitation ou quelque chose comme ça, » déclara Eiji.
Comme si elle s’en souvenait, Noire avait sorti une enveloppe de sa poitrine. C’était une invitation à une soirée dansante... donnée par Rouge. De plus, cela ne sortait pas de la vallée de monts duveteux comme Rouge l’avait fait. La chose qui avait été retirée était censée sortir d’une poitrine à plat.
Elle avait ouvert l’enveloppe et avait sorti le papier à lettres. Puis elle parcourt le document du début à la fin.
« Installons-nous dans la forêt en dehors de la ville, la nuit prochaine de la pleine lune ? » déclara Noire en lisant. « Eiji, sais-tu où se trouve la forêt à la périphérie de la ville ? »
« Oh, j’ai une idée approximative, mais... C’est assez loin d’ici, » déclara Eiji.
« Dis-moi. Je me demande pourquoi elle a pris la peine de préciser un tel endroit, » déclara Noire « ... Eh bien, cette femme pourrait se moquer de moi. »
Noire ne se plaignait pas alors qu’elle tenait d’une main le jouet en peluche de pingouin acheté par Eiji dans l’aquarium. Dans le ton de sa voix, seul le sentiment quant au fait de se déplacer était apparemment gênant. Il peut voir comment elle se sentait à l’aise avec Rouge.
Eiji lui demanda avec une expression si sérieuse. « Alors, répondras-tu à l’appel pour cette lettre ? »
« Bien sûr, je l’ai déjà dit. Je n’ai pas l’intention de m’enfuir, » déclara Noire.
« ... Peux-tu gagner ? » demanda Eiji.
« J’ai dit que je pourchassais cette fille qui s’était enfuie, » déclara Noire. « Les six rois sont fondamentalement égaux, mais les forces ne sont pas les mêmes, si on nous compare toutes les deux, alors ma capacité est meilleure. Tu n’as pas à t’inquiéter de quoi que ce soit. »
« Vraiment ? » demanda Eiji.
Eiji ne connaissait pas la différence entre les capacités de Noire et de Rouge. Si vous regardiez l’état de la Noire visible maintenant, sans sembler ressentir le moindre soucis ou peur, alors sa déclaration selon laquelle elle était plus forte était crédible.
Cependant, il y a un sentiment d’anxiété dans son esprit.
Si Noire était plus forte que Rouge, pourquoi Rouge s’était-elle donné la peine de déclarer la guerre ? Si elle s’était présentée devant elle, c’était probablement parce qu’elle avait confiance en sa victoire contre Noire. Il ne pouvait pas effacer cette pensée.
Parce qu’il n’y avait aucune confirmation sur ce qui le rendait anxieux, Eiji n’avait pas osé dire à Noire son inquiétude en supposant que tout cela n’était que dans sa tête.
Mais c’était sans savoir qu’il le regretterait profondément plus tard.
†††
Chapitre 12 : Confrontation
« Eh bien alors, j’y vais maintenant, » déclara Noire.
« Oh, ouais... Fais attention, » déclara Eiji.
Eiji s’inquiétait un peu de voir Noire sortir par la porte d’entrée tout en levant légèrement la main.
Ce soir, c’était la pleine lune, le jour où la princesse vampire Rouge avait proposé de se battre.
On disait qu’une pleine lune augmentait la puissance des vampires, mais l’autre était dans le même cas, donc tout cela n’aurait pas beaucoup de sens.
Si les conditions étaient les mêmes, vous devriez être en mesure de gagner si ce n’était que basé sur la capacité de base.
Il pouvait penser que tout irait bien en vue de l’apparence de Noire, qui ne semblait pas s’inquiéter du tout, mais Eiji avait un mauvais pressentiment quelque part.
Il entendit soudain un bruit de quelque chose venant de la fenêtre de la pièce.
« Hmm ? »
Il avait incliné la tête afin de mieux entendre le bruit suspect, et il se déplaça vers sa chambre.
Parce qu’il s’agissait du bruit d’une fenêtre qui avait été ouverte, il se demandait si Noire qui aurait dû sortir par la porte d’entrée était revenue après avoir oublié quelque chose.
Une personne ordinaire n’entrerait pas par la fenêtre, mais elle serait capable de le faire.
Pour commencer, quand elle avait attaqué Eiji la première nuit, elle était probablement entrée par la fenêtre.
Cependant, la personne qui, face aux yeux d’Eiji, avait ouvert la porte de la chambre n’était pas la princesse vampire noire qu’il connaissait.
« Fufu, bonsoir, » déclara Rouge.
« Non ! C’est donc vous qui êtes venue, » déclara Eiji. « Pourquoi êtes-vous ici... ? »
Il s’agissait de la princesse vampire Rouge, l’autre partie vers laquelle Noire allait se confronter.
Elle portait la même robe rouge que quand ils s’étaient rencontrés l’autre jour et regardait droit vers Eiji.
Eiji était étonné et surpris qu’elle, qui était censée attendre Noire dans la forêt à l’extérieur de la ville, apparaisse dans sa chambre.
« Je me suis souvenue que j’avais oublié de donner une autre invitation, » déclara Rouge.
« Hein, une invitation ? » demanda Eiji.
« Oui, c’est pour toi. Eh bien, mais —, » déclara Rouge.
Lorsque l’enveloppe retirée de la poitrine ronde avait été placée doucement sur la table dans la pièce, Rouge s’était tournée vers Eiji.
À ce moment, sa silhouette avait disparu de la vue de l’Eiji. Cherchant Rouge qui avait disparu, il avait entendu une voix derrière lui avant qu’il ne puisse regarder autour de lui.
« ─ Tu n’as pas besoin de l’ouvrir, » déclara Rouge.
« gah !? » Juste avant qu’il ne regarde la voix entendue de dos, Eiji avait reçu un choc à l’arrière de sa tête qui l’avait mise à terre.
Sa conscience avait disparu en un instant et était teintée en noir.
La princesse vampire Rouge avait alors été murmurée avec une moquerie condescendante envers l’Eiji tombé au sol.
« Maintenant, je vais t’emmener à la salle de bal, Prince, » déclara Rouge. « La princesse Noire t’y attend. »
†††
« ... Tu étais en retard. Rouge, » déclara Noire. « Quelle est l’idée d’être en retard en m’invitant à ta soirée dansante ? »
« Fufu, je suis désolée. Noire, » répliqua Rouge. « Il me fallait un peu de temps pour me préparer. »
« Préparer ? ... Hein ? » s’exclama Noire.
Dans les faubourgs de la ville, à l’endroit spécifié par l’invitation de Rouge, Noire se plaignit à la princesse vampire Rouge qui se présentait enfin.
Elle attendait les bras croisés, tout en montrant une apparence frustrée à Rouge, qui était en retard depuis un certain temps, alors qu’elle tournait la tête sur le côté pour regarder son visage.
Rouge s’était habillée de la même robe rouge que dans le parc la dernière fois. Il n’y a rien de mal à cela. Non, c’était peut-être drôle de voir qu’elle qui se battait avait une robe, mais comme Noire était aussi habillée en robe, ce ne serait pas elle qui ferait une telle remarque.
Mais ce qui était plus drôle que cette robe, c’était le gros sac blanc qu’elle portait sur son épaule.
« C’est quoi, ce sac ? » demanda Noire. « Vas-tu changer de boulot pour celui du Père Noël ? »
« Presque, » répondit Rouge. « C’est un cadeau pour toi. »
« ... »
Elle ne comprenait pas le sens des mots de Rouge, alors Noire afficha une expression confuse.
Avec leur relation qui était hostile depuis le début, il était peu probable que cela soit vraiment un présent comme un mot le disait.
Si elle y avait bien réfléchi, Rouge aurait préparé une arme qui serait un atout contre Noire.
Avec cette pensée en tête, Noire s’était senti une légère sur ses gardes.
« C’est un cadeau..., » déclara Noire. « Qu’est-ce que c’est que cette chose charmante ? »
« Hmm, je pense que ça va te plaire, » déclara Rouge. « Alors, je vais l’ouvrir. »
Avec un regard aiguisé de Noire qui la regardait ainsi que le sac qu’elle tenait dans ses bras, Rouge la regarda pendant un moment en riant, mais finalement elle laissa tomber le sac devant elle et le déchira avec son ongle.
Ce qu’elle avait vu dans le sac blanc qui avait été déchiré... C’était un résident de la chambre d’où Noire venait de sortir, Eiji.
Eiji avait une tige en forme de cylindre dans la bouche, et ses mains étaient attachées derrière. Il semblerait qu’il avait perdu conscience comme il ne semblait pas ouvrir les yeux. En outre, il semblait qu’il n’y ait aucun danger pour sa vie, car elle avait constaté que sa poitrine se levait légèrement avant de baisser indiquant qu’il respirait.
« Eiji !? » cria Noire. « Rouge, qu’est-ce que ça veut dire ? »
Face à la surprise qui n’était pas prévue, Noire leva les yeux et fixa Rouge qui l’avait amenée ici.
Si vous regardez la forme d’un Eiji dans un tel état, il est évident qu’il avait été enlevé de force.
La question était : pourquoi a-t-elle fait ça ? Il n’y avait pas tant de choses qui lui venaient à l’esprit.
Si elle y pensait normalement...
« Oh, c’est un otage, » déclara Rouge. « Si tu ne veux pas que cet homme soit tué, rends-toi. »
« Argh ! » Noire avait gémi.
Comme Noire l’imaginait, cette annonce fut arrachée de la bouche de Rouge, qui souleva un Eiji inconscient avec sa main gauche facilement. Le pire mot était sorti de ses lèvres.
Cependant, Noire se mit immédiatement à rire alors qu’elle affichait une apparence de calme.
« Hmm, tu dis ça ? » demanda Noire. « Je me demande si tu as mal compris quelque chose. Penses-tu vraiment qu’un tel être humain soit digne d’être pris en otage ? Pour nous, le roi de la nuit, ce genre d’êtres humains n’est que la nourriture ? »
C’était les paroles de Noire visant à le libérer en lui faisant comprendre que l’otage n’avait aucune valeur, mais la moitié de ça était sa véritable intention.
Il s’agissait d’une princesse vampire, le démon roi de la nuit qui transcendait l’être humain.
Certes, elle était restée dans la chambre d’Eiji ces derniers jours et avait répété des actes avec lui, mais ce n’était qu’un moyen de gagner de la magie et de se renforcer, rien de plus pour elle.
En dehors de cela, elle n’avait pas de sentiments d’amour pour lui, et si c’était un appât, alors cela ne l’appâterait pas du tout.
Alors qu’elle se retournait, la période à l’aquarium lui vint à l’esprit pour une raison quelconque, mais Noire s’efforça de le réfréner pour que cela n’apparaisse pas sur son visage.
Quand Rouge avait entendu les paroles de Noire, on dirait qu’elle avait remarqué quelque chose. Aussi blanc qu’il soit.
« Eh bien. Je me le demande, » déclara Rouge.
Voyant Rouge, qui s’accordait facilement avec ses propres mots, Noire fut soulagée intérieurement.
Mais c’était une trop tôt pour ça.
Rouge, qui avait une forte animosité envers Noire, n’avait pas eu l’habitude de penser d’une manière qui lui convenait.
« Débarrassons-nous de ça parce qu’on n’en a pas besoin, » déclara Rouge.
« ... !? Quoi !? » s’écria Noire.
Rouge, qui essayait de frapper avec sa main droite tout en tenant le corps d’Eiji de la main gauche, avait fait que Noire cria sans pouvoir se contrôler, oubliant sa précédente déclaration.
Dès que cette voix s’était fait entendre, la main droite de Rouge s’était arrêtée juste avant qu’elle ne poignarde le cou d’Eiji.
À ce moment, Noire vit qu’un rire maléfique se répandait sur la bouche de la princesse vampire Rouge, mais Noire réalisa qu’elle la testait, mais que c’était déjà tard.
De plus, la frappe que Rouge allait faire était authentique.
Si Noire ne l’avait pas arrêtée là, elle aurait probablement coupé la tête de l’Eiji sans problème. Quoi qu’il en soit, il n’y avait pas d’autre solution que de l’arrêter.
Quand la phrase de Noire avait retenti, elle n’avait plus aucun moyen d’agir.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Rouge. « Y a-t-il un problème à tuer un ou deux êtres humains ? »
« Ah, c’est..., » balbutia Rouge.
Pour Rouge qui demandait ça avec un sourire atroce présent sur son visage, Noire était à court de mots.
Selon leur bon sens, ce que disait Rouge était correct.
Il n’était pas nécessaire de se préoccuper de la vie d’une ou deux personnes, car l’humain n’était après tout que de la nourriture pour ceux qui étaient vampires. Tuer sans raison était un mauvais comportement et bien que cela leur faisait froncer les sourcils, ce n’était pas aussi désespéré comme ce que Noire avait fait maintenant pour l’arrêter.
Cependant, Noire n’avait pas pu le laisser mourir malgré tout ce qu’elle avait dit.
La chaleur de sa peau et les jours qu’elle avait passés avec lui..., ainsi que les souvenirs du jour où elle avait été à l’aquarium étaient encore présents.
Il y avait beaucoup de choses terribles chez lui, mais elle n’avait toujours pas l’impression de le haïr ou quoi que ce soit. Au contraire, elle avait le sentiment qu’elle voulait être davantage avec lui si elle le pouvait.
Quand elle l’imaginait, s’il était tué... son corps tremblait sans permission.
Noire, poussée par la peur de le perdre, supplia Rouge. « S’il te plaît, Rouge. Eiji, ne tue pas Eiji... »
« fufu, hahahahaha, ahaha hahahaha haha! C’est vraiment magnifique, » déclara Rouge. « Pas possible, toi, un Primera est tombée amoureuse d’un homme, un être humain ! ! »
« ... »
Noire n’avait pas de mots pour répliquer à Rouge qui riait et l’insultait avec moquerie.
Elle était consciente qu’elle ne pouvait nier ses paroles.
Alors qu’ils étaient ensemble juste pour augmenter son propre pouvoir magique, elle sentait que ses émotions avaient changé au point qu’elle ne voulait pas perdre Eiji.
Elle ne savait pas si c’était un sentiment d’amour, mais au moins ça ne changeait pas le fait qu’elle tenait à lui.
Si elle pensait calmement, elle faisait une bêtise.
Mais si Noire laisse ça tel quel, Rouge allait le tuer.
Cela serait bien mieux si elle venait à la tuer, mais si on considère son caractère sadique, il était possible d’être sévèrement tourmenté. Elles avaient été hostiles depuis si longtemps. Tout comme Noire détestait Rouge, Rouge détestait aussi Noire.
Elle devrait abandonner Eiji. Elle comprenait cela dans sa tête que c’était la bonne réponse pour se battre avec tout ce qu’elle avait.
De toute façon, même après la mort de Noire, il était peu probable que Rouge le libère comme promis.
Puis, bien qu’elle sache que c’était le bon choix de se battre... elle ne pouvait s’imaginer bouger, quand elle imaginait la scène du meurtre d’Eiji.
« Rassure-toi, Noire, » déclara Rouge. « Je ne vais pas te tuer maintenant. J’apporterais l’humiliation à ton corps. »
« ... Fais ce que tu veux, » déclara Noire.
Face au sourire de plaisir de Rouge, Noire n’avait pu que regarder le sol.
†††