Mushoku Tensei – Tome 2 – Chapitre 4 – Partie 2

***

Chapitre 4 : Réunion du personnel et jour de repos

Partie 2

~3~

 

La ville de Roa était la plus grande du territoire de Fedoa, mais même si c’était la plus grande, comparée à l’ensemble des champs de blé dans le village de Buina, elle était beaucoup plus petite.

Vous aviez seulement besoin de passer deux heures pour faire un tour complet autour des remparts de la ville.

Mais c’était une ville fortifiée, et les murs de sept ou huit mètres de haut entouraient toute la ville. Mais ce n’était pas un cercle parfait, en raison de la forme du terrain, et je ne pouvais pas en confirmer la longueur exacte.

C’était probablement environ 30 kilomètres.

Cela ne semblait pas énorme, mais les villes qui étaient entourées comme ça devraient être très peu nombreuses. Même si je n’avais jamais visité d’autres villes fortifiées, j’étais convaincu que ce n’était pas une tâche facile de créer un mur aussi grand.

S’il y avait une magie pour créer des murs comme celui-ci, cela serait certainement une magie de niveau Roi Empereur.

Où était-ce quelque chose qui avait été construit à la main à partir de rien ?

Tout en y réfléchissant, j’avais quitté la zone de rassemblement des nobles et j’arrivais sur une grande place où passait beaucoup de monde.

Cette avenue était la zone pour les marchands, et comme elle était très proche du territoire des nobles, il y avait beaucoup de belles boutiques.

Mais je pouvais voir quelques rares marchands ambulants.

J’avais jeté un coup d’œil à la marchandise chère qui était alignée.

« Bienvenue, jeune maître, jeune femme ! S’il vous plaît, prenez votre temps et jetez un coup d’œil. »

J’apprécie les paroles du vendeur de la boutique d’objets identiques à ceux des JDR, et je regardais la marchandise.

J’avais inscrit des informations sur les marchandises sur un morceau de papier, et franchement, c’étaient tous des produits étranges.

L’aphrodisiaque coûte 10 pièces d’or, je le note.

« Qu’écris-tu ? Je ne peux pas du tout le comprendre ! » Éris avait crié à mon oreille, et ce jour-là, pour le dire franchement, cette oreille était pratiquement devenue sourde.

J’avais baissé les yeux et j’avais alors réalisé que j’avais inconsciemment écrit en japonais.

« J’écris que quelques notes, mais cela me suffit pour ce que je veux faire. »

« Dites-moi simplement ce que tu écris. »

Éris était vraiment péremptoire, mais je n’avais aucune raison de ne pas le lui dire.

« Il s’agit du nom des marchandises et des prix des marchands. »

« Pourquoi écris-tu cela ? »

« J’enquête sur ce que sont les bases des jeux en ligne. »

« En ligne... qu’est-ce que c’est ? »

Je pensais que même si je lui en parlais elle ne comprendrait pas, ainsi je me tournais vers un autre sujet et pointais du doigt en direction d’un produit. C’était un petit accessoire.

« Regards, tu vois ça ? Ce marchand le vend pour 5 pièces d’or, mais tu peux l’acheter ici pour 4 pièces d’or et 5 pièces d’argent. »

« Ohhh, jeune maître, vous avez de bons yeux, les choses que je vends ne sont-elles pas bon marché ? »

J’avais ignoré le vendeur et je m’étais tourné vers Éris.

« Éris si tu marchandes les prix ici à 3 pièces d’or, puis tu le revends à l’autre stand pour 4 pièces d’or, combien peux-tu gagner ? »

« Hmm, laisse-moi réfléchir, 5-3 + 4, 6 pièces d’or ! »

Oh, mon dieu, qu’est-ce que tu comptais ?

« Non, c’est faux. La bonne réponse est 1 pièce d’or. »

« Je-je le savais ! »

Éris avait mis cela de côté.

« Le comprends-tu vraiment ? »

« Nous avons à l’origine 10 pièces d’or, n’est-ce pas et 11 pièces d’or maintenant. »

Ouah, tu l’as finalement compris. Attends, ce n’était pas cet ajout que je te demandais ?

Eh bien, peu importe, j’allais la féliciter de toute façon. Sa fierté étant vraiment importante, elle ne ferait que s’améliorer si elle était félicitée.

« Ouah, tu as raison, wôw, Éris est vraiment intelligente. »

« Hmph, bien sûr. »

« Euh, jeune maître, ça s’appelle la revente, ce n’est pas quelque chose que l’on peut louer, tu ne peux pas faire ça. »

« Ne t’inquiète pas, je ne le ferai pas. Si je voulais vraiment le faire, je dirais à l’autre vendeur que tu es vendeuse pour 4 pièces d’or ici et je prendrais une grosse pièce de cuivre comme frais pour l’information. »

L’homme avait affiché une expression extrêmement malheureuse et avait regardé Ghyslaine pour demander de l’aide, mais Ghyslaine avait prêté toute son attention à ce que je disais. Ayant compris que dire autre chose était une perte de temps, l’homme avait baissé les épaules et avait soupiré.

Désolé pour ça, puisque nous sommes juste en train de regarder autour de nous, s’il te plaît, laisse-moi partir.

« Même si nous ne faisons pas d’achat ou de vente, nous devons connaître les différents prix des choses. »

« Et donc, tu veux connaître les prix ? »

« Par exemple, même si tu ne vas pas dans un magasin, tu peux ainsi en deviner le prix. »

« À quoi cela peut-il servir ? »

Quelle utilisation ?? Euh, quand tu les reviendras, tu pourrais ainsi gagner de l’argent... ah non. D’accord, je dois laisser la place à Ghyslaine.

« Ghyslaine, quel usage penses-tu que cela a ? »

« ... Désolée, je ne sais pas. »

Oh merde, vraiment ? Tu ne sais pas ? Je pensais que tu l’avais vraiment compris. Quoi qu’il en soit, je n’enseignerais pas cela de toute façon.

« Est-ce vrai, alors cela pourrait ne pas être utile. »

En fin de compte, c’était une leçon pour moi, même si je ne comprenais pas ce n’était pas grave.

Si je voyais un marché, j’allais d’abord examiner tout ça afin d’avoir des informations sur les produits.

J’avais toujours fait ça pour que je ne puisse pas être trompé.

Même si je pensais à ça de cette manière, c’était la première fois que je vérifiais personnellement les prix, donc je ne pouvais pas vraiment être sûr qu’il y avait quelque chose à y faire.

« Si c’est possible que ça ne serve à rien, pourquoi as-tu encore besoin de le faire ? »

« Parce que je pense qu’il y a une utilité à cela. »

Éris avait une expression qui semblait ne pas pouvoir l’accepter. Mais ce n’était pas comme si je pouvais répondre à toutes les questions.

Certaines choses exigeaient que vous y réfléchissiez par vous-même, et non un enseignement.

« Essaye de penser par toi-même, si tu penses que c’est utile, apprends de moi, si tu ne le crois pas, moque-toi de moi. »

« Alors je suis celle qui va se moquer de toi ? »

« Hahahaha. »

« Pourquoi ris-tu maintenant ?! »

J’avais été à nouveau frappé, et j’avais donc grogné.

J’avais continué à vérifier les marchands environnants, mais les prix des devantures marchandes de catégorie supérieure étant trop élevés, j’allais y renoncer.

 

~4~

 

Je m’étais lentement déplacé vers les extrémités de la ville, et les prix des marchandises des marchands changèrent nettement, passant du prix de 5 pièces d’or à environ 1 pièce d’or.

C’était toujours un peu cher, mais c’était quelque chose que je pouvais me permettre. Les clients avaient certainement augmenté, passant de gens qui ressemblaient à des nobles à des aventuriers.

Comme il s’agissait d’une pièce d’or, je pouvais à peine me permettre ce prix.

Quand j’inscrivais les prix dans mes notes, un magasin était soudainement entré dans mon champ de vision ; c’était une librairie.

Après être entré dans le magasin, j’avais remarqué que c’était étonnamment calme. Vous pouviez vous dire que c’était un magasin qui vendait principalement des livres érotiques.

Il y avait deux étagères qui avaient les mêmes titres avec 2-3 livres placés ensemble.

Le livre coûtait environ 1 pièce d’or, avec certains de ces livres conservés dans une vitrine.

La moyenne était d’environ 8 pièces d’or, le plus cher d’entre eux avait une étiquette qui indiquait un prix de 20 pièces d’or, était-ce le trésor le plus précieux de la boutique ?

Le propriétaire m’avait reconnu comme une personne qui n’était pas un client, et il ne me salua même pas.

Son jugement était correct.

Je notais le titre du livre et le propriétaire me regarda avec suspicion. Franchement, il n’y avait pas de problème, je n’avais pas touché aux livres.

De plus, je n’avais pas pris de photos.

Une encyclopédie coûtait environ 7 pièces d’or, si 1 pièce d’or valait environ 100 000 ¥, il vous fallait donc 700 000 ¥. (Soit environ 5330 €)

Sur la vie de ma mère, ce prix était vraiment absurde...

Mais comme prévu, les livres encyclopédiques semblaient être très chers. Le livre incontournable « La magie incantatoire de Shigu » coûtait 10 pièces d’or.

Mon salaire mensuel de 2 pièces d’argent ne me permettant pas de remplir les conditions d’achat.

Le livre le moins cher est « l’étiquette de la cour royale du royaume d’Asura », ce livre n’avait aucun intérêt pour moi.

« Qu’est-ce que tu regardes, est-ce si intéressant ? », me demanda Éris, probablement dérangée par le fait que je ne faisais que regarder et ne pas prendre.

« Non, je pense que ce ne sont pas des livres vraiment intéressants. »

« J’ai entendu dire que les gens disaient que tu aimes les livres ? »

« Où l’as-tu entendu ? »

« De papa. »

De Philip, Hmm ? Je lui avais demandé de me laisser entrer dans la bibliothèque.

« Je-je peux t’aider à acheter un livre si tu veux. »

« Tu le dis si facilement, mais as-tu de l’argent, Éris ? »

« Mon grand-père m’en donnera ! »

Effectivement. Mais trop la gâter n’était pas bon.

Même si je le voulais...

Même si je le voulais !

« Je ne le veux pas. »

« Pourquoi ? »

Éris avait fait la moue, elle le faisait quand elle était malheureuse. Si son humeur continuait à se détériorer, elle reviendrait après moi comme un diable.

Mais c’était toujours calme pour l’instant, elle gardait toujours la tête froide à son sujet.

« Éris ne peut pas me donner de l’argent librement. »

« Que veux-tu dire ? »

Les sourcils d’Éris se rejoignaient, elle s’irrita de plus en plus, car elle ne comprenait pas.

Dernièrement, je pouvais graduellement mesurer le Furie-o-mètre d’Éris.

Comment devais-je aborder ce sujet ? Quand cela se résumait à cela, y avait-il un sens à laisser les filles de familles nobles apprendre l’importance de l’argent ?

« J’enseigne Éris en ce moment, sais-tu combien d’argent je reçois. »

« ... 5 pièces d’or, non ? »

« 2 pièces d’argent. »

« Ce n’est pas cher ! », hurla Éris.

Dans un coin, le propriétaire avait fait une expression nous disant que l’on était trop bruyant.

« Pas du tout, mes réalisations sont faibles et je suis aussi très jeune. C’est tout à fait approprié pour moi. »

De plus, il y avait le fait que mes frais pour aller à l’université seraient pris en charge.

« M-Mais Ghyslaine a un salaire de 2 pièces d’or. Rudeus ne m’enseigne-t-il pas beaucoup de choses ? »

« Ghyslaine a les accomplissements et le rang de roi de l’épée. Elle agit même comme ta garde du corps, donc le salaire de Ghyslaine est plus élevé. »

De plus, il y avait cette mauvaise habitude caractéristique de la famille de Boreas Greyrat.

Si cela venait d’eux, ils feraient quelque chose comme : « Les filles issues de races bestiales recevront un traitement spécial ! »

« Alors, quel salaire aurais-je pu obtenir si c’était moi ? »

« Tu ne connais pas la magie, tes techniques d’épée ne sont pas à la hauteur, et sans aucun accomplissement, ton salaire, même s’il était le plus élevé possible, ne sera pas au-dessus d’une pièce d’argent. »

Éris était devenue sans voix, et d’après ce que je savais, elle n’avait jamais reçu d’argent de poche auparavant.

« Lorsque tu veux acheter quelque chose pour quelqu’un, s’il te plaît, gagne l’argent par tes propres moyens et parles-en plus tard. »

« Entendu... »

Éris était en train de baisser la tête avec une expression rarement vue, si elle était toujours comme ça, j’aurai plus de temps...

« Eh bien, tu peux quand même demander à ton père de l’argent de poche. »

« Vraiment ? »

Éris avait levé la tête, et j’avais l’impression que son affection-o-mètre avait augmenté.

Eh bien, même si on ne lui donnait pas d’argent de poche, lui donner tout ce qu’elle voulait, c’était trop la gâter.

Il était préférable de lui donner un peu d’argent et la laisser apprendre par elle-même.

Après avoir enregistré quelques-uns des noms de livres importants, j’étais sorti de la librairie. J’avais une idée générale de ce que je voulais après avoir passé une journée à regarder les choses que je souhaitais acheter.

 

~5~

 

Quand j’avais regardé vers le ciel, il y avait un château qui flottait. C’était mélangé parmi les nuages, mais les apparences fugaces sont définitivement là.

« Quoi ? »

J’avais pointé du doigt vers le ciel, et les gens qui m’entouraient se tournaient dans cette direction, mais ils s’y désintéressèrent vite.

Hah? Tu as vu ça, n’est-ce pas ? Seulement moi ? La seule personne qui a vu ce château dans le ciel est moi ?

Le père est un menteur ?  [1]

« Est-ce que tu vois cela pour la première fois ? C’est le “Roi des dragons en armures” : la forteresse céleste Pérugius. »

Connaissez-vous cette dame ? Ghyslaine !

Mais revenons au sujet, la forteresse céleste.

Ouah, c’est vraiment cool.

« Qu’est-ce que Pérugius ? »

« Ne le sais-tu pas ? »

Il semblerait que je l’avais déjà entendu, mais je ne m’en souvenais pas.

« Qu’est-ce que c’est ? »

Ghyslaine, avec une petite surprise sur son visage, essayait de choisir ses mots. Mais cette fois, Éris croisa les bras et apparaissait devant moi.

« Laisse-moi te l’apprendre ! »

« Si tu veux bien me l’apprendre, s’il te plaît. »

« Bien ! Pérugius est l’un des trois héros qui ont vaincu le dieu-démon Laplace. »

Éris disait cela avec fierté. Le démon-dieu Laplace, il me semblait l’avoir entendu quelque part... ?

« Il est vraiment, vraiment fort, menant 12 partisans dans la forteresse céleste à la forteresse de Laplace. »

« Wôw, c’est vraiment incroyable. »

« Incroyable, n’est-ce pas ? »

« Mademoiselle est vraiment savante, merci. »

« Ufufu ! Rudeus ne peut toujours pas le faire ! »

Si je la réfutais maintenant, j’allais certainement être battu. J’avais appris cela il y a longtemps.

Pour cette raison, j’étais parti pour enquêter.

Après m’être renseigné auprès de Philip, j’avais appris qu’il y avait un livre avec des informations quelque part par ici, et après beaucoup d’effort, je l’avais enfin trouvé.

Et une fois que je l’avais vu, je me rendis compte que c’était en fait le même livre que celui du village de Buina.

« La légende de Pérugius »

Une fois, j’avais cru fermement que c’était un conte de fées, mais il semblerait que ce soit véridique.

« Le Roi des dragons en armures » Pérugius, personne ne savait d’où il venait ni où il avait été éduqué. Cette année, ce jeune homme sans aucune renommée avait été amené par le Dragon-Dieu Urupein à la guilde des aventuriers, ce fut son premier enregistrement dans les annales.

Pérugius montra sa puissance en très peu de temps, faisant un groupe avec le dieu dragon Urupein, le dieu du nord Kaaruman, le double empereur Migus Gumis, et vainquit tous leurs ennemis.

Parce que Pérugius était traité comme un frère cadet, on ne savait pas quand on lui avait donné le titre de « Dragon armé » parmi les « cinq guerriers du Dragon » travaillant pour le dieu-dragon.

Il utilisait ses capacités pendant la bataille de Laplace sans réserve, et il utilisait sa magie symbolique, créant 12 familiers, qui étaient

— Vide — Ténèbres — Luminosité — Vague — Vie — Tremblement de terre — Temps — Tempête rugissante — Destruction — Observation — Folie — Expiation

Contrôlant les familiers les plus forts et convoquant l’ancienne forteresse du ciel appelée « broyeur de chaos », ils commencèrent à combattre Laplace jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Mais même après avoir fait tout cela, il s’était retrouvé sans force et n’avait pas réussi à tuer Laplace, finalement ils avaient seulement pu le sceller.

Après avoir vu sa force et la dignité du « broyeur de Chaos », le titre « Le Roi des dragons en armures » avait commencé à se répandre.

Le royaume Asuran voulant récompenser ses efforts, il décida d’établir un nouveau nom pour les années.

C’est l’année actuelle « Année du dragon en armure ». (Pour ajouter, c’est l’année 414 de l’ère du Dragon en armure.)

Le « Roi Dragon en armure » ne travaillait pour aucun royaume ou pour gouverner un territoire, et fit le tour du monde avec sa forteresse céleste « La broyeuse de Chaos ».

Personne ne connaissait ses intentions.

Mais c’était il y a 400 ans, Hmm, était-il encore en vie ?

Ce n’était pas une forteresse vide volant sans but, sans ordres, n’est-ce pas ?

S’il y avait une chance, j’irais certainement jeter un coup d’œil.

 

~6~

 

Le lendemain.

L’humeur d’Éris était suffisamment bonne au point de surprendre les autres. C’était peut-être dû à cette journée de repos d’hier.

Ou peut-être que c’était lié au fait qu’on était allé que dans les magasins de classe supérieure.

Quoi qu’il en soit, il semblerait que la journée de repos soit une bonne chose à faire.

« Emmène-moi dans tes sorties la prochaine fois ! »

Éris avait fait sa pose habituelle, mais avec son visage rougissant légèrement.

Quelle était la raison de ce rougissement ?

De la colère ? De l’humiliation ? Quoi ? Pouvait-elle être embarrassée ?

Comment pourrait-ce être possible, on parlait d’Éris !

« Je dis... »

Mon expression était un peu troublée, et Éris avait grincé des dents, et elle se tordait la taille, ses deux mains attrapant ses cheveux, elle ajouta.

« S-S’il te plaît, emmène-moi dans tes sorties, nyan ? »

« Bon, je t’emmènerais. Je sortirais avec toi, mais s’il te plaît ne fais plus ça. »

Je l’arrêtais vite, c’était vraiment mignon, mais c’était terrible pour le cœur.

Je sentis que j’allais recevoir un karma-O-mètre pour cela, et quand le karma reviendra me hanter, il sera payé par des coups de poing.

« Hmph ! C’est bien que tu le comprennes. »

Éris avait replacé ses cheveux, et avant que les cheveux se replacent tous, Éris s’était assise sur le bureau avec un plop.

« Alors, tu peux continuer avec les leçons. »

« Tu es pleine d’énergie aujourd’hui. »

« Parce que, si je ne suis pas une bonne élève, tu ne me sortiras pas, exact ! »

Oh, Éris était-elle si perspicace !?

« C-C’est vrai, je vais t’emmener que si tu es obéissante ! »

J’avais terminé la leçon d’aujourd’hui avec beaucoup d’émotions.

-- Statut --

Nom : Éris Boréas Greyrat

Profession : Petite-fille du seigneur de Fedoa

Personnalité : Un peu violente

Lui parler : Elle va écouter pendant un moment

Langue : capable de lire beaucoup de choses

Math : sait soustraire

Magie : En train d’apprendre le rang élémentaire

Épée : Élémentaire classé dans le style du Dieu de l’épée

Étiquette : Connais le message d’accueil commun

Les personnes qu’elle aime : Grand-père, Ghyslaine

Notes

  • 1 : Ces deux lignes sont des références au film : Un château dans le ciel

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

2 commentaires :

  1. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour le chapitre 🙂

  2. Ethan_Nakamura

    Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire